Messages : 435 Date d'inscription : 23/02/2013 Age : 39
Sujet: Les Dessous plagiaires d’Einstein les menssonges Mer 5 Juin 2019 - 4:21
Rappel du premier message :
Aidé par ses co-religionnaires, Albert Einstein s’est attribué le travail d’autrui. C’est connu et reconnu pour beaucoup, mais le mensonge perdure aujourd’hui même dans « l’éducation » « nationale ».
plagiaire\pla.ʒjɛʁ\ masculin et féminin identiques
1. Qui s’approprie ce qu’il a pillé dans les ouvrages d’autrui. Auteur plagiaire.
Deux vidéos le résument bien, la première est plus courte (10 min) et date de 2017, l’autre plus longue (50 min) fut pionnière en 1991. Plus bas, le dossier du Club de l’Horloge au format PDF.
EINSTEIN, GÉNIE DU PLAGIAT, par Henry de Lesquen
L’Escroquerie d’Einstein sur la Relativité de Poincaré « Le Libre Journal du mercredi 08 Mai 1991 et présenté par Serge de Beketch sur Radio Courtoisie avec comme invité : Dean Mamas et en présence de Roger Holeindre, Nicolas Portier et Jean-François Touzet. Einstein a plagié toute la théorie sur la relativité (E=MC²) de Jules Henri Poincaré. Même le terme « relativité » a été volé. Les explications sont données par Dean Mamas, Docteur en physique nucléaire, américain d’origine grecque, militant pour la réhabilitation de Poincaré. »
Henri Poincaré est un mathématicien, physicien, philosophe et ingénieur français, né le 29 avril 1854 à Nancy et mort le 17 juillet 1912 à Paris. Il a réalisé des travaux d’importance majeure en optique et en calcul infinitésimal. Ses avancées sur le problème des trois corps en font un fondateur de l’étude qualitative des systèmes d’équations différentielles et de la théorie du chaos ; il est aussi un précurseur majeur de la théorie de la relativité restreinte et de la théorie des systèmes dynamiques. Il est considéré comme un des derniers grands savants universels, maîtrisant en particulier l’ensemble des branches des mathématiques de son époque.
Einstein, Poincaré, Hilbert
Paris, le 5 mai 2005. Source : clubdelhorloge.fr
« Einstein, Poincaré, Hilbert. Débat à propos de la paternité de la théorie de la relativité.
Un débat très intéressant a eu lieu à France-Culture, le samedi 22 janvier 2005, entre Jean-Paul Auffray et Jean Eisenstaedt, sur la paternité de la théorie de la relativité. Son attribution à Albert Einstein est aujourd’hui contestée par les spécialistes soucieux d’objectivité, en dépit de la mythification du personnage et du battage médiatique qui l’entoure.
Il n’est malheureusement plus possible d’écouter l’émission, qui n’est restée en ligne qu’une semaine sur le site de France-Culture, mais on peut lire l’article de Fabien Gruhier paru le 5 août 2004 dans Le Nouvel Observateur, sous le titre “Einstein plagiaire ?”, et la chronique de Claude Allègre parue le 8 novembre 2004 dans L’Express, sous le titre “Lorentz, Poincaré et Einstein”, après la publication du livre de Jean Hladik (voir ci-après).
“Aujourd’hui, il faut se rendre à l’évidence, écrit M. Claude Allègre : Einstein n’a pas inventé la théorie de la relativité (restreinte). Le premier découvreur de cette théorie fut un Français : Henri Poincaré. La physique mondiale sait cela depuis que le Britannique Edmund Whittaker l’a dit, mais peu de scientifiques compétents ont voulu s’assurer de la véracité de ce fait. Personne n’osait s’interroger sur les mérites du génie absolu. La physique moderne avait sacralisé Einstein.”
Faut-il rappeler que le professeur Claude Allègre, docteur ès sciences physiques, a été ministre de l’éducation nationale, de la recherche et de la technologie de 1997 à 2000, et qu’il est membre de l’Académie des sciences depuis 1995 ?
