L'Observatoire du nucléaire révèle un véritable scandale : en 2003 (la situation est restée la même depuis), EDF a falsifié des données sismiques afin de s’éviter des travaux onéreux… et pourtant indispensables pour la sûreté des centrales nucléaires.
Il faut savoir que, si le risque sismique est moindre en France qu'au Japon, la résistance des centrales françaises est, elle aussi, moindre... donc le danger est le même. Chaque centrale est théoriquement dimensionnée par rapport au risque sismique qui la concerne. Nous disons bien "théoriquement"...
En effet, par un courrier du 17 juin 2003, diffusé aujourd'hui par l'Observatoire du nucléaire, l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a couvert EDF en lui donnant raison contre l’avis des experts de l'IRSN (Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire), tenus au silence.
Les données sont accablantes et concernent 32 des 58 réacteurs français :
- Chinon (Indre et Loire) : EDF a baissé d’office la valeur de l’intensité des séismes de référence. Il s’agit là d’une falsification aussi incroyable que grossière.
- Belleville (Cher) : EDF s’est autorisée à prendre comme référence un séisme datant de 1079 pour lequel il existe très peu de données, écartant le séisme de référence (de 1933) qui impliquait des mesures plus contraignantes.
- Blayais (Gironde) : les chiffres d’EDF sont trois fois moins contraignants que ceux de l’IRSN. Or André-Claude
Lacoste, directeur de l’Autorité de sûreté nucléaire donne raison à EDF sans se justifier. Idem pour Saint-Laurent des Eaux (Loir-et-Cher)
- Plus généralement, EDF a redéfini à sa manière les zones sismiques afin de ne pas avoir à tenir compte de certains séismes.
- Les centrales de Dampierre (Loiret), Bugey (Ain), Fessenheim (Haut-Rhin), Civaux (Vienne), Saint-Alban (Isère), Golfech (Tarn-et-Garonne), Nogent (Aube) et Chooz (Ardennes) également mises en cause.
Les documents que nous publions montrent que c'est par des actions de "lobbying" et de "contre-feux" ( http://lobying-edf-risque-sismique-nucleaire.pdf/ ) que EDF a pu contraindre l'ASN à lui donner raison au détriment des ingénieurs de l'IRSN.
C'est ainsi que EDF a économisé 1,9 milliards d'euros de travaux (http://cout-travaux-centrales-seismes.jpg/ ) de remise à niveau de ses centrales nucléaires par rapport au risque sismique, travaux qui auraient été obligatoires si les chiffres de l'IRSN avaient été pris en compte.
Ironie de l'Histoire, au moment où cette affaire a été étouffée par l'Autorité de sûreté française (en 2003), 15 réacteurs nucléaires japonais étaient fermés administrativement suite à la falsification par l'électricien TEPCO (propriétaire des réacteurs actuellement en perdition à Fukushima) de documents concernant la sûreté.
Il aurait fallu en faire de même, c'est à dire fermer au moins 32 réacteurs en France...
Il en est encore temps !
http://observ.nucleaire.free.fr/
On sait enfin aujourd'hui ce que l'on a ingurgité avec Tchernobyl ! C'est édifiant. Voici la cartographie exacte heure par heure.
Le lien ci-dessous vous permettra de vous faire une idée assez réaliste de ce qui nous est tombé dessus en ce printemps-là. Vous vous rappelez : le fameux nuage qui n'avait pas franchi nos frontière. Très impressionnant.
Cliquez sur le petit triangle blanc en bas a gauche du rectangle noir pour lancer l'animation : http://www.irsn.fr/FR/popup/Pages/tchernobyl_animation_nuage2.aspx
Les pectines.
Le Vitapect est une boisson à base de pomme déshydratée vitaminée. Le matériau brut est constitué de pulpes compressées et séchées, sous produit de l’extraction industrielle du jus de pomme. Il est constitué de poudre de pectine et d’un mélange de 7 vitamines et de 3 micro-éléments (K, Zn, Se)
La particularité importante des préparations de pectine est de permettre l’élimination des radionucléides et des métaux lourds de l’organisme.
- En 1980 – 1981, le Comité d’experts pour les additifs alimentaires des Nations Unies a effectué des tests de pectines et a conclu (publication N° 16 datée de 1981) que les pectines ne sont pas toxiques, n’ont pas d’effets secondaires et peuvent être administrées tous les jours.
L’essai en double aveugle de l’efficacité de la pectine (lorsque les enfants consomment des aliments non contaminés) effectué au sanatorium « Serebryanye Klyuchi » en 2001 a montré que la prise de Vitapect-2 pendant 21 jours à la dose de 2 fois 10g/jour permettait de réduire les taux internes de Césium 137 de 63,7 %, la prise de placebo de 13% seulement.
- De 2001 à 2003, dans le cadre d’un projet international *, des cycles de mesures ont été effectués sur 1400 enfants dans 10 écoles (enfants de 13 villages) du district de Narovlya.
Ils ont reçu du Vitapect-2 5 fois et on a mesuré leur taux de Césium 137 par comptage de la radioactivité du corps entier (WBC) avant et après la prise. Le taux de Césium a été réduit de 3 à 5 fois.
- En 2006, le Ministère de la Santé du Bélarus a donné l’autorisation de mise sur le marché du Vitapect sous forme de poudre et de tablettes.
- Au début de 2007, le résultat des tests du département des Brevets du Bélarus a permis le dépôt de 2 brevets pour le Vitapect sous forme de poudre et de tablettes au bénéfice de l’Institut « Belrad ».
- En 2005, l’Institut « Belrad », en collaboration avec l’Université Technologique du Bélarus, a fabriqué un moulin mélangeur (PKD-1) qui a été installé au rez-de-chaussée de la Maison de Belrad. (fig 1)..
http://jpbachy.free.fr/Vitapect.htm
http://dictionnaire.sensagent.com/pectine/fr-fr/
Les pectines permettent l'élimination des métaux lourds radioactifs.
Notes et références
1. ↑ Flavour release from pectin gels: Effects of texture, molecular interactions and aroma compounds diffusion (REGA Barbara ; GUICHARD Elisabeth ; VOILLEY Andrée, in Sciences des aliments,2002, vol. 22, no3, pp. 235-248, 14 p. ISSN 0240-8813, (anglais) Fiche Inist 2. ↑ Directeur de l'institut indépendant de Radioprotection Belrad 3. ↑Article de Libération, du 8 mai 2004 4. ↑ V.B. Nesterenko et al, Reducing the 137Cs-load in the organism of « Chernobyl » children with apple-pectin, Swiss Med wkly, 134 (2004) p. 24 5. ↑ Bandazhevsky Y.I. Chronic Csl37 incorporation in children's organs, SMW 133: 488-490, 2004 www.SMW.ch / Bandajevsky Y.I. & Bandajevskaya G. revue de cardiologie française CARDINALE Tome XV, No 8 p 40-43, oct. 2003. 6. ↑ Association pour le Contrôle de la Radioactivité de l'Ouest, Laboratoire indépendant d'analyse de la radioactivité 7. ↑Page de l'ACRO consacrée à la pectine(dec 2004) : http://anti-fr2-cdsl-air-etc.over-blog.com/ext/http://r-sistons.over-blog.com/ext/http://www.acro.eu.org/pectine.html 8. ↑Fiche Inist ; Mise en évidence d'une évidence d'une activité pectine-lyase chez Bacillus subtilis (Pectin-lyase activity in Bacillus subtilis), Comptes rendus de l'Académie des sciences) : http://anti-fr2-cdsl-air-etc.over-blog.com/ext/http://r-sistons.over-blog.com/ext/http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=8676222 9. ↑Fiche Inist concernant une étude de l'université de Rouen : http://anti-fr2-cdsl-air-etc.over-blog.com/ext/http://r-sistons.over-blog.com/ext/http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=202313
La CRIIRAD dénonce les dissimulations du département américain de l'énergie
COLERE ET INDIGNATION
VOLET N°2 : Alors que les masses d’air contaminé ont été détectées en Islande, en Suède, en Finlande et en Allemagne, la CRIIRAD dénonce les dissimulations du Département de L’Energie des Etats-Unis 2.
