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 Les cycles temporels selon les mayas...

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a2zeiss
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MessageSujet: Les cycles temporels selon les mayas...   Les cycles temporels selon les mayas... I_icon_minitimeMar 7 Juin 2011 - 19:04

(Source: Tree2Share)
(lien introuvable)

On a tant écrit sur les mayas. Et de tout. Des guerriers sanguinaires assoiffés d’offrandes sacrificielles au peuple mystique en communion avec les divinités, les projections faites sur les mayas ont de quoi surprendre. Voyage à la rencontre de cette civilisation pour le moins étonnante.

Les cycles temporels selon les mayas... 228_01
Téléchargez ici la version du dossier au format PDF

Il y a à peine 200 ans, le monde ne savait presque rien des Mayas. La forêt avait repris ses droits sur la plupart de leurs cités et, peu après la conquête espagnole, les prêtres européens avaient brûlé la quasi-totalité des rares livres en écorce de figuier laissés par les Mayas.

Qui étaient-ils ? Le terme «Mayas» désigne une ancienne civilisation de Mésoamérique, principalement connue pour ses avancées dans les domaines de l’écriture, de l’art, de l’architecture, des mathématiques et de l’astronomie. C’est une des civilisations précolombiennes les plus étudiées avec celles des Aztèques et des Incas. Elle occupait les territoires correspondant actuellement à une partie du sud du Mexique, au Belize, au Guatemala, au honduras et au Salvador. C’est une des plus anciennes civilisations d’Amérique : ses origines remontent à la préhistoire et les premières constructions mayas ont été datées du iiième millénaire av. J.-C. D’importantes cités-états, telles que Copán, tikal ou Palenque, connurent leur niveau de développement le plus élevé entre le Vème et le Ixème siècle, avant d’être rapidement abandonnées entre la fin du VIIIème et du Ixème siècle. D’autres cités subsistèrent ou se développèrent avant d’entrer en décadence, puis de disparaître peu après la conquête espagnole au xVème siècle.

Ce n’est qu’il y a quelques décennies que certains codex mayas et bas-reliefs furent déchiffrés. Les chercheurs sincères qui les étudièrent furent stupéfaits de la profondeur et de la qualité des informations qu’ils recelaient. Le niveau de compréhension intuitive des prêtres-astronomes mayas, quant à la nature du temps et des différentes divinités-énergies associées, aux cycles cosmiques mineurs et majeurs, à la structuration calendérique de ces cycles, ainsi que leurs impacts sur les millénaires à venir, se rapproche d’une forme de «révélation».

Calendriers Sacrés

Les sages-mayas avaient, et ont encore de nos jours, une perception toute particulière du temps. Pour eux le temps n’est pas linéaire - s’écoulant du passé vers le futur - mais est l’expression dans l’instant présent d’une succession d’impulsions créatrices, quasi organiques, émanant de Hunab Ku [l’unique donneur], qui correspond au centre de la Galaxie ou encore Grand Soleil Central Galactique. Ces impulsions créatrices utilisent les fréquences temporelles pour «ensemencer la matière». La compréhension des cycles dans lesquels ces fréquences temporelles opèrent est au centre de ce que les anthropologues et archéologues ont nommé les «calendriers mayas». En effet, grâce à leurs observations astronomiques et à leurs connaissances mathématiques et intuitives, les anciens mayas développèrent un système de 17 calendriers très complexes qui s’engrènent comme les rouages d’une montre aux proportions cosmiques.

Parmi les plus connus, le Tzolk’in ou compte des jours est basé sur un cycle de 260 jours, cycle qui nous convient naturellement puisque c’est celui de la gestation humaine. Il induit une évolution, une maturité et une naissance vers un nouveau cycle de vie.

Il y avait aussi le Tun, basé sur 360 jours qui, à l’image d’une roue à 360°, était applicable à toute les sphères et orbites de la Galaxie. Citons aussi le Haab basé, comme le calendrier grégorien, sur 365 jours et ¼ de jour, soit la durée que met la terre pour une révolution complète autour du Soleil. Ce calendrier était considéré comme «asynchronique» et était uniquement utilisé pour les récoltes et le commerce. Intéressant... Notre calendrier grégorien, imposé par le Pape Grégoire en 1582, serait donc non-synchronisé aux rythmes naturels et propice aux échanges commerciaux... Il serait même générateur, d’après certains auteurs, de dysharmonie et responsable, entre autres, des guerres, du matérialisme et de la pollution de la planète.

