Planète Révélations
Bienvenu sur Planète Révélations, bonne visite à vous...
Planète Révélations
Bienvenu sur Planète Révélations, bonne visite à vous...
Planète Révélations
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Planète Révélations


 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
-50%
Le deal à ne pas rater :
-50% Baskets Nike Air Huarache Runner
69.99 € 139.99 €
Voir le deal
-40%
Le deal à ne pas rater :
-40% sur le Pack Gaming Mario PDP Manette filaire + Casque filaire ...
29.99 € 49.99 €
Voir le deal

Partagez
 

 Livre d’Alchimie et d’ésotérisme les fables Égyptiennes et Grecques par Dom Antoine-Joseph Pernety.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
geoff78

geoff78

Masculin Taureau Buffle
Messages : 4426
Date d'inscription : 02/05/2009
Age : 38
Localisation : Partout

Livre d’Alchimie et d’ésotérisme les fables Égyptiennes et Grecques par Dom Antoine-Joseph Pernety. Empty
MessageSujet: Livre d’Alchimie et d’ésotérisme les fables Égyptiennes et Grecques par Dom Antoine-Joseph Pernety.   Livre d’Alchimie et d’ésotérisme les fables Égyptiennes et Grecques par Dom Antoine-Joseph Pernety. I_icon_minitimeSam 11 Déc 2010 - 16:05

Livre d’Alchimie et d’ésotérisme les fables Égyptiennes et Grecques par Dom Antoine-Joseph Pernety.

Préface.

La Philosophie considérée en général a pris naissance avec le monde, parce que de tout temps les hommes ont pensé, réfléchi, médité ; de tout temps le grand spectacle de l’Univers a du les frapper d admiration, et piquer leur curiosité naturelle. Né pour la société, l’homme a cherché les moyens d’y vivre avec agrément et satisfaction ; le bon sens, l’humanité, la modestie, la politesse des moeurs, l’amour de cette société, ont donc dû être les objets de son attention. Mais quelque admirable, quelque frappant qu’ait été pour lui le spectacle de l’Univers, quelque avantage qu’il ait cru pouvoir tirer de la société, toutes ces choses n’étaient pas lui. Ne dût-il pas sentir, en se repliant sur lui-même, que la conservation de son être propre, n’était pas un objet moins intéressant ; et penserait-on qu’il se soit oublié, pour ne s’occuper que de ce qui était autour de lui ? Sujet à tant de vicissitudes, en but à tant de maux ; fait d’ailleurs pour jouir de tout ce qui l’environne, il a sans doute cherché les moyens de prévenir ou de guérir ces maladies, pour conserver plus longtemps une vie toujours prête à lui échapper. Il ne lui a pas fallu méditer beaucoup pour concevoir et se convaincre que le principe qui constitue son corps et qui l’entretient, était aussi celui qui devait le conserver dans sa manière d’être. L’appétit naturel des aliments le lui indiquait assez : mais il s’aperçut bientôt que ces aliments, aussi périssables que lui, à cause du mélange des parties hétérogènes qui les constituent, portaient dans son intérieur un principe de mort avec le principe de vie. Il fallut donc raisonner sur les êtres de l’Univers, méditer longtemps pour découvrir ce fruit de vie, capable de conduire l’homme presque à l’immortalité.

Ce n’était pas assez d’avoir aperçu ce trésor à travers l’enveloppe qui le couvre et le cache aux yeux du commun. Pour faire de ce fruit l’usage qu’on se proposait, il était indispensable de le débarrasser de son écorce, et de l’avoir dans toute sa pureté primitive. On suivit la Nature de près ; on épia les procédés qu’elle emploie dans la formation des individus, et dans leur destruction. Non seulement on connut que ce fruit de vie était la base de toutes ses générations, mais que tout se résolvait enfin eu ses propres principes.

On Se mit donc en devoir d’imiter la Nature ; et sous un tel guide pouvait-on ne pas réussir ? à quelle étendue de connaissances cette découverte ne conduisit-elle pas ? Quels prodiges n’errait-on pas en état d’exécuter, quand on voyait la Nature comme dans un miroir, et qu’on l’avait à ses ordres ?

Peut-on douter que le désir de trouver un remède à tous les maux qui antigène l’humanité, et d’étendre, s’il était possible, les bornes prescrites à la durée de la vie, n’aie été le premier objet des ardentes recherches des hommes, et n’aie formé les premiers Philosophes ? Sa découverte du flatter infiniment son inventeur, et lui faire rendre de grandes actions de grâces à la Divinité pour une faveur si signalée. Mais il duc penser en même temps que Dieu n’ayant pas donné cette connaissance à tous les hommes, il ne voulait pas sans douce qu’elle fût divulguée. Il fallut donc n’en faire participants que quelques amis; aussi Hermès Trismégiste, ou trois fois grand, le premier de tous les Philosophes connus avec distinction, ne le communiqua-t-il qu’à des gens d’élite, à des personnes dont il avait éprouvé la prudence et la discrétion. Ceux-ci en firent part à d’autres de la même trempe, et cette découverte se répandit dans tout l’Univers. On vit les Druides chez les Gaulois, les Gymnosophistes dans les Indes, les Mages en Perse, les Chaldéens en Assyrie, Homère, Talés, Orphée, Pythagore, et plusieurs autres Philosophes de la Grèce avoir une conformité de principes, et une connaissance presque égale des plus rares secrets de la Nature. Mais cette connaissance privilégiée demeura toujours renfermée dans un cercle très étroit de personnes, et l’on ne communiqua au reste du monde que des rayons de cette source abondance de lumière.

