Messages : 5072 Date d'inscription : 11/06/2012 Age : 51 Localisation : UNIFIÉS CORPS, ÂME, MENTAL. LA TRINITÉ PARFAITE QUI REGARDE DANS LA MÊME DIRECTION, NE SE COMBAT PLUS MAIS RESTE SOLIDAIRE
Sujet: Le judaïsme et l’invention du racisme culturel Lun 19 Aoû 2013 - 10:49
Le judaïsme et l’invention du racisme culturel
Publier et écrit par Chez Mutien
Je remarque que ce soit partout dans le monde, dès que nous parlons de racisme, il ne faut jamais parler du judaïsme… Et pourtant, quand nous allons par exemple chez nos voisins français, et plus précisément à Paris, le plus grand groupe raciste est justement une association juive > La LDJ…
Sociologiquement, il serait donc intéressant de comprendre pourquoi de tels attitudes. Comprendre par exemple pourquoi Israël est considéré comme le pays le plus raciste de la planète (pays qui vient même de recréer l’apartheid en imposant des bus différents pour les arabes…).
De ce fait, aujourd’hui j’ai décidé de vous partager un livre d’André Gaillard : ‘Le judaïsme et l’invention du racisme culturel’ (Aux Editions Bénévent – 2007 – ISBN : 978-2-7563-0574-5).
Quand à moi, je rajouterais : « Le peuple juif ne constitue pas une race, mais se distinguer comme étant juif est une attitude raciste » .
Bonne lecture !
Un texte de plus sur le racisme ?
Alors que ce sujet suscite chaque année nombre d’ouvrages et d’articles peut-on encore, par quelque analyse théorique supplémentaire, avoir l’espoir de réduire ce phénomène, source de multiples conflits, tantôt larvés, tantôt sanglants ?
À cette question la réponse peut être positive… Malgré l’abondante littérature en question, il apparaît à l’évidence que des données relatives au judaïsme, dans le contexte duquel le racisme s’est particulièrement développé au cours des siècles, sont restées jusqu’ici dans l’ombre et que certains processus racistes sont toujours mal élucidés, le premier d’entre eux, pourtant amplement étudié, étant celui dont les Juifs ont été victimes. Comprendre la nature d’un mal endémique pour qu’il puisse être traité, ou mieux prévenu de façon efficace, clarifier dans une perspective pédagogique un sujet volontiers controversé et parfois polémique (puisque nous sommes contraints d’utiliser des mots nouveaux pour qualifier des situations anciennes, faisant en somme de l’anachronisme philologique), proposer une base réflexive, telles sont les raisons de ces propos.
Face au racisme en général, défini par les dictionnaires comme une « idéologie fondée sur la croyance qu’il existe une hiérarchie entre les races, l’une, celle à laquelle on appartient, étant vue comme supérieure, les autres inférieures », il s’agit d’abord de reconnaître qu’il existe deux types caractérisés de racisme quant à leur source et leur devenir : l’un, génétique, universel, inhérent à la nature humaine, l’autre acquis, contingent, d’ordre culturel. C’est cette dernière forme qui nous intéresse essentiellement dans cette étude qui, par ailleurs, concerne exclusivement le racisme développé dans la sphère d’influence du judaïsme, c’est-à-dire le racisme dont les Juifs, en tant qu’héritiers directs du judaïsme, et les non-Juifs au contact de cette culture peuvent être tantôt les acteurs, tantôt les victimes.
Dans cette perspective une question fondamentale s’est toujours posée : « Quelle est la société qui, la première dans l’histoire de la sphère occidentale, a formulé une pensée raciale et produit un droit codifiant des pratiques racistes au sens moderne permettant de lui attribuer l’invention du racisme culturel ? »
Et dans cette étude concernant exclusivement le judaïsme une question non moins essentielle attend une réponse : « Quelle est la société qui, la première dans l’histoire, a racialisé les Juifs et, partant, généré du racisme ? »
(Lire la suite)
Spoiler:
Contrairement à certaines études selon lesquelles une pensée raciale structurée, avec le racisme potentiel qui en découle, est un phénomène des temps modernes se situant soit dans l’Europe chrétienne de la fin du XVe siècle, soit dans l’Europe bourgeoise du XIXe siècle, cet essai montrera, d’une part, avec divers auteurs, que la pensée raciale est bien plus ancienne, d’autre part qu’elle remonte par ses prémisses à l’Antiquité et plus précisément au judaïsme rabbinique au seuil du premier millénaire. Il montrera aussi qu’il n’y a pas un racisme isolé à l’encontre des seuls Juifs mais un racisme en miroir, disons un racisme juif et un racisme antijuif, phénomène continu avec des manifestations paroxystiques.
On l’aura compris, il s’agit ici de l’étude critique d’un système de pensée directement dépendant du judaïsme dans ce domaine sensible et délicat qu’est le racisme, cette idéologie dont a été victime, chacun le sait, en temps et en intensité, une fraction notable des Juifs d’Europe. De plus, alors que le racisme dans le contexte du judaïsme est habituellement vu comme étant à sens unique – des agresseurs non-juifs contre des agressés juifs – nous découvrirons ici un racisme spécifique, à savoir un double racisme dont les deux séquences conjointes dépendent pour partie de la même source.
Si le judaïsme, comme toutes les entreprises humaines, porte des tares particulières dont l’étude est à reprendre dans le sillage des grands critiques juifs que furent notamment Spinoza2 d’abord ou, plus près de nous, Bernard Lazare, Maxime Rodinson et tant d’autres, personne n’est plus convaincu que l’auteur de ces lignes que la pensée occidentale ne serait pas ce qu’elle est sans l’apport éminent du judaïsme. Faut-il rappeler, dans le domaine de la morale, que le commandement biblique « Tu ne tueras pas », même s’il fut inventé précédemment par d’autres sociétés humaines et appliqué par les Hébreux aux seuls membres de leur tribu, est devenu avec le relais du christianisme un monument de la conscience universelle ? Faut-il rappeler l’apport du judaïsme dans le domaine de l’étude puisque nombre de lauréats du Prix Nobel, même s’ils furent largement tributaires des cultures de voisinage et notamment de celle de l’Occident, ont bénéficié pour une part notable d’une tradition d’étude et de débat particulièrement active dans le judaïsme ? Mais le propos, ici, est tout autre. Par delà les personnes et leurs responsabilités éventuelles, loin de toute idée d’offense et de stigmatisation, et sans aucunement minimiser les souffrances qui leur furent infligées, il s’agit de soumettre le judaïsme à un examen critique afin, notamment, d’apporter quelque éclairage, d’une part sur l’antisémitisme considéré à tort par nombre d’auteurs comme largement énigmatique dans son développement continu à travers les siècles, d’autre part sur le racisme issu de cette tradition religieuse.
