j'ai vu les 2 spectacles, a la suite, et une chose m'a frappé si on m'avait présenté les spectacles sans me donner les titres j'aurais sans hésiter dit que asu zoa etait le mur et vice versa.
Outre les changement concernant certains textes, c'est tout le spectacle qui est joué différemment. Dans asu zoa et en connaissant tout le matraquage médiatique, politique et juridique qui a pu intervenir entre ces 2 spectacles, on retrouve un dieudo beaucoup plus "posé", calme, profond aussi bien dans le verbe que la rythmique et dans le gestuel qui a une place aussi importante que le texte dans ses spectacles.
Sans rentrer dans un débat choco-medusodermique sur le fond du spectacle, j'invite le plus grand nombre a regarder a la suite le mur et asu zoa, pour ma part l'expression Tout ce qui ne tue pas rend plus fort prend tout son sens ici.