Messages : 6839 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Anciennes Découvertes nous montrant des traces de technologies anciennes. Dim 2 Mar 2014 - 11:37
Rappel du premier message :
Bonjour je vous propose une synthèse de divers étrangeté et énigme de notre passé. Que j'ai trouvée intéressante à différents niveaux, et qui surtout évite les éceuilles habituels., bonne lecture et découverte.
Anciennes Découvertes nous montrant des traces de technologies anciennes
La technologie ancienne est fascinante et mystérieuse. C’est quelque chose qui demande à la science de questionner ses propres notions préconçues basées sur, « si nous ne l’avons pas vu ou ne l’avons pas compris, ça ne peut pas exister. » Ces découvertes étonnantes valent définitivement des recherches approfondies, car elles pourraient changer notre histoire, pour toujours!
De plus, comment savons-nous réellement qu’ils n’ont pas déjà découvert des preuves d’ancienne technologie? Plusieurs organisations archéologiques notables nous ont menti par le passé, y compris le Smithsonian Institute.
Pour moi, ces sujets prouvent définitivement l’existence des Nephilim / anges déchus, qui, étaient nettement plus avancés que nous technologiquement parlant aussi bien que supernaturellement plus fort.
Ce mystérieux dispositif mécanique est décrit comme le premier ordinateur analogique du monde. Il a été découvert par des pêcheurs au large de la côte d’Anticythère aux alentours de 1900 après Jc. Les scientifiques s’accordent à dire qu’il est réel et remonte aux alentours du 2ème siècle avant JC, ce qui signifie qu’il est âgé de plus de 2000 ans.
La machine d’Anticythère, appelée également mécanisme d’Anticythère, est considérée comme le premier calculateur analogique antique permettant de calculer des positions astronomiques. C’est un mécanisme de bronze comprenant des dizaines de roues dentées, solidaires et disposées sur plusieurs plans. Il est garni de nombreuses inscriptions grecques.Source
Décorant le mur d’un temple Egyptien à Abydos d’étranges hiéroglyphes représentent ce qui apparait être des avions modernes. Cette découverte a provoqué beaucoup de controverse parmi les Égyptologues et archéologues qui ne savent pas trop quoi en penser. Comment 2 à 3000 ans auparavant, des gens auraient pu connaitre nos engins aériens modernes?
Lorsque le Dr Ruth Hover et son mari ont fait un voyage pour aller voir les pyramides et les temples en Egypte, ils ont été choqués quand ils ont découvert, dans le temple d’Abydos, des hiéroglyphes représentant des avions modernes. Elle a photographié un morceau de mur dans une section où il y a un panneau émietté et en lambeaux avec les hiéroglyphes égyptiens, révélant un panneau plus âgé en dessous. Ce panneau plus âgé, ci-dessus, contient des images de ce qui semble être la technologie moderne des hélicoptères, d’un sous-marin, d’un planeur, et d’un autre type d’avion inconnu (certains croient qu’il ressemble à l’Hindenburg).
Certains sont certains que les anciens étaient en contact avec des aliens d’autres planètes, alors que d’autres pensent que ce sont les aliens de la planète Nibiru qui sont responsables.
Je crois que ces hiéroglyphes nous montrent clairement que les Nephilims (anges déchus) étaient sur Terre et qu’ils ont enseigné aux Egyptiens la technologie qu’ils connaissaient avant d’être bannis du paradis pour aller au Mont Hermon après avoir pêché contre Dieu, ou, les Egyptiens de cette période, étaient des descendants des Nephilims, et laissèrent un message derrière eux de leur connaissance aux futures générations.
Des Hiéroglyphes vieux de 3000 ans qui présentent la technologie de nos jours! Cela marquerait la chute des anges?
Dendérah
Les lampes de Dendérah – il y a trois bas reliefs qui peuvent être consultés dans la section Hathor du complexe archéologique du Temple de Dendérah, qui est situé sur les rives du Nil à environ 500 km au sud du Caire, en Égypte. Certains chercheurs déclarent que ces images représentent une ancienne forme de technologie électrique ou d’un système d’éclairage. (Voir photo ci-dessus). Il semblerait que l’homme tient un type d’outil puissant, et que son long cordon est branché à une prise.
Trois œuvres d’art remarquables sont situées dans l’église récemment restaurée de San Pietro, à Montalcino, en Italie. celle situé immédiatement derrière l’autel est appelée la glorification de l’Eucharistie (voir ci-dessus) et a été peinte juste avant l’an 1600 par l’artiste Ventura Salimbeni. Bien qu’ils aient peint le monde avec une colombe planant au-dessus, un examen plus attentif fait que cette œuvre est rare et inhabituelle du fait qu’elle dispose d’un dispositif apparemment mécanique, qui ressemble à un satellite ou à un drone de surveillance.
Le dispositif dispose clairement d’antennes télescopiques, ce qui apparait être être une caméra (ou une lentille) ainsi qu’un projecteur de lumière. Certaines personnes sentent que la lentille est une représentation de la lune et la lumière est une représentation du soleil. Si cela est vrai, alors la lune est un double croissant et le Soleil est représenté proportionnellement inférieur à ce qu’il devrait être. En outre, les antennes sont évidemment fixées sur le globe avec des dispositifs pour passer des câbles et par des sphères aériennes. Le globe dispose également de lignes qui ont été dites représenter les lignes de longitude du globe terrestre. En fait, les lignes apparaissent être similaires aux joints de plaques de métal.
Le Mont Hermon : Le Centre de l’ONU sur territoire Nephilim
Situées à Baalbek au Liban se trouvent les plus grosses pierres mégalithiques jamais gravées dans de la roche « vivante » d’une carrière. Souvent désignées comme cyclopéennes, elles varient en taille et en masse, mais la plus importante est estimée peser plus de 1300 tonnes et se trouve être encore utilisée. Il semble que des milliers d’années auparavant, elles ont été façonnées en rectangles gigantesques et déplacées d’un millimètre afin d’être utilisée dans le début de la construction du complexe archéologique de Baalbek qui a été élargi au cours de la période romaine, quand la ville fut nommée Héliopolis (la ville du Soleil). Elles ne sont pas seulement des pierres de fondation car il est assez clair qu’elles reposent sur une couche plus profonde de blocs plus petits, mais toujours très grands. Ces unités massives pesant chacune environ 750 tonnes ont été construites dans le mur de soutènement ouest de la place et sont connues sous le nom de Trilithon. La précision avec laquelle ces mégalithes ont été sculpté est incroyable et serait presque impossible à atteindre, même aujourd’hui. Comment ils ont été déplacés et placés dans la construction du grand Temple Baal – Jupiter (Zeus) est toujours un mystère.
Cependant, je ressent que la réponse est assez simple. Des anges déchus / Nephilim avaient des pouvoirs superhumains et étaient très grands. Ils avaient aussi des aptitudes technologiques tellement avancées, que les experts sont incapables de reproduire de nos jours.
La Cité des Géants découverte en Équateur? Des preuves semblent soutenir les Nephilims?
Le disque de Phaistos – Une découverte vraiment inhabituelle faite en 1908, située dans un dépôt du temple souterrain qui a été associé à l’ancien site du palais minoen de Phaistos sur l’île de Crète. Fabriqué à partir de terre cuite, le disque est d’environ 15 cm de diamètre et d’un centimètre d’épaisseur avec des symboles imprimés sur les deux faces. Personne n’a jamais été capable de décoder l’étrange écriture sur le disque d’une manière acceptable selon des archéologues ou des étudiants dans le domaine des langues anciennes.
Il y a plusieurs raisons pour lesquelles cette pierre est si inhabituelle. Elle est unique en son genre et aucun autre élément (avec peut-être l’exception de la Hache d’Arkalochori) ne porte des inscriptions similaires. L’écriture a été créée en appuyant des caractères préformés dans l’argile, ce qui en fait la première utilisation enregistrée de caractères mobiles. Le disque est largement considéré comme authentique et est exposée dans le musée d’Héraklion de la Crète, Grèce.
Les piles électriques de Bagdad
Ces objets étranges ont été découvertes en 1936 lors d’une fouille archéologique au village de Khuyut Rabbou’a, situé à environ 30 km au sud-est du centre de Bagdad et à proximité de l’Arc de Ctésiphon.
Décrite comme étant de 13 à 14cm de hauteur, elles contenait un cylindre de cuivre, et en son sein une tige de fer était suspendue. En Décembre 1939, peu après le début de la Seconde Guerre mondiale, un archéologue allemand du nom de Wilhelm Konig est tombé dessus dans le sous-sol du Musée national de l’Irak.
Ancienne technologie Indienne, Les Vimanas de Vymaanika Shaastra
Les Vimanas sont l’une des découvertes archéologiques les plus choquantes! Aquaziam News déclare:
Elle se réfère à une collection de documents historiques de l’Inde antique qui décrivent un ensemble de machines volantes incroyables et des armes d’une norme technologique encore plus avancées que celles qui existent aujourd’hui. La plus ancienne mention de ces machines se trouve dans les textes sanskrits connus comme le Veda et remontent à environ 1500 avant JC. Une traduction moderne nous: « sauter dans l’espace rapidement avec un engin utilisant le feu et l’eau … contenant douze stamghas (piliers), une roue, trois machines, 300 pivots et 60 instruments. »
Dans les textes du Ramayana il ya des références à des machines volantes qui ont été utilisés pour la commodité de la classe dirigeante. Dans les textes du Mahabharata il y a des descriptions d’avions de combat qui tirent des missiles qui utilisent le son pour trouver leur cible et des faisceaux de lumière qui détruisent tout ce qu’ils touchent avec leur énergie. Le crédit pour ces machines a été attribué aux Yavanas qui sont censées être les anciennes civilisations grecques.
Le feu était utilisé dans les guerres où les premiers enregistrements historiques se déclarèrent, et à l’heure actuelle, nous sommes encore dépendants du feu à l’extrême sous la forme d’explosifs, lanceurs de canons, missiles, armes à feu, et lance flamme. Cependant, une arme peut être développée qui est tellement avance sur son temps, qu’elle confère de la force et des capacité hors normes aux militaires, qu’elle peut changer le cours de l’histoire.
Source; Before It's NewsLe 27 février 2014.
Dernière édition par akasha le Mar 4 Mar 2014 - 2:27, édité 1 fois
Auteur
Message
akasha
Messages : 6839 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Anciennes Découvertes nous montrant des traces de technologies anciennes. Mar 11 Mar 2014 - 9:58
Oui en effet KekeKili C'est exactement cela. Si tu clique sur le lien en dessous de l'image, tu as toute l'explication justement...Mais je vais l'éditer, se sera mieux, puis Osiris (le membre) ne se gène pas de poster un pavé juste pour un nom....Donc pour une chose aussi intéressante et en corrélation avec le sujet ça en vaut la la peine
OSIRIS
Messages : 4965 Date d'inscription : 12/10/2012 Age : 53
Sujet: Re: Anciennes Découvertes nous montrant des traces de technologies anciennes. Mar 11 Mar 2014 - 10:27
akasha ,
Citation :
Le dieu créateur égyptien c'est Ptah et non Atum (atum c'est un méchant des bd Marvel )
Citation :
Mais je vais l'éditer, se sera mieux, puis Osiris (le membre) ne se gène pas de poster un pavé juste pour un nom....
un nom dont vous ne connais pas apparement ,,,,,,,,
[quote]voici une illustration en claire des lampes, ou serait les lotus ?
C'est une représentation différente la création du monde dans la mythologie égyptienne.
Les Egyptiens ont cru qu'avant que n'importe quoi d'autre a existé il y avait une mer primordiale vaste de néant.
Allen, James P. (2000). Middle Egyptian: An Introduction to the Language and Culture of Hieroglyphs. Cambridge University Press. pp. 466. ISBN 0-521-77483-7.
Ils ont cru que la première chose à émerger de cette mer était une fleur de lotus.
Wilkinson, Richard H. (2003). The Complete Gods and Goddesses of Ancient Egypt. Thames & Hudson. pp. 206–207. ISBN 0-500-05120-8.
http://www.egyptianmyths.net/lotus.htm
le supposee cable est le tige du lotus , et on voir la lotus a cotez du main doit du personnage a gauche du "relief" ,,,,,,,,
Ce "relief" a été fait après que Dieu Atum a été fusionné avec Dieu de soleil Ra et est devenu ainsi l'Atum-ré.