À cette méconnaissance du rôle néfaste de certaines données du judaïsme, deux raisons paraissent primordiales. La première : le fait que le discours dominant, en rapportant principalement les souffrances des Juifs donne à penser que le racisme n’existe pas chez eux.
Comme si le fait d’avoir souffert pendant très longtemps du racisme des non-Juifs excluait pour eux toute responsabilité dans ce domaine et exonérait le judaïsme de transporter de lourdes pesanteurs, comme si les Juifs ne faisaient pas partie du commun des mortels. En effet, à l’idéologie perverse d’une culpabilité totale a succédé souvent celle, non moins perverse, d’une innocence totale ! S’il est logique que l’histoire contemporaine soit profondément marquée par le génocide, inédit à bien des titres, des Juifs européens par les nazis, il reste que nombre d’auteurs sur le sujet omniprésent dans les médias de l’antisémitisme se sont manifestement laissé subjuguer par le discours dominant, dans lequel la mémoire récente se confond volontiers avec l’histoire.
La seconde raison permettant d’expliquer la méconnaissance du phénomène « antisémitisme » réside, comme nous le verrons, dans le fait que les auteurs des multiples travaux consacrés au racisme en général ne retiennent souvent comme critères du processus que ses manifestations spectaculaires d’ordre physique en négligeant les multiples manifestations d’un autre ordre (psychologiques, juridiques, diplomatiques, économiques, verbales…) lesquelles, pour silencieuses, discrètes voire occultes qu’elles puissent être, pour différentes qu’elles soient dans leurs expressions, n’en sont pas moins des violences effectives, souvent plus efficaces que les premières quant au but poursuivi. Ici, la pensée prévaut sur la force, la matière grise sur le muscle, le Verbe sur le poignard. Or, si le judaïsme sioniste dans l’État d’Israël avec sa ségrégation institutionnelle, a généré depuis le milieu du XXe siècle une explosion de violences de tous ordres que rapportent quotidiennement nombre d’observateurs libres, nous dirons que le racisme juif n’avait guère comporté, pendant les dix-huit siècles précédents, que des violences autres que physiques.
Ici, dans cet essai, des Juifs, en tant que tributaires de cette culture, vont être mis en cause.
Toute critique d’un système idéologique repose, certes sur des idées, mais aussi sur des faits impliquant des personnes. C’est la loi du genre, difficile et délicate par nature. Elle l’est d’autant plus ici que nous savons à quelles violences ont pu conduire dans le passé les accusations portées à l’encontre des Juifs lorsque se déchaînaient propagande et persécutions.
Mais, à l’heure actuelle, face au repli marqué d’une partie notable du monde juif sur lui même en un communautarisme exacerbé, repli qui l’empêche d’analyser sereinement ses difficultés passées et présentes, le danger potentiel est considérablement moindre que celui qu’encourage l’absence de critique. Si les Juifs, dans les pays occidentaux, ne courent plus de risques majeurs pour leur vie ou leurs biens, il n’en est pas de même pour ceux qui vivent en Palestine au nom d’une idéologie agressive, le sionisme, dont la confrontation avec cette autre idéologie folle et largement réactionnelle à la précédente qu’est l’islamisme, peut logiquement conduire à un conflit, tout à la fois inédit comme le veut l’histoire cette « science d’événements toujours nouveaux », et à la mesure des capacités modernes de destruction massive. Comme l’écrit Alain Finkielkraut3 à propos des Sionistes, « Imperturbables, ils présentent encore Israël comme une solution, alors qu’il s’agit du lieu central où l’existence juive continue à faire problème ».
Une autre difficulté, elle aussi inhérente au contexte moderne du judaïsme, vient s’ajouter aux précédentes. Elle est relative à l’information. Si le christianisme, par exemple, donne lieu de nos jours à de multiples critiques, voire à de véritables pamphlets sans que les chrétiens ne s’offusquent vraiment et vouent les auteurs à la vindicte, on constate que, face aux critiques, nombre de représentants du judaïsme apparaissent fébriles comme s’ils n’étaient pas tout à fait en paix avec eux-mêmes, manifestent une grande intolérance et mettent volontiers en oeuvre des tactiques d’intimidation, voire des pratiques de terrorisme intellectuel à l’égard des opposants, qu’ils soient Juifs ou non-Juifs. Il s’ensuit que mes propos, soulignés par des gardiens vigilants, ne manqueront pas de me faire accuser d’anti-judaïsme, voire de racisme antijuif4, au prétexte que je dénonce des éléments propres au judaïsme… Face à ces contempteurs volontiers adeptes de quelque théorie du soupçon deux questions se posent : Le judaïsme serait-il la seule entreprise humaine à ne pas véhiculer de tels éléments ? Les Juifs seraient-ils incapables de percevoir que la Bible et le Talmud, à l’instar de l’Évangile et du Coran transportent, sous le sceau du sacré qui entrave la raison et suscite des interprétations multiples, des données potentiellement pernicieuses ?
Le discours qui suit obéit en définitive à quelques orientations précises et à elles seules :
1° – Il s’intéresse avant tout à un système de pensée et non à des personnes : il ne s’agit pas de juger des individus ou d’attribuer un niveau de gravité à leurs actes mais de mettre en lumière les éléments du judaïsme qui les conditionnent.
2° – Il se situe dans le cadre de la résistance au racisme suscité par le judaïsme à la fois chez les siens et chez les non-Juifs, racisme que le sionisme, en le cristallisant, en le concentrant en un lieu, a rendu manifeste au XXe siècle avec la colonisation de la Palestine et l’oppression caractérisée d’un peuple.
Après une introduction consacrée essentiellement aux notions de race, de racismes, de pensée raciale et à la sémantique dans le contexte du judaïsme, la première partie de cette étude envisagera le racisme juif, la seconde partie le racisme antijuif. La première, consacrée au sujet largement inédit qu’est le racisme chez les Juifs5, sera plus développée que la seconde traitant du racisme antijuif des non-Juifs, de l’antisémitisme suivant le terme généralement utilisé et au sujet duquel la bibliographie est d’une particulière richesse depuis la seconde guerre mondiale. Sur ce dernier thème, ce qui compte avant tout c’est moins de rapporter des données historiques largement présentes dans les ouvrages que de prendre quelque recul face aux événements-phares que l’histoire a mis particulièrement en évidence, afin de distinguer chez les acteurs de ce racisme la part de l’héritage et celle de l’invention. Quant à la bibliographie consacrée au racisme des Juifs on peut dire qu’elle est quasiment inexistante avant l’avènement du judaïsme sioniste, avènement qui, par delà tous les malheurs engendrés dans les populations de la Palestine historique, permet d’apporter un éclairage nouveau sur la culture issue du judaïsme.
