(Source: L'eveil 2012)
Le plan du Bilderberg pour sauver l’EuroLes mondialistes ont peur que la Grèce puisse sortir de la monnaie unique
et procéder à une convalescence économique miraculeuse.Paul Joseph Watson
~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~
Le groupe Bilderberg est terrifié que la sortie potentielle de la Grèce de la zone euro ne mène à une récupération dramatique de l’économie et donne ainsi un modèle pour les autres pays à suivre, menaçant ainsi de torpiller la monnaie unique européenne et la totalité de l’agenda pour un super-état fédéral européen.
Une des discussions prioritaires de la réunion annuelle du groupe Bilderberg cette année à Chantilly, Virginie, USA, tournera autour du plan de l’élite pour adresser le problème qui menace de mettre leur agenda pour la gouvernance mondiale à la poubelle: le problème de la crise de l’Euro.
La menace montante que la grèce n’abandonne sa promesse d’honorer les termes de son accord draconien de sauvetage avec Bruxelles et Berlin la nuit dernière a amené la chancelière allemande Angela Merkel à reconnaître pour la première fois que la Grèce pourrait bien sortir de la zone euro, une possibilité qui a fait couler la valeur de l’euro et des marchés ces derniers jours.
La crise de l’euro en est maintenant à son point le plus grave de son histoire, faisant oublier des points similaires de crise qui se sont passés de manière conïncidentelle juste avant les réunions du groupe bilderberg en 2010 et 2011.
En ces deux occasions, le consensus politique formé par les membres du groupe Bilderberg fut suffisant pour garder l’euro sous perfusion pour 12 mois de plus à chaque fois, et ces mêmes mondialistes vont essayer une fois de plus de marteler une stratégie à huis-clos, qui donnera une rédemption à leur projet chéri.
En 2010, “le futur de l’euro” prît tout le devant de la scène en Espagne, alors que le premier ministre espagnol Luis Rodriguez Zapatero fut rejoint pas des poids lourds de la finance pour essayer de résoudre la crise tandis que des membres du groupe paniquaient à l’idée de l’effondrement possible de la monnaie unique.
Un an plus tard, en 2011, au meeting de St Moritz en Suisse,, la crise de l’euro était de nouveau au top de l’agenda des bilderbergers alors que les mondialistes exprimaient leurs craintes de la chute et de l’abandon de la monnaie unique, qui pourrait également torpiller les espoirs de créer des monnaies multi-régionales.
Le groupe Bilderberg est terrifié non seulement par le fait que la Grèce pourrait quitter l’euro, mais quand le faisant, on assisterait à un rebond économique drastique et que cela deviendrait le modèle pour d’autres pays de la zone euro et que ceux-ci suivent le même chemin.
Cette crainte est exemplifiée par un article paru aujourd’hui dans le journal contrôlé par le Bilderberg: le Financial Times titré: Greece’s exit may become the euro’s envy.
“Expulsée de la zone euro, la Grèce pourrait devenir bien plus dangereuse pour le système qu’elle ne le fut jamais à l’intérieur, en devenant un modèle de convalescence économique saine et efficace”, écrit Arvind Subramanian.
Subramanian est un vétéran du Peter G. Peterson Insitute for International Economics, qui compte parmi ses directeurs un bon nombre de membres influents du groupe Bilderberg, incluant l’ancien directeur de la réserve fédérale américaine Paul Volcker, l’ancien ministre des finances américain Lawrence Summers, et le ponte du Bilderberg David Rockefeller.
“Supposons qu’à la mi-2013, l’économie grecque ait récupéré, alors que le reste de la zone euro demeure en récession. Les effets sur les pays adhérents à l’austérité comme l’Espagne, le Portugal et même l’Italie se feront sentir très fort. Les électeurs de ces pays ne manqueront pas de noter les meilleures conditions de leur voisin au préalable harassés. Ils commenceront à demander pourquoi leur gouvernement ne suit-il pas la voie grecque et feront savoir qu’ils sont favorables à la sortie de la zone euro, et plus spécifiquement si les conditions économiques restent ternes”, écrit Subramanian, ajoutant que la sortie potentielle de la Grèce “pourrait bien être contagieuse” et mener à l’abandon “de la zone euro et peut-être même du projet européen”.
Le groupe Bilderberg est très désespéré de sauver l’euro parce qu’il représente les fondements de leur agenda fnancier global de créer des monnaies régionales et des fédérations bureaucratiques minutieusement organisées sur le même modèle que l’Union Européenne.
Si l’euro prouve être un échec, le projet de réaliser le but ultime d’une monnaie mondiale est mort pour au moins 100 ans.
De plus, le Bilderberg chérit la monnaie unique parce que c’est son bébé.
Le président du groupe Bilderberg, Etienne Davignon, s’est vanté que le groupe aida à créer l’euro en introduisant le premier agenda politique pour une monnaie unique au début des années 1990, qui fut ensuite formalisée dans le traité de Maastricht de 1992.
Quoi qu’il en soit, les toutes premières discussions au sujet de la création d’une monnaie unique remontent à quelques décennies auparavant et à la réunion Bilderberg de 1955 à Garmirsh-Partenkirchen en Allemagne de l’Ouest.
Des documents fuités divulguent comment les élitistes du groupe Bilderberg discutèrent de la “nécessité d’amener le peuple allemand dans un marché commun européen le plus vite possible”, ajoutant que le futur était en danger sans une “Europe Unifiée”.
Cet agenda incluait “le besoin pour une monnaie unique” ainsi que de la création “d’une autorité politique centrale”.
En considérant le fait que l’euro a pris environ 5 décennies à construire, ne nous attendons pas à ce que l’élite mondialiste abandonne le projet sans se battre. La crise de l’euro va prendre le devant de la scène à cette réunion Bilderberg 2012 alors que ses membres essaient de manufacturer un consensus pour un effort concerté afin de sauver leur monnaie unique une fois de plus.
Source: InfoWars.com
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On comprend pourquoi on nous fait si peur sur les conséquences tragiques pour l’europe et l’économie mondial que pourraient avoir une sortie de l’euro pour la Grèce…On ne veux surtout pas qu’on sache qu’ils s’en sortiraient beaucoup mieux.