Voici, pour approfondir le sujet, quelques références de livres et d’articles, où il est question, non seulement de la théorie de la relativité restreinte (1905), mais aussi de la théorie de la relativité généralisée (1915) :
Jean-Paul Auffray, Einstein et Poincaré sur les traces de la relativité, éd. du Pommier, 1999 (prix Gegner de l’Académie des sciences morales et politiques) Jean Hladik, Comment le jeune et ambitieux Einstein s’est approprié la relativité restreinte de Poincaré, Ellipses, 2004 Jules Leveugle, La Relativité, Poincaré et Einstein, Planck, Hilbert. Histoire véridique de la théorie de la relativité, L’Harmattan, 2004 [un abrégé de cet ouvrage est en ligne sur le site personnel de l’auteur] Jean-Paul Auffray, Comment je suis devenu Einstein. La véritable histoire de E = mc2, éd. Carnot, 2005
ainsi que :
Edmund Whittaker, A History of the Theories of Æther and Electricity [“Histoire des théories de l’éther et de l’électricité”] (1ère éd. 1910 ; rééd. t. 1, The Classical Theories [Les théories classiques], 1951, t. 2, The Modern Theories, 1900-1926 [Les théories modernes, 1900-1926], 1953), Thomas Nelson, 1962 et 1961 [L’ouvrage de Sir Edmund Whittaker, mathématicien, astronome et historien des sciences, fait autorité sur la question. Or, il intitule le chapitre 2 du tome 2, qui est paru en 1953 : “The Relativity Theory of Poincaré and Lorentz” [La théorie de la relativité de Poincaré et Lorentz], en précisant, dans le corps du texte (p. 40), qu’en 1905 “Einstein a publié un article qui exposait la théorie de la relativité de Poincaré et Lorentz, avec quelques développements”. On ne pouvait pas être plus clair.] Jules Leveugle, “Poincaré et la relativité”, in La Jaune et la Rouge [revue des anciens élèves de l’Ecole polytechnique], avril 1994 [Dans cet article fondateur, qui cite Whittaker, Jules Leveugle va plus loin que celui-ci, car il démontre, pour la première fois, non seulement l’antériorité de Poincaré, mais aussi que l’article d’Einstein ne saurait résulter d’une découverte indépendante et qu’il est donc un plagiat.] Christopher Jon Bjerknes, Albert Einstein : The Incorrigible Plagiarist [“Albert Einstein, plagiaire incorrigible”], XTX Inc., DownersGorve, Illinois, E.-U., 2002 [Einstein n’a pas seulement “emprunté” la relativité restreinte à Poincaré et la relativité généralisée à Hilbert, il a procédé selon les mêmes méthodes pour le mouvement brownien, l’équivalence de la masse et de l’énergie, etc. : toute son œuvre est un immense plagiat.] Friedwardt Winterberg, « On “Belated Decision in the Hilbert-Einstein Priority Dispute”, published by L. Corry, J. Renn, and J. Stachel » [« A propos de “Décision tardive dans le débat d’antériorité Hilbert-Einstein”, publié par L. Corry, J. Renn, and J. Stachel »], in Zeitschrift für Naturforschung, Vol. 59a, 715-719 (2004). [Comme le rappelle le professeur Winterberg, “il a été généralement admis que David Hilbert avait élaboré la théorie de la relativité généralisée au moins cinq jours avant Einstein”, jusqu’à la publication de l’article de Corry et alii en 1997. Ces derniers, qui s’étaient reportés aux épreuves de l’article de Hilbert, archivées dans la bibliothèque de Goettingen, ont affirmé que celui-ci s’était, en réalité, inspiré d’Einstein ! F. Winterberg a vérifié. Et il s’est aperçu que le document avait été mutilé (on a découpé un tiers de page avec un canif), pour faire disparaître un passage essentiel. F. Winterberg montre que l’article original de Hilbert comprenait bel et bien l’ensemble de la théorie et qu’Einstein en avait pris connaissance depuis plusieurs semaines, lorsqu’il a publié le sien. Corry et ses coauteurs, qui sont ainsi confondus, admettent aujourd’hui que les équations de Hilbert étaient “correctes”, tout en persistant à dire qu’elles n’étaient pas “explicites”. Il est vrai que l’explicitation en cause se trouvait apparemment dans le passage qui a été caviardé…]
La question est donc aujourd’hui clarifiée pour l’essentiel, notamment après la parution de l’article de Winterberg en 2004 :
C’est Poincaré, et non Einstein, qui a découvert la théorie de la relativité restreinte en 1905. C’est Hilbert, et non Einstein, qui a découvert la théorie de la relativité généralisée en 1915. Einstein a plagié Poincaré pour la relativité restreinte. Il a plagié Hilbert pour la relativité généralisée. Eisenstaedt et quelques autres seraient de sérieux candidats pour le “prix Lyssenko”, si la désinformation à laquelle ils ont contribué était de nature politique.
(Voir, à ce propos, le commentaire de Polémia, “Centenaire de la relativité : Poincaré génie de la physique, Einstein génie de la com !”.)
L’occultation de Poincaré et de Hilbert et la mythification d’Einstein le plagiaire interpellent la communauté scientifique. La perpétuation de cette imposture, plus de cinquante ans après le livre de Whittaker, qui aurait pourtant dû régler définitivement la question, du moins pour la relativité restreinte, ne peut que susciter un profond malaise et soulever inévitablement une interrogation légitime : le mythe Einstein est-il un cas unique, ou bien y aurait-il d’autres “vérités” apparentes, généralement acceptées, dans le domaine de l’histoire ou de la science, qui seraient, elles aussi, fondées sur le mensonge ?
