Catastrophe nucléaire au Japon : articles, infos, cartes et schémas.Les communiqués de l'Observatoire du nucléaire
17 mars 2011 : http://observ.nucleaire.free.fr/La%20malbouffe%20radioactive.pdf
"Comment on nous prépare à consommer des aliments contaminés en cas d'accident nucléaire en France?"
Révélations - Nucléaire :
EDF a falsifié des données sismiques pour économiser sur la sûreté
Observatoire du nucléaire- Communiqué du mercredi 16 mars 2011
http://observ.nucleaire.free.fr/falsification.htm
A lire aussi sur www.next-up.org : http://www.next-up.org/France/EDF.php#1
Les documents (Geoff78: téléchargez-les avant nouvelles censures!) : *
Synthèse :
ICI : http://synthese-faslifications-sismiques-EDF-nucleaire.pdf/ (déjà censuré)
Lien valide ici : http://observ.nucleaire.free.fr/synthese-faslifications-sismiques-EDF-nucleaire.pdf
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Lettre ASN :
ICI : http://observ.nucleaire.free.fr/2003_sd2_337.pdf
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Divergences EDF/IRSN :
ICI : http://differences-EDF-IRSN-Seismes.jpg/ (déjà censuré)
Lien valide ici : http://observ.nucleaire.free.fr/differences-EDF-IRSN-Seismes.jpg
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Figure EDF confidentielle :
ICI : http://Doc-confidentiel-EDF-Seismes-Centrales-nucleaires.pdf/ (déjà censuré)
Lien valide ici : http://observ.nucleaire.free.fr/Doc-confidentiel-EDF-Seismes-Centrales-nucleaires.pdf
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EDF a imposé ses vues à l'Autorité de sûreté par du lobbying :
ICI : http://lobying-edf-risque-sismique-nucleaire.pdf/ (déjà censuré)
Lien valide ici : http://observ.nucleaire.free.fr/lobying-edf-risque-sismique-nucleaire.pdf
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EDF a ainsi économisé 1,9 milliards de remise à niveau de ses centrales :
ICI : http://cout-travaux-centrales-seismes.jpg/ (déjà censuré)
Lien valide ici : http://observ.nucleaire.free.fr/cout-travaux-centrales-seismes.jpg
L'Observatoire du nucléaire révèle un véritable scandale : en 2003 (la situation est restée la même depuis), EDF a falsifié des données sismiques afin de s’éviter des travaux onéreux… et pourtant indispensables pour la sûreté des centrales nucléaires.
Il faut savoir que, si le risque sismique est moindre en France qu'au Japon, la résistance des centrales françaises est, elle aussi, moindre... donc le danger est le même. Chaque centrale est théoriquement dimensionnée par rapport au risque sismique qui la concerne. Nous disons bien "théoriquement"...
En effet, par un courrier du 17 juin 2003, diffusé aujourd'hui par l'Observatoire du nucléaire, l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a couvert EDF en lui donnant raison contre l’avis des experts de l'IRSN (Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire), tenus au silence.
Les données sont accablantes et concernent 32 des 58 réacteurs français : - Chinon (Indre et Loire) : EDF a baissé d’office la valeur de l’intensité des séismes de référence. Il s’agit là d’une falsification aussi incroyable que grossière.
- Belleville (Cher) : EDF s’est autorisée à prendre comme référence un séisme datant de 1079 pour lequel il existe très peu de données, écartant le séisme de référence (de 1933) qui impliquait des mesures plus contraignantes.
- Blayais (Gironde) : les chiffres d’EDF sont trois fois moins contraignants que ceux de l’IRSN. Or André-Claude
Lacoste, directeur de l’Autorité de sûreté nucléaire donne raison à EDF sans se justifier. Idem pour Saint-Laurent des Eaux (Loir-et-Cher)
- Plus généralement, EDF a redéfini à sa manière les zones sismiques afin de ne pas avoir à tenir compte de certains séismes.
- Les centrales de Dampierre (Loiret), Bugey (Ain), Fessenheim (Haut-Rhin), Civaux (Vienne), Saint-Alban (Isère), Golfech (Tarn-et-Garonne), Nogent (Aube) et Chooz (Ardennes) également mises en cause.
