Je suis tombé sur des articles par hasard et j'aimerais avoir votre avis.
Il est connu que facebook, avec ses 500 millions d'utilisateurs, soit le 3ème pays du monde en matière de démographie. Mais ce que les gens ne savent pas est qu'il possède comme une nation, une commune, un cimetière! bien gardé. En effet nombreux sont ceux qui ont dans leur contact des personnes décédées et à qui on continue de leur souhaiter un bon et joyeuse anniversaire....un peu malsain, vous ne trouvez pas. Les défenseurs de facebook invoquent la vie éternelle par le biais de du compte facebook.
Entre 3 et 4 millions de pages sur les 150 millions que compte le réseau social Facebook appartiennent à des personnes décédées, révèle Le Temps vendredi. Alors que son propriétaire n'est plus de ce monde, un profil peut en effet "continuer à vivre". Et le système Facebook est ainsi fait que les "amis" du mort continueront même à recevoir des messages automatiques de sa part.
A sa création en 2004, Facebook a mis au point un système qui permet de générer de l'activité automatique depuis les comptes de tous les utilisateurs. Il est donc tout à fait possible de recevoir des messages d'"amis" du réseau qui sont morts dans la "vraie vie", souligne Le Temps dans son édition de vendredi.
Des "morts-vivants" du réseau
Pour l'heure, entre 3 et 4 millions de profils appartiendraient à des personnes qui ne sont plus de ce monde, estime le spécialiste Stéphane Koch. Soit un membre du réseau sur cent.
Et ce phénomène va prendre de l'ampleur au vu du vieillissement des utilisateurs actuels et de l'intérêt nouveau que les personnes âgées commencent à porter aux réseaux sociaux. Selon une entreprise spécialisée, Facebook comptait début 2010 6,5 millions d'utilisateurs de plus de 65 ans aux Etats-Unis, un chiffre qui a triplé en un an.
Un "cimetière" a été créé
Le groupe semble avoir pris conscience du problème. Il a mis à disposition un formulaire qui permet de signaler le décès d'un ami. Une équipe se charge ensuite de vérifier l'information et enfin, le site délègue à la famille le contrôle de la page et lui offre la possibilité de la transformer un page d'hommage.
De plus, des compagnies américaines proposent désormais de détruire les données personnelles d'un défunt et d'informer la communauté virtuelle. Mais attention: il n'est pas possible de garantir que toutes les données personnelles soient effacées sur internet, met en garde Stéphane Koch.
Facebook revendique plus de 500 millions d'utilisateurs dans le monde, ce qui en ferait le 3e pays le plus grand après la Chine et l'Inde. Parmi ces pages, 100 millions seraient des spams.
cer
http://www.tsr.ch/info/sciences-tech/2388057-il-y-a-quatre-millions-de-morts-sur-facebook.html
Facebook, Dead or Alive
http://online.wsj.com/article/SB10001424052970203889904577199481841403756.html?mod=WSJ_hp_us_mostpop_read