Elle réitère son appel à se mobiliser afin sur tous les résultats d’analyse du réseau du CTBTO soient rendus publics. Les Etats qui s’y opposent doivent être identifiés. C’est par exemple le cas de la France. Chaque citoyen doit connaitre l’identité de ceux qui le privent d’informations fiables sur le niveau de radioactivité de l’air qu’il respire. (...) le communiqué de la Criirad en pdf ici : http://bit.ly/i4rTwn
Pour visualiser l’animation ci-dessus montrant la détection de la contamination par les différentes stations de mesure au fur et à mesure de la progression des masses d’air contaminé, cliquer sur : http://bit.ly/hTxkQx
Source : http://www.scoop.it/t/tsunami-japon
FUKUSHIMA FUITES D'URANIUM et de PLUTONIUM évoquées par l'opérateur TEPCO
Jeudi 24 mars. 21H50. Dans une dépêche, reproduite intégralement ci-dessous, deux éléments retiennent notre attention :
1) Pour la première fois, est évoquée par TEPCO, l’opérateur de la centrale de Fukushima, l’idée d’une fuite d’uranium et de plutonium hors des réacteurs.
2) Est envisagée par l’opérateur une reprise ponctuelle de la « fission nucléaire ».
La dépêche d’agence ci-dessus, et que nous traduisons au fur et à mesure dans le texte ci-dessous est tombée sur le fil anglais de Kyodo news le mercredi 23 mars à 21h31 (heure de Tokyo), et a été reprise en partie dans une dépêche plus développée ce jeudi 24 mars (« Smoke disrupts nuke plant restoration work, radiation fears reach Tokyo »).
[Remarque: à défaut d’avoir assisté à l’éventuelle conférence de presse de l’opérateur TEPCo qui a donné lieu à cette dépêche ou d’avoir en mains l’éventuel document d’origine de l’opérateur qu’a pu se procurer l’agence de presse japonaise, nous traduirons pas à pas cette dépêche et en ferons le commentaire. ]
L’INFO ETONNANTE. Nous commençons par la fin de la dépêche : « Mais la mesure de cette émission de neutrons pourrait être une preuve que de l’uranium et du plutonium ont fuité des réacteurs nucléaires de la centrale et que les combustibles usagés ont émis une petite quantité de rayonnement neutronique lors d’une fission nucléaire ».
DECRYPTAGE : C’est la première fois, à notre connaissance, que l’opérateur de la centrale de Fukushima, TEPCO, envisage l’idée d’une fuite d’uranium et de plutonium hors des réacteurs. Comme nous l’avons réclamé par deux fois cette semaine dans ce blog, est enfin abordée (mais sans précisions pour l’instant) cette question cruciale pour la santé des populations et la pollution radioactive des alentours. En effet, s’ils ont fuité, où se trouvent (du moins en partie) l’uranium et les transuraniens (dont le plutonium) des réacteurs ? Sont-ils également sortis hors de la centrale ?
A noter que, selon la dépêche (phrase du milieu) « L’opérateur de la centrale a dit qu’il allait faire des mesures de l’uranium et du plutonium (…) ». Cette phrase demeure absconse en l’absence de précisions sur la nature de ces mesures : de leur émission radioactive ? De l’endroit et de l’état dans lesquels ils se trouvent… Cette dernière hypothèse semble difficile à imaginer. On se demande, par exemple, comment l’opérateur pourrait aller loger une caméra au sein du réacteur n°3 afin d’examiner le possible corium sur le fond de l’enceinte… et sans que l’appareillage en question ne soit affecté très vite par la très forte radioactivité ambiante.
A noter pour mémoire (1), s’ils ont fuité au-delà de la centrale, ces éléments viendront donc s’ajouter à ceux déjà abondamment évoqués ces derniers jours, à savoir l’Iode131 et les Césium134 et 137, éléments volatils retrouvés dans l’eau, le lait, les épinards, des brocolis etc. Et retrouvés aussi dans l’eau de mer, ce qui laisse augurer d’une contamination, au minimum locale, des poissons et coquillages. Une dépêche en urgent de Kyodo News, tombée à 14:58 (heure locale, soit 06 :58, heure de Paris) ce jeudi, mentionnait ainsi un taux d’iode radioactif « 147 fois plus fort [que la normale] dans l’eau de mer près de la centrale ».
DEUXIEME INFO ETONNANTE : est évoquée par l’opérateur la « fission nucléaire », autrement dit la reprise d’une réaction nucléaire dans le combustible. Nous évoquions hier (1) ces possibles « reprises de criticité », dans un corium (mélange de combustible et de métal fondus, après la fonte du cœur de réacteur devenu trop chaud, par perte du système refroidissement). L’opérateur semble ne pas l’envisager ici : « cet accident de criticité est encore à attendre à Fukushima». Il rappelle, en revanche, qu’un tel phénomène a bel et bien eu lieu, il y a douze ans au Japon et cela avait fait grand bruit : « dans une usine de retraitement de combustible, en 1999 à Tokaimura, préfecture d’Ibaraki, [où] de l’uranium n’a cessé de fissionner, relâchant un rayonnement massif de neutrons ». L’usine en question était pilotée par un autre opérateur nucléaire japonais, JCO Co, comme mentionné par la dépêche. En revanche, cette reprise de la criticité aurait eu lieu dans les barres de combustible usagé (lire immédiatement ci-dessous).
TITRE ETONNANT DE LA DEPECHE. Il annonce l’observation inattendue et répétée d’un « flux de neutrons » : « Rayonnement neutronique observé 13 fois près de la centrale ».
La dépêche se développant ainsi : « TEPCO a signalé mercredi qu’a été observé par 13 fois un rayonnement de neutrons, sorte de rayonnement radioactif, sur le site de la centrale de Fukushima Daiichi, endommagée après le désastre du 11 mars, séisme suivi d’un tsunami. Selon l’opérateur TEPCO de centrale nucléaire, ce rayonnement a été mesuré à environ 1,5 km dans la direction sud-ouest par rapport aux réacteurs 1 et 2, et a été observé pendant trois jours à partir du 13 mars, rayonnant de 0,01 à 0,02 microsieverts/h, ce qui ne représente pas un niveau dangereux. »
DECRYPTAGE PLAUSIBLE : Les barres de combustible usagé, mal refroidies à certains moments dans les piscines –découvertes pour cause de disparition du toit comme sur la piscine n°3 ou d’incendie comme sur la piscine n°4 et qu’il a fallu remplir d’urgence, soit avec des hélicoptères soit des canons à eau- ont émis des neutrons. Ces neutrons auraient formé des sortes de « nuage » pouvant monter dans l’atmosphère. Ils y auraient été en quelque sorte rabattus par l’air, le rayonnement pouvant alors se faire sentir jusqu’à 1,5 km de la source. Les spécialistes connaissent ce genre de phénomène appelé « effet de ciel » et qui peut se révéler dangereux (ici l’opérateur précise que la dose de 0,01 à 0,02 microsieverts/h demeurait faible). En effet, à cause de cet effet, le rayonnement peut se manifester à distance de la source et même, pour des raisons de physique fondamentale, s’y révéler plus intense que près de la source (vision contre-intuitive). L’événement se serait produit 13 fois, à partir du 13 mars.