Les documents que nous publions montrent que c'est par des actions de "lobbying" et de "contre-feux" ( http://lobying-edf-risque-sismique-nucleaire.pdf/ ) que EDF a pu contraindre l'ASN à lui donner raison au détriment des ingénieurs de l'IRSN.
C'est ainsi que EDF a économisé 1,9 milliards d'euros de travaux (http://cout-travaux-centrales-seismes.jpg/ ) de remise à niveau de ses centrales nucléaires par rapport au risque sismique, travaux qui auraient été obligatoires si les chiffres de l'IRSN avaient été pris en compte.
Ironie de l'Histoire, au moment où cette affaire a été étouffée par l'Autorité de sûreté française (en 2003), 15 réacteurs nucléaires japonais étaient fermés administrativement suite à la falsification par l'électricien TEPCO (propriétaire des réacteurs actuellement en perdition à Fukushima) de documents concernant la sûreté.
Il aurait fallu en faire de même, c'est à dire fermer au moins 32 réacteurs en France...
Il en est encore temps !
http://observ.nucleaire.free.fr/
On sait enfin aujourd'hui ce que l'on a ingurgité avec Tchernobyl !
C'est édifiant.
Voici la cartographie exacte heure par heure.Le lien ci-dessous vous permettra de vous faire une idée assez réaliste de ce qui nous est tombé dessus en ce printemps-là. Vous vous rappelez : le fameux nuage qui n'avait pas franchi nos frontière. Très impressionnant.
Cliquez sur le petit triangle blanc en bas a gauche du rectangle noir pour lancer l'animation : http://www.irsn.fr/FR/popup/Pages/tchernobyl_animation_nuage2.aspx
Les pectines. Le Vitapect est une boisson à base de pomme déshydratée vitaminée. Le matériau brut est constitué de pulpes compressées et séchées, sous produit de l’extraction industrielle du jus de pomme. Il est constitué de poudre de pectine et d’un mélange de 7 vitamines et de 3 micro-éléments (K, Zn, Se)
La particularité importante des préparations de pectine est de permettre l’élimination des radionucléides et des métaux lourds de l’organisme.
- En 1980 – 1981, le Comité d’experts pour les additifs alimentaires des Nations Unies a effectué des tests de pectines et a conclu (publication N° 16 datée de 1981) que les pectines ne sont pas toxiques, n’ont pas d’effets secondaires et peuvent être administrées tous les jours.
L’essai en double aveugle de l’efficacité de la pectine (lorsque les enfants consomment des aliments non contaminés) effectué au sanatorium « Serebryanye Klyuchi » en 2001 a montré que la prise de Vitapect-2 pendant 21 jours à la dose de 2 fois 10g/jour permettait de réduire les taux internes de Césium 137 de 63,7 %, la prise de placebo de 13% seulement.
- De 2001 à 2003, dans le cadre d’un projet international *, des cycles de mesures ont été effectués sur 1400 enfants dans 10 écoles (enfants de 13 villages) du district de Narovlya.
Ils ont reçu du Vitapect-2 5 fois et on a mesuré leur taux de Césium 137 par comptage de la radioactivité du corps entier (WBC) avant et après la prise. Le taux de Césium a été réduit de 3 à 5 fois.
- En 2006, le Ministère de la Santé du Bélarus a donné l’autorisation de mise sur le marché du Vitapect sous forme de poudre et de tablettes.
- Au début de 2007, le résultat des tests du département des Brevets du Bélarus a permis le dépôt de 2 brevets pour le Vitapect sous forme de poudre et de tablettes au bénéfice de l’Institut « Belrad ».
- En 2005, l’Institut « Belrad », en collaboration avec l’Université Technologique du Bélarus, a fabriqué un moulin mélangeur (PKD-1) qui a été installé au rez-de-chaussée de la Maison de Belrad. (fig 1)..
http://jpbachy.free.fr/Vitapect.htm
http://dictionnaire.sensagent.com/pectine/fr-fr/
Les pectines permettent l'élimination des métaux lourds radioactifs.
