Tu n'as décidément rien compris, LILITH, à moins que tu ne sois seulement qu'une 'posteuse'...

Avant d'avancer quoi que ce soit et de sous-entendre gourou par-ci et Guide par-là, pousse un peu ta réflexion, décroche un peu et ouvre un bon livre... prends quelque recul et affûte ta perception des choses...

Tu traduis à ta façon ton ressenti par rapport à ce que je j'ai écrit mais tu es peut-être à mille lieux de cette pensée synthétique qui commence enfin à émerger au travers de mes mots et de cette intuition aussi raisonnée qu'avant-gardiste qui est la mienne... comme je puis me tromper mais mesures un peu tes mots avant d'alléguer tout et n'importe quoi, ceci-dit de la façon la plus sympathique et la plus salutaire... car si tu te permets encore ces allégations - c'est ton droit -, je ne me gênerai pas alors pour te remettre à ta place, toute sympathique que tu es.

Prouves-nous cette nouvelle synthèse dominante chez toi.

... qui n'est que la mienne et dont je suis loin du compte... quant à ma pensée synthétique et mon intuition aussi raisonnés qu'avant-gardiste, j'ai tout autant le droit d'affirmer ce que je veux que toi tu prends cette liberté de me taxer de petit chef, par exemple... mais tu es un peu dure là, je ne vaux pas un meu mieux ? eh oui, mon pauvre EFFAB, juste reflet de ce terrible miroir, surtout quand un tiers en rajoute une couche.
Oui, tu as parfaitement raison, je ne suis qu'un petit joueur qui ne sais pas très bien où il va, girouette à sa façon et tout féru de prétention... mais z'enfin, pour qui se prend-il ce petit caporal ?... Tu traduis à ta façon ton ressenti par rapport à ce que je j'ai écrit mais tu es peut-être à mille lieux de cette pensée synthétique qui commence enfin à émerger au travers de mes mots et de cette intuition aussi raisonnée qu'avant-gardiste qui est la mienne... comme je puis me tromper mais mesures un peu tes mots avant d'alléguer tout et n'importe quoi, ceci-dit de la façon la plus sympathique et la plus salutaire... car si tu te permets encore ces allégations - c'est ton droit -, je ne me gênerai pas alors pour te remettre à ta place, toute sympathique que tu es.

... comme j'ai le droit d'affirmer ceci et même de le clamer haut et fort en mon nom et en celui de l'Humanité tout entière, si cela me chante et tant que je le puis encore, on m'impose bien à moi, insignifiante fourmi que je suis, toute cette Démesure et toute cette Inconséquence... alors, LILITH, tout en étant vigilante à mon encontre, je t'y encourage, sais-t-on jamais comme il ne faut prendre aucun risque et veiller sans cesse à tous les détails ; n'en oublie pas pour autant les méchantes et grosses Banques en face, et ce débat d'idée ici, constructif et réfléchi, avec ou sans moi, moi qui ne compte que pour du beurre livré à moi-même...

Autant cérébral que je puis être physique, j'ai en effet cette propension à digresser à l'infini... ce que je ne vais pas tarder à faire.
Je ne recherche pas à digresser pour l'art de la digression, même si je reconnais qu'il peut être jouissif, d'une certaine façon, de pouvoir, au mieux et le plus exactement possible, expliciter une pensée, exprimer une idée : cela a à voir à la fois avec la beauté des mots et de cette combinaison entre eux que l'on appelle 'syntaxe' - il se crée alors comme un rythme propre à la phrase, comme une poésie : c'est ce qu'on appelle la prose et j'adore la mienne ! je ne peux le nier - et ce sens, cette réflexion qui s'enchaîne au gré des nouveaux ajouts et peut rebondir ainsi à l'infini selon la tournure qu'on va lui donner : ce peut être un article comme une simple virgule placée là ou plutôt ailleurs... En fait, je suis de plus en plus persuadé qu'il existe un rapport sous-jacent entre les mots employés et combinés entre eux de telle ou telle sorte, et la direction que peut prendre une réflexion, ce sens qui va donner naissance à telle ou telle pensée... comme pour les lettres qui créent le langage, la syntaxe élabore son propre monde, sa propre réprésentation - je suis en pleine lecture de Schopenhauer pour ceux qui peuvent comprendre si tant est que j'y comprenne quoi que ce soit moi-même -
ou l'idée qu'elle se fait du monde et de la vie ; ainsi nos croyances, nos questionnements pourraient (en partie) être très liés à la façon de nous exprimer mais surtout d'appréhender avec le plus de justesse ce sens et ces interrogations que nous pouvons coucher sur le papier ou maintenant sur notre écran. Je suis donc je pense, non ! complètement à côté de la plaque, l'ami DESCARTES, je dirais plutôt, en ce qui me concerne, J'écris donc je suis et, de façon plus générale, histoire de joliment synthétiser et conceptualiser tout ça : Dans la Création est l'Essence des choses"... un peintre dérit le monde comme il le voit ou l'idéalise, un poète crée une ambiance par la force de ses mots, EFFAB digresse à loisir car le monde est cette immensité subtile et son verbe à la démesure de cet idéal qui le dépasse et lui en impose.