La plupart des gens pensent que le choix d’un calendrier est arbitraire, qu’il ne s’agit que d’une convention, que cela n’a aucune influence sur la vision du monde d’une civilisation, sur la conscience des individus. Et pourtant... C’est peut-être justement parce que le choix d’un système calendérique semble si anodin que cet aspect est précisément devenu comme «un angle mort» dans le champs de vision de notre conscience. Se pourrait-il, dès lors, que l’imposition d’un calendrier «non-naturel» ait contribué à précipiter notre humanité vers un âge encore plus sombre ? Peut-être...

Mais en quoi les calendriers mayas diffèrent- ils ? Au lieu d’être linéaires, comme le calendrier grégorien, ils forment des cercles concentriques spiralés qui induisent une constante évolution. Le terme «calendrier» semble d’ailleurs bien pauvre en regard de l’explication donnée par les mayas eux-mêmes : «systèmes de comptage des énergies temporelles et créatrices permettant à la conscience humaine de se synchroniser aux flux de la Création». tout est dit...

Les cycles temporels selon les mayas... 228_02

Une accélération des temps

Quand nous posons la question aux personnes autour de nous sur leur perception du temps, la majorité répond qu’il y a comme une sorte d’accélération ces dernières années. Quelque chose de diffus, mais puissant, qui donne une impression de vitesse... Il est vrai qu’en une décennie à peine, l’humanité aura découvert et inventé bien plus qu’au cours du dernier siècle écoulé. Et le dernier siècle lui-même fut plus abondant en découvertes et évolutions que la totalité des 3 ou 4 siècles qui le précédèrent... Des antiques cartes routières de nos parents à l’ère des GPS, du coursier à vélo au courrier électronique instantané, il n’aura fallu que quelques décennies à la civilisation occidentale pour démultiplier les découvertes et inventions, s’entourer de mille gadgets [pas toujours utiles] et, dans l’élan, se perdre un peu plus dans les méandres obscurs du matérialisme. Et si l’humanité vivait précisément ce que les gardiens du temps mayas annoncent depuis des millénaires ? La fusion des cycles temporels qui passe par une accélération et une phase «sombre», comparée au sommeil. La «fin des temps» prédite serait à prendre au sens littéral : c’est la fin des différents cycles, la convergence des différentes fréquences temporelles vers le Point Zéro, une sorte d’anti-bigbang temporel. D’après certains chercheurs, cette accélération vers le Point Zéro où «nul-temps-n’existe» serait une immense opportunité donnée aux êtres vivants qui peuvent l’expérimenter dans la matière. Nous verrons un peu plus loin les éventuelles implications de ce phénomène quantique temporel.

Nouvelle théorie de l’évolution

Impossible d’aborder la cosmovision maya sans parler du Dr Carl Johan Calleman. originaire de Suède et titulaire d’un doctorat en biologie, le Dr Calleman commence ses études sur les calendriers mayas en ‘79 et est l’auteur de plusieurs livres-clefs, dont «Calendrier Maya - La Transformation de la Conscience» et «Cosmologie Maya et Théorie Quantique» [voir «Références» en fin d‘article]. Ce qu’il a [re]découvert est tout simplement incroyable : l’ensemble de la connaissance maya est symboliquement contenue dans leurs pyramides à 9 niveaux qui représentent 9 inframondes ou ondes évolutives. Ces 9 paliers sont des périodes de temps qui s’empilent les unes sur les autres et forment une matrice temporelle offrant une nouvelle lecture de l’évolution ; du «Big Bang» jusqu’à nos jours. Chaque nouveau niveau est 20 fois plus court que le précédent [d’où la représentation en pyramide à degrés], tout en faisant partie intégrante des niveaux inférieurs. Ce qui signifie qu’ils finissent tous à la même date, en culminant le «4-AHAU 13 baktun», date maya qui a été un peu vite convertie en 21/12/2012...



