- Aucun complément alimentaire ne peut être vendu dans un but préventif ou thérapeutique.
- Tout remède à des doses supérieures à la norme fixée est un médicament, nécessitant une prescription et devant être produite dans les entreprises pharmaceutiques.
- Plus de 5.000 produits vendus aujourd’hui seront bannis des magasins.
- Les régulations du Codex seront valables pour toute la planète.
- Les compléments alimentaires seront interdits, sauf si testés à grand prix et approuvés par le Codex.
- Non seulement, nous n’aurons plus les quantités nécessaires, mais elles seront alors vendues sous prescription et à des prix exorbitants.
Les résultats visibles en Allemagne (à vérifier) :
- Les tablettes de zinc à 4 € le flacon, coûtent aujourd’hui 50 €.
- L’échinacéa connu pour renforcer le système immunitaire est passé de 14 à 153 €.
- La vitamine C est limitée à 200mg, la B6 à 4mg.
- On ne trouve plus d’acides aminés (arginine, lysine...), ni d’acides gras (oméga 3, 6, 9).
- On ne trouve plus les DMEA, DHEA, MSM, béta-carotène... Ils sont interdits.
La réduction drastique des suppléments alimentaires sera imposée à tous les pays, sous peine de sanctions commerciales.
Dans un article publié sur le site « The Lawloft », la journaliste Suzanne Harris raconte son enquête auprès du Codex et parle des pressions politiques et de la façon dont on a voulu la tenir à l’écart des réunions.
Elle affirme que les pays non signataires risquent des sanctions commerciales en ne ratifiant pas le nouveau Codex et surtout dénonce l’article 1, lequel stipule que son rôle est « de promouvoir la coordination de tous les travaux sur les standards alimentaires sous l’égide des Nations Unies et des organisations non gouvernementales ».
Par « non gouvernementales », il faut entendre « industrie pharmaceutique »…
*Le géant chimique IG. Farben, fut au cœur de la machine de guerre d'Hitler. IG. Farben avait une branche US, contrôlée par les Rothschild, par l'intermédiaire des Warburg (Paul Warburg, qui dirigeait durant sa création, la banque privée "Central Bank of America", la Réserve Fédérale, en 1913, siégeait comme directeur d'American IG). I.G Farben, était chargé de l’organisation du camp des travaux forcés à Auschwitz, et était en réalité une division de la Standard Oil, laquelle appartenait officiellement aux Rockefeller (l'empire des Rockefeller fut fondé par les Rothschild).