Notes et références
1. ↑ Flavour release from pectin gels: Effects of texture, molecular interactions and aroma compounds diffusion (REGA Barbara ; GUICHARD Elisabeth ; VOILLEY Andrée, in Sciences des aliments,2002, vol. 22, no3, pp. 235-248, 14 p. ISSN 0240-8813, (anglais) Fiche Inist
2. ↑ Directeur de l'institut indépendant de Radioprotection Belrad
3. ↑Article de Libération, du 8 mai 2004
4. ↑ V.B. Nesterenko et al, Reducing the 137Cs-load in the organism of « Chernobyl » children with apple-pectin, Swiss Med wkly, 134 (2004) p. 24
5. ↑ Bandazhevsky Y.I. Chronic Csl37 incorporation in children's organs, SMW 133: 488-490, 2004 www.SMW.ch / Bandajevsky Y.I. & Bandajevskaya G. revue de cardiologie française CARDINALE Tome XV, No 8 p 40-43, oct. 2003.
6. ↑ Association pour le Contrôle de la Radioactivité de l'Ouest, Laboratoire indépendant d'analyse de la radioactivité
7. ↑Page de l'ACRO consacrée à la pectine(dec 2004) : http://anti-fr2-cdsl-air-etc.over-blog.com/ext/http://r-sistons.over-blog.com/ext/http://www.acro.eu.org/pectine.html
8. ↑Fiche Inist ; Mise en évidence d'une évidence d'une activité pectine-lyase chez Bacillus subtilis (Pectin-lyase activity in Bacillus subtilis), Comptes rendus de l'Académie des sciences) : http://anti-fr2-cdsl-air-etc.over-blog.com/ext/http://r-sistons.over-blog.com/ext/http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=8676222
9. ↑Fiche Inist concernant une étude de l'université de Rouen : http://anti-fr2-cdsl-air-etc.over-blog.com/ext/http://r-sistons.over-blog.com/ext/http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=202313
Source : http://anti-fr2-cdsl-air-etc.over-blog.com/article-nucleaire-revelations-temoignage-eva-r-sistons-et-pectines-69665338.html
La CRIIRAD dénonce les dissimulations du département américain de l'énergie COLERE ET INDIGNATIONVOLET N°2 : Alors que les masses d’air contaminé ont été détectées en Islande, en Suède, en Finlande et en Allemagne, la CRIIRAD dénonce les dissimulations du Département de L’Energie des Etats-Unis 2.
Elle réitère son appel à se mobiliser afin sur tous les résultats d’analyse du réseau du CTBTO soient rendus publics. Les Etats qui s’y opposent doivent être identifiés. C’est par exemple le cas de la France. Chaque citoyen doit connaitre l’identité de ceux qui le privent d’informations fiables sur le niveau de radioactivité de l’air qu’il respire.
(...) le communiqué de la Criirad en pdf ici : http://bit.ly/i4rTwn
Pour visualiser l’animation ci-dessus montrant la détection de la contamination par les différentes stations de mesure au fur et à mesure de la progression des masses d’air contaminé, cliquer sur : http://bit.ly/hTxkQx
Source : http://www.scoop.it/t/tsunami-japon
FUKUSHIMA FUITES D'URANIUM et de PLUTONIUM évoquées par l'opérateur TEPCOJeudi 24 mars. 21H50. Dans une dépêche, reproduite intégralement ci-dessous, deux éléments retiennent notre attention :
1) Pour la première fois, est évoquée par TEPCO, l’opérateur de la centrale de Fukushima, l’idée d’une fuite d’uranium et de plutonium hors des réacteurs.
2) Est envisagée par l’opérateur une reprise ponctuelle de la « fission nucléaire ».
La dépêche d’agence ci-dessus, et que nous traduisons au fur et à mesure dans le texte ci-dessous est tombée sur le fil anglais de Kyodo news le mercredi 23 mars à 21h31 (heure de Tokyo), et a été reprise en partie dans une dépêche plus développée ce jeudi 24 mars (« Smoke disrupts nuke plant restoration work, radiation fears reach Tokyo »).