Atum Dieu qui a créé tout le reste après que c'est en fait représenté comme un serpent.
Et oui c'est un serpent dans ces "reliefs" pas les filaments d'ampoule, vous pouvez voir en fait les yeux et d'autres éléments d'un serpent si vous regardez de près.
C'est la mythologie égyptienne assez standard, que la fleur de lotus est venue en avant d'abord alors premier Dieu Atum – qui a été représenté comme un serpent.
Bien et la bulle l'entourant ?
Je citerai un expert directement sur ce point
“En dépit de la variété de divinités, les Egyptiens ont conçu l'origine du monde comme singulière. Seulement un Dieu (Atum) était responsable de l'apparition de l'univers comme une bulle d'air dans l'obscurité océanique et éternelle vaste, illimitée, inerte des eaux primordiales non différenciées (la Religieuse) qui a existé avant la création.”
En d'autres termes l'univers est venu en avant du lotus dans une bulle d'air.
http://www.maat.sofiatopia.org/netjer.htm
L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message
akasha
Messages : 6839 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Anciennes Découvertes nous montrant des traces de technologies anciennes. Mar 11 Mar 2014 - 10:41
Les Lampes de Denderah
Les lampes de Denderah sont se qu'on pourrait définir comme de parfaits OOParts réels, à savoir un ou plusieurs objets historiques, archéologiques ou paléontologiques trouvés dans une période historique totalement étrangère aux objets eux-mêmes. Le terme a été inventé par le cryptozoologue Ivan T. Sanderson et depuis lors, il est souvent utilisé par ceux qui tentent d'expliquer des théories officielles historiques - c'est devenu un terme scientifique reconnu.
Notez bien que les graveurs ont bien pris soin de bien marquer la délimitation du verre de l'ampoule géante, y compris sur le grand personnage principal, et en prenant également soin de rendre la transparence du verre : on voit le personnage en transparence. De plus, sur cet exemplaire, le "dieu air" supporte bien cette ampoule, qui n'a aucune apparence de fleur de lotus d'ailleurs. Seul le bout "conducteur" de l'ampoule est joliment travaillé en forme de fleur de lotus (on peut d' ailleurs trouver un genre de lampe de chevet avec embout en forme de fleur de lotus de nos jours !). Quant au serpent, tout le monde peut admettre qu'il pourrait tout aussi bien s'agir du fil à incandescence (par exemple) au milieu de l'ampoule... ou de l'arme !
Les lampes de Denderah sont exactement semblables à des lampes , mais figurent dans un bas-relief du temple d'Hathor à Denderah (Egypte), datant de la quatrième dynastie, qui est à plus de 4500 ans d'aujourd'hui. Le mur a été découvert dans une petite crypte du Temple. Certains prêtres sont représentés dans la gravure, avec l'intention d'arbitrer une cérémonie autour des objets qui ont été définis par des fleurs de lotus par l'archéologie officielle, avec dans le centre un serpent qui vient représenter un mythe antique égyptien lié au dieu Osiris. Mais comme nous le voyons dans l'image ci-dessous cette conception se prête à de nombreuses interprétations :
Des théories alternatives proposent une interprétation tout à fait différente de l'interprétation officielle, et qui est devenue célèbre comme la théorie des " Lampes Denderah " , mais qu'est-ce qui a conduit à penser à cela?
Les partisans de la théorie alternative croient que la tige de la fleur de lotus pourrait être une sorte de câble électrique, le type de soutien qui est supposé être une représentation de la colonne dorsale du dieu Osiris serait plutôt la première représentation d'un isolant électrique, tandis que la ligne ondulée qu'on voit à l'intérieur serait une sorte de fil d'un métal conducteur semblable à celui trouvé aujourd'hui dans les ampoules modernes, avec autour du verre. Ci-dessous la théorie repportée sur le papier qui nous permet de mieux observer les différents éléments :
En effet, si nous regardons bien à examiner le schéma dans l'ensemble, cela semble montrer deux instruments utilisés pour une sorte de fonction. Beaucoup de conjectures ont été faites sur la technologie des anciens Egyptiens, mais auraient-ils également découvert l'électricité ? Arrêtons-nous sur les détails, comme nous l'avons déclaré, le soutien serait la représentation de la colonne dorsale du dieu Osiris, est très similaire à un isolant électrique qui peut être vu quotidiennement pour des lignes électriques aériennes, et qui servent à isoler les colonnes du " câble à Haute tension ", dans la photo ci-dessous nous voyons la comparaison, et comme vous pouvez le voir, ils sont très similaires.
Cet ensemble de fil-serpent à l'intérieur de l'ampoule est ce qui tape le plus à l'oeil en particulier, mais si vous avez vraiment envie de voir si c'est possible, regardez les dessins et les diagrammes ci-joint, où vous pourrez trouver plus de détails liés à des signes avant-coureurs d'un véritable système électrique.
1 -Prêtre 2 -vapeur ionisée 3 -une décharge électrique (Serpent) 4 -douille de lampe (fleur de lotus) 5 -câble (la tige de la fleur de lotus) 6 -Dieu d'air 7 -isolant 8 -symbole du danger [Thot avec des couteaux] 9 -symbole de l'actuel 10 -symbole de la polarité opposée 11 -outil pour la conservation de l'énergie (batterie?)
Pluieurs chercheurs (Peter Krassa, Reinhard Habeck...) soutiennent cette hypothèse, ils notent également que la tige d'une fleur de lotus de pousse pas à l'horizontal sur le sol comme sur la gravure mais que dans la plupart des cas la tige de fleur de lotus n'est pas visible du tout puisque la fleur est immergée dans l'eau en principe. En outre, une fleur de lotus n'a jamais été reproduite avec ce genre de boule de verre ailleurs, et que même si le concept était de représenter le serpent né du lotus, ce ne serait pas logique de faire une telle chose. Une autre chose qui a provoqué beaucoup de discussions est le fait que le Dieu Thot est présent avec des couteaux à la main, ce que les Egyptiens avaient l'habitude d'utiliser comme symbole de grand danger. Une simple fleur de lotus qui nous pourrait jamais produire un tel danger ?
Mais les coïncidences ne s'arrêtent pas là : peu de temps après la découverte du Temple de Denderah (en 1857), le scientifique britannique Sir William Crookes se met à construire une lampe qui émet des rayons X, appelée "tube de Crookes", dans laquelle nous pouvoir voir de nombreuses similitudes avec la lampe de Denderah dans ses principes :
Un câble qui part de l'extrêmité du tube de Crookes atteint un isolant à haut voltage, la prétendue Egypte ancienne était représentée par un symbole appelé ZED. Même objet que l'on retrouve à l'intérieur de la pyramide de Gizeh, toujours présumé catalyseur d'énergie, est visible dans de nombreuses autres représentations et dispersé dans toute l'Egypte. Dans l'image ci-dessous nous pouvons voir l'intérieur de la pyramide ZED.
A l'intérieur du tube de Crookes, la lumière est diffusée à travers une bobine lumineuse qui serpente et curieusement, c'est la même chose dans le bas-relief à Denderah. Nous savons que les anciens Egyptiens appelaient le serpent né du lotus comme "Seref", qui signifie «lumière», juste une coïncidence ? Peut-être que le mythe du serpent né de la fleur de lotus peut être retracé dans le sens où il figure la lumière qui provient d'une ampoule ...
Mais alors, les Egyptiens avaient vraiment découvert l'utilisation de l'électricité 4000 ans avant Benjamin Franklin ? Sur cette idée, il y a eu beaucoup d'études et des découvertes, nous savons que le phénomène de l'électricité a également été étudié par les anciens Grecs et les Babyloniens (les Piles de Bagdad sont visibles par tous (ou étaient) au Musée de la ville, les preuves de plaquages d'or et d'argent antiques existent), et que par conséquent, ces peuples anciens étaient au moins au courant de la possibilité d'exploiter cet élément naturel.
De plus, le Temple de Denderah est aussi controversé parce qu'il contient un zodiac. A priori il a été construit sous Ptolémée, alors que les anciens Grecs envahissaient l'Egypte. La conclusion a été que le zodiac a été un apport des anciens Grecs aux Egyptiens, à travers lequel de panthéon des dieux grecs a rejoint celui des egyptiens. L'autre argument est que le zodiac de Denderah prouve que les égyptiens connaissaient les étoiles et que leurs dieux étaient identiques à ceux des grecs. Après tout, on sait aussi que beaucoup d'érudits grecs sont venus étudier en Egypte, une éducation dont peu se sont vantés dans leurs écrits célèbres...
Si tout ceci est toujours un mystère ou tout simplement une hypothèse, nous savons tous que les grands anciens peuples égyptiens étaient capables de choses étonnantes...
Yves Herbo SFH 07-08-2012
adzo
Messages : 264 Date d'inscription : 29/09/2009
Sujet: Re: Anciennes Découvertes nous montrant des traces de technologies anciennes. Mar 11 Mar 2014 - 10:53
Il n'a pas été apporté de contre argumentation à ce qui a été opposé à cette théorie de lampes. D'ailleurs au passage, l'article du site sciences-fictions-histoires pour faire croire qu'il s'agirait de verre, dit un gros mensonge qui est le suivant: "on voit le personnage en transparence" C'est faux. Il suffit d'ouvrir ses yeux pour le voir: http://m7.i.pbase.com/o6/97/570097/1/59055417.2iRLKoai.20060405_MG_5457aCustom.jpg http://aliengods.jbsheets.com/wordpress/wp-content/gallery/dendera/dendera_light_003.jpg On ne voit pas les bras ni le tronc, ni les jambes de ces hommes derrière cette 'gangue'.
Notez au passage que le dessin qui a été reposté sur ce forum ne correspond pas aux deux bas reliefs dont on a les photos et qui sont accessibles au public. Il me semble avoir lu qu'ils correspondent à une autre salle de ce même temple.
Question restée sans réponse: Pourquoi dans ces représentations là le pilier djed serait un élément technologique et pas ailleurs ? Qu'est-ce que les textes et la culture de l'égypte antique nous enseigne? (c'est ce qu'Osiris nous a rapporté) C'est quand même sur cette base et seulement sur cette base que l'on peut correctement interpréter ces bas-reliefs, sinon comme je l'ai dit ce n'est que pure spéculation.
Que disent littéralement les hiéroglyphes qui accompagnent ces bas-reliefs ? Parlent-ils de technologie ou de l'émergence du monde ? (qui en réalité se produit à chaque instant et non pas dans un lointain passé originel mais ça sort du sujet et c'est seulement une remarque personnelle)
akasha
Messages : 6839 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Anciennes Découvertes nous montrant des traces de technologies anciennes. Mar 11 Mar 2014 - 11:14
C'est exactement comme pour les pyramides de Gizeh, personne n'en sais rien...C'est théories contre théories, personnes n'est en mesure d'affirmé quoi-que se soit...Surtout que l'égyptologie officielle sous couvert de la franç-maçonnerie gardera toujours jalousement se qu'ils en savent vraiment. Nn'en déplaise à un certain Pitou qui sur un autre fil nous sert naivement l'interview d'un franc maçon...Risible
Autre chose, je vais définitivement mettre un terme à la polémique entre Ptah et Atum Ré né à cause d'un article très mal traduit. Je vous propose tout ceci en clair cette fois-si (la charte du forum exige de s'exprimer en bon français et compréhensible)
Le début du règne de Ra - Atoum Et Ptah
Genèse égyptienne :
- Au commencement, le monde était une étendue infinie d'eaux ténébreuses et vides Alors Ptah vint , il vît et entendit, sentit et perçut dans son coeur l'existence. Mais ce qu'il percevait il l'avait auparavant imaginé en son intérieur.
Puis apparu l'Ogdoade d'hermopolis (les 8 dieux primordiaux), composées de quatre couples qui avaient l'apparence de serpents (les femelles) et de grenouilles (les mâles) : - Noun (Nouou) et N(a)ounet, les eaux primitives. - Houh et Haouhet, l'infini - Kouk et Kaouket, l'obscurité primordiale - Tenemou et Tenemou(i)t (ou Niaou et Niaout, ou Ghereh et Gheret), le néant.