EPILOGUE : On peut espérer qu’après ces premières annonces, l’opérateur va continuer de donner des précisions sur la dangerosité actuelle de l’uranium et des transuraniens.
Synthèse des résultats des mesures de la radioactivité dans le cadre de la surveillance de l’impact à très longue distance des rejets de l’accident de Fukushima (25 mars 2011 - 12h00) : http://www.irsn.fr/FR/Actualites_presse/Actualites/Documents/IRSN_Bulletin2_Bilan-surveillance-environnement-France_25032011.pdf
Nucléaire: l'UE renforce ses contrôles sur les aliments importés du Japon : http://www.lepoint.fr/monde/nucleaire-l-ue-renforce-ses-controles-sur-les-aliments-importes-du-japon-24-03-2011-1311137_24.php
Plus de 1.000 incidents nucléaires recensés en France en 2010 : http://www.rmc.fr/editorial/152648/plus-de-1-000-incidents-nucleaires-recenses-en-france-en-2010/
Animation sur les effets de la radioactivité sur la santé : http://www.tv5.org/TV5Site/info/afp/francais/animation/JapRadioactFR1603/start.swf
Animation Japon, chronique d'une catastrophe nucléaire : http://www.tv5.org/TV5Site/info/afp/francais/animation/JapanNucAnimFR2303/start.swf
Le nuage japonais suivi de près : http://www.ladepeche.fr/article/2011/03/24/1042550-Le-nuage-japonais-suivi-de-pres.html#xtor=RSS-6
Quels sont les risques attendus sur la France ? : http://www.criirad.org/actualites/dossier2011/japon/11_03_21_France_AIR.pdf
Evaluez/calculez votre dose reçue de rayonnement cosmique lors de vos déplacements en avion : http://www.sievert-system.org/WebMasters/fr/evaluation.html
Audit nucléaire en France : http://www.nordeclair.fr/France-Monde/France/2011/03/25/audit-nucleaire-en-france.shtml
France : aucune radioactivité anormale décelée : http://www.enviro2b.com/2011/03/25/france-aucune-radioactivite-anormale-decelee/
OBSERVATOIRE du NUCLEAIRE (organisme indépendant) : http://observ.nucleaire.free.fr/
Dernière édition par geoff78 le Lun 19 Sep 2011 - 10:18, édité 1 fois
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Markosamo
Messages : 948 Date d'inscription : 26/01/2011
Sujet: Re: Dossier sur la catastrophe nucléaire au Japon : articles, infos, cartes et schémas. Jeu 31 Mar 2011 - 12:46
un texte de Anne Givaudan, qui date de 2006 :
Les effets de la radioactivité sur nos corps subtils.
« La désintégration de l'atome agit sur les corps subtils, et c'est pour cette raison qu'il n'y aura sans doute pas de guerre atomique générale, car les êtres des autres planètes interviendront avant que cela n'arrive. Non pas pour nous sauver, car nous sommes responsables de nos histoires de Terriens, mais parce que toute désintégration de l'atome perturbe grandement les plans subtils et que cette perturbation se répercute en vagues nocives sur les autres planètes et sur les autres plans d'existence.
Les personnes qui sont mortes à cause de la bombe atomique doivent être "réparées" sur les plans subtils de leur être, et certaines d'entre elles, réincarnées aujourd'hui, souffrent plus que les autres de perturbations dues aux ondes émises, par exemple, par les téléphones portables, car leurs corps ne sont pas encore complètement consolidés et que leurs protections ne sont pas efficaces. Donc, il est vrai que le nucléaire rend les incarnations plus douloureuses.
Ceci dit, personne ne peut être "rayé de la Carte de la Vie" à cause d'une irradiation nucléaire. Le fait que l'enveloppe aurique soit endommagée, voire anéantie, ne peut en aucun cas détruire la substance même d'un être, car elle est par essence éternelle et indestructible.
Il arrive qu'après un cycle de 25.000 ans, un être qui n'a pas évolué soit "refondu" et reprenne son existence à l'état de minéral, mais c'est là une toute autre histoire... »
geoff78
Messages : 4426 Date d'inscription : 02/05/2009 Age : 39 Localisation : Partout
Sujet: Re: Dossier sur la catastrophe nucléaire au Japon : articles, infos, cartes et schémas. Jeu 31 Mar 2011 - 15:12
Geoff78 : Afin de vous aider à prévenir toute contamination radioactive provenant du Japon, j'ai eu l'idée de vous trouver l'indicatif Japonais des codes-barres afin que vous puissiez identifier les articles provenant du pays du soleil levant.
L'indicatif national : Selon les pays bloque 1 ou 2 chiffres (voir tableau ci-dessous ). Il indique le pays dans lequel l'article est codifié, donc pas forcément celui où il a été fabriqué.
Le code fabricant : Il est attribué en France par GENCOD qui est l'organisme de codification dans notre pays.
Le code article : Il est choisi librement par le fabricant.
Nous n'étudierons que le système de codage EAN-13 (EAN = European Article Numbering) qui est le système le plus couramment utilisé. C'est le système standard au niveau européen depuis 1997 et il est utilisé dans le monde entier. Il existe de nombreux autres types de code barres qui ont tous un principe de fonctionnement similaire : le codage en binaire d'une série de chiffres.
>Dans ce système, le code barre représente le codage en binaire de 13 chiffres qui permettent d'identifier un produit.
>Les trois premiers chiffres indiquent le pays duquel l'article provient : de 300 à 379 pour la France, 760 à 769 pour la Suisse, 500 à 509 pour l'Angleterre...
>Les chiffres, du 3ième chiffre (le dernier de l'indicatif pays) au 7ième chiffre, indiquent le fabricant dans ce pays, ce qui permet jusqu'à 99 999 possibilités.
>Les chiffres, du 8ième à 12ième chiffre, indiquent le produit du fabricant en question, soit 99 999 produits possibles pour chaque fabricant.
>Le treizième chiffre correspond à une clé de contrôle qui sert à valider le code barre (notamment utilisé par les lecteurs pour vérifier la validité du code barres).
Indicatifs pays :
450 - 459 & 490 - 499 Japan 300 - 379 France ( nutella...) 729 Israel (fruits, légumes, machine sodaclub) 870 - 879 Netherlands (surtout sur les cigarettes)
Ainsi, par exemple, les fournisseurs japonais du Super Store disposent d'usines dans d'autres pays d'Asie tels que la Thaïlande, Taiwan ou encore la Chine.
De son côté, l'importateur de produits alimentaires Zinafood n'a remarqué aucune conséquence de la catastrophe japonaise sur ses ventes.
En France, la situation est identique. En effet, aucune baisse de la clientèle n'a a priori été constatée chez Foodex, le plus gros distributeur de produits japonais du pays. La direction n'a pas souhaité donner davantage d'informations.
Liste des autorisations européennes des États membres relatives aux denrées et ingrédiants alimentaires pouvant être soumis à un traitement par ionisation : http://www.bioweight.com/ioniser.html
Irradiation des aliments en France (faîtes-vous peur!) : http://www.irradiation-aliments.org/IMG/pdf/Liste_aliments_irrad.pdf
Articles en relation avec « SANTE-RADIOACTIVITE-FRUIT-LAIT-POISSON - Japon : la peur... » : http://www.alvinet.com/actualite/article-8239462-sante-radioactivite-fruit-lait-poisson-japon-la-peur-des-aliments-irradies.html
Nucléaire La France va renforcer la sûreté de ses centrales : http://lequotidien.lefigaro.fr/epaper/viewer.aspx
geoff78
Messages : 4426 Date d'inscription : 02/05/2009 Age : 39 Localisation : Partout
Sujet: Re: Dossier sur la catastrophe nucléaire au Japon : articles, infos, cartes et schémas. Ven 1 Avr 2011 - 14:24
Branle-bas de combat pour sauver Fukushima et l'humanité
Le Premier ministre japonais Naoto Kan a assuré ce mardi que le gouvernement était "en alerte maximum" pour éviter que la centrale accidentée de Fukushima ne provoque une catastrophe écologique, après la découverte de plutonium dans le sol et de radioactivité dans l'eau de mer. AFP
La communauté internationale doit agir au plus vite afin d'empêcher l'évaporation en quantité immense de particules radioactives de la centrale de Fukushima.