PROPOS PRÉLIMINAIRES
RACE, RACISMES, PENSÉE RACIALE ET RACISME CULTUREL
Suivant la définition que nous avons donnée, le racisme représente une certaine idéologie mettant en œuvre certains concepts qui vont générer sentiments et comportements. C’est dire notamment, d’une part que c’est l’inspiration qui fait le racisme, d’autre part que le racisme met en jeu deux sortes de personnages : des racisants (potentiellement racistes) et des racisés, les premiers nourrissant une hostilité systématique à l’égard des seconds non pas pour ce qu’ils font mais toujours pour ce qu’ils sont, c’est-à-dire en tant que membres d’une communauté – d’une race – considérée à la fois comme différente et inférieure.
LA NOTION DE RACE : SUBSTRATUM DU RACISME
Remarquons tout d’abord que le terme de race emprunté au latin ratio est apparu au XVe siècle et qu’il désigne une famille, une lignée ou une espèce. Le Dictionnaire français-latin de Robert Estienne (1539) fournit comme équivalent domus, familia, genus, sanguis.
Deux critères sont essentiels pour désigner ces groupes d’individus : leur aspect extérieur et/ou leur hérédité, ce dernier critère pouvant s’exprimer par les termes de naissance, de filiation, de sang… On trouve donc ce mot race dans la littérature écrite depuis cette période, mais aussi dans les traductions et les travaux divers relatifs au Moyen-Âge et à l’Antiquité grecque, romaine et juive. Quant au terme de racisme créé en 1932 il fut d’abord appliqué aux théories nazies appliquées aux Juifs. Comme le terme de race, nous l’appliquerons ici, suivant la pratique courante chez les auteurs et les traducteurs, à des réalités passées quelle que soit leur situation dans le temps mais jugées aujourd’hui racistes d’après les données historiques qui nous sont connues : des mots modernes pour des phénomènes ancestraux. Car, comme l’écrit Voltaire en 1756 dans son Essai sur les moeurs : « Il n’est permis qu’à un aveugle de douter que les Blancs, les Nègres, les Albinos, les Hottentots, les Lapons, les Chinois, soient des races entièrement différentes ». C’est dire que la conscience de race (par référence initiale au groupe auquel on appartient) et le racisme susceptible d’en découler (cette hostilité envers quelque groupe autre que le sien) sont immémoriaux et qu’en la circonstance, la pensée raciale a largement précédé l’invention des mots et leur introduction dans les dictionnaires.
Comme l’écrit le paléontologue américain Stephen Gould « les préjugés raciaux sont aussi anciens que l’histoire connue ».
Voyons néanmoins ce que disent ces ouvrages de référence concernant le terme de race…
Dans la première édition du Dictionnaire de l’Académie française (1694) il se définit ainsi :
1- Lignée, lignage, extraction, tous ceux qui viennent d’une même famille (Ex : il est d’une race illustre, ancienne ; il est d’une race de gens de bien ; il est de la race royale ; les trois races des Rois de France ; c’est un homme qu’on soupçonne d’être de race juive) ;
2- On dit par injure et par mépris race maudite ; méchante race ; les usuriers sont une race maudite ;
3- On dit en parlant à de petits enfants : méchante race, méchante petite race ;
4- Race se dit aussi des animaux domestiques, comme chiens, chevaux, bêtes á cornes : ce chien, ce cheval est de bonne race.
Dans sa sixième édition (1832-1835), le dictionnaire, après avoir repris le sens de lignée et de lignage des éditions précédentes, ajoute : « Se dit, par extension, d’une multitude d’hommes qui sont originaires du même pays et se ressemblent par les traits du visage, par la conformation extérieure : la race caucasienne ; la race mongole ; la race malaise… »
Quant au Littré, en 1866, il évoque notamment la race germanique, la race caucasienne, la race juive…
Dans sa huitième édition (1932-1935) le dictionnaire de l’Académie s’applique à préciser les qualités essentielles du groupe auquel est appliqué le terme de race : Se dit d’un groupe d’individus qui se distinguent d’autres groupes par un ensemble de caractères biologiques et psychologiques dont on attribue la constance non pas à l’action du milieu, mais à une lointaine hérédité (Ex : la race caucasienne ; la race mongole ; la race juive ; une race pure ; une race métissée).
En pratique, le terme de race revêt deux sens très distincts :
Dans son sens courant, traditionnel, que l’on peut dire encore biologique6… le concept de race réunit un ensemble d’individus présentant en commun un élément physique concernant l’aspect du corps : couleur de la peau, forme du visage, taille… On parle de race blanche, de race noire, de race jaune… À cet élément qui d’emblée, à la simple vue, permet de distinguer les groupes humains vient automatiquement s’associer dans l’esprit des utilisateurs, un élément d’ordre héréditaire, c’est-à-dire une référence à des ancêtres communs où vont entrer les notions de filiation, de lien du sang, de lignée, de généalogie ou, à l’époque moderne, celle de patrimoine génétique7.
Dans son sens figuré, que l’on peut qualifier aussi de métaphorique, le terme de race s’applique à une catégorie d’individus qui n’ont en commun que des traits tels que la nationalité, l’âge, la classe sociale, la religion, l’histoire, la langue (ou les langues d’une même famille), la profession, l’intérêt… C’est ainsi, par exemple, que l’on va parler de la race française, de la race des jeunes, de la race des patrons, de la race des chrétiens, de la race des artistes…
Bien entendu, dans certains groupes humains plus ou moins fermés sur eux mêmes, on peut imaginer que le terme de race puisse associer les deux sens précédents. Dans la civilisation occidentale la race juive souvent citée dans les dictionnaires est, comme nous le verrons, un exemple particulièrement caractéristique de cette association.
La race : un signifiant défectueux mais néanmoins incontournable.
Remarquons tout d’abord, compte tenu des deux sens dans lequel il peut être pris, que ce concept de race peut revêtir une certaine ambiguïté. Ainsi, chez les auteurs de la fin du XIXe siècle et du début du XXe, époque où il a été largement utilisé, il y a souvent un passage inconscient des éléments somatiques héréditaires aux éléments culturels acquis. Comme on le sait, ce glissement de sens entre les deux catégories a fait couler beaucoup d’encre puisque l’interaction entre le somatique et le culturel ne saurait à la fois être niée dans son principe au nom de l’unicité de la personne et ne saurait non plus, tant les données sont multiples et complexes, déboucher sur quelque conclusion valable du point de vue scientifique.