Ptah, le démiurge, accompagnait les huit dieux primordiaux, avec lesquels il créa l'univers par la pensée (Horus) et la parole (Thot) ; ces divinités sont appelés hypostases de Ptah.
Thot donna un oeuf à l'Ogdoade, qui le déposèrent sur la colline primordiale, à Hermopolis même. Ou alors cet oeuf était un bouton de lotus, flottant sur les eaux primordiales. De lui naquit un soleil enfant, Harsomtous / Ra / Atoum, sur la première fleur dont les rayons bénéfiques inondèrent l'univers.
Atoum créa le premier couple, Chou et Tefnout : ainsi "fut-il Un, puis il devint Trois". A son tour, le premier couple donna la vie à Geb et Nout, le Terre et le Ciel.
Geb pondit un grand oeuf où sortit l'oiseau Benou (phénix). Dès la première aube, l'oiseau Benou s'envola au-dessus des eaux, battant silencieusement l'air de ses grandes ailes, traîant ses longues pattes derrière lui. L'oiseau atteignit une pyramide de rochers (le benben), qui émergeait à peine de la surface des eaux. Ouvrant son bec, il poussa un cri sauvage. Le son se répercuta à travers l'océan infini, brisant le silence éternel. Alors que, pour la première fois, la lumière de l'aube poinatait parmi les ténèbres, le monde fut soudain empli de la connaissance de ce qui devait et ne devait pas être.
Geb et Nout, b?Terre et Ciel, étaient étroitement enlacé. Nout se coucha sur Geb et s'unit à la Terre. Les enfants de Nout et de Geb furent les étoiles. Mais Nout et Geb s'étaient mariés sans le dire à Ra, qui ne leur aurait pas permis. Quand il fut averti de cette union, en effet, il se fâcha. Pour les punir, il leurs interdit tout rapport sexuel, et lorsqu'il apprit que Nout était enceinte, surtout s'agissant de quintuplés, il ordonna à Chou de séparer ces amants fougueux Chou se glissa alors entre eux et les sépara. Il projeta Nout dans les airs et elle y demeura, en appui sur ces bras et ses jambes qui devinrent les piliers du ciel. Son abdomen, constellé d'étoiles, devint la voûte céleste. Au dessous d'elle, Geb tentait vainement de se relever pour se rapprocher d'elle et ses efforts pour se relever sont à l'origine des plissements de la terre et des chines de montagnes.
Mais cette punition n'était pas suffisante pour Ra qui déclara que Nout ne pourrait mettre au monde aucun enfant pendant aucun des 360 jours de l'année.
Ainsi vouée à la stérilité éternelle, Nout s'en alla confier son chagrin à son ami Thot, le dieu magicien à tête d'ibis, qui était non seulement le maître suprême de l'arithmétique, de la parole, de l'écriture et des scribes, mais aussi le protecteur de la lune et le puissant régent du temps et du calendrier pour les dieux et pour les hommes. Nourrissant un amour caché pour la déesse, Thot décida de voler à son secours.
Pour ce faire, il entama une partie de dés avec la lune et il gagna la partie. Il recommença et il gagna encore.Après plusieurs parties, comme il gagnait toujours, il tint la lune à sa discrétion. Il se fit donner par elle un septante-deuxième de ses feux et de sa lumière : de quoi fabriquer cinq jours entiers. (Ces cinq journées entières qu'il ajouta aux 360 de l'année telle qu'elle existait jusqu'ici seront appelés "jours épagomènes") Or ces cinq jours n'appartenaient à aucun mois, ils étaient en dehors de l'année et du calendrier : Elle s'empressa de les mettre à profit pour donner clandestinement naissance à cinq enfants : un pour chaque jour gagné sur la lune par son ami Thot.
Le premier jour naquit Osiris. Au moment de sa naissance une voix mystérieuse annonça : "Le maître de toute chose est né à la lumière." Sur toute la Terre entière entière, on entendit des cris de joie. Mais peu de temps après, la voix annonça que de grands malheurs arriveraient au nouveau-né. Et les cris de joie cédèrent aux lamentations et aux pleurs.
Le deuxième jour, naquit Haroêris ; le troisième jour ce fut le tour de Seth ; le quatrième jour ce fut Isis qui naquit et enfin le dernier jour Nephtys. C'est ainsi que virent le jour les dieux Osiris, Horus le Grand, Seth, Isis et Nephtys. Seth épousa sa sœur Nephtys tandis qu’Osiris s’unit à Isis.
La légende de la déesse lointaine :
On raconte que Tefnout, l’œil de Ra, la fille bien-aimé de Ra-Atoum, décida un jour de s’exiler dans la lointaine Nubie, lassée de cette vie monotone. Ayant adopté les traits d’une lionne, la redoutable Sekhmet, elle arpentait les déserts, assoiffée de sang, à l’affût de chair fraîche. Elle était vraiment impressionnante, la Redoutable : ses yeux lançaient des éclairs, de sa bouche sortaient des flammes et ses rugissements se répercutaient à l'infini.
"Sa crinière est enflammée, son dos avait la couleur du sang, son visage brillait comme le soleil, son œil flambait... Et le désert fut obscurci de poussière, alors qu’elle battait le sol avec sa queue."
Ivre de liberté, elle attirait par sa beauté et sa fougue tous les mâles qui lui donnaient de beaux lionceaux qu’elle allaitait de son lait divin. Mais, au Palais, le Maître s’ennuyait de sa fille chérie et le peuple tout entier se morfondait et vivait dans la tristesse et l’attente de son retour. Le Roi convoqua l’assemblée de ses Dieux afin de trouver une solution. Il convainquit Chou et Thot de partir en Nubie à sa recherche. Chou, en tant que frère de Tefnout souffrait de cette séparation, et, transformé en lion pour attendrir la rebelle, il pourrait sûrement la séduire. Quant à Thot, maître des écritures et de la parole, fort en mots et en sagesse, il saurait bien la raisonner.
Arrivés en Nubie, ils rencontrèrent la belle Tefnout et tentèrent de l’amadouer. Mais, enragée, la déesse s’énerva. Afin de la calmer, ils se transformèrent en petits singes, animaux insignifiants qui ne sauraient troubler la belle indomptable. Irascible, la lionne tenta de tuer Thot. Pour sauver sa vie, le dieu lui fit comprendre qu’elle commettrait une faute grave en tuant un être qui pourrait peut-être un jour lui sauver la vie. Et, en amateur de belles paroles, il lui conta la fable du lion et du rat. Emue jusqu’à en pleurer comme une pluie torrentielle, la lionne fut presque consentante. Thot, alors, déploya toute sa verve pour ramener la Redoutable à de meilleurs sentiments. Il lui rappela les douceurs de la vie, là-bas à Héliopolis, l’attendrit par le désespoir des hommes qui espéraient son retour et tenta de faire vibrer son cœur en décrivant son père divin en pleurs. Pour la remercier de son geste, assurait-il, les hommes construiraient des temples et des sanctuaires en son honneur et des fêtes seraient célébrées pour son retour. Il insista sur sa beauté sauvage et sur son charme incomparable :
" Les globes de tes yeux sont plus beaux que le ciel quand il est pur de nuages."
Et la Belle, flattée par un si beau discours, se laissa persuader et suivit les deux singes. Shou dansa de joie mais Thot, méfiant, craignit une nouvelle fureur de la déesse et pour calmer cette violence qu’il devinait latente, il la plongea dans les eaux froides de la première cataracte. Thot verse aussi du vin dans les eaux de la première Cataracte, à Philae ; la déesse, pensant qu'il s'agit de sang, s'en abreuve, s'enivre et s'apaise. A son réveil, calme et apaisée, elle présente les traits bienveillab?nts d'une chatte, la déesse Bastet (ou de la douce Hathor), et est accueillie avec fêtes et honneurs en Egypte.
Mais hathor, l'œil de Ra, se rendit compte alors qu'un autre œil avait pris sa place. Pour l'apaiser, Ra la plaça sous la forme d'un uraeus (déesse cobra) sur son front, d'oû il pourrait gouverner le monde entier. En tant qu'uraeus, elle crache le feu pour détruire les ennemis des dieux. Elle devient ainsi la protectrice du dieu solaire Ra, son père.
L'écorchement d'Anti :
Le dieu Anti aurait commis un crime dans le nome d'Aphroditopolis ou plus exactement dans sa capitale Atfih. Il aurait coupé la tête de la déesse Hathor / Hesat. Rê, très en colère, condamne Anti à avoir la peau et les chairs arrachées : "Quant à ses chairs et à sa peau, sa mère les a crées, quant à ses os ils existent grâce à la semence de son père. Aussi, qu'on éloigne de lui sa peau et ses chairs, ses os restant en sa possession", d'où les représentations du dieu entouré de bandelettes. Thot, par sa magie, remplace la tête de la déesse Hathor par une tête de vache. Puis il repart avec Rê et la peau du dieu Anti. Après cet événement le dieu Anubis ressentit de la pitié et livra la peau d'Anti à sa mère, la vache blanche Hésat, et grâce à la magie, celle-ci revivia son corps en l'arrosant avec du lait. Elle fabriquea avec son lait un onguent qu'elle introduit dans la peau du dieu pour redonner vie à ses chairs. "il fut là, en bonne santé, ses chairs s'étant, de nouveau, affermies pour lui, et sa forme ayant été mise, de nouveau, au monde. Sa mère, le regarda comme un jeune enfant, après avoir renouvelé sa naissance, dans ce district."
La ruse d'Isis :
Isis qui n’était encore que simple servante de son père, aurait bien aimé s’emparer du pouvoir de Ra. Cette puissance résidait dans les multiples noms que le Créateur possédait et qui étaient secrets. Les révéler serait perdre à tout jamais cette puissance unique. Habile en paroles, la violence n’eut servi à rien, Isis tenta d’extorquer par le jeu malicieux des mots les noms convoités mais Ra sut déjouer le piège. Elle conçut alors un habile stratagème : constatant qu’il avait beaucoup vieilli, à tel point qu’il en bavait sur le sol, elle recueillit cette salive qu’elle pétrit avec de l’argile. Elle façonna avec ce mélange un serpent qu’elle plaça sur le chemin parcouru quotidiennement par le Roi. Alors le serpent sacré le mordit, et le feu de la vie sortit de lui, puis l'animal se cacha dans les roseaux.
Le dieu ouvrit la bouche et la voix de Sa Majesté atteignit le ciel. Son Ennéade dit : "Qu'est-ce donc ? Qu'est-ce donc ?"
Ses dieux dirent : "Quoi donc ? Quoi donc ?"
Il ne pouvait leur répondre, ses lèvres tremblaient, ses membres étaient secoués, car le poison avait pris possession de son corps, de même que le grand Nil charrie tout derrière lui.
Le grand dieu affermit alors son cœur et il appela ceux qui étaient en sa suite : "Venez à moi, vous qui êtes venus à l'existence hors de mon corps, dieux qui êtes issus de moi, afin que le vous fasse connaître ce qui m'est arrivé. Une chose douloureuse m'a mordu. Mon cœur ne la connaît pas, mes yeux ne l'ont pas vue, ma main ne l'a pas faite. je ne reconnais en elle aucun des éléments de ma création. Mais je n'ai jamais ressenti une souffrance comme celle-là; il n'y a rien de plus pénible que cela. je suis un Souverain, fils de Souverain, une semence divine venue à l'existence comme dieu. Je suis le Grand, fils du Grand, celui dont le nom fut pensé par son père. J'ai beaucoup de noms et beaucoup de formes. Ma forme est aussi en chaque dieu. Je suis celui que l'on appelle Atoum et Horus le Loué. Mon père et ma mère m'ont dit mon nom, et je l'ai caché en mon corps hors de portée de mes enfants, de peur qu'un pouvoir soitb? donné à un magicien contre moi. Or je sortais pour voir ce que j'avais créé, je me promenais sur le Double Pays que j'avais fait, lorsqu'une chose me mordit que je ne connais point. Ce n'est pas le feu, ce n'est pas l'eau, mais mon cœur brûle, mon corps tremble et mes membres ont froid. Que mes enfants, les dieux, me soient amenés, avec des paroles bénéfiques - les dieux qui savent les formules magiques et dont la connaissance atteint le ciel."