Le vif du sujet, dis-tu LILITH, mais j'y suis à tout moment... mes idées sont alléchantes ? mais qui m'en a donné tout autant depuis que je suis né ? qui peut m'expliquer pourquoi le monde est tel qu'il est quand tant et tant d'esprits éclairés ont illuminé d'espoir et d'amour tous les cieux depuis perpète ?
et tu voudrais après tout ça que je m'y retrouve moi-même, ballotté par tant de pensées disparates, placer l'entrée avant le plat principal quand il est peut être là question de synchronicité quantique et autres réalités holographiques ?... Ce nouveau paradigme est à la fois très simple à comprendre et très compliqué / complexe à saisir... j'en sais quelque chose... et tu n'as pas l'air d'en avoir réellement conscience encore... cette impatience, cette 'prétention' au changement et ce savoir 'imparfait' par trop de connaissances... et si tu nous parlais de toi comme je puis le faire de moi-même, si nous parlions enfin d'égal à égale.

[i].... on m'impose bien à moi, insignifiante fourmi que je suis, toute cette Démesure et toute cette Inconséquence...
De quoi je parle au juste ? me demandes-tu, tout simplement que je suis inconnu au bataillon sur le grand échiquier public et social, et que l'on m'impose sans que je les aie désirées toute la Démesure de cette humanité de par ses choix excessifs et destructeurs, avilissants, et cette Inconséquence qu'elle a de pouvoir pousser la chansonette de mauvais goût ou se tragant d'une plus savante en même temps qu'elle sacrifie ou dénature des pans entiers de sa population et de ses richesses.

EFFAB a écrit:

Autant cérébral que je puis être physique, j'ai en effet cette propension à digresser à l'infini... ce que je ne vais pas tarder à faire.
Je ne recherche pas à digresser pour l'art de la digression, même si je reconnais qu'il peut être jouissif, d'une certaine façon, de pouvoir, au mieux et le plus exactement possible, expliciter une pensée, exprimer une idée : cela a à voir à la fois avec la beauté des mots et de cette combinaison entre eux que l'on appelle 'syntaxe' - il se crée alors comme un rythme propre à la phrase, comme une poésie : c'est ce qu'on appelle la prose et j'adore la mienne ! je ne peux le nier - et ce sens, cette réflexion qui s'enchaîne au gré des nouveaux ajouts et peut rebondir ainsi à l'infini selon la tournure qu'on va lui donner : ce peut être un article comme une simple virgule placée là ou plutôt ailleurs... En fait, je suis de plus en plus persuadé qu'il existe un rapport sous-jacent entre les mots employés et combinés entre eux de telle ou telle sorte, et la direction que peut prendre une réflexion, ce sens qui va donner naissance à telle ou telle pensée... comme pour les lettres qui créent le langage, la syntaxe élabore son propre monde, sa propre réprésentation - je suis en pleine lecture de Schopenhauer pour ceux qui peuvent comprendre si tant est que j'y comprenne quoi que ce soit moi-même -
ou l'idée qu'elle se fait du monde et de la vie ; ainsi nos croyances, nos questionnements pourraient (en partie) être très liés à la façon de nous exprimer mais surtout d'appréhender avec le plus de justesse ce sens et ces interrogations que nous pouvons coucher sur le papier ou maintenant sur notre écran. Je suis donc je pense, non ! complètement à côté de la plaque, l'ami DESCARTES, je dirais plutôt, en ce qui me concerne, J'écris donc je suis et, de façon plus générale, histoire de joliment synthétiser et conceptualiser tout ça : [i]Dans la Création est l'Essence des choses"... un peintre dérit le monde comme il le voit ou l'idéalise, un poète crée une ambiance par la force de ses mots, EFFAB digresse à loisir car le monde est cette immensité subtile et son verbe à la démesure de cet idéal qui le dépasse et lui en impose.

http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/f/fiche-article-la-langue-faconne-la-pensee-27831.php

J'ai l'article en entier si ca t intéresse.