Le premier élément qui a conduit Carl Calleman à découvrir cette nouvelle théorie de l’évolution est ce que l’on appelle communément «compte long maya». Il s’agit d’une méthode de datation qui compte les jours et les années par multiples de 20 et de 13. Ce compte long a une date de début estimée par les archéologues au 11 août 3114 av. J-C. [ou le 4 AHAU 0 baktun, 0 katun, 0 tun, 0 winal, 0 kin soit en notation conventionnelle 0.0.0.0.0.].

Ce compte long dure environ 5126 années. Le 11 août -3114 est pour les mayas une date mythique de la création du 4ème monde, le nôtre. Selon la tradition, le monde précédent a été englouti par les flots, ce qui constitue une référence méso-américaine au déluge. Le deuxième élément qui a conduit le Dr Calleman a édifié sa théorie est l’inscription d’une stèle à Coba [voir illustration]. Cette stèle présente un système de datation similaire au compte long, mais remontant bien plus longtemps dans le temps, soit 19 autres niveaux de puissance de 20 jusqu’à des nombres gigantesques de milliards de milliards d’années !

Le troisième élément qui a conduit Carl Calleman à édifier sa théorie est une inscription sur un monument du site archéologique de tortuguero, au Mexique. Cette inscription, couplée à l’observation que le niveau de date correspond à la création de l’univers a confirmé l’idée que les 9 cycles se terminent tous en même temps.

Mais, étrangement, plus on explore cette «matrice de la création» que représente ces 9 niveaux temporels, plus la connaissance de la date de fin exacte devient presque secondaire, tellement les implications de la signification de ces 9 niveaux sont déroutantes.

Les cycles temporels selon les mayas... 228_03

Les 9 inframondes

Concrètement, le premier niveau, appelé «inframonde cellulaire», base de la pyramide à 9 niveaux [voir illustration en page 14], a commencé à l’instant zéro [Big Bang] et «dure» 16,4 milliards d’années. Chaque inframonde est luimême subdivisé en 13 périodes «lumières » et «ombres», soit 7 «jours» et 6 «nuits». Ce premier «inframonde cellulaire» est donc rythmé par 7 jours et 6 nuits de 1,26 milliard d’années qui vont donner lieu à la formation de l’univers physique, des galaxies, étoiles et planètes, des éléments chimiques et des premières cellules vivantes. Durant le dernier 20ème de ce premier inframonde, soit il y a 820 millions d’années, s’active simultanément une seconde vague, celle de l’«inframonde mamalien».

Les cycles temporels selon les mayas... 228_04
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Superposé à la fin du cycle précédent, ce nouveau cycle est 20 fois plus rapide et voit, au cours de ses 13 périodes de 63,1 millions d’années [820 divisé par 13], l’émergence des premiers organismes multicellulaires, la polarisation sexuelle, les premiers animaux et, ensuite, les mammifères supérieurs. Au dernier 20ème de ce second niveau, soit il y a 41 millions d’années, débute l’«inframonde familial», encore 20 fois plus rapide, qui voit, au cours de ses 7 jours et 6 nuits de 3,1 millions d’années, l’émergence de la conscience anthropoïde, les premiers singes, l’utilisation d’outils rudimentaires, pour culminer vers une organisation des premiers australopithèques en familles. Le 4ème niveau, ou «inframonde tribal», a commencé il y a 2 millions d’années et est subdivisé en 13 périodes de 158.000 ans qui ont vu naître les premiers hominidés, les premières fabrications d’outils, les premiers rudiments de communication orale et l’organisation en tribus.

Avec le 5ème niveau, ou «inframonde culturel», l’accélération temporelle et évolutive se poursuit exponentiellement [x 20 à chaque nouveau palier !]. Cette onde débutée il y a 102.000 ans est scandée par 7 jours et 6 nuits de 7.900 ans qui voient l’émergence de l’Homos sapiens, des premiers langages et outils complexes, des religions et de l’organisation en cultures. Dans le dernier 20ème de ce niveau, s’active le 6ème «inframonde national», il y a 5.125 ans [3.115 av. J-C] et est subdivisé en 13 x 394 ans. Cette période, début du «compte long», permet l’émergence accélérée [x 20] de la conscience dite de «civilisation», des langages écrits, des constructions majeures, des religions historiques, des sciences, des arts et l’organisation en nations.