Alors les enfants du dieu vinrent à lui, chacun d'eux se lamentant. Isis s'en vint avec son pouvoir et ses incantations magiques, possédant le souffle de la vie, avec ses incantations magiques pour repousser la maladie, avec ses paroles capables de rendre la vie à une gorge qui étouffe.
Elle dit : "Qu'est-ce donc? Qu'est-ce donc ? ô mon divin père ! L'un de tes enfants aurait-il levé la tête à ton encontre ? Alors je le ferai tomber grâce à mon pouvoir magique parfait, et je ferai qu'il soit chassé de la vue de tes rayons."
Le dieu auguste ouvrit la bouche : "En vérité, je marchais sur le chemin, je me promenais dans le Double Pays, mon cœur souhaitant de revoir ce que J'avais créé, lorsque je fus mordu par un serpent que je n'aperçus même point. Ce n'est pas le feu, ce n'est pas l'eau, mais je suis plus froid que l'eau et plus chaud que le feu; tout mon corps transpire, et je tremble; mon regard n'est pas ferme, je ne vois plus; et le ciel fait que l'eau inonde mon visage comme au temps de l'été."
Isis répondit : "Dis-moi ton nom, mon divin père ! Car un homme revit lorsqu'il est appelé par son nom.
"- Je suis celui qui a fait le ciel et la terre, qui a lié les montagnes, qui a créé ce qui existe sur eux. je suis celui qui a fait l'eau, de telle sorte que la vache nommée Mehet-Ouret put venir à l'existence J'ai fait le taureau pour la vache, de telle sorte que la jouissance sexuelle vint aussi à l'existence. je suis celui qui a fait l'empyrée et les mystères des deux horizons, j'ai placé là les ba des dieux. je suis celui qui b?fait venir la lumière lorsqu'il ouvre les yeux, et amène l'obscurité lorsqu'il les ferme. L'eau du Nil coule selon son ordre, celui dont les dieux ignorent le nom. Je suis celui qui a fait venir à l'existence les heures et les jours, je suis celui qui a établi la répartition des fêtes de l'année, et qui a créé le fleuve. Je suis celui qui a fait le feu de la vie, afin de donner existence aux œuvres des temples. je suis Khepri au matin, Râ au zénith, Atoum dans le soir".
]Mais cela n'arrêta pas le poison dans sa course, et le grand dieu ne se remettait point.
Isis dit alors à Râ : "Ton nom n'est pas parmi ceux que tu m as dits. Dis-le-moi donc, et le poison sortira, car un homme revit lorsque son nom est prononcé."
Le poison brûlait de [toute] sa brûlure, il était plus fort que la cuisson du feu. Alors Râ dit :
"Prête-moi tes oreilles, ma fille Isis, de telle sorte que mon nom passe de mon corps dans ton corps. Le plus divin des dieux l'a caché, pour que ma place soit vaste dans le navire des millions d'années. Lorsqu'il sera sorti de mon cœur, dis-le à ton fils Horus, en le liant par un serment divin, en ayant placé Dieu devant son regard."
Et le grand dieu divulgua son nom auprès d'Isis, la Grande Magicienne. "Écoule-toi, poison du scorpion. Sors de Ra et de l'Œil d'Horus ! Sors du dieu, ô brûlant, selon mon incantation! je suis celle qui agit et je suis celle qui chasse. Va-t'en dedans la terre, puissant poison! Vois, le grand dieu a divulgué son nom. Rê vit, le poison est mort !"
Selon les mots d'Isis, la grande magicienne, la maîtresse des dieux, qui connaît Rê par son nom.[/b]
Source; http://atil.ovh.org/noosphere/ra1.php
Dernière édition par akasha le Mar 11 Mar 2014 - 11:40, édité 1 fois
RedStard
Messages : 2404 Date d'inscription : 16/09/2011 Age : 45
Sujet: Re: Anciennes Découvertes nous montrant des traces de technologies anciennes. Mar 11 Mar 2014 - 11:30
akasha a écrit:
voici une illustration en claire des lampes, ou serait les lotus ?
et à se propos je vous présente une contre-expertise de l'article de Osiris (le membre ) ainsi vous aurez le pour et le contre; http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/les-lampes-de-denderah.htmlVous verez c'est très intéressant :)
Très bon cet article, car effectivement j'avais lue des témoignages d’égyptologue qui faisait mention sur les particularités électromagnétiques de cette zone situé sous le sommet de la Grande Pyramide, et c'est vrai que mis dans ce contexte il semble y avoir une correspondance avec le pilier Djed, qui représente la colonne vertébrale d'Osiris en répondant à quelqu'un qui l'avait demandé. Ce qui est encore plus troublant est le fait que le serpent naissant du lotus est appelé "Neref" qui veut dire lumière en égyptien ancien. Je pense que ce bas relief relate la mise en oeuvre d'une énergie dans les différentes divinités représentent les différents forces misent en œuvrent. Mais comme il y a une autre lecture des hiéroglyphes connues uniquement des initiés de l'époque afin de préserver le savoir, la signification exacte de celui-ci risque de s’avérer assez complexe. j'avais quelque part que le Dieu Anubis assurait ou conduisait l’énergie de l'un des corps subtil le Ka servant à faire la magie. On remarquera que c'est la déesse de la magie Nebeshka avec le Djed et le dieu de l'air, Het qui supporte l'ampoule de Lotus et c'est Anubis le dieu des morts qui semblent diriger les opérations.
Plus nous remontons dans le temps et plus Les égyptiens anciens avaient des connaissances techniques hors norme, qui se perdaient au fil du temps, Toutes les connaissances et les technicités sont issue du Premier Empire et disparaisse peu à peu du nouvelle empire jusqu'au second et à la fin le sac de thébes par les assyriens.
RedStard
Messages : 2404 Date d'inscription : 16/09/2011 Age : 45
Sujet: Re: Anciennes Découvertes nous montrant des traces de technologies anciennes. Mar 11 Mar 2014 - 12:25
OSIRIS a écrit:
Ampoule égyptienne ?
C'est une représentation différente la création du monde dans la mythologie égyptienne.
Les Egyptiens ont cru qu'avant que n'importe quoi d'autre a existé il y avait une mer primordiale vaste de néant.
Allen, James P. (2000). Middle Egyptian: An Introduction to the Language and Culture of Hieroglyphs. Cambridge University Press. pp. 466. ISBN 0-521-77483-7.
Ils ont cru que la première chose à émerger de cette mer était une fleur de lotus.
Wilkinson, Richard H. (2003). The Complete Gods and Goddesses of Ancient Egypt. Thames & Hudson. pp. 206–207. ISBN 0-500-05120-8.
http://www.egyptianmyths.net/lotus.htm
C'est probablement parce que le lotus ferme la nuit et coule sous l'eau. Le matin il réémerge et fleurit de nouveau. On a cru que la fleur de lotus a donné naissance alors à premier Dieu qui était souvent associé au soleil.
Ce "relief" a été fait après que Dieu Atum a été fusionné avec Dieu de soleil Ra et est devenu ainsi l'Atum-ré.
Atum Dieu qui a créé tout le reste après que c'est en fait représenté comme un serpent.
http://en.wikipedia.org/wiki/Atum
Et oui c'est un serpent dans ces "reliefs" pas les filaments d'ampoule, vous pouvez voir en fait les yeux et d'autres éléments d'un serpent si vous regardez de près.
C'est la mythologie égyptienne assez standard, que la fleur de lotus est venue en avant d'abord alors premier Dieu Atum – qui a été représenté comme un serpent.
Bien et la bulle l'entourant ?
Je citerai un expert directement sur ce point
“En dépit de la variété de divinités, les Egyptiens ont conçu l'origine du monde comme singulière. Seulement un Dieu (Atum) était responsable de l'apparition de l'univers comme une bulle d'air dans l'obscurité océanique et éternelle vaste, illimitée, inerte des eaux primordiales non différenciées (la Religieuse) qui a existé avant la création.”
En d'autres termes l'univers est venu en avant du lotus dans une bulle d'air.
http://www.maat.sofiatopia.org/netjer.htm
Il y a d'autres éléments de ce dessin qui confirment cette interprétation.
La bulle d'Univers est ici soutenue ou soulevée par la Religieuse de Déesse.
http://en.wikipedia.org/wiki/Nu_%28mythology%29
la Religieuse est d'eaux primordiales et techniquement c'est elle qui soulève le lotus, Atum et tout le reste.
Cette pose de mains d'outstretched est un des motifs plus communs pour la Religieuse et elle lève et soutient l'univers du néant.
Dans quelques versions de cette histoire Dieu de soleil représenté dans ces scènes est Khepri qui a été représenté comme un Scarabée de scarabée. Atum et sorte de Kephri d'échangés d'être aspects de RA dans la mythologie égyptienne.
Donc essentiellement, vous avez la Religieuse les eaux primordiales soulevant la péniche solaire de Ra pour son premier voyage accross le ciel.
Et cela explique pourquoi les poses semblables sont vues dans le compte de création à Dendara. Ils représentent aussi la Religieuse soulevant l'univers de ses eaux.
L'idée que les Egyptiens anciens ont utilisé l'électricité est quelque chose auquel on ne fait des sous-entendus même pas n'importe où ailleurs dans les dossiers égyptiens.
Et si vous croyez des Ancient Egyptiens , ils utilisaient non seulement l'électricité mais les tubes à vide, qui exige de hautes quantités d'électricité, aussi bien que rarified gasses comme l'argon. Et si c'était le cas nous devrions nous attendre trouver une mention de cela quelque part.
… évidemment il n'y a rien dans aucun texte, ou sur aucun mur qui irait le soutien .
De nouveau il est intéressant que le temple où la connaissance de cette " lumière " a été gardée est le même avec le 100 des années de suie sur le plafond.
Subir Ghosh. “Archaeologists Unearth 2800-yr-old Burial Chamber in Egypt.” Digital Journal, September 19, 2010. http://digitaljournal.com/article/297825.
The ceiling of the Hathor Temple has recently been cleaned in a careful way that removed hundreds of years of black soot without harming the ancient paint underneath. As a result of this cleaning, spectacular ceiling painting has been exposed in the main hall, and some of the most vibrant and colourful paintings dating from antiquity are now visible.
traduction ,,,,
Le plafond du Temple Hathor a été récemment nettoyé d'une façon prudente qui a enlevé des centaines d'années de suie noire sans faire du mal à la peinture ancienne en dessous. À la suite de ce nettoyage, la peinture de plafond spectaculaire a été exposée dans le hall principal et certaines des peintures les plus pleines de vie et aux couleurs vives datant de l'antiquité sont visibles maintenant.
Peut-être ils essayaient de sauver sur la facture électrique.
C'est complètement faible comme interprétation car représenté le dieu Noun comme une fine plaque entourant le serpent "Apep", car lui seul vogue dans l’océan primordial en espérant Tuer Râ pour mettre fin à la création, c'est un peu ridicule comme interprétation, je pense qu'il y a mieux. De plus sur les bas reliefs, non seulement il n'est fait mention nul part de ces divinités primordiales à l'instar des autres dieux tel que Anubis, Shou ou Nebeshka. qui eux n'ont rien à voir avec la genèse de la cosmogonie qui implique Atoum, Ptah, Thot ou Knoum.
The ceiling of the Hathor Temple has recently been cleaned in a careful way that removed hundreds of years of black soot without harming the ancient paint underneath. As a result of this cleaning, spectacular ceiling painting has been exposed in the main hall, and some of the most vibrant and colourful paintings dating from antiquity are now visible.
traduction ,,,,
Le plafond du Temple Hathor a été récemment nettoyé d'une façon prudente qui a enlevé des centaines d'années de suie noire sans faire du mal à la peinture ancienne en dessous. À la suite de ce nettoyage, la peinture de plafond spectaculaire a été exposée dans le hall principal et certaines des peintures les plus pleines de vie et aux couleurs vives datant de l'antiquité sont visibles maintenant.
Peut-être ils essayaient de sauver sur la facture électrique.
C'est ça l'expert !?
