L’irradiation d’aliments tue certains micro-organismes responsables de la dégradation de ces aliments.
De plus, l’irradiation inhibe la germination des oignons et des pommes de terre en stoppant la multiplication des cellules à croissance rapide (méristèmes). L’irradiation ralentit aussi le processus naturel de murissement ce qui permet d’allonger les filières et de vendre des produits de l’autre côté de la planète dans les grandes surfaces.
Les produits les plus touchés en Belgique sont :* les crevettes * les cuisses de grenouilles congelées * les viandes * les poissons * les volailles * les fruits secs * les haricots/pois * les oignons * les échalottes * les fraises pour éviter flatulence * les potages déshydratés * le café déshydraté
Ce traitement permet donc d’avoir des fruits et épices bien reluisants bien plus longtemps ! L’apparence est donc sauve et la commercialisation partout dans le monde garantie. A quel prix ?
L’irradiation n’est pas classée comme « additif » et n’est donc pas soumise à des tests toxicologiques !
Les effets sont pervers, en effet, un produit dégradé ne donnera pas lieu à ces odeurs caractéristiques, ce qui permet de continuer à le vendre !
Plus grave encore, l’irradiation produit des radicaux libres, instables et réactifs (OH- et H+) et qui sont réputés cancérigènes.
La cerise sur le gâteau vient avec la création de cyclobutanones suite à l’irradiation d’acides gras (viandes, fruits oléagineux, poissons,…). Selon des études scientifiques, ces cyclobutanones sont toxiques pour les cellules humaines et promeuvent le cancer du colon chez les rats et de plus, les cyclobutanones s’accumulent dans les graisses...
La France et la Belgique sont leaders dans l’irradiation !
L’irradiation n’est pas réalisée dans les produits bio, ni les produits paysans produits à la ferme et vendus en filière courte.