L'heure est très grave. Un scénario mettant en cause l'intégrité à moyen terme de l'humanité ne peut plus être exclu. Si les cuves ou les piscines stockant les combustibles irradiés des réacteurs de Fukushima cèdent sous l'effet de la chaleur, d'une explosion ou d'une réplique sismique, on verra se dégager, sous forme liquide ou gazeuse, dans la mer, dans l'air ou en sous-sol, des quantités immenses de matériaux radioactifs. Et même, s'il s'agit de l'enceinte de confinement du troisième réacteur, des quantités considérables de plutonium. Avec, alors, des conséquences certaines sur la contamination d'une partie du Japon, devenant largement inhabitable; et avec d'autres implications, moins certaines, sur la contamination de la planète entière.
Tout cela parce que les autorités nucléaires japonaises ont, pour des raisons de pure rentabilité financière, construit cette centrale là où il ne le fallait pas et refusé d'y installer toutes les sécurités qui leur avaient été proposées. Et parce que, depuis le début de la catastrophe, ces mêmes autorités ont accumulé erreur sur erreur dans la gestion des secours, laissant des jours durant les réacteurs sans refroidissement, causant des dommages irréparables aux systèmes de protection encore intacts et, par un mélange d'orgueil et de goût du secret, refusant longtemps l'aide internationale et ne communiquant pas la réalité de ce qu'ils savaient sans doute être, depuis le début, une catastrophe méritant une mobilisation planétaire.
En agissant ainsi, ces autorités ont d'abord mis en danger le magnifique peuple japonais, qu'ils ont sous-informé; et en particulier des travailleurs, mal payés, employés à des tâches extrêmement dangereuses, pour lesquelles ils n'étaient pas formés. Désormais, afin de ne pas avouer qu'ils ont menti, ces mêmes responsables refusent la coopération des spécialistes étrangers; et c'est la planète tout entière qu'ils mettent en danger.
Il est ahurissant que la "communauté internationale", désormais (et c'est heureux) si prompte à réagir, à s'indigner à la moindre violation des droits de l'homme, reste, dans ce cas, totalement impavide: on demande poliment aux responsables japonais ce qu'ils font; on n'insiste pas lorsqu'ils refusent notre aide; on évacue nos ressortissants; on fait des communiqués lénifiants. Pour ne pas paniquer les populations. Pour sauver l'industrie nucléaire. Pour dormir encore quelques jours tranquilles.
Tout cela est absurde. L'industrie nucléaire ne pourra être, éventuellement, sauvée que si cette catastrophe est enrayée au plus vite. Il faut donc d'urgence mettre en place un consortium mondial de toutes les compétences. Il faut que nos amis japonais acceptent au plus vite la venue sur place des meilleurs spécialistes mondiaux de la gestion de l'après-accident. Ce qui sera, d'ailleurs, le seul moyen de savoir ce qui se passe vraiment à l'intérieur de cette centrale. Sans attendre les conclusions de ces spécialistes, il faut, d'ores et déjà, envoyer sur place, par avion, tous les hélicoptères, lances à incendie, robots, bétonneuses qu'on pourra trouver pour organiser un confinement efficace de ces réacteurs et mettre fin à ce désastre. Il n'est plus temps de s'interroger sur le droit ou le devoir d'ingérence. Mais d'agir.
San Francisco: le taux d’iode radioactif -131 de la pluie 18 100% supérieur à la norme de l’eau potable du gouvernement fédéral : http://lesmoutonsenrages.wordpress.com/2011/04/01/san-francisco-le-taux-diode-radioactif-131-de-la-pluie-18-100-superieur-a-la-norme-de-leau-potable-du-gouvernement-federal/
Liberta
Messages : 228 Date d'inscription : 10/02/2011
Sujet: Re: Dossier sur la catastrophe nucléaire au Japon : articles, infos, cartes et schémas. Ven 1 Avr 2011 - 16:32
Une bataille de cent ans nécessitant des liquidateurs suicidaires se prépare à Fukushima
Natural News, Mike Adams, 1er avril 2011
À Fukushima, les tribulations s'aggravent toujours. Voici les plus importantes évolutions de la journée :
- Selon un expert en nucléaire, il faudra 50 à 100 ans avant que les barres irradiées de Fukushima soient suffisamment froides pour être retirées du site. Pendant ce temps-là, il faudra continuer à inonder le combustible, et cela crée de l'eau hautement radioactive qui est rejetée directement dans l'océan. Voilà pourquoi nous envisageons désormais l’éventualité d'une fuite radioactive perdurant un siècle.
- Sous la centrale nucléaire de Fukushima, la nappe phréatique affiche désormais 10.000 fois le niveau de radioactivité normalement admis par les autorités. Ça provient de l'iode-131 détecté à 15 mètres en-dessous de l'un des réacteurs.
- Vous avez sans doute déjà entendu dire que le recours à des robots a été tenté pour aider la résolution du cataclysme de Fukushima, mais ces efforts ont échoué. En outre, qui a besoin de robots quand on peut tout bonnement payer des hommes pour faire le même job mortel ? Reuters rapporte aujourd’hui qu’une entreprise zunienne recrute des employés zuniens pour aller à Fukushima et travailler là-bas dans l'équipe qui s’échine à sauver les réacteurs. Pourquoi quelqu’un approuverait de faire un truc pareil ? Parce que, si vous pouvez les croire, ils ont promis de payer un supplément. Vous devez naturellement vous demander comment des gens peuvent s’imaginer qu'ils dépenseront toute cette rallonge de fric s’ils sont à moitié clamsés, contaminés par les radiations. Oui mais, en étant payés une roupie pour chaque millirem de rayonnement absorbé, ils pourraient bientôt être les nouveaux millionnaires de Fukushima !
- La plus grande bétonnière du monde navigue vers le Japon pour participer à un plan qui ne peut être que le début de l'abdication totale à Fukushima. Le besoin d’amener une grande quantité de béton s’explique uniquement par l’ensevelissement de la centrale sous un sarcophage géant, comme à Tchernobyl. Mais qui continuera à pulvériser de l’eau sur les barres de combustible nucléaire pendant ce temps-là ? (Personne ne sait...)
- À cause des joyeusetés à Fukushima, Tokyo connaîtra des pannes d'électricité pendant tout l'été. Le courant a été réduit d'environ 20 pour cent à Tokyo à cause du désastre de Fukushima.
- Les liquidateurs de Fukushima, qui tentent désespérément de reprendre le contrôle des réacteurs, disent s'attendre à claboter du fait de l'exposition répétée à des radiations extrêmement scrogneugneuses. Ah ! Sauf que des contradicteurs racontent que le rayonnement à Fukushima est sans danger et que personne n'a même été esquinté par lui ! (Sérieusement...)
- Souvenez-vous que les autorités sanitaires beuglent depuis des lustres que s'exposer au Soleil est potentiellement mortel à cause de ses rayons. Et on nous raconte maintenant que les retombées de Fukushimasont sont totalement inoffensives ! Penser que le danger ne vient que du Soleil, pas de la fusion des barres de combustible nucléaire. Ça vous va comme politique de santé publique ?