Le temple a été restauré par les grecs lors de la dynastie Ptolémaïque, durant les guerres successives et le sac de thébes qui marqua la fin définitif de l'empire égyptien, beaucoup d’égyptiens de différents castes et de corps de métiers sont mort ou ont dû fuir, si bien que les connaissances en matière d’éclairage ont été perdu. Quand les grecs ont pris le pouvoir, ils ont utilisé un système d’éclairage standards à l'époque tel que les torches qui a eut pour effet de détruire les fresques anciennes situé sur les plafonds.
et oui ici, c'est pas les chemstrials Osiris.
OSIRIS
Messages : 4965 Date d'inscription : 12/10/2012 Age : 53
Sujet: Re: Anciennes Découvertes nous montrant des traces de technologies anciennes. Mar 11 Mar 2014 - 12:52
Mythologie de création
Atum Le créateur.
au commencement était seulement le chaos saturé d'eau tourbillonnant, appelé Nu. De ces eaux chaotiques est monté Atum, Dieu de soleil de la ville de Heliopolis. On croit qu'il s'est créé, en utilisant ses pensées et va. Dans le chaos saturé d'eau, Atum n'a trouvé aucun endroit sur quel être. Dans l'endroit où il a apparu d'abord, il a créé une colline. On a dit que cette colline était la tache sur laquelle le temple de Heliopolis a été construit. D'autres interprétations constatent qu'Atum était la colline. Dans cette interprétation Atum peut représenter les, collines d'offre de vie fertiles distancées par les eaux s'éloignant de l'inondation annuelle du Nil. Dès la Cinquième Dynastie, nous trouvons Atum identifié à Dieu de soleil Ra. Vers ce temps-ci son apparition sur la colline primordiale peut être interprétée comme la venue de la lumière dans l'obscurité de Nu. Comme Dieu du soleil montant, son nom est Khepri.
.... .son l'acte suivant devait créer plus de Dieux. Puisqu'il était tout seul dans le monde, sans un copain, il a fait une union avec son ombre. Cette façon inhabituelle de procréer la progéniture n'a pas été considérée étrange pour les Egyptiens. Nous trouvons Atum considéré comme Dieu bisexuel et était quelquefois appelé le 'Grand Il - Elle'. Les Egyptiens étaient capables ainsi de présenter Atum comme celui et force seulement créatrice dans l'univers.
.... .selon à quelques textes la naissance des enfants d'Atum est survenu sur la colline primordiale. Dans d'autres textes, Atum est resté dans les eaux de Nu pour créer son fils et fille. Il a donné naissance à son fils en le crachant. Sa fille il a vomi. Shu a représenté l'air et Tefnut était une déesse d'humidité. Shu et Tefnut ont continué l'acte de création en établissant un ordre social. À cet ordre Shu a contribué les 'principes de Vie' pendant que Tefnut a contribué les 'principes d'ordre'.
.... .apres quelque temps Shu et Tefnut sont devenus séparés de leur père et ont perdu dans le chaos saturé d'eau de Nu. Atum, qui avait seulement un œil, qui était amovible. On l'a appelé l'œil d'Udjat. Atum a enlevé l'œil et l'a envoyé à la recherche de ses enfants. À temps ils sont revenus avec l'œil. Lors de cette réunion Atum a pleuré la joie de déchirures, où ces déchirures frappent la terre, les hommes ont grandi. Maintenant Atum était prêt à créer le monde. Donc Shu et Tefnut sont devenus les parents de Geb, la terre et Noix, le ciel. Geb et Nut ont donné naissance à Osiris et Isis, Seth, Nephthys.
Dans Heliopolis, la création a été attribuée à Atum, une divinité de près associée à Ra, qui a été dit avoir existé dans les eaux de Nu comme un potentiel inerte être. Atum était Dieu engendré de soi, la source de tous les éléments et des forces dans le monde et le mythe de Heliopolitan a décrit le processus par lequel il a "évolué" d'un étant dans cette multiplicité d'éléments
Memphis .
La version Memphite de création a centré sur Ptah, qui était Dieu de patron d'artisans.
__________________________________________
Au commencement il y avait seulement la Nun : les grandes eaux célestes du Non manifeste ; les profondeurs du ciel nocturne. La natation dans cela primordial Profond était Ogdoad puissant : huit Dieux qui se sont composés de quatre Serpents et de quatre Grenouilles. Là appelle étaient Nun et Nunet, divinités de l'abîme saturé d'eau ; Heh et Hehet, divinités d'espace infini ; Kek et Keket, divinités d'obscurité ; et Amon et Amonet, divinités de l'invisible. Ces Dieux primordiaux ont nagé dans les Eaux, en gardant le Grand Œuf qui a incubé le Créateur.
À temps, l'Œuf a commencé à éclore. Il s'est déchiré dans deux moitiés, en divisant d'eaux de la Nun dans le supérieur et l'inférieur et en faisant entre eux un espace où le Créateur pourrait façonner le monde.
De l'Œuf est survenu un Lotus bleue simple. Il est monté haut au-dessus de l'obscurité de l'abîme et s'est ouvert ce sont de grands pétales. Dans cela est le cœur d'or a appuyé beau jeune Dieu, l'Amen-ré (Atum-Ré) de Créateur, avec un doigt simple appuyé contre Ses lèvres dans le Silence.
La lumière a ruisselé du corps de cet Enfant Divin, en bannissant l'obscurité aux portées lointaines de l'univers. Comme un Phoenix avec le plumage flamboyant Il est survenu, en prononçant un cri qui a fracassé le silence éternel. C'était le premier son - le premier Mot - et ce Mot manifesté comme Dieu vivant. Thoth était Son nom : le Créé de soi, les Logos, la Sagesse.
L'Amon-ré (Atum-Ré) a construit alors une île pour Lui-même pour se reposer sur et Il a étudié l'étendue d'eau autour de Lui. Il savait qu'Il était seul et a constaté bientôt qu'Il ne pouvait pas supporter la solitude. Il avait une grande envie d'autres partager la Lumière avec Lui.
Ainsi, Il a commencé sa création. Dans cela Il est connu comme Khephera, Dieu de Création, Dieu du Soleil Montant. Il a apporté l'ordre à Ogdoad-chaotique le cadre d'Eux dans Leurs justes places - et c'était ainsi le monde est né. Il l'a accompli par le pouvoir puissant du Mot Divin, Thoth et ce pouvoir était encore un Dieu : Ptah, l'architecte du monde et toutes ses créatures.
L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message
RedStard
Messages : 2404 Date d'inscription : 16/09/2011 Age : 45
Sujet: Re: Anciennes Découvertes nous montrant des traces de technologies anciennes. Mar 11 Mar 2014 - 15:08
Osiris, On se plaint qu’Orné et son parèdre Akasha postent des articles mais au moins ils ont l'indulgence de nous offrir des articles qui ne sont pas issue d'une traduction complètement indigeste rendant la compréhension du texte impossible et 4 fois d’affilé. D’autant plus que cela ne réponds pas à la question qu’implique la signification de l’ampoule de Dendarah, car ni Noun, ni Atoum, ni Apep ne sont cités quelque part dans ce bas relief pour signifier le mythe de la création ou une quelconque référence du genre. Donc cette scène implique d’autres dieux pour d’autres circonstances qui semblent nous être encore inconnue à l’heure actuelle au vue du caractère unique de cette représentation.
OSIRIS
Messages : 4965 Date d'inscription : 12/10/2012 Age : 53
Sujet: Re: Anciennes Découvertes nous montrant des traces de technologies anciennes. Mar 11 Mar 2014 - 16:04
L'ovale qui contient le serpent est selon certains auteurs une ampoule et le serpent un filament clair. À part le fait que les serpents en Egypte n'ont jamais représenté "la lumière" (et que je ne sais d'aucun serpent d'éclairage) l'ovale avait en Egypte un sens définir : C'était un symbole du ciel du matin, dans l'Egypte ancienne "Duat" !
Le serpent représente, comme dans beaucoup d'autres dessins, Dieu du soleil du matin, Harsomtus. Mais pourquoi, dites les sceptiques, un serpent devrait-il être un symbole du soleil du matin ? Tout à fait simple. Les Egyptiens ont remarqué que les serpents répandent leur peau et ont été crus renouveler avec le lever de soleil . Presque comme le soleil du matin, qui se lève chaque matin renouvelé. Et le soleil bouge comme le serpent sans organes extérieurs visibles. Surtout aux temps grec-romains de 300 B.C. sur Harsomtus est toujours représenté comme le serpent. Donc Harsomtus apparaît dans Dendera dans tous les cas comme le soleil nouveau-né et pas comme un filament - ce serait largement hors du contexte.
"L'ampoule" de Dendera a sur le pied quelque chose comme une douille, dans laquelle un "câble" court, qui est raccordé de l'autre côté avec un "générateur". C'est la description que nous pouvons lire dans la littérature plus fantastique. Mais le câble n'est aucun câble. C'est, puisque nous pouvons lire directement dans les textes décrivant la scène, une péniche de soleil symbolique, un bateau dans lequel le soleil a flotté à travers le ciel. Tout cela est écrit dans les textes à côté des objets.
Aucun n'est la forme de la péniche montrée dans Dendera inhabituel. Dans beaucoup de représentations de péniche symboliques le bateau se compose seulement d'une ficelle comme l'objet qui forme un arc et un sévère. Et sur la plate-forme horizontale entre nous trouvons normalement Dieux et objets raccordés avec le soleil ou le lever du soleil. Un de ces objets raccordés avec la péniche de soleil et normalement localisés à son sévère, est la fleur de lotus. Cela peut être vu dans Dendera, aussi. C'est la soi-disant "douille de lampe" !!
Bandeau de la frise:
Resomtus is alive with gloss in the sky (and) lives at the day of the New Year celebration. He lights up in its house in the night of the child in his nest, by donating the light to the country from the birth bricks. The sky is jubilant, the earth is pleased and the God chapels is glad, when he appears in his chamber in his procession barge at his beautiful celebration of the New Year. The God with his disk has come to see him. Nehebkau gives him reputation, and the goddess with her disk, with godly body, rejuvenates him in his sanctuary. Tchnt tpjt jnr (probably the goddess Thoeeris, a birth goddess) is content because of her majesty. She praises Re because of him with praise for his Ka, with wine from schfjt (wine area) and meat bits on the altar before him. The "land-of-Atum" (= Dendera) is prepared with his most distinguished plan, as Hu and Sia are subordinated to him. He may protect the son of Re (empty king cartouche), forever.
Resomtus est vivant avec le lustre dans le ciel (et) les vies au jour de la célébration de Nouvel an. Il illumine dans sa maison dans la nuit de l'enfant dans son nid, en donnant la lumière au pays des briques de naissance. Le ciel est exultant, la terre est contente et les chapelles de Dieu est heureux, quand il apparaît dans sa chambre dans sa péniche de défilé lors de sa belle célébration du Nouvel an. Dieu avec son disque est venu pour le voir. Nehebkau lui donne la réputation et la déesse avec son disque, avec le corps dévot, le rajeunit dans son sanctuaire. Tchnt tpjt jnr (probablement la déesse Thoeeris, une déesse de naissance) est content à cause de sa majesté. Elle loue le Ré à cause de lui avec la louange pour son Ka, avec le vin de schfjt (la région de vin) et les morceaux de viande sur l'autel avant lui. Le "land-of-Atum" (= Dendera) est préparé avec son plan le plus distingué, puisque Hu et Sia lui sont subordonnés. Il peut protéger le fils de Ré (le cartouche de roi vide), pour toujours.
Title of the south wall:
Bringing of the amuletts (Pektoral) made of gold. Speak: To speak words: This is the protection of your majesty for the celebration, in ktmt gold.
Ihi: Words to speak of Ihi, the great, the son of the Hathor, the noble child with shining plait: I please your heart with glories for your person, and I drive rage out with spells.
King: The king of upper and lower Egypt (cartouche with the name of Ptolemaeus XII.), the son of Re (cartouche with another name of the same king).
Titre du mur sud :
Le fait d'apporter de l'amuletts (Pektoral) fait de l'or. Parlez : Parler des mots : C'est la protection de votre majesté pour la célébration, dans l'or ktmt.
Ihi : Les Mots pour parler d'Ihi, le grand, le fils de Hathor, l'enfant noble avec la natte brillante : Je plais à votre cœur avec les gloires pour votre personne et je conduis la rage avec les charmes.