Dans le dernier 20ème de l’«inframonde national», soit il y a 256 ans, en 1755, s’active l’«inframonde planétaire» où chaque jour et chaque nuit dure 19,7 ans. Ce niveau d’impulsion évolutive permet l’émergence d’une conscience planétaire, la maîtrise de la matière, l’industrialisme, les électro-technologies et l’organisation en planète. Le dernier 20ème de ce cycle de 256 ans, fait exactement 12,8 ans et a commencé le 4 janvier 1999. Il s’agit de l’«inframonde galactique», subdivisé en 13 périodes de 360 jours, qui voient l’émergence de la transcendance du matérialisme, la communication et l’information instantanée [Internet], les technologies génétiques et l’organisation en galaxie [aurions-nous un peu de retard sur le programme ?]. Le 9ème et dernier niveau a débuté le 9 mars 2011, c’est l’«inframonde universel », durant lequel chaque jour et chaque nuit fait 18 jours. Ces 234 jours «intenses» culmineront, ainsi que les 8 inframondes précédents et simultanés, le 28 octobre 2011 !

Ce que les pyramides mayas, codex, calendriers et stèles immuables gardent secret depuis des milliers d’années, c’est que la matrice de création de l’univers est tout simplement connue depuis l’instant zéro de la Création et se déploie selon des rythmes évolutifs exponentiels : 9 accélérations x 20 ! A titre de comparaison, une «année terrestre» avant le 9 mars 2011, «équivalait» à 207 années du premier cycle, l’«inframonde cellulaire », soit quelque 1,24 milliard d’années. on comprend mieux l’accélération quantique du processus évolutif ! Autre exemple éloquent, une journée actuelle équivaut à 400 jours [20 x 20] du 7ème inframonde planétaire, soit avant le 4 janvier 1999 ! Etant encapsulés dans le système temporel, nous ne percevons [fort heureusement !] que de manière diffuse l’accélération : un peu comme si nous étions à l’intérieur d’une boîte close qui filerait à vive allure dans l’espace ; sans repères extérieurs, nous n’aurions pas directement conscience de l’accélération du déplacement dans l’espace. Ceci dit, nombre d’entre nous perçoivent une «accélération intérieure», comme une urgence à efse dépouiller de l’ancien et du superflu. Les prises de conscience planétaires, collectives et individuelles s’amplifient. Alors que les anciennes structures essayent par tous les moyens d’asseoir leur puissance, le système se fissure de toutes parts : jamais on n’a autant parlé de développement durable, de décroissance conviviale, de sobriété heureuse, de santé naturelle et consommation responsable, d’éco-citoyenneté, de liberté d’expression, de démocratie et de spiritualité.. Les choses bougent et de plus en plus vite !

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La fin des calendriers

Concrètement, que vat- il se passer à la fin des cycles ? Et pourquoi la fin des calendriers ne correspond- elle pas au 21 décembre 2012 ? tentons une explication...
Depuis quelque temps déjà, la date de fin exacte du calendrier maya est un sujet controversé. La récente déclaration du chef du conseil des anciens Mayas, Don Alejandro oxlaj, rejetant la date du 21 décembre 2012, avancée par les archéologues comme date de fin du calendrier maya, a relancé le débat.

En réalité, le problème n’est pas tant de savoir à quelle date exacte se termine le calendrier maya que d’appréhender la signification évolutive de ce calendrier et son lien avec le plan cosmique. C’est là l’objet de cet article introductif [voir les «Références» en fin d’article pour approfondir le sujet].

Il faut donc aborder la question de cette date l’esprit ouvert et avec une connaissance minimale du système calendérique maya. Les «partisans de 2012» sont généralement dépourvus d’une grille d’interprétation des 9 niveaux et se focalisent exclusivement sur ce qui se passera à une date donnée, le 21 décembre 2012. Ce qu’ils nous annoncent généralement pour cette date, c’est l’apparition d’un phénomène dans le ciel, l’inversion de l’axe terrestre, une comète s’écrasant sur terre ou quelque autre phénomène physique ou astronomique de nature exceptionnelle. Rappelons qu’absolument rien de tout ceci n’est annoncé par les Mayas...