Même si vous ne connaissez pas grand-chose à la physique, vous avez entendu parler d’Einstein… Nous vous invitons donc à faire circuler le présent document en le diffusant au plus grand nombre de vos correspondants, car le mythe Einstein est un symptôme et une illustration remarquables de la désinformation dont nous sommes trop souvent les victimes. »
7 1) La relativité galiléenne.Pendant des siècles on a cru que la force était proportionnelle à la vitesse : vous poussez sur un objet et il se déplace, vous cessez de pousser et il s'arrête. Il faut des observations difficiles et une réflexion poussée sur les frottements pour comprendre qu'en l'absence de force le mouvement reste rectiligne et uniforme (Galilée, Descartes) et que la force est proportionnelle à l'accélération (Newton).Le motif réel de Galilée était la compréhension du mouvement orbital de la Terre celle-ci ne perd pas son atmosphère et ses océans le long de son orbite ! Galilée avait besoin de ce que nous appelons aujourd'hui la relativité galiléenne : « Une expérience de mécanique donne les mêmes résultats dans un laboratoire fixe et dans un laboratoire en mouvement rectiligne et uniforme », soit en termes pratiques : vous pouvez boire votre café comme d'habitude aussi longtemps que votre avion vole d'un mouvement rectiligne et uniforme sans être secoué par le vent ... (1)2) Le mouvement de la Terre.Copernic et Galilée n'avaient pas de preuves physiques du mouvement de la Terre et c'est pourquoi Copernic présentait son travail comme une hypothèse tandis que Galilée était plus affirmatif. Fort heureusement, au milieu du XIX° siècle, ce mouvement était fermement établi sur ses trois preuves classiques : l'aberration des étoiles (Bradley, 1727), la parallaxe des étoiles (Bessel, 1840) et le pendule de Foucault (1851).3) Le temps absolu ou « newtonien ».« Tempus absolutum verum et mathematicum... »« Le temps absolu, vrai et mathématique, par sa nature même indépendant de toutes les autres grandeurs, coule uniformément et sera désigné par le mot durée.Le temps relatif, apparent et vulgaire, est la mesure, plus ou moins précise, subjective et toute extérieure, de la durée par les mouvements des astres, dont on se sert habituellement au lieu du vrai temps, comme l'heure, le jour, le mois, l'année ». (Newton, PhilosophiaNaturalis Principia Mathematica, 2° édition, Cambridge, 1713).A l'époque de Newton, et même deux siècles plus tard, aucune horloge n'était capable de révéler les petites différences liées aux effets relativistes. Il était donc très naturel de supposer l'existence du « temps absolu », ce paramètre essentiel de tant de lois physiques, et la définition newtonienne apparaissait alors essentiellement comme un avertissement « attention, la rotation de la Terre n'est peut-être pas tout à fait régulière ».4) L'espace euclidien absolu et la notion de force.La loi de l'inertie : accélération = force / masse est valable seulement dans les référentiels « galiléens » ou « inertiels » qui ne tournent pas et dont les mouvements relatifs sont rectilignes et uniformes.Dans la seconde moitié du XIX° siècle les géométries non-euclidiennes de Lobatchevsky, Bolyai et Riemann étaient considérées comme des curiosités mathématiques sans grand intérêt et chacun considérait l'espace physique comme euclidien.Le fantastique succès de la théorie newtonienne de l'attraction universelle confortait toutes ces notions. Cette théorie ne conduisait-elle pas à une description remarquablement précise des mouvements planétaires et n'avait-elle pas permis la découverte de Neptune (1846) après les longs calculs de Leverrier et d'Adams ?En 1850, toutes les lois de la mécanique étaient en accord avec la relativité galiléenne, elles étaient conservées par les transformations ordinaires de référentiels galiléens, par exemple par l'expression classique:(1) x1 = x - Vt vitesse V constante du second référentiel par rapport au premier. y1 = y ; z1= z ; t1 = t: temps absolu. 85) Les équations de l'électromagnétisme (Maxwell 1864).Les équations de Maxwell représentent un progrès majeur de la connaissance de la matière, sans doute un progrès aussi important que celui de la loi de l'attraction universelle. Elles sont cependant la source des difficultés : elles ne sont pas conservées dans les transformations galiléennes des référentiels.Considérons leur expression la plus simple dans le vide. Le vecteur champ électrique E et le vecteur induction magnétique B sont liés par les quatre équations suivantes (2) div E = 0 ; div B = 0 ; rot E = -∂ B /∂t ; rot B = μ0ε0∂E / ∂ t avec :μ0 = perméabilité magnétique du vide = 4π. 10-7 Henry par mètre.