Bien d’autres difficultés apparaissent dans l’emploi de ce concept dans son sens courant : son caractère indéfinissable lui enlevant toute valeur scientifique (la distance génétique qui sépare les individus de même race est comparable à celle qui sépare les individus de races différentes), sa fâcheuse capacité de métamorphoser une hostilité banale en racisme caractérisé, son utilisation rattachée particulièrement, dans la culture occidentale de notre époque, à l’expérience nazie…
Pour remédier à ces difficultés son remplacement par celui d’ethnie a été suggéré par plusieurs auteurs lorsque le groupe décrit est bien localisé dans un territoire. Dans le langage moderne les deux termes sont volontiers conjoints : origines raciales ou/et ethniques à moins qu’ils soient intimement liés : origines ethno-raciales. En fait, en associant presque toujours des éléments de culture (langue, rites, traditions…) et des éléments anatomiques apparaissant d’emblée à la vue, il ne saurait remplacer le concept de race qui, en pratique, reste pourvu de valeurs essentielles en tant que marqueur des différences entre les individus.
Ainsi se révèle-t-il utile et opérationnel, par exemple, dans l’art vétérinaire ou dans l’art médical de la procréation assistée, pratiquant l’un et l’autre la sélection de certains individus dans une perspective jugée à tel moment comme représentant un progrès. Car, si dans le domaine du droit tout homme en vaut un autre et que l’inégalité naturelle ne saurait fonder une inégalité de droit conformément à un principe essentiel de la civilisation, il est non moins clair qu’il y a hiérarchie dans des domaines déterminés de la nature et de l’activité humaines : les sujets de grande taille sont a priori supérieurs à des sujets de petite taille dans le domaine de la course, les populations au mode de vie nomade ou pastoral ont des capacités de perception du milieu naturel supérieures à celles d’un citadin moderne…
Il y a donc lieu de considérer en pratique que la notion de race dans son sens courant est plus une donnée virtuelle qu’une réalité concrète (l’ADN en est le grand démonstrateur), qu’elle est impossible à définir, notamment d’un point de vue scientifique ou législatif, mais qu’elle reste néanmoins un signifiant indispensable. Dans un rapport de 1951 intitulé Le racisme devant la science, l’UNESCO précise ainsi que « les anthropologues sont tous d’accord pour considérer que la notion de race permet de classer les différents groupes humains dans un cadre zoologique propre à faciliter l’étude des phénomènes d’évolution ».
Quant à l’historien André Pichot8 il écrit à ce sujet que : « Nier l’existence des races ou remplacer le terme de race pas un synonyme en espérant un quelconque résultat en matière de racisme relève de la niaiserie ou de la mauvaise foi ».
Avec Michel Wieviorka9, on peut constater par ailleurs « qu’il est rare qu’un acte ou un discours raciste, aussi isolé qu’il puisse paraître, n’en appelle à une communauté d’appartenance où la race est associée d’une façon ou d’une autre, à d’autres référents identitaires ». En sachant aussi que la race même dans son sens métaphorique peut – lorsque le sentiment d’appartenance à une communauté est particulièrement développé – revêtir un pouvoir de conditionnement des hommes au racisme non moindre que celui résultant de la race au sens propre. L’utilisation de ce concept apparaît donc comme devant toujours comporter quelques difficultés ; il convient d’en avoir conscience.
En définitive, il apparaît que la race est un concept défectueux, car qui dit race dit aussi frontière, différenciation et racisme potentiel, mais qu’il est en même temps irremplaçable.10
Avant d’envisager ces différentes formes il y a lieu tout d’abord de considérer qu’à la base de tout racisme il y a un personnage-cible, l’étranger. Tout racisme commence, en effet, par la désignation de l’étrangèreté vue comme une donnée absolue, stable, immuable, irréversible. Ainsi que l’écrit Pierre-André Taguieff11, « le racisme consiste à interpréter la distinction entre Nous et Eux, ou entre Nous et les Autres, comme une distinction entre deux espèces humaines, la première espèce – celle de l’énonciateur de la distinction – étant jugée plus humaine que la seconde, voire la seule véritablement humaine des deux ».
(lire la suite)
Spoiler:
Le racisme « naturel » ou « instinctuel »
Penser le mot race à partir de la différence héréditaire apparaissant à la simple vue entre les espèces d’hommes est, avons nous vu à la suite de Voltaire, la chose la plus banale du monde. C’est dire que la présence de la notion de race dans l’inconscient et le comportement des hommes a largement précédé l’invention du mot et qu’elle est au fondement du racisme naturel.
Dans le cadre d’un instinct primordial d’auto-conservation dont la base est génétique – notre cerveau reptilien – il est logique de penser, à la suite de divers biologistes et généticiens, que la préférence communautaire, ou l’ethnocentrisme, « ce point de vue suivant lequel le groupe auquel on appartient est le centre du monde et l’étalon auquel on se réfère pour juger les autres »12, puisse être rattaché à la nature. « Certains phénomènes de dégénérescence du comportement social humain, phénomènes qui montrent des parallèles très poussés avec certaines modifications de comportement chez les animaux domestiques reposent manifestement sur une base génétique » a écrit l’éthologue Konrad Lorenz13. Lévi-Strauss a, lui aussi, montré que cet « égocentrisme appliqué à l’ethnie » était une caractéristique universelle des sociétés humaines dont les membres possèdent un penchant plus ou moins prononcé à s’agréger à quelque groupe, à y puiser leur identité et, parallèlement, à exclure les autres.
Cette tendance peut s’appliquer à bien des groupements humains : groupements familiaux, politiques, religieux, associatifs, sportifs, amicaux… avec, bien entendu, des conséquences diverses. Il est humain et … normal de préférer sa vie à celle des autres ; il est humain de préférer ses parents à ses voisins ! Mais remarquons dès maintenant que la poursuite de ce raisonnement vers sa bande, sa patrie, sa nation, son parti, sa religion, sa race… peut s’avérer vite infirme, terriblement infirme et contestable d’autant plus que s’estompe souvent le sentiment de la responsabilité personnelle de l’individu qui s’absout de tout, tant qu’il fait ce que font ses semblables. Les solidarités intra ou intercommunautaires vont ainsi, dans certaines circonstances, s’exercer à l’encontre des membres d’une autre communauté humaine en se jouant des frontières diverses spirituelles ou géographiques. Dans les formes marquées du communautarisme qui veut que la communauté prévaut sur l’individu, il y aura les bons (ceux qui font partie de la communauté) et les méchants (les autres), il y aura de façon banale des solidarités et des alliances abusives, agressives, oppressives voire criminelles, génératrices de conflits sans cesse renouvelés.