[Remarque: à défaut d’avoir assisté à l’éventuelle conférence de presse de l’opérateur TEPCo qui a donné lieu à cette dépêche ou d’avoir en mains l’éventuel document d’origine de l’opérateur qu’a pu se procurer l’agence de presse japonaise, nous traduirons pas à pas cette dépêche et en ferons le commentaire. ]
L’INFO ETONNANTE. Nous commençons par la fin de la dépêche : « Mais la mesure de cette émission de neutrons pourrait être une preuve que de l’uranium et du plutonium ont fuité des réacteurs nucléaires de la centrale et que les combustibles usagés ont émis une petite quantité de rayonnement neutronique lors d’une fission nucléaire ».
DECRYPTAGE : C’est la première fois, à notre connaissance, que l’opérateur de la centrale de Fukushima, TEPCO, envisage l’idée d’une fuite d’uranium et de plutonium hors des réacteurs. Comme nous l’avons réclamé par deux fois cette semaine dans ce blog, est enfin abordée (mais sans précisions pour l’instant) cette question cruciale pour la santé des populations et la pollution radioactive des alentours. En effet, s’ils ont fuité, où se trouvent (du moins en partie) l’uranium et les transuraniens (dont le plutonium) des réacteurs ? Sont-ils également sortis hors de la centrale ?
A noter que, selon la dépêche (phrase du milieu) « L’opérateur de la centrale a dit qu’il allait faire des mesures de l’uranium et du plutonium (…) ». Cette phrase demeure absconse en l’absence de précisions sur la nature de ces mesures : de leur émission radioactive ? De l’endroit et de l’état dans lesquels ils se trouvent… Cette dernière hypothèse semble difficile à imaginer. On se demande, par exemple, comment l’opérateur pourrait aller loger une caméra au sein du réacteur n°3 afin d’examiner le possible corium sur le fond de l’enceinte… et sans que l’appareillage en question ne soit affecté très vite par la très forte radioactivité ambiante.
A noter pour mémoire (1), s’ils ont fuité au-delà de la centrale, ces éléments viendront donc s’ajouter à ceux déjà abondamment évoqués ces derniers jours, à savoir l’Iode131 et les Césium134 et 137, éléments volatils retrouvés dans l’eau, le lait, les épinards, des brocolis etc. Et retrouvés aussi dans l’eau de mer, ce qui laisse augurer d’une contamination, au minimum locale, des poissons et coquillages. Une dépêche en urgent de Kyodo News, tombée à 14:58 (heure locale, soit 06 :58, heure de Paris) ce jeudi, mentionnait ainsi un taux d’iode radioactif « 147 fois plus fort [que la normale] dans l’eau de mer près de la centrale ».
DEUXIEME INFO ETONNANTE : est évoquée par l’opérateur la « fission nucléaire », autrement dit la reprise d’une réaction nucléaire dans le combustible. Nous évoquions hier (1) ces possibles « reprises de criticité », dans un corium (mélange de combustible et de métal fondus, après la fonte du cœur de réacteur devenu trop chaud, par perte du système refroidissement). L’opérateur semble ne pas l’envisager ici : « cet accident de criticité est encore à attendre à Fukushima». Il rappelle, en revanche, qu’un tel phénomène a bel et bien eu lieu, il y a douze ans au Japon et cela avait fait grand bruit : « dans une usine de retraitement de combustible, en 1999 à Tokaimura, préfecture d’Ibaraki, [où] de l’uranium n’a cessé de fissionner, relâchant un rayonnement massif de neutrons ». L’usine en question était pilotée par un autre opérateur nucléaire japonais, JCO Co, comme mentionné par la dépêche. En revanche, cette reprise de la criticité aurait eu lieu dans les barres de combustible usagé (lire immédiatement ci-dessous).
TITRE ETONNANT DE LA DEPECHE. Il annonce l’observation inattendue et répétée d’un « flux de neutrons » : « Rayonnement neutronique observé 13 fois près de la centrale ».
