Ex-ministre pédophile "poissé à Marrakech" : Luc Ferry persiste et signe
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À Marrakech, un ex-ministre « s’amuse »
La loi du silence peut aussi couvrir des crimes à l’étranger. Il y a quelques années, des policiers de Marrakech effectuent une descente nocturne dans une villa de la palmeraie où une fête bien spéciale bat son plein. Les participants, des Français, sont surpris alors qu’ils « s’amusent » avec de jeunes garçons. Comme il se doit, la police embarque les adultes pris en flagrant délit. Parmi eux, un personnage proteste avec véhémence. Au commissariat, son identité est confirmée : il s’agit d’un ancien ministre français.
Le consul de France local est aussitôt avisé, qui informe à son tour l’ambassade à Rabat. L’affaire est rapidement arrangée et « l’excellence », libérée sur-le-champ, peut embarquer dans un avion pour la France. Aucune procédure ne sera engagée contre quiconque au Maroc. Et, bien que le tourisme sexuel soit, en principe, poursuivi par la justice française, cet homme n’aura aucun ennui à son retour.
Notre source marocaine craint pour sa carrière, l’affaire a été étouffée. Faute d’éléments de procédure ou de témoignage, la loi nous interdit légitimement de nommer le personnage. F. M.
En 2011 Luc Ferry lâchait le morceau sur un ancien ministre français qui s’était fait prendre dans une partouze avec des petits garçons au Maroc. Nous sommes en 2014 et Luc Ferry insiste : il ne change pas une virgule de ce qu’il déclarait il y a trois ans.
Extrait de l’émission Médias, le magazine diffusée sur France 5 le 5 octobre 2014 :
https://www.egaliteetreconciliation.fr/Ex-ministre-pedophile-poisse-a-Marrakech-Luc-Ferry-persiste-et-signe-28385.html
La vidéo de 2011 :
L’article du Figaro du 28 mai 2011 évoqué par Luc Ferry :
À Marrakech, un ex-ministre « s’amuse »
La loi du silence peut aussi couvrir des crimes à l’étranger. Il y a quelques années, des policiers de Marrakech effectuent une descente nocturne dans une villa de la palmeraie où une fête bien spéciale bat son plein. Les participants, des Français, sont surpris alors qu’ils « s’amusent » avec de jeunes garçons. Comme il se doit, la police embarque les adultes pris en flagrant délit. Parmi eux, un personnage proteste avec véhémence. Au commissariat, son identité est confirmée : il s’agit d’un ancien ministre français.
Le consul de France local est aussitôt avisé, qui informe à son tour l’ambassade à Rabat. L’affaire est rapidement arrangée et « l’excellence », libérée sur-le-champ, peut embarquer dans un avion pour la France. Aucune procédure ne sera engagée contre quiconque au Maroc. Et, bien que le tourisme sexuel soit, en principe, poursuivi par la justice française, cet homme n’aura aucun ennui à son retour.
Notre source marocaine craint pour sa carrière, l’affaire a été étouffée. Faute d’éléments de procédure ou de témoignage, la loi nous interdit légitimement de nommer le personnage. F. M.