Comme le constate Albert Memmi14, « il y a en nous un terrain préparé pour recevoir et faire germer les semences du racisme pour peu que nous n’y prenions garde ». La banalité du phénomène, « son omniprésence dans l’histoire » semble bien confirmer ce point de vue selon lequel il s’agit d’une disposition (ou d’une tare) originelle des hommes, ces animaux sociaux qui, au sein de leur groupe, de leur clan, de leur tribu, de leur « communion »15, ont tendance spontanée à développer quelque mépris à l’égard des autres communautés, mépris qui dans les cas extrêmes peut être qualifié de xénophobie. La généralisation abusive : « tous les Anglais sont… » ; « tous les Arabes sont… », donnée immédiate toujours présente dans la moindre forme de racisme, n’est-elle pas particulièrement banale ? Certes, ainsi que l’écrit
Delacampagne16, « une réaction subjective et momentanée n’est ni toujours évitable ni automatiquement dangereuse » mais il n’en reste pas moins qu’il s’agit d’une tentation permanente pour tout individu, tentation à laquelle il succombe souvent et d’abord par paresse de langage.
Primo Levi, de son côté, vient appuyer la banalité, voire la naturalité, du phénomène : « Beaucoup d’entre nous, écrit-il, individus ou peuples, sont à la merci de cette idée, consciente ou inconsciente, que « l’étranger, c’est l’ennemi ». Le plus souvent, cette conviction sommeille dans les esprits comme une infection latente […] Mais lorsque le dogme informulé est promu au rang de prémisse majeure d’un syllogisme, alors, au bout de la chaîne logique, il y a le Lager »…17 Certes, il n’y a pas toujours de Lager mais à coup sûr l’émergence d’une forme de racisme.
Le racisme « culturel » (ou « idéologique ») : la naissance de la pensée raciale
Les données précédentes d’ordre héréditaire, comme ce qui sommeille en chaque individu, ne sauraient suffire pour expliquer les sentiments et les manifestations xénophobes et racistes qu’on peut observer dans l’histoire. Le conditionnement des hommes est aussi de l’ordre de l’acquis : l’homme n’est pas seulement un être de nature avec des comportements génétiquement déterminés, instinctifs, mais aussi un être de culture. Il va théoriser tel sujet et, comme toujours, peuvent en résulter des réalités très contrastées : le meilleur et le pire.
La civilisation, la philosophie, les religions sont venues modifier et faire évoluer profondément les dispositions naturelles des hommes. Les religions surtout : « le religieux est à la fois ce qui permet aux hommes de vivre, d’aimer et se donner et ce qui les pousse à haïr, à tuer et à prendre » constate Régis Debray18. À partir de leurs textes sacrés elles vont, tantôt contribuer par l’éducation à réduire les oppositions et affrontements naturels, tantôt au contraire elles vont les promouvoir en fonction des valeurs qu’elles véhiculent dont les principales ont été jusqu’ici la Vérité, l’Élection divine, le Paradis, la Race…
C’est avec la naissance de la pensée raciale que l’on va parler de racisme culturel en se basant non pas sur des faits et des gestes dont les motivations peuvent être discutables mais sur les textes d’ordre religieux ou philosophique qui nous sont parvenus. Car, seuls des textes peuvent vraiment permettre de distinguer le racisme culturel du racisme naturel, de situer sa naissance dans le temps et de suivre son évolution à travers les siècles.
Si racisme naturel et racisme culturel mettent en jeu volonté de puissance et de domination, leur devenir et leur gravité ne sont cependant pas semblables. Avec le temps, il apparaît nettement que la première forme n’a pas la gravité de la seconde dans laquelle une pensée raciale structurée est inscrite dans des traditions ancestrales, mieux dans des textes contraignants ayant à la fois la prétention d’exprimer une quelconque vérité et l’intention d’établir des règles s’imposant à tous les membres d’une communauté. Le racisme naturel peut certes entraîner de sauvages et durables conflits mais un espoir de tolérance voire de réconciliation entre les antagonistes est toujours permis avec les progrès de la civilisation, de la démocratie et de l’humanisation qui réduit la composante instinctuelle… Dans le cas contraire, l’évolution d’un conflit ne peut, alors, qu’être tout autre.
Le racisme réactionnel à une agression racisante
Racisme naturel, racisme culturel… certes, mais il convient de distinguer aussi le racisme réactionnel. Sa place n’est pas négligeable dans l’histoire du racisme.
Si, face à une agression, il y a des contre-agressions qui peuvent n’être que légitime défense et n’être nullement de type raciste, il n’en est pas de même lorsque l’agression initiale est celle d’une société racisante : la contre-agression se fait pratiquement toujours sur ce même mode, tout au moins si l’agression initiale se prolonge un certain temps.
On peut aussi logiquement penser que le processus raciste réactionnel sera particulièrement violent si l’agressé est porteur lui-même d’une culture racisante.
Les formes associées de racisme
À côté des grandes formes précédentes de racisme il peut y avoir des formes associées. Le nazisme en est un exemple particulièrement caractéristique : il a éliminé massivement les Juifs, les Tziganes, les Slaves en tant qu’héritiers d’une certaine race mais aussi une foule d’opposants politiques, de handicapés, d’asociaux ou d’individus déclarés seulement inférieurs (Untermenschen) par une assemblée de seigneurs (Herrenvolk).
LA PENSÉE RACIALE ET LE RACISME CULTUREL
Face à la banalité du racisme, une question essentielle s’est toujours posée aux historiens :
Quels sont les éléments qui, en s’associant, contribuent à édifier une pensée raciale potentiellement capable de générer des comportements racistes et qui permettent de considérer que tel groupe, telle communauté, tel régime a développé un racisme culturel ?
À cette question, et en suivant l’avis de divers auteurs, on peut répondre que ces critères sont représentés par l’existence de règles, théories, commandements, lois, règlements… pérennisés dans des textes promouvant, au sein d’un groupe et au nom d’une notion de race par définition irréversible, un système de séparation radicale basé sur le rapport supérieur/inférieur ou/et sur celui du pur/impur. Car ici le non-mélange est le critère de la pureté idéologique en matière religieuse ou philosophique : toute fusion est corruption.
Comme l’écrit Bernanos en 1940, « ce qui importe aux races est de se garder intactes, incorruptibles, et le sentiment qui les exalte ne peut être que celui d’une supériorité absolue, d’une sorte d’élection mystique, indiscutable, incontrôlable, puisqu’elle leur a été conférée par le sang ; elle est la supériorité du sang […] Car tout ce qui ne leur ressemble pas est une menace à leur intégrité, à leur pureté ».19 P.A. Taguieff20 écrit de même avec pertinence : « La phobie du mixte ou de l’hybride porte principalement sur la descendance : ce qui est rejeté, c’est une descendance métissée perçue comme interruption de la continuité de la lignée, perte de ressemblance, dissolution de la continuité transgénérationnelle ».