La dépêche se développant ainsi : « TEPCO a signalé mercredi qu’a été observé par 13 fois un rayonnement de neutrons, sorte de rayonnement radioactif, sur le site de la centrale de Fukushima Daiichi, endommagée après le désastre du 11 mars, séisme suivi d’un tsunami. Selon l’opérateur TEPCO de centrale nucléaire, ce rayonnement a été mesuré à environ 1,5 km dans la direction sud-ouest par rapport aux réacteurs 1 et 2, et a été observé pendant trois jours à partir du 13 mars, rayonnant de 0,01 à 0,02 microsieverts/h, ce qui ne représente pas un niveau dangereux. »
DECRYPTAGE PLAUSIBLE : Les barres de combustible usagé, mal refroidies à certains moments dans les piscines –découvertes pour cause de disparition du toit comme sur la piscine n°3 ou d’incendie comme sur la piscine n°4 et qu’il a fallu remplir d’urgence, soit avec des hélicoptères soit des canons à eau- ont émis des neutrons. Ces neutrons auraient formé des sortes de « nuage » pouvant monter dans l’atmosphère. Ils y auraient été en quelque sorte rabattus par l’air, le rayonnement pouvant alors se faire sentir jusqu’à 1,5 km de la source. Les spécialistes connaissent ce genre de phénomène appelé « effet de ciel » et qui peut se révéler dangereux (ici l’opérateur précise que la dose de 0,01 à 0,02 microsieverts/h demeurait faible). En effet, à cause de cet effet, le rayonnement peut se manifester à distance de la source et même, pour des raisons de physique fondamentale, s’y révéler plus intense que près de la source (vision contre-intuitive). L’événement se serait produit 13 fois, à partir du 13 mars.
EPILOGUE : On peut espérer qu’après ces premières annonces, l’opérateur va continuer de donner des précisions sur la dangerosité actuelle de l’uranium et des transuraniens.
1) http://sciencepourvousetmoi.blogs.nouvelobs.com/archive/2011/03/23/fukushima-suite-16-uranium-et-transuraniens.html
Source : http://sciencepourvousetmoi.blogs.nouvelobs.com/archive/2011/03/24/fukushima-suite-17-fuites-d-uranium-et-de-plutonium-evoquees.html
Synthèse des résultats des mesures de la radioactivité dans le cadre de la surveillance de l’impact à très longue distance des rejets de l’accident de Fukushima
(25 mars 2011 - 12h00) : http://www.irsn.fr/FR/Actualites_presse/Actualites/Documents/IRSN_Bulletin2_Bilan-surveillance-environnement-France_25032011.pdf
Nucléaire: l'UE renforce ses contrôles sur les aliments importés du Japon : http://www.lepoint.fr/monde/nucleaire-l-ue-renforce-ses-controles-sur-les-aliments-importes-du-japon-24-03-2011-1311137_24.php
Plus de 1.000 incidents nucléaires recensés en France en 2010 : http://www.rmc.fr/editorial/152648/plus-de-1-000-incidents-nucleaires-recenses-en-france-en-2010/
Animation sur les effets de la radioactivité sur la santé : http://www.tv5.org/TV5Site/info/afp/francais/animation/JapRadioactFR1603/start.swf
Animation Japon, chronique d'une catastrophe nucléaire : http://www.tv5.org/TV5Site/info/afp/francais/animation/JapanNucAnimFR2303/start.swf
Le nuage japonais suivi de près : http://www.ladepeche.fr/article/2011/03/24/1042550-Le-nuage-japonais-suivi-de-pres.html#xtor=RSS-6
Quels sont les risques attendus sur la France ? : http://www.criirad.org/actualites/dossier2011/japon/11_03_21_France_AIR.pdf
Evaluez/calculez votre dose reçue de rayonnement cosmique lors de vos déplacements en avion : http://www.sievert-system.org/WebMasters/fr/evaluation.html
Audit nucléaire en France : http://www.nordeclair.fr/France-Monde/France/2011/03/25/audit-nucleaire-en-france.shtml
France : aucune radioactivité anormale décelée : http://www.enviro2b.com/2011/03/25/france-aucune-radioactivite-anormale-decelee/
OBSERVATOIRE du NUCLEAIRE (organisme indépendant) : http://observ.nucleaire.free.fr/
Modélisation du déplacement du nuage radioactif issu de la centrale de Fukushima (21/03/2011) © TF1/LCI
Finissons avec un peu d'humour, comme toujours!