80% des travailleurs du nucléaire au Japon sont en fait des sous-traitants, recrutés parmi les couches les plus paupérisées de la population japonaise. Enquête sur les "gitans du nucléaire".
En plus d'une forte radioactivité qui les condamne à mort à brève échéance, les quelques 500 liquidateurs de Fukushima doivent travailler dans des conditions atroces et inhumaines. Ils recevraient seulement deux repas par jour, des biscuits le matin et du riz le soir, un maximum d'un litre et demi d'eau par personne, et dormiraient sur des nattes de plomb, à même le sol. Dans ces conditions, un patron confiait au journal Asahi qu'il ne pensait plus "pouvoir trouver d'autres salariés qui accepteraient d'y aller." Dans le journal tokyoïte Tokyo Shimbun, un ancien travailleur sous-traitant de Fukushima Daiichi ne cache pas sa colère au sujet des trois ouvriers contaminés aux jambes. Sur les trois irradiés, deux n'étaient même pas chaussés de bottes. Qui sont ces travailleurs du nucléaire et comment sont-ils recrutés?
Bien que les centrales possèdent leurs propres employés, environ 80% des travailleurs du nucléaire au Japon sont en fait des sous-traitants, recrutés parmi les couches les plus paupérisées de la population japonaise. Ces travailleurs pauvres et non qualifiés effectuent pour quelques jours, parfois quelques semaines, les tâches les plus dangereuses au coeur des centrales nucléaires. Parce qu'ils se déplacent de centrale en centrale, on les appelle au Japon les "gitans du nucléaire" (genpatsu jipushi), du nom d'un livre de Kunio Horie publié en 1984.
Invité Invité
Sujet: Re: Dossier sur la catastrophe nucléaire au Japon : articles, infos, cartes et schémas. Dim 3 Avr 2011 - 21:37
Bonjour
Je viens de voir un article sur http://www.boursorama.com/forum-gold-index-eu-releve-les-seuils-de-radioactivite-407493250-1 et je n'arrive pas à savoir si c'est exacte est-ce que vous auriez des informations
EU releve les seuils de radioactivité 30/03/2011 à 12:03 Le 25.3 l'UE a pondu une directive 297/2011 pour relever la dose de radiation maximale autorisée pour les produits alimentaires venant du Japon. La dose maximale de 370 (nourriture pour enfants et produits laitier) ou 600 becquerels/kg (autres produits) a été relevée à 400 (enfants) resp. 1.000 (produits laitiers) et 1.250 bq/kg (autres). Certains produits comme l'huile de poisson et les épices peuvent maintenant même dépasser 12.500 bq/kg, soit 20 fois la dose autorisée jusqu'à maintenant.
Cette nouvelle idée de l'UE pour nous empoisonner est basée sur la directive 3954/1987, née des conséquences de Tchernobyl. Le but de cette directive est d'assurer l'alimentation de la population en cas d'accident nucléaire.
Ils ont donc réagi très vite à Fukushima et complètement à coté de la plaque: L'alimentation des européens n'est aucunement menacée par l'accident japonais, les produits japonais ne jouant pas un rôle décisif.
Invité Invité
Sujet: Re: Dossier sur la catastrophe nucléaire au Japon : articles, infos, cartes et schémas. Jeu 7 Avr 2011 - 7:28
Quelques nouvelles du jour, ce matin à 8:03 (pas facile à trouver, par exemple, où en est-on au niveau des radiations dans le monde, et aussi en France ?) :
lors que le Japon se débat toujours avec l'accident de la centrale nucléaire de Fukushima, les pays asiatiques voisins guettent avec plus ou moins d'inquiétude des traces de radioactivité. Les autorités chinoises ont ainsi détecté une très faible présence d'iode radioactif 131 sur des épinards, mais affirment que le niveau de contamination ne pose aucun risque pour la santé humaine. Ces traces ont été relevées sur des légumes cultivés en plein air dans les régions de Pékin et de Tianjin ainsi que dans la province du Henan. De récentes pluies ont provoqué une accumulation de particules radioactives sur les feuilles des épinards, d'après le ministère chinois de la Santé qui affirme "qu'il a été prouvé que laver les épinards à l'eau peut efficacement enlever les substances radioactives".
En Corée du Sud en revanche, le ton est plus alarmiste : de nombreuses écoles sont fermées, afin de répondre aux craintes de parents face à ces fameuses pluies qui pourraient contenir des éléments radioactifs. Alors que la pluie tombait sur la région, plus de 130 écoles primaires et maternelles de la province de Gyeonggi, autour de la capitale Séoul, ont été fermées pour la journée, sur décision du bureau provincial de l'éducation. La veille déjà, le bureau avait demandé d'annuler ou de réduire la durée de la classe en raison de "l'anxiété grandissante parmi les parents et les élèves".
Opération "d'inertage" en cours
Si cette radioactivité n'existe, sur le continent asiatique, que sous forme d'infimes traces, elle est nettement plus préoccupante dans le voisinage immédiat de la centrale et tout particulièrement en mer. Si aucune nouvelle fuite d'eau des réacteurs dans l'océan tout proche n'a été constatée depuis le colmatage d'une brèche, le risque de contamination de l'environnement marin n'est pas pour autant écarté. Les opérations de rejet volontaire en mer de 11.500 tonnes d'une eau qualifiée de "faiblement radioactive" par Tepco se poursuivent, pour la quatrième journée consécutive, en face de la centrale. L'évacuation de cette eau dans l'océan, où les radioéléments sont censés se diluer, est nécessaire afin de libérer des cuves de stockage destinées à être remplies d'eau hautement radioactive qui s'est accumulée dans les installations et les galeries techniques des réacteurs 2 et 3.
Cette eau polluée contient notamment de l'iode 131, dont la radioactivité se réduit de moitié tous les huit jours, et surtout du césium 137, qui lui reste actif pendant des décennies. Or les produits de la mer sont la base de la nourriture japonaise et les Japonais, très exigeants sur la sûreté alimentaire, risquent de ne plus en consommer s'il y a un risque pour la santé. "Le problème le plus important est la concentration élevée de césium le long des côtes où l'eau contaminée est déversée", explique Masayoshi Yamamoto, professeur de radiologie de l'université de Kanazawa. "Les petits poissons qui vivent près de la côte, comme les sardines ou les maquereaux, ainsi que les mollusques, risquent d'en absorber. Les substances radioactives pourraient également se déposer au fond de la mer où les poissons cherchent leur nourriture".
L'atmosphère n'est pas épargnée : des volutes de fumée blanche, probablement de la vapeur d'eau radioactive, continuent de s'échapper de trois des quatre réacteurs endommagés. Les barres de combustible dans le coeur du réacteur et dans les piscines de refroidissement doivent être arrosées jour et nuit à l'aide de pompes de secours en attendant que l'alimentation électrique et les circuits de refroidissement soient rétablis. Et pour prévenir un risque persistant d'explosion du bâtiment du réacteur n°1, où l'hydrogène s'est accumulé en quantité préoccupante, les techniciens de la centrale ont commencé ce jeudi à injecter de l'azote. Les deux premières explosions survenues les 12 et 14 mars avaient précisément été provoquées par l'accumulation d'un mélange hydrogène-oxygène. Mais l'opérateur Tepco se veut rassurant sur les premiers résultats de ses injections d'azote, qui est censé remplacer l'oxygène de l'air dans la zone menacée et écarter ainsi tout risque de déflagration : "le niveau de la pression a augmenté et ils ont confirmé que le gaz avait bien pénétré dans le réacteur", a indiqué un porte-parole de Tepco. Cette opération "d'inertage" devrait durer six jours pour un total de 6000 m3 d'azote injecté, selon Tepco, qui envisage de l'appliquer également aux réacteurs 2 et 3 dans les prochains jours.
geoff78
Messages : 4426 Date d'inscription : 02/05/2009 Age : 39 Localisation : Partout
Sujet: Re: Dossier sur la catastrophe nucléaire au Japon : articles, infos, cartes et schémas. Jeu 7 Avr 2011 - 11:20
Je me souviens que quelqu'un avait proposé de l'azote liquide comme solution pour colmater la brèche, et bien c'est chose faîte!