D’après le Dr Calleman, pour comprendre l’origine de cette date de fin, il faut tout d’abord souligner le malentendu fondamental qui règne au sujet du compte long et... de son début ! Le début du compte long a été fixé à la date exacte où le soleil était au zénith à Izapa au Mexique, le 11 août -3114. La date de fin du compte long tombe exactement 1.872.000 jours après cette date du zénith, c’est-à-dire le 21 décembre 2012. Autrement dit, la date de fin proclamée par les archéologues découle directement du fait que ceux qui vivaient à Izapa à l’époque considéraient le 11 août, date où le soleil était au zénith chez eux, comme un jour sacré. C’est sans doute à cause de cette particularité que cette date a longtemps été considérée comme le jour où «le temps a commencé», car il correspondait effectivement au début du cycle annuel marquant le changement des saisons à cet endroit précis.

Dans une perspective plus élargie, le problème de cette date de commencement est qu’elle n’est absolument pas pertinente pour le monde dans son ensemble. Pourquoi cette date de zénith aurait-elle une quelconque incidence pour des gens vivant ailleurs qu’à Izapa ? Par conséquent, croire que le début de la phase énergétique du compte long tombe le jour où le «temps a commencé » équivaut à croire, comme le souligne le Dr Calleman, «...que Jésus est vraiment né le jour de Noël !» Le point commun, c’est que dans les deux cas une tradition plus ancienne a simplement été remplacée par une autre tradition calendaire [dans le cas des Chrétiens, le solstice d’hiver païen, qui n’avait aucun rapport avec l’évènement qu’il s’agissait de fêter]. La 2ème raison qui a amené plusieurs chercheurs sincères à déduire que la date du 21 décembre 2012 n’est pas correcte, c’est qu’elle tombe un jour 4 Ahau du calendrier Tzolk’in qui n’est pas une date d’accomplissement de phase énergétique. or, la date de fin doit tomber un jour 13 Ahau, énergie culminante vers laquelle tendent toutes les énergies du Tzolk’in.

La 3ème raison est une correction apportée au compte long original d’Izapa plusieurs siècles plus tard à Palenque. Il est fort probable que les prêtres de Palenque, qui suivaient de toute évidence minutieusement le vrai compte Tzolk’in, ont commencé à se douter que la corrélation entre le compte d’Izapan et le Tzolk’in posait problème. Cependant, la correction suggérée par ces prêtres n’a pas donné lieu à une modification à cause des retombées drastiques que cela aurait eu. un tel changement n’aurait pas été possible à cause du rôle primordial joué par le compte long dans la légitimation du pouvoir de la dynastie de Palenque et la stabilité de la société de l’époque. C’est pourquoi les prêtres ont dû se contenter de suggérer simplement que le compte long d’Izapan était faux de 420 jours... Et lorsque l’on retranche 420 jours au 21 décembre 2012, on arrive au 28 octobre 2011 !

Ceci dit, cette date va tout à fait dans le sens du ressenti de nombreuses personnes concernant l’année 2012. Si un processus de fusion temporelle s’active bien le 28 octobre 2011, ce sera effectivement l’année 2012 qui laissera apparaître les fruits de ce grand changement potentiel...

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Saut quan’tictac tic-tac...

Que le jour «J» soit basé sur une croyance [21 décembre 2012] ou sur une évidence [28 octobre 2011] n’a que peu d’importance. Ces 420 jours de différence ne représentent qu’un battement de cils au regard de l’évolution humaine. Ce que l’on peut dire, c’est qu’à chaque émergence d’un nouvel «inframonde», un véritable saut quantique s’est opéré au niveau de la conscience et de la biologie. Quand on transpose les livres d’histoire à la matrice de création maya des 9 «inframondes», on est forcé de constater un faisceau de correspondances particulièrement éloquent : par exemple, le jour 1 de l’«inframonde mamalien», il y a 820,3 millions d’années correspond à l’émergence du premier groupe de cellules ; le jour 2, il y a 694,1 millions d’années, aux premiers organismes symétriques à chair molle ; le jour 3, il y a 567,9 millions d’années, à l’explosion cambrienne [trilobites, mollusques, etc...] ; le jour 4, il y a 441,7 millions d’années aux premiers poissons ; le jour 5, il y a 315,5 millions d’années, aux premiers reptiles ; le jour 6, il y a 189,3 millions d’années, aux premiers mammifères et le jour 7, il y a 63,1 millions d’années, aux premiers organismes placentaires [mammifères supérieurs]. on observe les mêmes correspondances, quasi à l’année près, pour le développement de l’écriture ou encore de la monnaie durant l’«inframonde national» ou le développement des télécommunications durant l’«inframonde planétaire».