ε0 = permittivité du vide = 8,854 187 82 10-12Farad par mètre.Les solutions les plus simples sont les ondes planes, par exemple celles se propageant dans la direction de Ox : u = x - ct ; avec c = (μ0ε0) -1/2 = 299 792 458 m / s (3) E = [ 0 , cf(u) , cg(u) ]; B= [0 , - g(u) , f(u) ] f(u) et g(u) sont des fonctions continûment dérivables arbitraires.Donc, dans le système de référence Oxyzt approprié dans lequel les équations (2) de Maxwell sont valables, les ondes planes se déplacent avec la vitesse c, la vitesse des ondes électromagnétiques. Cette vitesse fut aussi reconnue comme la vitesse de la lumière après les expériences de Hertz sur les similitudes entre lumière et électromagnétisme.Malheureusement la transformation galiléenne (1) ne conserve pas la vitesse c, nous devons donc choisir entre les deux possibilités suivantes :A) Ou bien les équations de Maxwell sont rigoureuses par rapport à un référentiel particulier Oxyzt et seulement approchées dans les référentiels en mouvement lent (comme ceux de nos laboratoires terrestres).B) Ou bien les équations de Maxwell sont rigoureuses pour tous les systèmes de références inertiels et la relativité peut être étendue de la mécanique à l'électricité et à l'optique. Mais il y a un prix à payer : les notions de temps et d'espace absolus doivent être abandonnées car elles sont contradictoires avec l'invariance de la vitesse de la lumière.Le temps absolu newtonien semblait si évident que l'hypothèse A fut immédiatement adoptée. Le référentiel hypothétique Oxyzt prit une consistance concrète avec l'invention de «l'éther », milieu très léger et très subtil, censé jouer pour la lumière et l'électromagnétisme le rôle de l'air pour le son.L'étape suivante était évidemment la recherche des propriétés de l'éther et la détermination du mouvement « absolu » de la Terre, c'est à dire de son mouvement par rapport à l'éther, par des expériences appropriées d'optique ou d'électromagnétisme.L'expérience de Fizeau (mesure de la vitesse de la lumière dans un courant d'eau, 1851) et celle d'Airy (mesure de l'angle d'aberration dans un télescope plein d'eau, 1871) semblaient montrer un « entraînement partiel de l'éther » par les milieux transparents.En utilisant toutes sortes d'idées et d'équipements, un grand nombre d'expérimentateurs (Trouton et Noble, Lodge, Kennedy et Thorndyke, etc.) essayèrent d'étudier les propriétés de l'éther et de déterminer le mouvement absolu de la Terre, mais sans succès.Les expérimentateurs les plus célèbres sont Michelson et Morley. Leur expérience (1887) fut incapable de détecter une anisotropie de la vitesse de la lumière en dépit d'une précision dix fois surabondante.Il est heureux que le mouvement de la Terre ait été fermement établi dans l'esprit des scientifiques de ce siècle. Deux siècles auparavant l'explication la plus simple aurait été : la Terre ne bouge pas... 9Pendant que ces expériences étaient faites, les théoriciens obtenaient un certain nombre de résultats intéressants.Lorentz et Fitzgerald notèrent qu'une contraction appropriée par le « vent d'éther » peut expliquer l'isotropie apparente de l'expérience de Michelson et Morley.En 1887, Voigt obtint une transformation de coordonnées conservant les ondes planes et les ondes sphériques de Maxwell.En 1895, Lorentz nota que le premier ordre de la transformation de Voigt conserve le premier ordre des équations de Maxwell.Larmor donna le deuxième ordre un peu plus tard.Dans son grand mémorandum de Mai 1904 (réf 1), Lorentz donna une extension de la transformation de Voigt préservant les équations de Maxwell dans le vide.Les plus grands progrès sont dus au mathématicien, physicien et philosophe Henri Poincaré, qui était un ami de Lorentz. Ils échangèrent de nombreuses lettres scientifiques à partir de 1895 et améliorèrent pas à pas leurs analyses.Les progrès successifs dus à Poincaré sont les suivantsA) Dans le livre La science et l'hypothèse (1902), pages 111, 245 et 246 (réf.2):Il n'y a pas d'espace absolu et nous ne concevons que des mouvements relatifs.Il n'y a pas de temps absolu ; dire que deux durées sont égales, c'est une assertionqui n'a par elle-même aucun sens et qui n'en peut acquérir un que par convention. Non seulement nous n'avons pas l'intuition directe de l'égalité de deux durées, mais nous n'avons même pas celle de la simultanéité de deux événements se produisant sur des théâtres différents.Peu nous importe que l'éther existe réellement, c'est l'affaire des métaphysiciens ... un jour viendra sans doute où l'éther sera rejeté comme inutile ... Ces hypothèses ne jouent qu'un rôle secondaire. On pourrait les sacrifier ; on ne le fait pas d'ordinaire parce que l'exposition y perdrait en clarté, mais cette raison est la seule.( 2)B) Le congrès scientifique mondial de Saint-Louis (Missouri, Septembre 1904).Henri Poincaré est invité à présenter une conférence générale sur « L'état actuel et l'avenir de la Physique mathématique »(réf. 11). Il ajoute audacieusement le « principe de relativité » au cinq principes classiques de la Physique :« Le principe de relativité, d'après lequel les lois des phénomènes physiques doivent être les mêmes pour un observateur fixe et pour un observateur entraîné dans un mouvement de translation uniforme, de sorte que nous n'avons et ne pouvons avoir aucun moyen dediscerner si nous sommes, oui ou non, emportés dans un pareil mouvement ». ( réf 11 page 306 et ( 3 ) ).Ce principe était bien sûr essentiellement basé sur les résultats négatifs des expériences de cette époque sur l'éther. La plus grande partie de la conférence est consacrée à la défense du nouveau principe et Henri Poincaré conclut : « Ainsi le principe de relativité a été dans ces