Roi : Le roi de l'Egypte supérieure et inférieure (cartouche avec le nom de Ptolemaeus XII), le fils de Ré (cartouche avec un autre nom du même roi).
Royal edge line
I came to you, to your place (destroyed section). Beautiful one, whose looks are perfect. I have the Amulet of gold (destroyed section) attached with live on the day of the celebration (destroyed section) of your body.
Isis: Words to speak of Isis, the great, the gods mother, lady of jat dj, who stays in Dendera, the beginning with whose arrival the earth began, turquoise skin and lapislazuli like head.
Harsomtus: Words to speak of Harsomtus, the great god who stays in Dendera. Gold, height: 4 hands. Made of metal the Day barge, the lotos flower from gold (this section is about the statues kept here, which were brought upward (room G)).
Harsomtus: Words to speak of Harsomtus, the great God, who stays in Dendera, the multicolored-feathered who is on the Serech. Gold. Height: 1 cubit. (the falcon on the relief is meant)
Ihi: Words to speak of Ihi, the great, the son of the Hathor, Re in its shape of the great God, who appears with the diadem as a king of jztj (Egypt)and as a master of the Sed festival,: You reign Dendera millionfold from the nhh eternity to the completion of the Djed eternity. Gold. Height: 1 cubit.
Harsomtus: Words to speak of Harsomtus, the great, who stays in Dendera, the living Ba in the Lotus flower of the day barge, whose perfection the two arms of the Djed pillar carry as its seschemw picture, while the Ka's on its knees are with bent arms. Gold. All precious stones, height: 3 hands.
Harsomtus: Words to speak of Harsomtus, the great, who stays in Dendera, who is in the arms of the princes in the night barge, the noble snake, whose chntj statue carries Heh, whose crew carries his perfection in holyness, because of whose Ba the appearing (Hathor) in the sky appeared, whose shape is admired by admirers, who comes as unique, enveloped by his head serpents, with numerous names at the point of chw.n=sn (Gods with relationship with the Hathor), the sechm-picture of Re in the "Land-Of-Atum" (= Dendera), the father of the Gods, who created everything. Gold, metal, height: 4 hands.
Isis: Words to speak of Isis, the great, mother of the Gods, lady of jat dj, who stays in Dendera, the queen of the rchjt people, with pointed horns.
Ligne de bord royale
Je suis venu chez vous, chez votre endroit (la section détruite). Beau, dont l'apparence est parfaite. J'ai l'Amulette d'or (la section détruite) attaché avec le vivant le jour de la célébration (la section détruite) de votre corps.
Isis : Les Mots pour parler d'Isis, le grand, la mère de Dieux, dame de disc-jockey jat, qui reste dans Dendera, le fait de commencer dont l'arrivée la terre a commencé, la peau de turquoise et lapislazuli comme la tête.
Harsomtus : Les Mots pour parler de Harsomtus, grand Dieu qui reste dans Dendera. Or, hauteur : 4 mains. Fait du métal la péniche de Jour, la fleur de lotus de l'or (cette section est des statues gardées ici, qui ont été apportés droit (la pièce G)).
Harsomtus : Les Mots pour parler de Harsomtus, grand Dieu, qui reste dans Dendera, l'aux plumes multicolores qui est sur Serech. Or. Hauteur : 1 coudée. (le faucon sur le soulagement est destiné)
Ihi : Les Mots pour parler d'Ihi, le grand, le fils de Hathor, Ré dans sa forme de grand Dieu, qui apparaît avec le diadème comme un roi de jztj (l'Egypte) et comme un maître du festival de Sed, : Vous régnez Dendera millionfold de l'éternité nhh à l'achèvement de l'éternité de Djed. Or. Hauteur : 1 coudée.
Harsomtus : Les Mots pour parler de Harsomtus, le grand, qui reste dans Dendera, Ba vivant dans la fleur de Lotus de la péniche de jour, dont la perfection les deux bras de la colonne de Djed porte comme son dessin seschemw, pendant que Ka sur ses genoux sont avec les bras de dispositions. Or. Toutes les pierres précieuses, hauteur : 3 mains.
Harsomtus : Les Mots pour parler de Harsomtus, le grand, qui reste dans Dendera, qui est dans les bras des princes dans la péniche nocturne, le serpent noble, dont la statue chntj porte Heh, dont l'équipage porte sa perfection dans le fait d'être saint, d'à cause de Ba duquel l'apparence (Hathor) dans le ciel a apparu, dont la forme est admirée par les admirateurs, qui vient comme unique, enveloppé par ses serpents de tête, avec de nombreux noms au point de chw.n=sn (Dieux avec le rapport avec Hathor), le sechm-dessin de Ré dans le "Land-Of-Atum" (= Dendera), le père de Dieux, qui ont créé tout. Or, métal, hauteur : 4 mains.
Isis : Les Mots pour parler d'Isis, le grand, mère de Dieux, dame de disc-jockey jat, qui reste dans Dendera, la reine des gens rchjt, avec les cornes pointues.
Edge line of the Gods
Come in peace, servant of his Lord, as the chw djeser priests are subordinated to you, and you protect my throat with your trusty behavior. I have myself pleased about the freshness of your character. Gold. Height: 1 cubit.
Ligne de bord de Dieux
Entrez dans la paix, le domestique de son Seigneur, puisque les chw djeser les prêtres vous sont subordonnés et vous protégez ma gorge avec votre comportement fidèle. J'ai plu de la fraîcheur de votre caractère. Or. Hauteur : 1 coudée.
translations of the texts of the crypts made by Egyptologist Wolfgang Waitkus.
Comme le texte s'avère, il n'y a aucune question à propos des contenus des reliefs . Les textes décrivent les dessins comme les représentations de statues, qui ont été gardées dans ces pièces. Ils donnent des descriptions exposées en détail de leurs mesures et même la matière utilisée. Une ampoule a fait de l'or - bien, beaucoup de lumière ne brillerait pas par cela !
La fonction de ces pièces devait garder les statues-culte qui étaient nécessaires pour les célébrations mentionnées.
La thèse d'ampoule est la fantaisie pure sans base empirique, basé uniquement sur le "ca ressemble - alors c'est " - méthode et ne prend aucune considération d'aucuns faits - même pas aux écrits dans de grandes "lettres" directement à côté de cela.
http://www.world-mysteries.com/sar_lights_fd1.htm
L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message
Invité Invité
Sujet: Re: Anciennes Découvertes nous montrant des traces de technologies anciennes. Mar 11 Mar 2014 - 16:13
Osiris, s.t.p. Post avec un minimum un francais de qualité, plus de traduction mal fait comme sa. Et s.t.p. Aussi arrête de remetre t,est ancien post constament.en citation.
OSIRIS
Messages : 4965 Date d'inscription : 12/10/2012 Age : 53
Sujet: Re: Anciennes Découvertes nous montrant des traces de technologies anciennes. Mar 11 Mar 2014 - 19:44
Cosmogonie memphite
La grande diversité du culte de l'Égypte antique se retrouve également dans les mythes de la création qui varient en fonction des régions.
Le mythe de la création memphite a pour origine la ville de Memphis.
Il est écrit qu'au début des temps, Ptah le démiurge, issu de Noun, l'océan primordial, prit conscience de son existence. Puis il prit le limon de la terre, créant et modelant l'Homme. Aussitôt son œuvre créatrice terminée, il céda la place à son successeur Rê, le soleil.
Rê, seigneur d'Héliopolis, parcourt chaque jour son domaine dispensant à l'humanité dons et bienfaits. Tous ces efforts ne lui amènent pas la reconnaissance de ces êtres primitifs ni celle de ses descendants les dieux. Rê, vieillissant, s'affaiblit. Isis utilise un subterfuge et lui vole son plus précieux bien, son nom secret. Par cette fourberie, elle devient « la grande magicienne » et surpasse les autres divinités.
Cosmogonie héliopolitaine
Dans ce courant théologique, il existait au départ une étendue d'eau infinie et intemporelle : le Noun (métaphore probable du Nil, fleuve à l'importance prépondérante dans la société égyptienne). Puis du Néant, Atoum, le démiurge, se donna lui-même naissance et prit place sur la butte primordiale émergeant de l'eau. À partir de là, il donna naissance à un couple : Shou, mâle anthropomorphe orné d'une plume d'autruche, est le dieu de l'air et Tefnout, femelle zoomorphe (avec une tête de lionne), est la déesse de l'humidité.
Cosmogonie hermopolitaine
Dans cette cosmogonie, Thot, le démiurge, déposa sur la butte primordiale récemment jaillie du Noun (probable métaphore du Nil en crue d'où n'émergent que les buttes) un étrange œuf. Il fut couvé par les huit entités élémentaires, quatre dieux mâles aux têtes de grenouille et leur contrepartie féminine aux têtes de serpent. Appelée l'ogdoade d'Hermopolis, elle est composée de Noun et Nounet, l'élément liquide, Heh et Hehet, l'infini, Kekou et Keket, les ténèbres et Amon et Amonet, l'élément mystérieux _____________________________________________
peut importe le version dont vous adhere , il n'est pas etrange , bizarre ou faux , de trouver une , deux ou plusieurs representations des versions differente de le mythologie egyptian dans une pyramide ,,,,
c'est UNE des versions de le creation donc ,,,,,,
L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message
OSIRIS
Messages : 4965 Date d'inscription : 12/10/2012 Age : 53
Sujet: Re: Anciennes Découvertes nous montrant des traces de technologies anciennes. Mar 11 Mar 2014 - 19:53
L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message
Akhenuræus
Messages : 1103 Date d'inscription : 28/12/2012 Age : 43
Sujet: Re: Anciennes Découvertes nous montrant des traces de technologies anciennes. Mar 11 Mar 2014 - 20:02
Estelle99 a écrit:
Osiris, s.t.p. Post avec un minimum un francais de qualité, plus de traduction mal fait comme sa. Et s.t.p. Aussi arrête de remetre t,est ancien post constament.en citation.
Hahaha merci, c'est très drôle... et rire est toujours bon.
Correction ?
Osiris, stp, poste avec un francais de meilleure qualité, plus de traduction mal faite comme ça. Et, stp, arrête aussi de constamment remettre tes anciens posts en citation.
( j'ai souvent envie de citer des membres du site pour simple correction orthographique, mais là, je n'ai pu me retenir... désolé... merci encore pour ce moment comique. )
L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message
Invité Invité
Sujet: Re: Anciennes Découvertes nous montrant des traces de technologies anciennes. Mar 11 Mar 2014 - 20:51
Tu te sent plus intelligent ainsi de reformuler ma phrase,d'enlever les . a mes s.t.p. Rajouté des e et des s ? Tu veux aussi un bouqet?
Tiens refais ma phrase et rehausse la! Dsl c'est vrai je suis pas française.
orné
Messages : 5072 Date d'inscription : 11/06/2012 Age : 51 Localisation : UNIFIÉS CORPS, ÂME, MENTAL. LA TRINITÉ PARFAITE QUI REGARDE DANS LA MÊME DIRECTION, NE SE COMBAT PLUS MAIS RESTE SOLIDAIRE
Sujet: Re: Anciennes Découvertes nous montrant des traces de technologies anciennes. Mar 11 Mar 2014 - 21:03
Un membre qui se permettait de jouer les modérateurs qui se permet se genre de remarque à un modérateur. C'est totalement déplacer....
Akhenuræus
Messages : 1103 Date d'inscription : 28/12/2012 Age : 43
Sujet: Re: Anciennes Découvertes nous montrant des traces de technologies anciennes. Mar 11 Mar 2014 - 21:12
La maitrise de l'orthographe n'a malheureusement rien à voir avec l'intelligence. Je fais peu de fautes, sans efforts. C'est quelque chose d'inné, il faut croire...
Bref, cela n'a pas de lien direct avec l'intelligence. Et cela ne fait pas de moi quelqu'un qui se sent supérieur ou quoi que ce soit de ce genre.