En pratique, deux critères essentiels sont nécessaires et suffisants pour parler du racisme culturel d’une société, d’une communauté, d’un groupe humain. Ce sont : une conscience de race chez les membres du groupe et une loi écrite interdisant dans ce groupe les unions interraciales.
À ces dispositions sont néanmoins toujours associées, d’une part des contraintes à l’égard des personnes racisées telles que l’exclusion de certains emplois, charges et lieux de résidence, l’établissement de quelque frontière matérielle ou morale ou l’expulsion d’un certain territoire, d’autre part des sanctions pour les membres contrevenants de la communauté.
Quant aux violences diverses par lesquelles se manifeste toujours un processus raciste, remarquons que c’est aux violences d’ordre physique, celles du bras armé, que l’on pense généralement tant elles sont spectaculaires et présentes dans le quotidien des hommes. Elles donnent lieu à des récits historiques relativement objectifs rapportant des destructions de biens, des brutalités, des agressions, des expulsions, des assassinats, des tueries, des guerres, des génocides. Mais, comme nous l’avons remarqué, ces violences physiques ne sont pas seules en cause. À côté d’elles, dans la jungle des hommes, il en est d’autres non moins pernicieuses. Avant le coup de poing ou le fusil, associés à ces gestes ou pratiqués isolément, inventés parfois par tel individu dans l’intimité de sa personne mais bien plus souvent par un groupe d’individus solidaires, sont les actes verbaux qui prévoient de tuer au sens propre ou au sens figuré. C’est la (pré)méditation, la réflexion, la planification… accompagnant ou non l’acte brutal. Remarquons aussi que ces violences, qu’elles soient individuelles ou collectives (dans ce dernier cas on parle parfois de complot ou de conspiration), sont parfois fort subtiles, si subtiles même que les victimes peuvent ne pas identifier leurs agresseurs, voire ne pas être conscientes de l’agression elle-même. C’est dire aussi que ces violences multiformes peuvent n’être connues d’abord que de quelques initiés, lesquels garderont assez souvent leur secret, secret que des historiens laborieux, un jour plus ou moins lointain, s’appliqueront peut-être à dévoiler.
Toutes ces violences peuvent se traduire notamment par les mots de ségrégation, de discrimination, de séparation, d’infériorisation, de différenciation, d’exclusion, d’oppression, de domination… et conduire à la tyrannie, à la barbarie, à la persécution, voire au martyre.
Lire la suite sur le lien.
Et pour tout ceux qui sont intéressé par la vérité, peuvent également lire ceci :
Lire la suite > Le Judaïsme antique et les prémisses de la pensée raciale
ou encore : Le Développement de la pensée raciale dans la sphère du Judaïsme
Et ainsi de suite, bonne lecture !
orné
Messages : 5072 Date d'inscription : 11/06/2012 Age : 51 Localisation : UNIFIÉS CORPS, ÂME, MENTAL. LA TRINITÉ PARFAITE QUI REGARDE DANS LA MÊME DIRECTION, NE SE COMBAT PLUS MAIS RESTE SOLIDAIRE
Sujet: Re: Le judaïsme et l’invention du racisme culturel Jeu 22 Aoû 2013 - 17:40
Chapitre V
De quelques formes de violences autres que physiques au sein de l’entreprise sioniste
Si depuis la création de l’État d’Israël en 1947, l’idéologie sioniste a fourni à des hommes voués à la guerre l’occasion de tuer en Palestine un nombre considérable de non-Juifs et de détruire leurs biens matériels hors du cadre de légitime défense, cette idéologie ne s’est cependant pas donné comme perspective finale l’anéantissement d’une population ainsi que l’histoire en montre de multiples exemples. Sa barbarie est d’un genre nouveau : celle qui vise à détruire, de façon méthodique et sous l’impulsion d’une autorité supérieure, une société et sa culture pour forcer ses membres à quitter leur territoire ancestral.
Dans le cadre d’une guerre déjà inédite dans l’histoire quant à la durée, les violences autres que physiques suscitées à l’encontre des non-Juifs représentent une expression caractéristique du racisme inhérent au sionisme dans sa volonté de poursuivre jusqu’à son terme la ghettoïsation juive de toute une région. Nous reviendrons ici sur quelques formes particulières revêtues par ces violences :
. violences d’ordre juridique et administratif ;
. violences d’ordre sémantique ;
. violences verbales et comportementales de l’internationale sioniste ;
. violence des violences : le verrou sur la démocratie.
LES VIOLENCES D’ORDRE JURIDIQUE ET ADMINISTRATIF : une tyrannie inédite
De quelques lois racistes en Israël
Les Nations Unies, tout en s’abstenant par faiblesse d’appliquer la moindre sanction pratique envers Israël, ont néanmoins dénoncé les discriminations raciales dont sont porteuses de nombreuses lois de ce pays, lois contribuant à faire deux catégories fondamentalement distinctes de citoyens : des citoyens à part entière, les Juifs, des citoyens de seconde zone au statut subalterne, les non-Juifs. Elles en ont recensé 17. Parmi elles, on peut citer :
- les lois qui interdisent la participation aux élections de tout parti arabe n’ayant pas reconnu le caractère juif de l’État ;
- la loi du retour qui accorde systématiquement aux Juifs du monde entier la citoyenneté israélienne alors que les réfugiés arabes n’ont pas le droit de revenir en Israël sur leurs propres terres170 ;
- la loi suivant laquelle les citoyens arabes d’Israël ayant épousé des non-israéliens se voient refuser la réunification familiale ;
- les lois d’urgence qui permettent la confiscation de terres appartenant aux Arabes ;
- les lois qui interdisent aux Arabes d’acheter des terres à des Juifs ;
- la loi sur l’éducation qui fixe parmi ses objectifs la promotion de l’idéologie sioniste ;
- la loi qui interdit aux non-Juifs d’habiter certaines villes ou d’occuper certains emplois.
Quant aux deux dernières lois de discrimination raciale de juillet 2005 concernant les couples, votées à une très grande majorité par le Parlement israélien et confirmées par une décision de la Haute Cour de justice israélienne du 14 mai 2006, l’une interdit le regroupement familial des deux côtés de la ligne verte si l’un des conjoints est palestinien, l’autre veut que les Palestiniens de moins de 35 ans et les Palestiniennes de moins de 25 ans ne puissent pas demander la citoyenneté israélienne, même si leur conjoint(e) est israélien et vit en Israël. Ces lois visent spécifiquement les Arabes israéliens (les citoyens palestiniens d’Israël) et les habitants palestiniens de Jérusalem car ce sont eux qui épousent des Palestiniens de Cisjordanie et de la bande de Gaza. Les conjoints israéliens sont mis dans l’alternative : la séparation ou l’émigration.