Le Japon utilise de l'azote pour éviter une explosion à Fukushima.
Les techniciens de la centrale nucléaire de Fukushima (nord-est du Japon) ont commencé, jeudi 7 avril, à injecter de l'azote pour éviter une explosion dans un réacteur endommagé et empêcher une aggravation de l'accident nucléaire le plus important depuis Tchernobyl il y a 25 ans.
Le président de la société Tokyo Electric Power Company (Tepco), exploitant de la centrale nucléaire de Fukushima endommagée par le séisme et le tsunami du 11 mars au Japon, a repris le travail. Masataka Shimizu avait été hospitalisé, en mars dernier, pour surmenage. Mais il revient sur le devant de la scène dans un contexte toujours aussi délicat.
Près de quatre semaines après le terrible séisme et surtout le tsunami géant qui a dévasté la côte Pacifique au nord-est de Tokyo, la crise à Fukushima Dai-Ichi est loin d'être réglée. Des volutes de fumée blanche, probablement de la vapeur d'eau radioactive, continuent de s'échapper de trois des quatre réacteurs accidentés. Les barres de combustible dans le cœur du réacteur et dans les piscines de refroidissement doivent être arrosées jour et nuit à l'aide de pompes de secours en attendant que l'alimentation électrique et les circuits de refroidissement soient rétablis.
INJECTION D'AZOTE PENDANT SIX JOURS
Afin d'empêcher toute nouvelle explosion sur le site, Tepco a décidé d'injecter préventivement de l'azote dans le réacteur 1, dans lequel de l'hydrogène s'est accumulé en quantité importante. Les deux premières déflagrations, survenues les 12 et 14 mars au niveau des réacteurs 1 et 3, avaient en effet été provoquées par le contact de ce gaz avec l'oxygène. Inerte, l'azote est régulièrement utilisé dans les zones de stockage sensibles pour faire chuter le taux d'oxygène dans l'air et remplacer ainsi une partie de l'atmosphère.
Cette opération "d'inertage" devrait durer six jours pour un total de 6 000 m3 d'azote injecté, selon Tepco, qui envisage d'appliquer le même traitement aux réacteurs 2 et 3 dans les prochains jours.
REJETS VOLONTAIRES D'EAU FAIBLEMENT RADIOACTIVE
Aucune nouvelle fuite d'eau des réacteurs dans l'océan tout proche n'a été constatée, a indiqué, jeudi, l'Agence de sûreté nucléaire, après le comblement réussi d'une brèche dans une fosse par laquelle s'échappait de l'eau hautement radioactive. Mais le risque de contamination de l'environnement marin n'est pas pour autant écarté, soulignent les experts.
Les rejets volontaires en mer de 11 500 tonnes d'eau faiblement radioactive, selon Tepco, se poursuivaient pour la quatrième journée consécutive, en face de la centrale. L'évacuation de cette eau dans l'océan, où les radioéléments sont censés se diluer, est nécessaire afin de libérer des cuves de stockage destinées à être remplies d'eau hautement radioactive. Celle-ci s'est accumulée dans les installations et les galeries techniques des réacteurs 2 et 3.
Cette eau polluée contient notamment de l'iode 131, dont la radioactivité se réduit de moitié tous les huit jours, et surtout du césium 137, qui lui reste actif pendant des décennies. Or, les produits de la mer sont la base de la nourriture japonaise et les Japonais, très exigeants sur la sûreté alimentaire, risquent de ne plus en consommer s'il y a un risque pour la santé.
Plus de 130 écoles fermées en Corée du Sud par peur des pluies radioactives
Alors que la pluie tombait sur la province de Gyeonggi, autour de la capitale sud-coréenne Séoul, plus de 130 écoles primaires ont été fermées pour la journée du jeudi 7 avril. Cette décision, prise par le bureau provincial de l'éducation, répondait aux craintes de parents que les averses contiennent des élements radioactifs provenant de Fukushima. Il s'agit de "mesures préventives, pour la sécurité des élèves", a indiqué un porte-parole. Mercredi, le bureau avait demandé l'annulation ou la réduction de la durée de la classe en raison de l'"anxiété grandissante parmi les parents et les élèves".
En Chine, où l'inquiétude est également palpable, des traces d'iode 131 radioactive ont été détectées à un faible niveau sur des épinards cultivés près de Pékin. Les autorités affirment que leur consommation ne présente pas de risques pour la santé.
Sujet: Re: Dossier sur la catastrophe nucléaire au Japon : articles, infos, cartes et schémas. Jeu 7 Avr 2011 - 15:45
Merci grand merci Geoff
"faiblement radioactive" qu'ils disent ? ...
pass1111
Messages : 889 Date d'inscription : 26/01/2010
Sujet: Re: Dossier sur la catastrophe nucléaire au Japon : articles, infos, cartes et schémas. Jeu 7 Avr 2011 - 16:08
Ils injectent de l'azote pour éviter l'explosion, j'espère que ça ne vous rassure pas, bien que l"information donner par un journal d'élite corrompus ne m'inspire pas plus.
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Invité Invité
Sujet: Re: Dossier sur la catastrophe nucléaire au Japon : articles, infos, cartes et schémas. Jeu 7 Avr 2011 - 18:47
!!!
SHAKA ZULU
Messages : 1713 Date d'inscription : 31/05/2010
Sujet: Re: Dossier sur la catastrophe nucléaire au Japon : articles, infos, cartes et schémas. Jeu 7 Avr 2011 - 19:41
alors la ya comme un petit problème !!!!!!!! de l'azote liquide c'est fissuré de façons certaine le réacteur ! bonjour le choc thermique ! si ils en sont la c'est la preuve que le "ou les" réacteur est fissuré et pas qu'un peut dans ce cas ya plus rien a perdre effectivement ! enfin c'est mon avis
pass1111
Messages : 889 Date d'inscription : 26/01/2010
Sujet: Re: Dossier sur la catastrophe nucléaire au Japon : articles, infos, cartes et schémas. Jeu 7 Avr 2011 - 20:04
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jamiroquai
Messages : 68 Date d'inscription : 24/01/2011
Sujet: Re: Dossier sur la catastrophe nucléaire au Japon : articles, infos, cartes et schémas. Jeu 7 Avr 2011 - 21:43
il ne faut pas confondre l'azote liquide qui est n'est plus un gaz et qui ducoup se retrouve a des temperature tres basses pour refroidire et prevenire le risque d'une fission et l'azote gazeux qui empeche toute combustion d'hydrogene par manque d'oxygene qui est NON NUCLEAIRE...