Cet agent, cette base de la Nature une fois connue, il ne fut pas difficile de l’employer suivant les circonstances des temps et l’exigence des cas. Les métaux, les pierres précieuses entrèrent dans les arrangements de la société, les uns par le besoin qu’on en eut, les autres pour la commodité et l’agrément. Mais comme ces derniers acquirent un prix par leur beauté et leur éclat, et devinrent précieux par leur rareté, on fit usage de ses connaissances Philosophiques pour les multiplier. On transmua les métaux imparfaits en or et en argent, on fabriqua des pierres précieuses, et l’on garda le secret de ces transmutations avec le même scrupule que celui de la panacée universelle, tant parce qu’on ne pouvait dévoiler l’un sans faire connaître l’autre, que parce qu’on sentait parfaitement qu’il résulterait de sa divulgation, des inconvénients infinis pour la société.

Mais comment pouvoir se communiquer d’âges en âges ces secrets admirables, et les tenir en même temps cachés au Public ? Le faire par tradition orale, c’eût été risquer d’en abolir jusqu’au souvenir ; la mémoire est un meuble trop fragile pour qu’on puisse s’y fier. Les traditions de cette espèce s’obscurcissent à mesure qu’elles s’éloignent de leur source, au point qu’il est impossible de débrouiller le chaos ténébreux, où l’objet et la matière de ces traditions se trouvent ensevelis. Confier ces secrets à des tablettes en langues et en caractères familiers, c’était s’exposer à les voir publics par la négligence de ceux qui auraient pu les perdre, ou par l’indiscrétion de ceux qui auraient pu les voler. Bien plus, il fallait ôter jusqu’au moindre soupçon, sinon de l’existence, au moins de la connaissance de ces secrets. Il n’y avait donc d’autre ressource que celle des hiéroglyphes, des symboles, des allégories, des fables, etc. qui étant susceptibles de plusieurs explications différentes, pouvaient servir à donner le change, et à instruire les uns, pendant que les autres demeureraient dans l’ignorance. C’est le parti que prit Hermès, et après lui tous les Philosophes Hermétiques du monde. Ils amusaient le Peuple par des fables, dit Origène, et ces fables, avec les noms des Dieux du pays, servaient de voile à leur Philosophie.

Ces hiéroglyphes, ces fables présentaient aux yeux des Philosophes, et de ceux qu’ils instruisaient pour être initiés dans leurs mystères, la théorie de leur Art sacerdotal, et aux autres diverses branches de la Philosophie, que les Grecs puisèrent chez les Egyptiens. Les usages, les modes, les caractères, quelquefois même la façon de penser varient suivant les pays. Les Philosophes des Indes, ceux de l’Europe inventèrent des hiéroglyphes et des fables à leur fantaisie, toujours cependant pour le même objet. On écrivit sur cette matière dans la suite des temps, mais dans un système énigmatique ; et ces ouvrages, quoique composés en langues connues, devinrent aussi intelligibles que les hiéroglyphes mêmes. L’affectation d’y rappeler les fables anciennes, en a fait découvrir l’objet ; et c’est ce qui m’a engagé à les expliquer suivant leurs principes. On les trouve assez développés dans leurs livres, quand on veut les étudier avec une attention opiniâtre, et qu’on a assez de courage pour vouloir se donner la peine de les combiner, de les rapprocher les uns des autres. Ils n’indiquent la matière de leur Art que par ses propriétés, jamais par le nom propre sous lequel elle est connue. Quant aux opérations requises pour la mettre en oeuvre philosophiquement, ils ne les ont pas caché sous le sceau d’un secret impénétrable ; ils n’ont point fait de mystère des couleurs ou signes démonstratifs qui se succèdent dans tout le cours des opérations. C’est ce qui leur a fourni particulièrement la matière à imaginer, à feindre les personnages des Dieux et des Héros de la Fable, et les actions qu’on leur attribue ; on en jugera par la lecture de cet Ouvrage. Chaque chapitre est une espèce de dissertation, ce qui lui ôte beaucoup d’agréments, et l’empêche d’être aussi amusant que la matière semblait le porter. Je ne me suis pas proposé d’écrire des fables, mais d’expliquer celles qui sont connues. On verra dans le discours préliminaire les raisons oui m’ont déterminé à mettre en tête des principes généraux de Physique, et un Traité de Philosophie Hermétique. Il était indispensable de mettre par-là le Lecteur au fait de la marche, et du langage des Philosophes, dès que je me proposais de le faire entrer dans leurs idées. Il y verra les énigmes, les allégories, les métaphores donc leurs écrits fourmillent. S’il en désire une explication plus détaillée, il peut avoir recours au Dictionnaire Mytho Hermétique, que j’ai mis au jour en même temps.