À ces lois viennent s’ajouter de multiples interdictions ou dispositions prises par les autorités militaires à l’encontre des non-Juifs. Parmi les quelques 1.300 ordres promulgués depuis 1967 dans les « territoires occupés », citons par exemple :
- l’interdiction de puiser de l’eau sur terre ou sous terre sans permis spécial (n° 158) ;
- l’interdiction d’importer ou d’utiliser un tracteur ou tout équipement agricole sans autorisation (n° 134) ;
- l’interdiction de planter des arbres fruitiers et certains légumes sans autorisation (n° 1015, 1039, 1140) ;
- l’interdiction d’exporter la plupart des fruits et légumes, les produits industriels, les pierres, les algues, les timbres-poste, les antiquités sans autorisation ;
- le fait qu’est propriété d’État toute terre, dont le propriétaire est absent ou ne peut pas prouver ses droits (n° 59, 364, 1091, 1308), ou qui été confisquée pour des raisons d’intérêt public ou de sécurité171 ;
- le fait que les propriétés d’État ne peuvent être cédées qu’à des colons ;
- le fait que l’Autorité militaire décide des livres autorisés ou interdits dans les écoles et les collèges (n° 107, 812), qu’elle peut boucler tout secteur ou bloquer la circulation sans préavis ni explication (n° 378) ou qu’elle peut arrêter et détenir toute personne pour une période de 6 mois renouvelable (n° 378, 1229-0, 1236, 1254).
……..
Tout un arsenal juridique, bien décrit dans le rapport d’Amnesty International de décembre 1999, est en effet utilisé depuis 1948 au service des expulsions, des expropriations de terres, des destructions, par le feu ou les bulldozers, de centaines et de centaines de maisons palestiniennes, de l’arrachement de milliers d’oliviers, de l’accaparement systématique de l’eau au bénéfice des seuls Juifs, de la destruction des archives et des cadastres. Parfaitement adapté au but poursuivi, réfléchi, précis, implacable, méthodique, perfectionné chaque jour depuis près de soixante ans par les juristes pour déposséder les Arabes de leurs terres et de leurs maisons, les réduire à l’impuissance et disloquer leur société, cet arsenal, fruit d’un racisme institutionnel caractérisé, constitue sans doute le summum des actions perverses suscitées par le sionisme. La Palestine des Arabes, rongée colline après colline, kilomètre carré après kilomètre carré, se rétrécit ainsi chaque jour par une colonisation inexorable. Au début du XXIe siècle 3.400.000 Palestiniens ont été privés de leur terre172.
Edward W. Saïd (professeur de littérature à l’Université de Columbia aux États-Unis), à l’occasion d’un voyage en Cisjordanie, pouvait constater après nombre d’observateurs : «
Presque toutes les voies et tous les petits villages où nous sommes passés ont été le théâtre d’une tragédie quotidienne : terre confisquée, champs saccagés, arbres et plantes déracinés, moissons arrachées, maisons détruites, exactions contre lesquelles les propriétaires sont totalement impuissants ». « Dans aucun autre pays du monde les juristes et les religieux n’auront apporté leur concours à une entreprise d’une telle perversité » écrit de son côté Eli Lobel. « Quand le paysan arabe croyait avoir paré à une attaque tendant à l’arracher à sa terre, il était frappé par une nouvelle loi exhumée de l’arsenal juridique ou spécialement créée à cet effet. Et quand cela était nécessaire, la force suppléait ou remplaçait la loi ». 173
Le zèle des gens de Loi israéliens qui approuvent et justifient depuis plus d’un demi-siècle une conception politique et discriminatoire du droit et qui, dans l’ombre, apportent un concours sophistiqué à l’entreprise sioniste a troublé bien des observateurs ?174 À propos de cette entreprise colonisatrice inédite sur le plan des principes et des méthodes, « acculée à une politique d’agressions préventives à l’extérieur et de lois discriminatoires à l’intérieur, tout en développant une mentalité raciste et chauvine »175, entreprise contrainte à aller toujours plus loin de par sa logique interne, Edmond Amran El Maleh, écrivain juif marocain, a pu écrire : « Il est étonnant que personne n’ait osé entreprendre, au-delà des critiques du régime israélien, une analyse philosophique des bases racistes du sionisme. Raciste parce que prônant la patrie par le sang, l’exclusion des non-juifs et, dans la foulée, l’expansionnisme territorial, la terreur, la violation des lois internationales ».
Dans son ouvrage sur le procès Eichmann, Hannah Arendt reviendra d’ailleurs sur ce sujet législatif : elle montrera l’ironie d’attaquer les Lois de Nuremberg alors que, terrible constatation, certaines lois israéliennes, concernant le statut des Juifs et reprenant celles que le judaïsme a établi depuis deux mille ans, basées sur le sang et toujours en vigueur, sont identiques à celles du régime nazi.
Toutes ces données expliquent fort bien qu’en Israël, si les non-Juifs sont susceptibles d’avoir des droits en tant qu’individus isolés, ils ne sauraient en avoir comme membres d’une communauté. N’a-t-il pas fallu attendre les « accords d’Oslo » en 1993 pour que les dirigeants israéliens arrivent à réviser leur position traditionnelle et à admettre qu’il n’y avait pas seulement des indigènes mais une communauté arabe en Palestine ? Cette communauté est d’ailleurs toujours ignorée par les livres d’histoire à l’usage des enfants israéliens : le Livre du Jubilé, publié en 1998 pour commémorer l’anniversaire de la création de l’État d’Israël et destiné à toutes les écoles du pays, en est un témoin exemplaire.176 Car les non-Juifs ne seront jamais que des guérim, ces résidants en terre d’Israël, étrangers que l’on tolère dans la condescendance, à moins qu’on les considère comme des ennemis potentiels, voire des ennemis de l’intérieur en reprenant le concept appliqué par les nazis aux Juifs coupables d’agir contre les intérêts de l’Allemagne.
Nombre de sociétés expriment dans leur histoire une certaine composante raciste sans qu’elles puissent légitimement être qualifiées de racistes. Dans leurs colonies d’Afrique, d’Asie, du Pacifique, d’Amérique du Sud, les Européens dans leur ensemble, Français, Britanniques, Néerlandais, Espagnols, Allemands… ont résolument affirmé leur supériorité et attribué un statut infiniment inférieur aux populations colonisées mais simultanément, en vertu de la mission civilisatrice qu’ils s’étaient souvent donnée, ils ont été amenés à accepter nombre d’accommodements en faveur des indigènes qui avaient adopté leur culture et plus particulièrement la religion chrétienne. C’est ainsi que la barrière de la race fut souvent franchie et les mariages entre colons et indigènes relativement banalisés… Le mélange des populations fut même souvent approuvé voire largement célébré au nom de l’universalisme laïc ou chrétien. Ce fut notamment les cas dans les États non ségrégationnistes du Nord des États-Unis, au Brésil et, bien entendu, dans les colonies des Européens. Dans ces territoires, la discrimination ne fut jamais inscrite dans un texte législatif.
