La cosmologie et la relativité générale d’Einstein : un mariage impossible !
Dans son No 1124 de mai 2011, la revue Science &Vie nous propose un article intitulé :
Einstein dépassé ! 47 galaxies contredisent sa théorie.
C’est la deuxième fois que nos observations du cosmos démontrent de façon catégorique, les travers de la théorie de la relativité générale d’Einstein.
La première contrariété fut consécutive aux mesures publiées par l’astronome Fritz Zwicky en 1933. Certaines galaxies ne tournent pas en accord avec les prédictions faites par l’équation de la relativité générale. Pas de problème, il ne faut surtout pas toucher aux équations d’Einstein, alors d’un coup de baguette magique, nous faisons apparaître quelque chose d’invisible, même aux yeux des plus avertis, la MATIÈRE NOIRE. Jolie rustine qui représenterait entre 83 à 90% de la matière de l’Univers et que seules nos équations sont capables de “voir”.
Où est le problème ?
Cette année, en 2011, l’astronome Stacy McGaugh, en observant 47 galaxies, constate qu’elles respectent toutes une même loi. Malheureusement cette loi est en contradiction avec le modèle standard de la cosmologie et les équations d’Einstein qui trônent au milieu. La matière noire ne semble plus être la rustine appropriée. Faut-il en arriver à appliquer la théorie de Newton modifiée, c’est-à-dire celle connue sous le nom de théorie MOND ?
Cette théorie rejette l’hypothèse de la matière noire, tandis que le modèle cosmologique semble “expliquer” tant de choses avec elle. Plus personne ne sait où chercher de nouvelles rustines, et le CERN tarde à découvrir cette fameuse matière noire. Bien que les astrophysiciens ne s’accordent plus sur une théorie unique, ils ne se formalisent pas trop car ce ne sont que des singularités, des anomalies…
… enfin, une façon élégante de dire que nos théories sont à côté de ce qu’elles prétendent expliquer.
ET POURTANT, si ces astrophysiciens, au lieu de chercher cette matière noire, faisaient fonctionner leur matière grise en explorant les Sciences revisitées, ils découvriraient que le principe de la pesanteur, comme exposé, est un phénomène engendré par l’éther. Ce principe explique toutes ces anomalies, ces singularités. Plus besoin de rustines c’est une nouvelle chambre à air toute neuve.
Nos observations s’accordent parfaitement avec ces nouvelles théories tant que nous n’essayons pas de leurs donner des interprétations infondées et invérifiables.
Je m’explique :
Tout comme pour le Modèle de l’Atome à Electrons Statiques MAES, qui permet de donner des interprétations différentes à toutes nos expériences et à toutes nos observations, le principe de la pesanteur explique les choses différemment. Les pommes tombent toujours de l’arbre mais la cause est imputable à l’éther et non plus à l’hypothétique force d’attraction gravitationnelle inventée par Newton et qui agissait entre les masses.
Le champ de pesanteur, contrairement à la gravitation, est limité au sein d’un volume sphérique que j’ai nommé éthersphère ou encore sphère d’influence. Pour preuve de cette particularité, les voyages des sondes spatiales ont démontré aux spécialistes de la NASA, que cette sphère d’influence est bel et bien limitée en dimension. Pour profiter de ses effets, afin d’amplifier la vitesse de déplacement des sondes, il faut entrer dans cette sphère d’influence, sinon rien ne se passe, les sondes poursuivent leur trajectoire à la vitesse qu'elles possédaient auparavant (enfin presque, mais là n'est pas encore ce nouveau débat).
La notion de masse perd tout sens parce que les forces s’exercent par l’intermédiaire des bulles de protection des électrons, les bulles électroniques. Le poids est une force qui vient de l’extérieur et non pas une force exercées par les constituants des noyaux atomiques. Ces constituants agissent sur les électrons et plus directement sur les congénères des autres atomes. Les conséquences sont multiples avec des degrés d’incidence plus ou moins élevés sur notre connaissance.
La plus importante à mes yeux, concerne le fonctionnement des corps célestes. De la galaxie en passant par les étoiles et les planètes, tous ces objets célestes possèdent un noyau astral plus ou moins volumineux. Noyau, constitué de protons, qui en se désagrégeant, génère de la matière ou d’autres corps célestes. Voir l’article sur l’expansion terrestre,et également celui sur la disparition des dinosaures.
De toute évidence, le MAES qui donne des explications différentes sur le fonctionnement des astres et qui justifient enfin la chaleur interne d’une planète et tant d'autres mystères, assène un coup fatal à la théorie des trous noirs (concepts présupposés, mais encore jamais observés directement).
De ces premiers constats qui remettent la cosmologie à sa juste place, il faut tout de même mettre un bémol. En effet, les Sciences revisitées sont incapables d’énoncer des formules magiques qui permettraient de prédire toutes sortes de phénomènes invérifiables sur la durée de vie de l’humanité.
Par exemple, il est impossible de déterminer la “masse” d’une galaxie à partir de sa brillance (loi très surprenante mais qui fait foi !). La notion de masse n’a plus aucun sens et la remplacer par la quantité de matière, serait le signe de l’incompréhension du fonctionnement des astres. En effet, la quantité de matière représente l’ensemble des atomes et molécules que pourrait engendrer un noyau astral, or cette quantité varie en fonction de la taille de ces éléments de matière, donc il est tout simplement impossible de la prédire.
Autre exemple, un astre engendre aucune incidence sur son étoile, de ce fait, il devient impossible de prétendre apercevoir une exoplanète en interprétant l’oscillation de l’étoile. Il faut chercher la raison de cette observation ailleurs, dans la précision de la prise de vue. Dans le même registre, prétendre observer des transits de planètes devant leur étoile et encore une mauvaise interprétation de ces mêmes observations. Je suis désolé de l'annoncer, mais nous n'avons toujours aucune possibilité de découvrir des exoplanètes !
Encore un exemple, le décalage vers le rouge des galaxies n’est pas la preuve de leur déplacement, mais seulement le témoin qu’elles sont très éloignées. Si les galaxies ne possèdent pas le mouvement prédit par l’interprétation des observations, c’est qu’elles sont immobiles et donc, la théorie du Big-bang tombe avec les autres. La logique revient au galop et ces histoires du passé du cosmos, à la limite du supportable, seront à jamais la risée de nos descendants.
Avec cette vision de la Science, beaucoup de contes hollywoodiens disparaissent ou retournent dans le monde de la science fiction. La déception de certains risquerait d’être grande, mais il n’est pas nécessaire d’imaginer ce qui pourrait exister ailleurs, notre système solaire est déjà tellement riche. Il n’existe pas de planète gazeuse et la vie, sous toutes ses formes, est présente partout. Alors essayons de voir ce qui est à notre portée, et non pas ce qui restera à jamais que des illusions. Profitons de cette occasion pour comprendre enfin notre Mère Nature, cette si jolie planète nommée Terre avec toute la vie qu'elle abrite…
Ouvrons de nouveau les yeux, redevenons ces êtres doués de la pensée et utilisons-la pour comprendre les choses.
Roger Robert