On demande si la Philosophie Hermétique est une science, un art, ou un pur être de raison ? Le préjugé tient pour ce dernier ; mais le préjugé ne fait pas preuve. Le Lecteur sans prévention se décidera après la lecture réfléchie de ce Traité, comme bon lui semblera. On peut sans honte risquer de se tromper avec tant de savants, qui dans tous les temps ont combattu ce préjugé. N’aurait-on pas plus à rougir de combattre avec mépris la Philosophie Hermétique sans la connaître, que d’en admettre la possibilité si bien fondée sur la raison, et même l’existence sur les preuves rapportées par un si grand nombre d’Auteurs, donc la bonne foi n’est pas suspecte ? Au moins ne peut-on raisonnablement contester que l’idée d’une médecine universelle, et celle de la transmutation des métaux, n’aient été assez flatteuses pour échauffer l’imagination d’un homme, et lui faire enfanter des fables pour expliquer ce qu’il en pensait. Orphée, Homère, et les plus anciens Auteurs parlent d’une médecine qui guérit tous les maux ; ils en font mention d’une manière si positive, qu’ils ne laissent aucun douce sur son existence. Cette idée s’est perpétuée jusqu’à nous : les circonstances des fables se combinent, s’ajustent avec les couleurs, et les opérations dont parlent les Philosophes, s’expliquent même par-là d’une manière plus vraisemblable que dans aucun autre système : qu’exigera-t-on de plus ? Sans doute une démonstration ; c’est aux Philosophes Hermétiques à prendre ce moyen de convaincre les incrédules ; et je ne le suis pas.
Revenir en haut Aller en bas
meli88



Féminin Capricorne Dragon
Messages : 31
Date d'inscription : 28/04/2012
Age : 59

Livre d’Alchimie et d’ésotérisme les fables Égyptiennes et Grecques par Dom Antoine-Joseph Pernety. Empty
MessageSujet: site à regarder    Livre d’Alchimie et d’ésotérisme les fables Égyptiennes et Grecques par Dom Antoine-Joseph Pernety. I_icon_minitimeJeu 10 Mai 2012 - 14:59

lisez bien cette histoire où il est question de fable grecque ,d'hermétisme dans ces 2 TABLEAUX DE FAMILLE ,2 TABLEAUX INCONNUS DE POUSSIN qui SONT LA CLE DE L'ENIGME DE RENNES LE CHATEAU

SECRET D'UN PEINTRE MAIS AUSSI SECRET DE FAMILLE, CAR CES TABLEAUX M'ONT ETE TRANSMIS PAR MON ANCÊTRE HENRI GASC . IL Y A 6ANS J'AI HERITE DE CES TABLEAUX ET UNE GRANDE AVENTURE A COMMENCE .DE RECHERCHES EN DECOUVERTES CES TABLEAUX M'ONT AMENE SUR LA PISTE DE POUSSIN ET DE MON ANCÊTRE,CURE PRES DE RENNES LE CHATEAU, QUE J'AI DECOUVERT AU COEUR DE CETTE ENIGME COMME LE PROTAGONISTE DE CE MYSTERE .

Mes tableaux se sont révélés être des tableaux codés :CODES SYMBOLES ,IMAGES cachées, LETTRES , CHIFFRES, VISAGE MAGNIFIQUE découvert AUX RAYONS X,POUSSIN LIVRE UN DA POUSSIN CODE .Peintre savant,il utilise ses connaissances les plus anciennes et l'astronomie pour nous livrer son secret ,secret religieux qui a du faire peur à mon ancêtre quand il l'a découvert, dans ces tableaux qui étaient dissimulés dans son église Mais un secret se transmet et c'est ce qu'il a fait à travers un savant jeu de piste dont les fameux parchemins
Un reportage a mis en lumière mes extraordinaires découvertes,et j'ai décidé de faire un site pour faire découvrir ces tableaux ,ce secret et amener le public vers la clé de cette énigme .une interview,visible en page liens, donne des révélations et des images passionnantes amenant sur la piste de ce" trésor". ancestral .

mon site www.lesecretdepoussin.com

Revenir en haut Aller en bas
 

Livre d’Alchimie et d’ésotérisme les fables Égyptiennes et Grecques par Dom Antoine-Joseph Pernety.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Les secrets de l'alchimie : De la science à l'ésotérisme ( La marche des sciences )
» Livre Black-List, Thierry Ardisson accueille Kristina Borjesson lisenciée pour son livre
» Fitch égratigne cinq banques grecques
» Les pierres des pyramides égyptiennes seraient synthétiques
» Documentaire TECHNOLOGIE ALIENE SOUS LES PYRAMIDES ÉGYPTIENNES (janvier 2011).

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Planète Révélations :: Légendes & mystères :: Alchimie-