Bonjour INTUITIF,

Merci beaucoup pour ce lien... évidemment je n'ai rien inventé, je suis moi-même dans cette intuition comme je ne fais que ressortir ensuite ce que je j'ai pu digérer de mes lectues, écoutes radiophoniques et autres visionnages. Je ne 'palabre' pas pour en imposer à qui que ce soit, pas plus qu'à LILITH que j'apprécie beaucoup, c'est juste ma façon de m'exprimer par écrit - il est certain que l'oral est beaucoup plus 'haché' et hésitant - et ce besoin, ce plaisir de partager tout ce qui s'agite dans ma petite tête... n'hésite surtout pas à me remettre à ma place si besoin est, cette vigilence envers autrui comme ce soucis constant de vérité, aussi ardue et prétentieuse soit-elle.

Bonne journée à toi et à plus tard

Quel est le sujet déjà ? mais nous sommes si bien coutumiers du fait, pourquoi nous en priver ?!

Je suis incorrigible ? pas plus que toi.
Je reparts dans un total hors-sujet ? que tu alimentes allégrement toi-même.
Avec 'aisance', oui, je crois qu'on peut le dire, mais pour 'la langue de bois', je crois qu'en matière de stéréotypes et autres allégations faciles, tu n'es pas mal non plus.
'M'imposer sur la scène du futur pouvoir' ? si tu me connaissais un peu mieux, je crois que tu rirais toi-même de ce que tu avances avec tant de certitudes.
'M'écouter parler' ou me relire plutôt pour corriger d'éventuelles fautes et parce que j'aime bien ce que j'écris, oui, tu as tout à fait raison, quant 'à te faire balader par de beaux parleurs', c'est bien là tout ton problème : intervenir à tout propos pour donner ton avis - oui, je sais, moi aussi ! - mais tout attendre d'autrui et ne pas pousser davantage ta réflexion ou ta volonté, et cette humilité parfois quand on est confronté à des choses qu'on ne comprend pas très bien.
La connaissance du monde ne vient pas seule, une recherche individuelle et incessante te permettra d'accéder à quelques clés.... Tu ne crois pas que pour accoucher de tout ce que j'ai écris jusque là - sans parler du centuple ailleurs et que tu ne connais pas - il m'a bien fallu pour cela aller puiser moi-même dans des heures et des heures d'écoutes et de lectures, de visionnages, de réflexions, de méditations et cette expérience de la vie, avec ses bonheurs et ses déceptions... oui j'écris très bien je crois, ce qui ne veut pas dire pour autant que je sois un simulateur... quand tout ce que j'entends moi dans ces mots que j'emploie et qui sont les miens - au même titre qu'ils appartiennent à tous - toute la complexité de ma personne et ce rapport que j'ai avec ce monde environnant.
Alors, ne dis pas n'importe quoi et mesures un peu mieux tes propos.

Parler de moi ? Il n'y a pas grand chose à dire sinon que je suis une posteuse ordinaire.
Etre une 'posteuse ordinaire' ne suffit plus, surtout quand on la ramène sans cesse avec les gros méchants banquiers et le Nouvel Ordre Mondial... Tu seras beaucoup plus logique avec toi-même si, enfin, tu fais preuve de davantage d'humilité et d'exigence.

Bien à toi

Liberum a écrit:

Je te souhaite une excelente croisade Lynxx767 !

J'espere te revoir bientot sur les topic

Merci l'ami, je serai asse souvent absent, ce mois si, j'ai trouver un lieu ou je peux ... ( je ferais un topic la dessus donc @ suivre )

Lilith 168 a écrit:

L'idée d'une panne mondiale du système OK mais de quelle manière s'y prendre ?

Lancer des idées d'accord (j'avais pensé aussi à cette probabilité d'une panne générale) cependant comment réaliser celle-ci ?

Dans le topic d'EFFAB (voir : http://www.planete-revelations.com/t11602p15-ethique-et-transparence#108802)

où les propositions de changement fusent mais personne ne dit non plus comment agir pour mettre plus tard en oeuvre le nouveau monde,

proposé par certains membres.