derniers temps vaillamment défendu, mais l'énergie même de la défense prouve combien l'attaque était sérieuse ... Peut-être devrons nous construire toute une mécaniquenouvelle que nous ne faisons qu'entrevoir, où l'inertie croissant avec la vitesse, la vitessede la lumière deviendrait une limite infranchissable ». (réf 11, page 324).C) La note à l'Académie des sciences de Paris (5 Juin 1905, publiée le 9 Juin 1905, réf 3).Poincaré écrit à nouveau le principe de relativité et analyse le « changement de variables» présenté par Lorentz dans son mémorandum (réf 1). Il simplifie la présentation de ce changement et lui donne son nom actuel : « Le point essentiel, établi par Lorentz, c'est que les équations de l'électromagnétisme ne sont pas altérées par une certaine transformation que j'appellerai du nom de Lorentz.. » (plus tard, en 1914, Lorentz corrigera cette affirmation : "je 10n'ai pas indiqué la transformation qui convient le mieux. Cela a été fait par Poincaré et ensuite par M. Einstein et Minkowski."(réf 10, page 295))Poincaré remarque que la théorie de la relativité implique l'existence d'ondes gravifiques » ou ondes gravitationnelles se déplaçant à la vitesse de la lumière. Cependant ses recherches ultérieures sur ce sujet ne furent pas couronnées de succès.Poincaré note enfin que la transformation de Lorentz et les transformations associées sont les éléments d'un « groupe » au sens mathématique du mot (aujourd'hui le groupe de Poincaré, dont celui de Lorentz est un sous-groupe). Cela lui permet de donner la valeur du coefficient lutilisé par Lorentz dans sa transformation : ce coefficient est égal à l'unité.Les groupes ont des invariants et Poincaré trouvera l'invariant de son groupe : la quantité L ²- c² T² où L représente l'intervalle de longueur et T l'intervalle de temps. Quelques années plus tard Minkowski présentera ce même invariant sous la célèbre forme différentielle :c ² dt² - dx² - dy²- dz² = c² ds²Le paramètre s est le " temps propre " , lequel étant un paramètre physique donné par les horloges de bord du véhicule étudié, doit évidemment avoir la même valeur dans tous les référentiels.Il faut comprendre que le second temps, t', apparaissant dans la transformation de Lorentz a le même caractère physique que le premier, à cause de l'inexistence de l'éther et du temps absolu, et à cause de la parfaite symétrie de la transformation. Poincaré avait déjà donné un sens physique à ce temps t' en synchronisant les horloges avec des signaux lumineux, grâce à l'invariance de la vitesse de la lumière (réf.4).Il est essentiel de noter que la transformation de Lorentz est une conséquence directe du principe de relativité et n'exige pas l'invariance de la vitesse de la lumière (voir annexe).D) Le dernier travail fondamental de Poincaré sur la relativité est son étude « sur la dynamique de l'électron » dans laquelle il démontre et développe les idées de sa note à l'Académie (réf. 5, Juillet 1905, publiée en Janvier 1906).L'expression de la transformation du champ électromagnétique est impressionnante l'électromagnétisme apparaît comme la mariage de l'électrostatique et de la relativité.La théorie de Lorentz et Poincaré conduit donc au caractère relatif de l'espace et du temps physiques, elle est en accord avec le principe de relativité, avec les équations de Maxwell non seulement dans le vide mais aussi ailleurs, avec les expériences sur l'éther (Fizeau, Airy, Michelson, etc.) et avec les résultats classiques de l'électromagnétisme tels qu'ils furent découverts par les pionniers : Coulomb, Ampère, Volta, Laplace, Gauss, Oersted, Faraday ... La théorie de la relativité restreinte était dès lors complète.Pendant ce temps, Einstein prépare et publie son premier et plus célèbre travail sur la relativité : Zur Elektrodynamik der bewegten Körper (réf 6). Ce travail fut présenté sans aucune référence et est pour cette raison considéré par certains auteurs comme une compilation des travaux précédents (réf 7). 1L'idée de base d'Einstein est l'invariance de la vitesse de la lumière (ce qui oblige les photons à avoir une masse nulle).Einstein est conduit au principe de relativité. Il obtient tous les résultats décrits par Poincaré. Il mentionne même que les transformations de Lorentz et les transformations associées forment un groupe, mais ne fait aucun usage de cette propriété.Einstein était-il au courant des travaux de Poincaré ? Ceci est une question difficile.D'une part il écrit en 1955 dans une lettre à Carl Seelig:« Il n' y a pas de doute que, si nous regardons son développement rétrospectivement,la théorie de la relativité restreinte était prête à être découverte en 1905. Lorentz avait déjà 11observé que, pour l'analyse des équations de Maxwell, les transformations qui porteront plustard son nom sont essentielles et Poincaré avait été encore plus loin.En ce qui me concerne, je ne connaissais que les travaux importants de Lorentz de1895 : La théorie électromagnétique de Maxwell et "Versuch einer theorie der elektrischen und optischen Erscheinungen in bewegten Körpern" mais je ne connaissais ni les travauxultérieurs de Lorentz ni les investigations correspondantes de Poincaré.Dans ce