Tous des qualités, tous des défauts, et tous complémentaires les uns des autres ! ( avec l'exception qui confirme la rêgle... à savoir Orné... )
L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message
OSIRIS
Messages : 4965 Date d'inscription : 12/10/2012 Age : 53
Sujet: Re: Anciennes Découvertes nous montrant des traces de technologies anciennes. Sam 15 Mar 2014 - 23:55
akasha a écrit:
l y a aussi le petit gris :
une photo prise à l'intérieur du Tombeau de PtahHotep, Saqqara, l'Egypte, qui date de la 5ème Dynastie (environ 2400 BC). Si vous regardez de près, à l'intérieur de la boîte blanche, les croyants d'Ancien Aliens disent qu'ils voient une petite gris.
Est ci-dessous une illustration beaucoup plus claire et plus détaillée de la même peinture d'un livre illustré intitulé “Toute l'Egypte”
Ce que vous regardez est un vase contenant quelques fleurs de lotus avec un bourgeon sur chaque côté. Pour comprendre le contexte, voyons le dessin complet que les croyants d'Ancient Aliens petite gris ne vous montreront jamais :
Le dessin montre aux domestiques offrant le vase avec les fleurs de lotus avec la nourriture, les fruits et les animaux à Ptahhotep (placé à la table à gauche). Ptah-hotep a servi pendant le règne d'Izezi (2388 jusqu'à 2356 BC) comme un oracle et un conseiller.
Les fleurs de lotus sont représentées dans d'autres parties du tombeau de Ptahhotep :
Conclusions : La peinture dans le tombeau de Ptahhotep à Saqqara ne contient pas dAliens – gris ou autrement. La peinture représente “l'offre à Dieux” et en particulier le visage de l'Alien supposé est une fleur de lotus dans un vase.
L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message
akasha
Messages : 6839 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Anciennes Découvertes nous montrant des traces de technologies anciennes. Dim 16 Mar 2014 - 0:28
au cas où Osiris (le membre). un autre membre m'avait déjà répondu à cette question, tu retardes de deux guerres une foi de plus....
akasha
Messages : 6839 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Anciennes Découvertes nous montrant des traces de technologies anciennes. Mer 30 Juil 2014 - 12:02
Bonjour mes p'tits loupzz Encore un sujet que j'aime bien... Et qui va un peu nous changer les idées face aux informations actuelles... Je suis très contente de constater qu'il est apprécier des lecteurs Raison de plus pour le relancer avec un article sensationnel ! Et qui va bien dans le sens en se quoi je crois...Bien entendu chacun s'en fera son propre avis, mais à mes yeux cela reste pertinent
Sous les pyramides des vestiges gênant d’une science avancée…
De nombreux témoignages historiques ou contemporains permettent d’être convaincus de la présence, sous le plateau de Gizeh et l’ancienne cité du Caire, d’un savant enchevêtrement de passages, conduits, salles, cavernes naturelles, de lacs, et d’une grande cité, renfermant des artefacts sophistiqués révélant un très haut niveau de technicité.
L’information relayée par les médias jusqu’ en 1935 est depuis soustraite au public par les autorités archéologiques.
L’histoire oubliée des pyramides…
Pour bien saisir les connaissances secrètes de la Bible, il est important de prendre conscience de l’ampleur du système de galeries souterraines et celle des équipements des salles qui en dépendent, sous la surface du plateau des Pyramides. Car c’est là que se développèrent les éléments majeurs des enseignements de l’Ecole de Mystères.
Ce qui s’est déroulé sous les sables il y a des milliers d’années n’est pas repris par les manuels d’histoire actuels, même si les découvertes effectuées ces 80 dernières années le confirment.
Le district de l’Oasis Fayoum, situé à seulement quelques kilomètres au-delà des limites du Nome de Memphis, présente un site d’un intérêt exceptionnel. C’est dans cette riche vallée fertile que les Pharaons, se nommant eux-mêmes les “maîtres des chasses royales”, pêchaient et chassaient au boomerang.
Le Lac Moeris avoisinait autrefois l’Oasis Fayoum et sur ses rives se trouvait le célèbre Labyrinthe, décrit par Hérodote comme “une infinie merveille”. Celui-ci comprenait 1.500 pièces et autant de salles souterraines supplémentaires que l’historien grec ne fut pas autorisé à explorer.
Selon les prêtres du Labyrinthe, “les passages étaient déroutants et complexes”, destinés à sécuriser les nombreux manuscrits qu’ils affirmaient cachés dans les salles souterraines. Ce complexe massif impressionna particulièrement Hérodote qui le citait avec une crainte révérentielle :
Je vis douze palais régulièrement disposés, communiquant entre eux, émaillés de terrasses et répartis autour de douze grandes cours. Il est difficile de croire qu’ils étaient l’oeuvre d’hommes. Les murs étaient recouverts de portraits sculptés, et chaque cour, construite en marbre blanc de façon exquise, était entourée d’une colonnade.
Près de l’angle où se termine le labyrinthe, s’élevait à 80 mètres une pyramide ornée de grands portraits sculptés d’ animaux dont l’entrée s’effectuait par un souterrain. J’appris de source très sûre que les salles et les passages souterrains la reliaient aux pyramides de Memphis. Ces dernières étaient celles de Gizeh qui, en effet, s’appelait Memphis à l’origine “Gizeh anciennement Memphis”, sur la carte de Nordan extraite de Voyages en Égypte et en Nubie, 1757, page 152.
Beaucoup d’auteurs antiques confirment la description par Hérodote des passages souterrains reliant les pyramides les plus importantes, et l’évidence de leur existence jette un doute sur la vraisemblance de l’histoire de l’Egypte présentée traditionnellement. Crantor (300 av. J.C.) déclarait que certains piliers souterrains en Egypte offraient un récit de la préhistoire gravé dans la pierre et relataient les voies reliant les pyramides.
Dans son étude célèbre, Des Mystères, en particulier ceux d’Egypte, de Chaldée et d’Assyrie, Jamblique, un Syrien du quatrième siècle très représentatif de l’Ecole d’Alexandrie dans les matières mystique et philosophique, rapporta cette observation au sujet de l’entrée de la Grande Pyramide par le corps du Sphinx :
Cette entrée, aujourd’hui obturée par le sable et les décombres, peut être retrouvée entre les pattes avant du colosse accroupi. Elle était autrefois fermée par une grille de bronze dont seuls les Mages pouvaient actionner le mécanisme caché. Elle était protégée par la vénération publique, et une sorte de terreur sacrée maintenait son inviolabilité mieux que ne l’aurait fait une protection armée.
Dans le ventre du Sphinx étaient creusées des galeries menant à la partie souterraine de la Grande Pyramide. Ces galeries s’entrecroisaient le long du parcours vers la Pyramide avec un tel art que, quiconque s’y engageant sans guide retournait inévitablement à son point de départ.
Les antiques cylindres scellés des Sumériens racontent que la demeure secrète des Anunnakis était “un lieu souterrain… où l’on pénètre par un tunnel dont l’entrée est cachée par le sable ainsi que par ce qu’ils nommaient Huwana… dont les dents sont semblables à celles d’un dragon, et la face, à celle d’un lion”.
Ce texte ancien remarquable, dont il ne reste malheureusement que des fragments, ajoutait que “Il (Huwana) ne peut ni avancer, ni reculer”, mais qu’en grimpant sur lui par l’arrière, le passage vers “la demeure secrète des Anunnakis” n’était plus bloqué. Les notes sumériennes fournissent une description probable du Sphinx de Gizeh, et si cette grande créature était construite pour garder ou obturer d’anciens escaliers et des passages inférieurs menant aux parties souterraines au-dessous et alentour, alors, ce symbolisme était parfaitement opportun.
La tradition locale arabe du 19ème siècle affirmait qu’il existait des salles souterraines sous le Sphinx, renfermant des trésors ou des objets magiques. Cette croyance fut étayée par les écrits de l’historien romain du premier siècle, Pline l’ancien, selon lesquels, profondément en-dessous du Sphinx, est dissimulée la “tombe d’un dirigeant appelé Harmakhis qui contient un grand trésor” et, de façon assez étrange, le Sphinx lui-même fut appelé autrefois “Le Grand Sphinx Harmakhis qui montait la garde depuis le temps des Descendants d’Horus”.
Ammianus Marcellinus, autre historien latin du quatrième siècle fit des découvertes supplémentaires au sujet de l’existence de caveaux souterrains qui semblaient mener à l’intérieur de la Grande Pyramide.
Des inscriptions, dont les Anciens soutenaient l’existence, étaient gravées sur les murs de certaines galeries souterraines et des passages furent construits dans l’obscure profondeur pour empêcher la sagesse ancienne d’être perdue dans les inondations.
Un manuscrit, rédigé par l’écrivain arabe du nom Altelemsani et conservé au British Museum, relate l’existence d’un long passage souterrain, de section carrée, entre la Grande Pyramide et le Nil et cite une “étrange chose” bloquant l’entrée, côté fleuve.
Il rapporte l’épisode suivant :
A l’époque d’Ahmed Ben Touloun, un groupe entra dans la Grande Pyramide par le tunnel et découvrit dans une salle latérale une coupe de couleur et de texture rares. En s’en allant, ils semèrent un membre du groupe et, comme ils retournaient le chercher, celui-ci vint à eux nu et disait en riant : “Ne me suivez pas et ne me cherchez pas”, avant de se précipiter à nouveau dans la Pyramide. Ses amis comprirent qu’il avait été ensorcelé.
Apprenant que d’étranges événements se déroulaient sous la Pyramide, Ahmed Ben Touloun exprima le désir de voir la coupe de verre. Pendant l’examen, elle fut remplie d’eau et pesée, puis vidée et pesée de nouveau. L’historien écrivit : “elle avait le même poids à vide ou remplie d’eau”. Si l’histoire est exacte, ce manque de poids supplémentaire prouve de manière indirecte l’existence à Gizeh d’une science extraordinaire.
Selon Massoudy, au 10ème siècle, des statues mécaniques, dotées de propriétés stupéfiantes, gardaient les souterrains situés sous la Grande Pyramide. Anciennes de mille ans, on peut comparer leur description à celle des robots informatiques que l’on voit de nos jours dans les films du genre “La Guerre des Etoiles”.
Massoudy raconte que les automates étaient programmés pour être sensibles à l’intolérance, parce qu’ils détruisaient tout “sauf ceux dont la conduite leur valaient d’être admis”. Massoudy prétendait que “les manuscrits des Sages et les acquis dans divers arts et sciences étaient profondément cachés, qu’ils pouvaient ainsi constituer une mémoire réservé aux intérêts futurs de ceux qui pourraient un jour les comprendre”.
C’est une information phénoménale, dans la mesure où il est possible que, depuis l’époque de Massoudy, des personnes “dignes” aient vu les mystérieuses salles souterraines. Massoudy avoua : “J’ai vu des choses impossibles à décrire de crainte que l’on ne se mette à douter de ma santé mentale… mais cependant je les ai vues”.
Autre auteur du même siècle, Mouterdy décrit un étrange incident qui survint dans un passage étroit sous la terre de Gizeh. Un groupe de personnes fut horrifié de voir un de ses membres mourir écrasé par une porte de pierre qui, d’elle-même, bascula soudain à l’entrée du passage et ferma le couloir devant eux.
Hérodote affirme que les prêtres égyptiens lui racontèrent leur antique tradition de “l’organisation de salles souterraines” par les créateurs originels de Memphis.
Les plus anciennes inscriptions suggèrent aussi qu’il existait une sorte de complexe de très grandes salles sous la surface des terrains entourant le Sphinx et les pyramides. Ces anciens récits furent confirmés par la découverte d’une large cavité lors d’une surveillance sismique sur le site en 1993.
La nouvelle fut annoncée publiquement dans un documentaire intitulé “Le Mystère du Sphinx”, vu par 30 millions de téléspectateurs sur NBC fin 2003. L’existence de salles en dessous du Sphinx est bien connue. Les autorités égyptiennes rendirent compte d’une autre découverte en 1994, sa révélation fut annoncée dans un article de journal sous le titre :
Mystérieux Tunnel dans le Sphinx :
Des ouvriers réparant le Sphinx ailé ont découvert un ancien passage menant profondément dans le corps du monument mystérieux.