Tkt tu n'aura rien a faire cela ce fera tout seul, le hasard.


je ne fesais que passer en coup de vents, je vous lirais plus en détail plus tard.

bien a vous

Le Lynxx

Lilith 168 a écrit:

[center]

L'idée d'une panne mondiale du système OK mais de quelle manière s'y prendre ?

une liquidation ?

Je ne suis pas certain que cela pourrais nous être utile, même ci à première vue cela pourrais paraître plaisent, mais les conséquences seraient tellement catastrophique que tous le monde en payerais le prix fort (grimace)

Lilith 168 a écrit:

Je relançai le débat sur comment s'y prendre pour changer les choses ou comment déclencher le processus.

Anonymous ne comptons pas trop sur eux. Nous seuls devons nous y coller.

Salut lilith,

En effet sur anonimous, faut pas compter sur eux, je le faisais remarquer hier a effab, trop beau pour être vrais leurs plan "mayhem" de plus ça sant le plan marketing façon de ceux d'en face, jouant sur les émotions, bref c'est du chiquer, enfin pour moi....

Relancer le débat, Lilith, c'est bien mais quand à y participer toi-même, il me semble que tu dois te remettre en question plus souvent avant tout, et mesurer beaucoup mieux tes propos : l'émotion ou tout ce que tu voudras n'excuse pas certaines allégations et certains comportements ; tu te dois de veiller, tout en gardant l'esprit ouvert et cette liberté d'expression qui t'est propre comme à tous, aux mots que tu emploies et à ces considérations personnelles engageant autrui : tu peux affirmer beaucoup de choses mais sans jamais oublier ces valeurs et ces notions essentielles que sont le respect et l'humilité, entre autres.
Tu as je crois dépassé les bornes, ça peut arriver à tous, mais nous n'admettrons pas, dans la construction d'un tel paradigme, ces redites et ces calomnies. Tu as l'intelligence de voir en ces propos ceux d'un ami, c'est tout ce que je te souhaite.
Bien à toi

Il n'y a là aucune virulence de ma part et je ne cache rien en particulier, encore une interprétation de ta part comme tu peux tout à fait avoir raison toi-même... tout le problème est là : non pas tant qui a raison mais à qui peut-on se fier ? J'ose cependant croire que je ne suis pas aussi sournois ni calculateur que tu pourrais le penser, ou quelque chose comme ça.
Si je suis intervenu c'est parce que c'était mérité, un point c'est tout et cesse si tu as un tant soit peu d'intelligence d'y revenir comme une enfant dont tout ce qui l'intéresse est d'avoir le dernier mot. Bref, reconnais tes torts et c'est moi alors qui n'y reviendrai plus. Ou, sinon, si cela t'est trop demandé, tu ne la ramènes plus toi-même.
Bien des choses à toi

Lilith 168 a écrit:

Des ordres venant de toi. Ne t'attends pas à ce que je m'y soumette.

Quiconque lis tes propos remarque aussitôt ton venin dissimulé sous d'aimables paroles.

Tu interviens quand c'est mérité. Tu te prends pour Dieu.

Je continuerai à m'exprimer malgré toi, te fatigues pas pour rien.

Tu confonds 'ordres' et 'conseils' amicaux, quand il n'y a là de ma part qu'attention (et vigilance), sympathie, au pire compassion.
Je te l'ai déjà dit, 'autorité naturelle' ou cette propension que j'ai à gentiment sermoner - comme on peut très bien le faire à mon endroit - et non autorité en propre, en ce cas, crois-moi, tu mesurerais mieux tes propos.
Entre cet Infini qui m'interpelle et me dépasse, et ce gros fantasme de Man of Love (Man of Steel ou Superman pour les nouveaux), il est certain, je ne me prends pas pour de la merde ! est-ce un péché ?
Addiction et mauvaise foi aidant, sûr que tu as beaucoup encore à dire... me fatiguer pour rien ? je n'en suis pas si sûr : cette exigence autant que ce principe et cette nécessité.

Quand on me cherche, on me trouve, c'est certain, comme je suis le premier à reconnaître mes torts.
Du 'venin', c'est là ton sentiment, crois-moi, je suis plutôt très sympathique (attention la cheville...), il n'empêche, je puis être parfois un peu dur comme il m'arrive d'être sévère avec les enfants, quand ils font des bêtises et s'entêtent à vouloir avoir le dernier mot, et je suis bien placé pour en parler.