sens mon travail de 1905 était indépendant » (réf 8, page 11).Mais d'autre part:A) Le travail d'Einstein en 1905 sur la relativité contient les mêmes résultats que celui de Poincaré y compris la propriété de groupe pour les transformations de Lorentz et les transformations associées. Cette notion de groupe mathématique était alors très nouvelle et pratiquement ignorée chez les physiciens, Einstein n'en fait aucun usage.B) Einstein n'a évidemment pas pu utiliser le travail de Poincaré de Juillet 1905 pour écrire son propre texte, mais la Note à l'académie du 5 Juin 1905 est arrivée à Berne, à temps, le 12 ou le 13 Juin, et la lire faisait partie de son travail ordinaire. On peut d'ailleurs remarquer qu'Einstein résumait régulièrement pour les Annalen der Physik les travaux de physique les plus intéressants, y compris ceux parus dans les comptes rendus de l'Académie des Sciences de Paris (voir par exemple la référence 18, avec entre autres l'analyse du travail de M. Ponsot, CR.140, S pages 1176-1179, 1905).C) Selon ses amis Maurice Solovine et Carl Seelig, Einstein avait lu le livre de Poincaré La Science et l'hypothèse (pas de temps absolu, pas d'espace absolu, pas d'éther ... ) pendant les années 1902-1904. Ce livre fut discuté à leur cercle de lecture « Académie Olympia » durant plusieurs semaines (réf. 8, pages 129 et 139 ; réf. 9, page VIII et réf. 17, page 30).On avance parfois qu'il arrive que les découvertes soient faites par plusieurs personnes en même temps (en d'autres termes : Poincaré et Einstein pourraient bien avoir obtenu les mêmes résultats indépendamment). Cependant même si ceci est souvent vrai dans les recherches ordinaires - l'exemple le plus frappant étant celui de Gray et de Bell déposant le même jour, à plusieurs centaines de kilomètres l'un de l'autre, leur brevet sur l'invention du téléphone - ce n'est jamais le cas pour les bouleversements de la science lesquels suscitent immédiatement l'opposition: Copernic était seul, Képler était seul, Galilée était seul, Darwin et Wallace étaient seuls, Pasteur était seul, Freud était seul et tous furent ou bien ignorés, ou bien même combattus et persécutés.Néanmoins, même si le principe de relativité doit être appelé principe de Poincaré, et même si Einstein n'est pas le premier, nous lui devons non seulement la relativité générale de 1916 mais aussi une magnifique vulgarisation de la relativité restreinte. Ceci est très heureux car la santé de Poincaré était mauvaise et il ne survécut guère à son travail de géant, il fut frappé du cancer en 1909 et mourut en 1912 à l'âge de 58 ans.La mauvaise santé de Poincaré et l'absence de référence dans le travail d'Einstein sur la relativité en 1905 ne sont évidemment pas les seules raisons pour lesquelles Poincaré est si ignoré et Einstein si célèbre.Si un grand physicien comme Paul Langevin (qui discuta des derniers développements de la Physique avec Poincaré, son ancien professeur, durant les semaines de leur voyage au congrès de Saint-Louis en 1904), si Langevin avait défendu Poincaré l'évidence aurait été immédiatement reconnue.Si Poincaré avait eu la possibilité de publier dans un grand journal de physique, comme les Annalen der Physik d'Einstein, il aurait eu une grande audience. Mais il ne trouva que le Rendiconti del Circolo Matematico di Palermo pour son travail majeur de Juillet 1905 ... un petit journal de mathématiques qui n'était pas connu parmi les physiciens. 12Il peut sembler incroyable que Poincaré ait eu tant de mal à publier dans un journal de physique, mais les physiciens de cette époque refusaient de considérer que ce prodigieux mathématicien était aussi l'un des leurs. Encore aujourd'hui, certains physiciens croient que le caractère physique des variables x' et t' de la transformation de Lorentz n'a pas été suffisamment souligné par l'auteur du principe de relativité ! (réf. 20).Il faut dire que Poincaré joue de malchance, son travail Sur la dynamique de l'électronn'est pratiquement pas connu avant les années trente et entre-temps la science et le vocabulaire scientifique ont fantastiquement changés. Tandis que, d'une traduction à l'autre, le texte d'Einstein est constamment réactualisé ... En conséquence la comparaison des deux textes est apparemment édifiante. Le texte de Poincaré est difficile à lire et certains lecteurs en arrivent même à se demander si Poincaré à vraiment compris la relativité... Il faut attendre le tout récent travail d'un éminent physicien russe, l'académicien Anatoly Logunov, pour que Poincaré soit lui aussi traduit en langage scientifique moderne, en russe tout d'abord puis en anglais et en français (réf 16). Alors tout devient clair, nul ne peut plus soutenir que Poincaré ne savait pas ce qu'il faisait ou qu'il n'avait pas vraiment compris...Par dessus tout cela une histoire typiquement française : La plupart des professeurs d'Université du début du siècle étaient politiquement de gauche à cette époque de dures confrontations (affaire Dreyfus, séparation de l'Eglise et de l'Etat ... ). Ils refusèrent de soutenir Henri Poincaré assimilé à son cousin Raymond, l'un des chefs de la droite et le futur Président de la République ... De