Et cela fonctionne aussi en lecture transversale : durant, par exemple, le 5ème «jour» de chaque cycle, qui correspond à une phase majeure d’émergence, on observe : la naissance de notre système solaire, l’émergence des premiers organismes hors de l’océan primordial, la «découverte» du feu, l’apparition de l’Homo erectus, etc... un «hasard» qui fait bien les choses ! Bref, cette nouvelle théorie de l’évolution réconcilie darwinisme, créationnisme [création divine du monde en 7 «jours»...], physique quantique et les tenants de l’évolution spirituelle où des impulsions créatrices et énergétiques modèleraient l’univers depuis la nuit des temps. Se pourrait-il qu’à la fin du présent cycle, cette connaissance soit - tout simplement - à nouveau accessible ? Pour les Mayas contemporains, rien n’est plus sûr. Ils insistent même sur la nécessité de se libérer de la peur, car ce qui est annoncé depuis des millénaires devrait plutôt «éveiller notre joie».

Les cycles temporels selon les mayas... 228_07

Quoi qu’il en soit, personne ne sait ce que chacun d’entre nous pourra expérimenter le jour où cette fusion des 9 cycles en un point de non-temps surviendra. Certains auteurs inspirés expliquent qu’au Point Zéro, lors de la suspension infime de la danse des atomes, une Force prodigieuse, inconnue sur terre, en provenance du Grand Soleil Central Galactique, traversera la matière, devenue immobile l’espace d’un instant... Qu’emportera-t-elle lors de son passage intime ? Qu’imprégnera-t-elle à la matière et à la conscience ? Personne ne le sait, mais ce qui est sûr, c’est que cette Force, qu’elle que soit son nom, ne peut qu’être bienveillante...

Olivier Desurmont

Voir également les découvertes du Dr. Dieter Broers: Infos scientifiques et Mayas, 2012 et plus
(lien introuvable)

Et pour terminer voici le Message d'espoir pour 2012 que nous délivre
Don Alejandro, Grand Guide Spirituel Maya des Amériques...




Références

«Calendrier maya - La Transformation de la Conscience» de Carl J. Calleman chez Testez éditions, «Cosmologie maya et théorie quantique» de Carl J. Calleman aux Editions Alphée, «Le Code Maya» de Barbara Hand Clow aux Editions Alphée, «La grande peur de 2012» de Laure Gratias chez Albin Michel et «Le Facteur Maya» de José Arguellesaux Editions Ariane - www.calleman.com

Paru dans l'Agenda Plus N° 228 de juin 2011

Source: AgendaPlus
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édit de cerifel (modération) le 05/08/2012
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esKadri



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MessageSujet: Re: Les cycles temporels selon les mayas...   Les cycles temporels selon les mayas... I_icon_minitimeMar 7 Juin 2011 - 19:57

Voici un lien avec plein de complément et surtout une conférence de Ian Xel Lungold très intéressante

http://www.letransmuteur.net/calendrier-maya-ian-xel-lungold-et-johan-calleman/
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MessageSujet: Re: Les cycles temporels selon les mayas...   Les cycles temporels selon les mayas... I_icon_minitimeMer 8 Juin 2011 - 6:37

Super boulot de ta part , merci bien
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77Scred77

77Scred77

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MessageSujet: Re: Les cycles temporels selon les mayas...   Les cycles temporels selon les mayas... I_icon_minitimeMer 8 Juin 2011 - 14:26

Merci A2zeiss et esKadri!

Etrange lien entre la tempète solaire du 7 Juin et le début de la 3ème nuit de l'inframonde universel scratch
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MessageSujet: Re: Les cycles temporels selon les mayas...   Les cycles temporels selon les mayas... I_icon_minitime

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