Le Directeur des Antiquités de Gizeh, M. Zahi Hawass, établit que, sans doute possible, le tunnel était très ancien. Toutefois, ceci est inexplicable : qui construisit le passage ? Pourquoi ? Et où mène-t-il…? M. Hawass dit qu’il n’avait pas l’ intention d’enlever les pierres empêchant le passage. Le tunnel secret se creuse un chemin dans la face nord du Sphinx, à peu près à mi-chemin entre les pattes étendues du Sphinx et sa queue.
L’hypothèse courante que le Sphinx est le vrai portail de la Grande Pyramide a survécu avec une surprenante ténacité. Cette croyance fut alimentée par des plans vieux de 100 ans élaborés par les initiés Francs-Maçons et Rosicruciens, montrant que le Sphinx était l’ornement surmontant un espace qui communiquait avec toutes les Pyramides par des passages souterrains en étoile.
Ces plans furent dressés à partir d’informations découvertes à l’origine par le fondateur présumé de l’Ordre de la Rose-Croix, Christian Rosenkreuz, qui, à ce que l’on prétend, s’introduisit dans “une salle secrète au-dessous du sol” et y trouva une bibliothèque d’ouvrages regorgeant de connaissances secrètes.
Les croquis furent tirés de l’information détenue par les archivistes de l’Ecole des Mystères avant le début du désensablement en 1925. Ils révélèrent des ouvertures secrètes menant à des salles de réception oubliées depuis fort longtemps, de petits temples et autres enceintes. (Ces plans sont inclus dans la section “Le Plan Principal” à la fin du livre.)
En 1935, la connaissance des Ecoles des Mystères fut renforcée par une série de découvertes remarquables qui fournirent la preuve de souterrains et de salles supplémentaires s’entrelaçant dans l’espace sous-pyramidal.
Le complexe de Gizeh présentait les éléments majeurs d’une construction intentionnelle, d’une structure unitaire avec le Sphinx, la Grande Pyramide et le Temple des hommes du Soleil reliés directement les uns aux autres, en surface et en sous-sol.
Ces quelques dernières années un séismographe sophistiqué et un équipement radar pénétrant le sol (GPR) établirent l’exactitude de ces plans. L’Égypte utilise aussi avec succès des satellites de pointe afin de repérer les cités enfouies sous la surface du sol à Gizeh et ailleurs.
Le nouveau système de repérage fut lancé début 1998 et permit de déterminer avec précision l’emplacement de 27 sites non encore fouillés sur 5 secteurs. Neuf de ces sites sont situés sur la rive Est de Louxor, les autres à Gizeh, Abou Rawash, Sakkarah, et Dashour.
Les clichés du secteur de Gizeh montrent une masse presque incompréhensible constituée d’un entrelacs de tunnels et de salles en réseau, se recoupant et s’entortillant réciproquement comme un treillis s’étendant à travers tout le plateau.
Avec cet important travail d’étude depuis l’espace, les égyptologues sont capables de déterminer l’emplacement d’un site majeur, son entrée probable et la taille des salles avant de commencer les fouilles.
L’attention est attirée sur trois lieux secrets : un endroit dans le désert à quelques centaines de mètres en direction de l’ouest/sud-ouest de l’emplacement originel de la Pyramide Noire, autour de laquelle on construit actuellement un ensemble d’enceintes de béton, haute de sept mètres et couvrant huit kilomètres carrés ; l’ancienne grande route qui reliait le temple de Louxor à Carnac; et le “Chemin d’Horus” à travers le nord Sinaï.
De gros titres d’actualités…
Chez les mystiques ou les membres des écoles de mystères Egyptiens, la tradition enseignait que la Grande Pyramide était importante à plusieurs titres. En dépit du fait que l’on n’y pénétra pas avant l’an 820, les écoles secrètes de l’Egypte pré-chrétienne maintenaient qu’elles en connaissaient bien le tracé intérieur. Elles n’avaient de cesse de prétendre que ce n’était en aucun cas un tombeau ou une chambre funéraire, à l’exception d’une pièce pour l’inhumation symbolique faisant partie du rituel initiatique.
Selon les traditions mystiques, on pénétrait progressivement à l’intérieur à des niveaux variés grâce à des passages souterrains. On dit qu’il y avait différentes pièces à la fin de chaque phase de l’avancée, avec le niveau d’initiation le plus élevé représenté par ce que nous appelons maintenant la Chambre du Roi.
Peu à peu, les découvertes archéologiques vérifièrent les traditions des Écoles des Mystères, et il fut établi en 1935 qu’il existait une connexion souterraine entre le Sphinx et la Grande Pyramide, et entre le Sphinx et l’ancien temple situé sur sa face sud (aujourd’hui nommé le Temple du Sphinx).
En 1935, au moment de l’aboutissement de très importants travaux de déblaiement de sable et de coquillages dirigés par Emile Baraize, qui durèrent onze ans, des histoires remarquables commencèrent à naître au sujet des découvertes réalisées.
Un article de presse, écrit et publié alors par Hamilton M. Wright, traita d’une découverte extraordinaire sous les sables de Gizeh, que l’on refuse aujourd’hui d’admettre. L’article était accompagné de photographies d’origine venant du Dr Selim Hassan, le directeur de l’équipe de recherches scientifiques de l’Université du Caire qui fit la découverte.
Il déclarait : …
Nous avons découvert un passage souterrain utilisé il y a 5.000 ans par les anciens Egyptiens. Il passe en-dessous de la chaussée menant entre la deuxième Pyramide et le Sphinx. Il permet de traverser la chaussée qui mène de la Pyramide de Chéops à celle de Khephren. A partir de ce souterrain, nous avons déterré une série de puits donnant accès, 125 pieds en contrebas, et de petites pièces et salles latérales.
A peu près au même moment, les médias internationaux publiaient davantage de détails concernant la découverte. Le complexe de connexions souterraines fut construit à l’origine entre la Grande Pyramide et le Temple des hommes-Solaires, car la Pyramide de Khephren fut une structure plus tardive et superficielle.
Le souterrain et ses salles adjacentes furent excavés dans le substratum rocheux ; une prouesse véritablement extraordinaire, si l’on réalise qu’il fut construit il y a des milliers d’années…
Il y a davantage à ajouter à l’histoire des salles souterraines de Gizeh, car les bulletins de presse décrivirent la découverte d’un passage souterrain entre le Temple des hommes-du-Soleil sur le plateau et le Temple du Sphinx dans la vallée.
Le passage avait été dégagé quelques années avant l’autorisation de publier cet article particulier. Les découvertes conduisirent le Dr Selim Hassan et d’autres à croire et à affirmer publiquement que, bien que l’âge du Sphinx ait fait partie des énigmes du passé, il avait pu appartenir au grand projet architectural qui fut organisé et exécuté à dessein en même temps que l’érection de la Grande Pyramide.
Des archéologues firent au même moment une autre découverte majeure. A peu près à mi-chemin entre le Sphinx et la Pyramide de Khephren on découvrit quatre énormes puits verticaux, chacun d’environ 3 m2 conduisant tout droit au fond du calcaire massif. Ces puits portent le nom de “Tombeau de Campbell”, sur les cartes maçonniques et rosicruciennes, et “ce complexe”, dit le Dr Selim Hassan, “se terminait par une cour close, au centre de laquelle une autre cheminée descendait vers une salle flanquée de sept chambres.”
Certaines d’entre elles contenaient d’immenses sarcophages de basalte et granit, scellés, de 6 mètres de haut !!!
La découverte avançait et, dans l’une des sept chambre, une troisième cheminée verticale menait profondément à une chambre beaucoup plus basse. Au moment de cette révélation, elle était inondée, l’eau recouvrant en partie un unique sarcophage blanc.
Elle fut appelée “Tombeau d’Osiris” et présentée par un montage documentaire télévisé de Mars 1999 comme étant “ouverte pour la première fois”. Explorant ce site en 1935, le Dr Selim Hassan déclara : Nous espérons trouver quelques monuments importants après avoir évacué cette eau. La profondeur totale de cette série de puits est de plus de 40 mètres soit plus de 125 pieds…
Lors du déblaiement de la partie sud du souterrain, on a trouvé une très fine tête de statue, dont chaque détail rend le visage très expressif.
Selon un autre article de l’époque, la statue était un admirable buste sculpté de la Reine Néfertiti, décrite comme “un bel exemple d’un style artistique rare apparu sous le règne d’Amenhotep.”
Aujourd’hui personne ne sait où se trouve cette statue.
L’article décrit aussi d’autres salles et chambres souterraines, toutes reliées par des passages secrets très décorés. Le Dr Selim Hassan révéla non seulement avoir vu des cours intérieures ou extérieures, mais aussi une pièce, qu’il baptisa “Chapelle de l’Offrande”, creusée dans un énorme affleurement rocheux entre le Tombeau de Campbell et la Grande Pyramide.
Au centre de la chapelle, trois piliers verticaux décorés forment un triangle. Ces piliers sont des points d’une haute importance dans cette étude car la Bible signale leur existence.
On peut en conclure qu’Ezra, l’auteur originel de la Torah (397 av. JC), connaissait le tracé souterrain des passages et des salles de Gizeh.
Ce modèle souterrain inspira sans-doute le schéma triangulaire autour de l’autel central des loges maçonniques.
Dans Antiquité des Juifs, Josèphe, au premier siècle, écrivit qu’Enoch, figure de l’Ancien Testament, construisit un temple souterrain constitué de neuf salles. Dans un profond caveau à l’intérieur d’une des salles avec trois colonnes verticales, il plaça un lingot d’or de forme triangulaire portant l’inscription du nom absolu de la Divinité (Dieu).
La description des salles d’Enoch était identique à la celle de la Chapelle de l’Offrande sous le sable, juste à l’est de la Grande Pyramide.
Une antichambre ressemblant beaucoup à une chambre funéraire, mais “sans l’ombre d’un doute une pièce d’initiation et de réception” fut découverte plus haut sur le plateau, plus près de la Grande Pyramide, à l’extrémité supérieure d’un passage en pente, taillé profondément dans le roc sur la face nord-ouest de la Chambre de l’Offrande (entre la Chambre de l’Offrande et la Grande Pyramide).
Au centre de la salle se trouve un sarcophage de 12 pieds de long en calcaire blanc de Turah et une accumulation de récipients délicats en albâtre. Les murs sont admirablement sculptés avec des tableaux, des inscriptions et des emblèmes reprenant surtout la fleur de lotus. Les descriptions de récipients d’albâtre et de la fleur de lotus emblématique offrent un parallèle remarquable avec ce que trouva Sir William Petrie en 1904 dans l’atelier du temple au sommet du Mont Sinaï (Horeb).
On découvrit d’autres pièces souterraines, des salles, des temples et des couloirs, certains avec des colonnes de soutènement rondes et d’autres ornées de sculptures murales, portraits délicats de déesses magnifiquement vêtues.
Le rapport du Dr Selim Hassan décrivait d’autres portraits magnifiquement gravés et de nombreuses frises aux splendides couleurs. On prit des photos et un auteur et chercheur qui les vit, le rosicrucien H. Spencer Lewis se souvint qu’il fut “profondément impressionné” par les images. On ne sait pas où sont aujourd’hui ces rares spécimens d’art et ces vestiges, mais selon la rumeur, des collectionneurs privés les passèrents en fraude hors d’Egypte.
Ces détails ne représentent qu’une petite partie du rapport complet du Dr Selim Hassan qui fut publié en 1944 par la Presse Gouvernementale, au Caire, sous le titre Fouilles à Gizeh (en 10 volumes). Cependant, il ne représente qu’un fragment des édifices présents sous le terrain des Pyramides.
Pendant la dernière année du désensablement, des ouvriers mirent à jour la plus surprenante découverte qui fut relatée par les médias internationaux.
Les archéologues responsables de la découverte furent “déroutés” par ce qu’ils avaient sorti de terre : Une cité la plus merveilleusement organisée qu’ils eussent jamais vue. Elle est remplie de temples, de scènes pastorales peintes au pastel, d’ateliers, d’étables et autres bâtiments y compris un palais.
Pourvu de voies navigables hydrauliques souterraines, son parfait système de drainage rivalise avec d’autres équipements modernes.
A suivre....
http://mutien.com/
* * * * *
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: Anciennes Découvertes nous montrant des traces de technologies anciennes.
Anciennes Découvertes nous montrant des traces de technologies anciennes.