quelques bords qu'ils soient la passion politique des Gaulois, et les excès qui en résultent, ont toujours étonné les étrangers.Henri Poincaré n'était pas homme à se mettre en avant. Il avait attribué à Lorentz plus que sa part, ce qui fut loyalement refusé par celui-ci. Il avait appelé « fonctions fuchsiennes », fonctions du professeur Fuchs, des fonctions pour lesquelles il avait fait plus des deux tiers du travail...En fin de compte l'amitié de Lorentz le sauva. En 1921, après le triomphe de l'éclipse de Soleil de 1919, le comité Nobel se réunit avec pour première pensée : « Nous devons donner le prix Nobel à Einstein pour la relativité ». Mais Lorentz, prix Nobel de physique 1902, proteste : « Ce n'est pas juste ! » et il publie la notice sur la vie de Poincaré qu'il avait écrite en 1914 (ré£ 10, page 298)... «Je n'ai pas établi le principe de relativité comme rigoureusement et universellement vrai. Poincaré au contraire a obtenu une invariance parfaite des équations de l'électrodynamique et il a formulé le «postulat de relativité», termes qu'il a été le premier à employer ».Embarrassé, le comité Nobel décide de prendre le temps de réfléchir et, après quelques mois, donne finalement le prix Nobel à Einstein mais pas pour la relativité... pour l'effet photoélectrique !Ainsi, en dépit de sa modestie et de sa timidité, Henri Poincaré doit être considéré non seulement comme un excellent philosophe de la science et l'un des plus grand mathématiciens ; il est aussi un physicien de tout premier plan (électromagnétisme et radio, optique, fluorescence, théorie cinétique des gaz, théorie des quanta, etc.), le père du principe de relativité et le fondateur de la relativité restreinte.(1) Pour ce principe et quelques autres réflexions philosophiques fondamentales, Galilée est considéré par les scientifiques comme l'un des pères fondateurs de la science moderne tandis que le public le connaît surtout à cause de son procès de 1633. Notez cependant l'ironie et la chance historique : c'est parce qu'il était condamné à la résidence surveillée dans sa maison de campagne à Arcetri près de Florence, qu'il a trouvé le temps nécessaire à la réflexion philosophique. Sinon il serait probablement resté le professeur très occupé et le polémiste ardent et parfois injuste qu'il avait été toute sa vie. 13 (2) Au cours du vingtième siècle de nombreux physiciens reprocheront à Henri Poincaré de n'avoir pas condamné plus explicitement et plus définitivement la notion d'éther. Mais cela n'était pas si évident et Einstein lui-même dira encore bien plus tard, en 1920, dans la conclusion de sa conférence de Leyde : « En résumant, nous pouvons dire : D'après la théorie de la relativité générale, l'espace est doué de propriétés physiques ; dans ce sens par conséquent un éther existe. Selon la théorie de la relativité générale un espace sans éther est inconcevable, car non seulement la propagation de la lumière y serait impossible, mais il n'y aurait aucune possibilité d'existence pour les règles et les horloges, et par conséquent aussi pour les distances spatio-temporelles dans le sens de la physique. Cet éther ne doit cependant pas être conçu comme étant doué de la propriété qui caractérise le mieux les milieux pondérables, c'est à dire comme constitué de parties pouvant être suivies dans le temps : la notion de mouvement ne doit pas lui être appliquée »(réf . 19).(3) Il est étonnant que cette toute première expression du principe de relativité à son niveau véritable ne soit pas mentionnée en référence 12 par ailleurs très intéressante et bien documentée. Je ne l'ai pas trouvée non plus en référence 13 en dépit de sa présence en référence 14 et aussi dans la fameuse Encyklopädie der mathematischen Wissenchaften (réf 15).Références1 Lorentz H.A. Electromagnetic phenomena in a system moving with any velocity lessthan that of light. Proc.Royal Acad. Amsterdam, 6, page 809, 1904.2 Poincaré H. La Science et l'hypothèse. Edition Flammarion, Paris, 1902.3 Poincaré H. Sur la dynamique de l'électron. Comptes rendus Acad. Sci. Paris, 140, pages 1504-1508, 5 Juin 1905.4 Poincaré H. La mesure du temps. Revue de métaphysique et de morale. 6, pages 371384, 1898.5 Poincaré H. Sur la dynamique de l'électron. Rendiconti del Circolo Matematico di Palermo, 21, pages 129-175, reçu le 23 Juillet 1905, publié en Janvier 1906.6 Einstein A. Zur Elektrodynamik der bewegten Körper. Annalen der Physik, 17, pages 891-921, reçu le 30 Juin 1905, publié le 26 Septembre 1905.7 Leveugle J. Poincaré et la relativité. La Jaune et la Rouge, pages 3 1-5 1, Avril 1994.8 Miller A.I. Albert Einstein's Special Theory of Relativity. Ed. Addison-Wesley Publishing Company Inc. Reading Mass., 198 1.9 Solovine M. Lettres à Maurice Solovine. Ed. Gauthier-Villars, Paris, 1956.10 Lorentz H.A. Deux mémoires de Henri Poincaré dans la Physique mathématique. Acta Matematica, 38, pages 293-308, 192 1.1 1 Poincaré H. L'état actuel et l'avenir de la physique mathématique. Bulletin des Sciences Mathématiques, 28, 2° série (réorganisé 39-1), pages 302-324, 1904.12 Tonnelat M.A. Histoire du principe de relativité. Ed. Flammarion, Paris, 1971.13 Ginzburg V.L. On the theory