il y a certaine nuance et certain thermes a comprendre avant de crier au loup l'eveille ne passe pas par la desinformation
SHAKA ZULU
Messages : 1713 Date d'inscription : 31/05/2010
Sujet: Re: Dossier sur la catastrophe nucléaire au Japon : articles, infos, cartes et schémas. Jeu 7 Avr 2011 - 23:32
ok je comprends mieux ^^ j'espère que tu dis vrais parce que les journaleux c'est ce qui disait ^^ en même temps si c'est déjà fissuré
jamiroquai
Messages : 68 Date d'inscription : 24/01/2011
Sujet: Re: Dossier sur la catastrophe nucléaire au Japon : articles, infos, cartes et schémas. Jeu 7 Avr 2011 - 23:39
je suis entierement daccord sur le fait qu'on cour a un desastre sans precedant par contre
mais bon je me dit toujours que l'on as une chance exeptionnel de pouvoir assister au bouquet final de l'humanité, on va vivre des choses fantastiques
Invité Invité
Sujet: Re: Dossier sur la catastrophe nucléaire au Japon : articles, infos, cartes et schémas. Ven 8 Avr 2011 - 8:37
et bien Jamiroquai, moi aussi ça me fait bien rigoler !
depuis des décennies on se fait la guerre, alors maintenant ce n'est que le retour de bâtons
geoff78
Messages : 4426 Date d'inscription : 02/05/2009 Age : 39 Localisation : Partout
Sujet: Re: Dossier sur la catastrophe nucléaire au Japon : articles, infos, cartes et schémas. Lun 11 Avr 2011 - 11:54
Japon: La zone d'exclusion autour de Fukushima élargie
Un membre de Greenpeace mesure les niveaux de contamination radioactive dans une ville à 40km de Fukushima, au Japon, le 27 mars 2011.
NUCLÉAIRE - Les niveaux de radioactivité restent trop élevés...
Un mois jour pour jour après le séisme et le tsunami qui a ravagé le nord-est du Japon, le gouvernement japonais a annoncé qu’il élargissait la zone d’exclusion autour de la centrale nucléaire de Fukushima, dont les employés ont été évacués après une nouvelle secousse dans le région. La nouvelle zone inclut certains villages contaminés. Les niveaux de radioactivité sont en effet toujours élevés.
«Ces régions pourraient accumuler 20 millisieverts ou plus de radiations sur un an», a déclaré le secrétaire général du gouvernement, Yukio Edano,lors d'une conférence de presse, citant le village d'Iitate, situé à 40km de la centrale. «Il n'est pas nécessaire de procéder à une évacuation dans l'immédiat», a-t-il ajouté, tout en jugeant souhaitable que la nouveau plan d'évacuation intervienne dans un délai d'un mois.
L'AIEA souhaitait cet élargissement
Les autorités japonaises ont également demandé aux femmes enceintes, aux enfants et aux personnes hospitalisées de rester hors d'une zone de 20 à 30km de la centrale nucléaire.
Critiqué aussi bien par sa propre population que par des pays étrangers, notamment la Chine et la Corée du Sud, le gouvernement japonais avait jusque-là refusé d’élargir la zone d’exclusion, malgré les appels en ce sens de l'Agence internationale de l'Energie atomique (AIEA). Des pays comme les Etats-Unis et l'Australie ont invité leurs ressortissants à ne pas s'approcher à moins de 80 km du site.
Etat de la surveillance environnementale et bilan du marquage des nappes phréatiques et des cours d’eau autour des sites nucléaires : http://www.lepoint2.com/sons/pdf/IRSN_Synthese-Rapport-IRSN-pour-HCTISN-15092008-Lepoint.pdf
Voilà une carte qui devrait vous rassurer...
La zone d'évacuation en cas d'incident majeur à Fessenheim
pass1111
Messages : 889 Date d'inscription : 26/01/2010
Sujet: Re: Dossier sur la catastrophe nucléaire au Japon : articles, infos, cartes et schémas. Mar 12 Avr 2011 - 9:36
Vrai, ou faux ???? (note d'eva)
Article très important : Fukushima est entré en fusion, confirmation par des experts officiels US traversé la cuve du réacteur,"déclare le républicain Edward Markey lors d'une audience à la Chambre à propos de la catastrophe :
"J'ai été informé par la Commission de Réglementation Nucléaire (CNR) que le noyau a tellement chauffé qu'une partie de celui-ci a probablement fondu dans la cuve du réacteur." Promouvant avec inconscience la prolifération nucléaire, la Commission de Réglementation Nucléaire américaine est tristement célèbre pour dissimulation et déni de ses effets nocifs. En conséquence, leurs rares aveux confirment vraiment une réelle fusion du cœur dans un ou plusieurs réacteurs, signifiant qu'énormément de rayonnement est relâché de manière incontrôlable dans l'atmosphère, l'eau et le sol, sur une vaste zone. C'est le scénario cauchemar ultime qui se déroule actuellement, mais ne vous attendez pas à de grands reportages dans les médias ou des explications des représentants du gouvernement. Néanmoins, le 6 avril, les journalistes du New York Times Matthew Wald et Andrew Pollack ont mis en gros titre "Le cœur du réacteur touché fuit probablement, annoncent les États-Unis " : " La CNR américaine a déclaré mercredi qu'une partie du cœur d'un réacteur japonais touché avait probablement fui de sa cuve en acier vers le fond de la structure de confinement, impliquant que le dommage était encore pire qu'on ne le pensait." Bien pire, en fait, parce que le matériau du cœur en fusion brûle ensuite de manière incontrôlée à travers la fondation en béton, ce qui signifie que tous les paris sont ouverts. Le 5 avril, James Glanz et William Broad ont titré ainsi le Times : " Les Etats-Unis voient une panoplie de nouvelles menaces à la centrale nucléaire du Japon" : Des ingénieurs américains ont prévenu "que la centrale nucléaire en difficulté.... est confrontée à un large éventail de nouvelles menaces qui pourraient persister indéfiniment, et qui dans certains cas, devraient augmenter en raison des mesures mêmes prises pour garder la centrale stable, selon un rapport confidentiel du CNR. Les menaces identifiées comprennent: - Possibilité d'autres explosions en raison de l'hydrogène et l'oxygène de l'eau de mer utilisés pour refroidir les réacteurs, qui pourraient avoir fait plus de mal que de bien. Selon l'ancienne conceptrice de réacteur, Margaret Harding: «Si j'étais dans les chaussures des japonais, je serais très réticente pour avoir des tonnes et des tonnes d'eau dans un contenant dont l'intégrité structurelle n'a pas été vérifiée depuis le tremblement de terre», et très probablement sérieusement endommagé. - En raison de préoccupations au sujet de dommages graves au cœur du réacteur, CNR a recommandé que du bore soit ajouté à l'eau de refroidissement pour modérer l'absorption des neutrons. - Les barres de combustible usé exposées/ non protégées dans les unités 1, 2, 3 et 4 présentent des dangers extrêmes. Par ailleurs, des explosions ont soufflé dans l'atmosphère du matériau nucléaire "jusqu'à presque deux kilomètres des unités", indiquant de beaucoup plus grands dégâts que précédemment dévoilés. David Lochbaum de l'Union of Concerned Scientists (UCS) (union des scientifiques inquiets) estime: "Ceci brosse un tableau très différent, et suggère que les choses sont bien pires. Ils pourraient avoir encore plus de dégâts à longue échéance, si certaines de ces choses ne fonctionnent pas pour eux .... Ils ont eu beaucoup de choses désagréables (à manipuler), et un faux pas pourrait rendre la situation bien bien pire. " D'autres experts pensent que la criticité a été atteinte, ce qui pose de bien plus grands dangers que révélés. Pourtant, le gouvernement et les fonctionnaires de TEPCO prétendent toujours "pas de risque immédiat pour une explosion d'hydrogène " ou un dommage grave pour la santé humaine. En fait, les niveaux de danger sont maintenant extrêmes. Plus à ce sujet ci-dessous. Même le CNR a admis que l'eau salée a "sévèrement restreint" et probablement bloqué les circuits. En outre, à l'intérieur du noyau, "il n'y a probablement pas de niveau d'eau (il est donc) difficile de déterminer la mesure du refroidissement qui a accès au carburant." Peut-être aucun, et trois réacteurs ou plus sont touchés, un ou plusieurs en fusion. Opinions d'experts indépendants Le 4 avril, le géoscientifique et expert international en radioactivité Leuren Moret, a déclaré lors d'une interview par Alfred Lambremont Webre qu'Obama et le Premier ministre canadien Stephen Harper vont cacher les effets d'une guerre nucléaire tectonique sur l'Amérique du Nord par les retombées de Fukushima. En fait, les cartes de radioactivité de l'Institut norvégien pour la recherche atmosphérique (NILU) confirment une contamination sur la côte ouest, le Midwest et l'Ouest du Canada, et dans certaines régions plus élevée qu'au Japon. De I'iode-131 radioactif dans l'eau de pluie échantillonné près de San Francisco a été trouvé à plus de 18.000 fois au-dessus des normes fédérales de l'eau potable. Les échantillons de l'Idaho, du Minnesota, de l'Ohio,de la Pennsylvanie et du Massachusetts ont montré de l'iode-131 jusqu'à 181 fois supérieur à la norme, et qui devrait augmenter. Il fait aussi son apparition dans le lait. En conséquence, les mesures mobiles dans certaines parties de l'Amérique et le Canada ont été suspendues jusqu'à nouvel avis pour dissimuler la gravité de la catastrophe. Moret a cité deux éminents scientifiques en nucléaire qui ont déclaré publiquement que le nord du Japon (un tiers du pays) est inhabitable et doit être évacué. Marion Fulk est l'un des scientifiques du projet Manhattan qui a aidé à développer la bombe à hydrogène. Il a également été expert en retombées sur l'atmosphère américaine quand les tests ci-dessus ont été effectués. Le Dr Chris Busby est l'autre, le spécialiste des rayonnements ionisants. Le 30 Mars, il a dit à la télévision Russia Today que la contamination de Fukushima causera au moins 417 000 nouveaux cancers. Moret a appelé Fukushima une opération "false flag" pour affaiblir un rival économique, nuire à l'économie, l'agriculture et la pêche, et compromettre sa détente avec la Chine. Par rapport à Tchernobyl, Fukushima libére énormément plus de rayonnement, peut-être de trop énormes quantités pour imaginer les effets potentiellement catastrophiques sur le monde. En réponse, le Japon, l'Amérique et le Canada sont dans le déni. Les niveaux acceptables d'exposition au rayonnement ont été élevés. Les tests atmosphériques américains et canadiens ont été suspendus. Les autorités de l'État ont dit aux médecins de Californie de ne pas donner de l'iode pour les patients concernés. Mesurer le rayonnement dans le lait a également été arrêté. La contamination se répand de l'Arctique à l'équateur. Les isotopes radioactifs à longue durée de vie provoqueront des ravages sur la santé humaine et l'environnement pour des générations. Moret a dit que les formes de vie développées sur des milliards d'années seront détruits dans un siècle. Le 29 mars, un article de Chris Busby de Rense.com s'intitulait "Démolir les experts nucléaires" : "Ce que ces gens ont en commun c'est l'ignorance. (beaucoup de ceux) qui apparaissent (dans les grands médias) et pontifient n'ont pas vraiment fait de recherche sur la question du rayonnement et de la santé. Ou s'ils l'ont fait, ils ont.... raté toutes les études clés et les références. (D'autres sont) réellement méchants en disant qu'on n'a rien à craindre de Fukushima, rien comme Tchernobyl ou Three Mile Island. En fait, Fukushima est déjà bien supérieur aux deux autres et ira de plus en plus mal avec les disséminations de rayonnement qui se poursuivent et s'étendent. Busby citait Joseph Conrad en disant: «après que tous les cris se sont tus, le silence sinistre des faits demeurent." " «Je crois que (l'éventail des) experts charlatans", a déclaré Busby, "sont pénalement irresponsables, car leurs conseils mèneront à des millions de morts .... J'espère qu'ils seront envoyés en prison où ils pourront avoir beaucoup de temps pour lire les preuves scientifiques (montrant) que leur avis était fondé sur l'analyse mathématique de l'air léger. " Il a cité le regretté professeur John Gofman, un grand expert responsable américain de l'énergie atomique à la Commission, qui a démissionné, en disant: "L'industrie nucléaire est une guerre contre l'humanité." Jusqu'à présent, en fait, il a gagné. On est entré dans un "endgame" qui décidera si oui ou non l'humanité survivra. ''Pas d'une soudaine guerre nucléaire", a déclaré Busby. "Mais d'une guerre nucléaire en cours et progressive qui a commencé avec les rejets dans la biosphère au cours des années 60 par toutes les retombées des essais atmosphériques, et qui s'est continué inexorablement depuis (à ce jour), accompagnée par un accroissement parallèle des taux de cancer et la perte de fertilité de la race humaine. " " Busby l'appelle «le scandale de santé publique le plus grand de l'histoire humaine ....» Qui peut être en désaccord ?
à l'intérieur de la zone d'évacuation du réacteur de Fukushima
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=yp9iJ3pPuL8 Un dernier commentaire Dans un e-mail personnel, le chercheur en environnement, le Dr Ilya Perlingieri a expliqué les dangers du déversement par les japonais de milliers de tonnes d'eau radioactive dans le Pacifique, en disant: Nous sommes tous en grave danger ! Ceci a été de la folie ! Cette eau radioactive va venir ici (vers l'Amérique). Ça ne fait aucun doute. Les courants l'emmèneront vers la côte ouest et contamineront les plages et toute la vie marine entre la côte et le Japon. Ce qui s'évapore naturellement viendra alors par les courants aériens sur le reste des États-Unis et le reste de la planète! " «C'est homérique, et ce n'était pas un accident." SOURCE : International News : Fukushima meldown confirmed Traduit par Hélios pour Bistro Bar Blog
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Markosamo
Messages : 948 Date d'inscription : 26/01/2011
Sujet: Re: Dossier sur la catastrophe nucléaire au Japon : articles, infos, cartes et schémas. Mar 12 Avr 2011 - 10:59
Merci pour ce post et ce témoignage personnel d'un citoyen bien impliqué. Si il y en a plus comme ça, alors les choses changeront.Mais c'est à nous de continuer, parce que les médias alignés ne vont pas faire le boulot
SHAKA ZULU
Messages : 1713 Date d'inscription : 31/05/2010
Sujet: Re: Dossier sur la catastrophe nucléaire au Japon : articles, infos, cartes et schémas. Mar 12 Avr 2011 - 11:44
bravo a lui
un peut de patience le bon moment pour agir approche je le sens dans mes tripes ! et gaia nous aide ! bientôt la Californie avec pourquoi pas la fin du japon et la on pourra bougé massivement car il deviendra impossible pour l'élite de continué de dire qu'on vit sur la planète des bisounours !
Invité Invité
Sujet: Re: Dossier sur la catastrophe nucléaire au Japon : articles, infos, cartes et schémas. Mar 12 Avr 2011 - 13:54
- Article repris sur InternationalNews, qui l’a repris d’un article de Stephen Lendman (http://sjlendman.blogspot.com/) qui l’a repris d’une émission de radio du 5 avril dont voici le lien : http://www.progressiveradionetwork.com/the-progressive-news-hour/
Sur le Bistro Bar blog , vous retrouverez une compilation de mesures de radioactivité faites par les membres de ce blog jour après jour .
Je ne sais pas si vous avez un topic de suivi de radioactivité , afin d'y centraliser ces différentes sources comme celui de Daniel Page.