of relativity. Ed. Nauka, Moscow, 1979.14 Bol'shaia Sovetskaia Entsiklopedia. Great Soviet Encyclopedia-A translation of thethird edition. Volume 18, Macmillan Inc., New-York, Collier Macmillan Publishers. Relativity, Theory of, page 653, 1974.15 Pauli W., Kottler F. Encyclopädie der mathematsichen Wissenchaften.Leipzig Verlag und Druck von B G Teubner. Relativitätstheorie V-2, pages 545-546 (1904-1922)Gravitation und Relativitätstheorie VI-2-2, page 171 (1922-1934).16 Logunov A. A. On the articles by Henri Poincaré: « On the dynamics of theelectron » Publishing Dept of the Joint Institute for Nuclear Research, Dubna, 1995. Sur les articles 14de Henri Poincaré : « Sur la dynamique de l'électron ». Le textefondateur de la Relativité en langue scientifique moderne. Publication ONERA 2000-1, pages 1-48, 2000.1 7 Merleau-Ponty J. Einstein. Ed Flammarion ISBN, page 30, 1993.1 8 Einstein A.Beiblâtter zu der Annalen der Physik. 29, N' 18, pages 952-953, 1905.1 9 Einstein A. L'éther et la théorie de la relativité. Conférence faîte à Leyde (Pays-Bas) le 5 Mai 1920. Traduction en français par Maurice Solovine et M.A. Tonnelat dans: Albert Einstein, Réflexions sur l'électrodynamique, l'éther , la géométrie et larelativité. Collection « Discours de la méthode », nouvelle édition, Gauthier-Villars éd. 55 Quai des Grands Augustins, Paris 6è, page 74,1972.20 Darrigol 0. Henri Poincaré 's criticisme of Fin de Siècle electrodynamics Studies in History and Philosophy of modem Physics, pages 1-4, April 1995.Les références 3, 5 et 10 apparaissent aussi dans les "Oeuvres de Henri Poincaré",respectivement tome 9, pages 489-493 ; tome 9, pages 494-550 et tome 11, page 247-261; Gauthier-Villars éditeur, Paris, 1956.
PDF ICI : https://explicithistoire.files.wordpress.com/2017/07/einstein_plagiaire.pdf
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Sujet: Re: Les Dessous plagiaires d’Einstein les menssonges Mar 11 Juin 2019 - 9:26
S'est intéressant d'essayer de comprendre comment ceux qui ont de la haine en eux, sont prêt a condamner des grands génies avec des prétexté fallacieux
Toujours basé sur l'ignorance de l'histoire et la crédulité des lecteurs
Haine et mensonge vont ensemble ça ne mène certainement pas a une élévation mais a l'involution
La haine est le relais du bonheur ou du malheur de l'humanité ?
OSIRIS
Messages : 4965 Date d'inscription : 12/10/2012 Age : 53
Sujet: Re: Les Dessous plagiaires d’Einstein les menssonges Mar 11 Juin 2019 - 9:56
evol a écrit:
Toujours basé sur l'ignorance de l'histoire et la crédulité des lecteurs
ou basé sur le fait qu'Einstein soit Juif .... ?
comme d'autres qui accuse une Dr Juif de vol du travail d'une Dr allemande ...
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Invité Invité
Sujet: Re: Les Dessous plagiaires d’Einstein les menssonges Mar 11 Juin 2019 - 12:23
S'est bien plus grave que cela (a lire attentivement comme si votre destin etait en jeux) Il y a des courants de pensées et des groupuscules qui entretiennent la haine des juifs ou autres Ils font perdurer les these hitle-rienne
ça plombe une partie de l'humanité dans des bas instincts, basse énergie.La haine rend abruti n’importe qui, en réalité
ça donne une image fausse de la science La haine des Juifs est la haine de l'humanité en réalité Hitler n'aurait rien pu faire contre les Juifs, si l'humanité n'avaient pas développée une haine contre eux
Les forces tenebreuses on la haine d el'human ité, et tout les prétexte pour la détruire son bons, mais seul l'humain est responsable de sont laxisme
Le Dieu des Humains n'a jamais empêcher les Humains de rejoindre l'ombre (il s'en fiche d'ailleurs mais complètement a ma connaissance, mais a un point, ca me fait rire parce que je suis en dessous de la vérité mais a un point) Einstein l'a bien compris
Qui a el courage de rétablir la vérité de l'histoire quand Einstein est dénigré
Sans le savoir, les non haineux, les jambons participent au mal de manière véritable
Il aime trop leur tranquillité égocentrique derriere leur ordi Chacun participe en réalité a la propagation de haine selon cette formule consacrée : Qu'est ce que le consentement ? chacun est le relais ou le non relais de quoi ? (véritablement) Ne rien dire contre la haine, s'est devenir faible en acceptant que certains lecteur vont croire a ces mensonges haineux Ne rien dire contre la haine s'est accepter le mensonge, et laisser la vérité se faire piétiner ! S'est se faire marcher sur les pieds
S'est aps la faute de l'ombre si les gens sont faible en vérité
Si les gens pouvait connaitre le point de vu de Dieu, ils s’évanouirait sur place S'est impossible a répété d'ailleurs Je vais juste dire ce que jésus a dit dans les écrit de la mère morte :
(de mémoire approximativement): (Judas avait refuser de le livrer au Romains) "Judas, si tu accomplis ce que je te demande, tu seras l'Homme le plus détesté de la planete, mais a mes coté aux royaumes des Cieux" Bien sur que Jésus voyait l'avenir, s'est un initié, toute ses faculté étaient développé
Si cela ne fait réfléchir personne ^^
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Sujet: Re: Les Dessous plagiaires d’Einstein les menssonges