Il n’en fut pas de même, par contre, dans les États du Sud des États-Unis pour les Noirs soumis depuis la fin du XIXe siècle aux lois Jim Crow, en Afrique du Sud pour les Noirs et les Métis sous le régime de l’Apartheid et en Allemagne nazie pour les Juifs et les Tsiganes. Ces trois pays formulèrent des interdits concernant les mariages mixtes et instituèrent une ségrégation officielle, critère qui reste le plus adéquat pour distinguer un régime résolument raciste d’un régime dont les membres, tout en nourrissant quelque sentiment de supériorité à potentialité racisante, ne voient pas cette différence comme irréductible. Après la disparition du régime nazi en 1945, du régime ségrégationniste des États-Unis à la fin des années 1960 et de l’Apartheid en Afrique du Sud en 1994, c’est dire qu’il n’y a plus qu’Israël, cet État juif pour les Juifs, où la ségrégation, conformément au judaïsme traditionnel, est inscrite dans les lois. (...)
VOIR SUITE SU LE LIENS SI JOUINT :http://mutien.com/site_officiel/?p=12097
Lilith 168
Messages : 2427 Date d'inscription : 27/03/2011 Age : 70 Localisation : Haute Garonne
Sujet: Re: Le judaïsme et l’invention du racisme culturel Ven 23 Aoû 2013 - 10:06
Plus communautaire que les juifs -tu meures-.
De surcroit ils se sont, depuis presque la nuit des temps, présentés comme un peuple d'élus choisi par leur Dieu.
Du coup dans tous les pays du monde ils furent toujours rejetés ce qui les arrangeaient bien, puisque ça leur permettaient et aujourd'hui encore de se prétendre un peuple persécuté.
La commisération, la compassion et tout le tintoin professé par l'un des leurs il y a 2 mille ans fut une préparation à ce qui se passe de nos jours c'est à dire les juifs sont considérés comme "une espèce à protéger" non parce-qu'elle risque de disparaître mais ça leur permet d'obtenir l'assentiment de tous et de s'emparer de tous les pouvoirs terrestres.
Ainsi soit-il ! Qu'il disait...
EFFAB
Messages : 4591 Date d'inscription : 13/06/2012 Age : 57 Localisation : loire-atlantique
Sujet: Re: Le judaïsme et l’invention du racisme culturel Ven 23 Aoû 2013 - 11:15
Je suis d'accord avec toi, LILITH, on est en droit de se poser tout un tas de questions concernant Israël et le sionisme_sans pour autant tomber dans le piège de l'antisémitisme, ces amalgames si aisés quand on veut dénigrer la saine réflexion et les libres penseurs.
Par contre, que savons-nous au juste de Jésus ? Ne l'a-t-on pas simplement instrumentalisé - j'entends surtout par-là son héritage et sa figure, sa personne - pour mieux assujetir les consciences_quand il n'est pour sa part que ce prêcheur intègre et passionné professant la Bonne Parole sur les chemins de Judée, inconscient lui-même de toute ontologie ou réellement ce bodhisattva accompli ou en devenir ?
Telles sont les questions que je me pose, le plus humblement du monde, moi qui ai tant de défauts mais Jésus l'une des figures les plus charismatiques au monde ! cette égrégore inversée et démoniaque_ou cette volonté transcendantale et amoureuse...
Lilith 168
Messages : 2427 Date d'inscription : 27/03/2011 Age : 70 Localisation : Haute Garonne
Sujet: Re: Le judaïsme et l’invention du racisme culturel Ven 23 Aoû 2013 - 19:28
Mon opinion rejoint la tienne EFFAB.
Critiquer n'est pas une forme de racisme sinon nous serions accusés de racistes chaque minute de nos vies pour tout et n'importe quoi.
Au sujet du Christ est-il vraiment un juif ou bien les gens ont-ils cru qu'il l'était ?
De cette période nous n'avons que des écrits réunis dans la Bible et datant de 2 ou 3 siècles après sa mort, donc comment peut-on se fier à ces histoires somme toute bien tardives.
akasha
Messages : 6833 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Le judaïsme et l’invention du racisme culturel Dim 9 Mar 2014 - 11:39
Bonjour; Ces dernier temps, des questions ont été posé pour définir clairement qu'est-ce que le sionisme. Hey bien déjà je fais remonter ses deux articles intéressant qui malgré qu'il soit titré judaïsme fait écho au sionisme. Ensuite j'agrémente un petit peu pour donné une suite factuelle à la question relative au sionisme
Connaissez-vous Benjamin Freedman et son discours en 1961 sur le sionisme ?
Aujourd’hui je vous propose le Discours donné en 1961 par Benjamin H. Freedman au nom d’un magazine de l’époque Common Sens à l’hôtel Willard de Washington DC.
Benjamin Freedman est né en 1890 de parents juifs. Il devint un homme d’affaire new-yorkais réputé au point d’être le principal propriétaire de la Woodbury Soap Company. Il rompit avec le sionisme international à la fin de la deuxième guerre mondiale, puis a passé le restant de sa vie à exposer les faits de l’influence sioniste en Amérique ; dépensant pour cela plus de $ 2.5 millions de sa propre poche.
Mr Freedman ’’savait’’ dans le vrai sens du terme, ayant évolué dans les plus grandes sphère de l’état et de la politique. Il fut d’ailleurs très familier avec Bernard Baruch, Samuel Untermeyer, Woodrow Wilson, Franklin Roosevelt, Joseph Kennedy et John F. Kennedy, ainsi que de nombreux autres figures marquantes de son temps.
Note :
Pour une lecture plus fluide, j’ai ajouté des titres à chaque paragraphe et revu quelques expressions sans en dénaturer le sens. Si cela était, merci de m’en faire part. Il s’agit de la retranscription d’un discours, d’ou certaines phrases avec des constructions plus parlées qu’écrites. Par ailleurs, on ne sera pas étonné de retrouver l’histoire des Kahzars dans ce discours de 1961, cette histoire illustrant de quelle façon le peuple juif fut inventé pour la cause du sionisme.
* * *
DISCOURS DE BENJAMIN FREEDMAN
Ici aux Etats Unis, les sionistes et leurs coreligionnaires exercent un contrôle total sur notre gouvernement. Du à de multiples raisons, trop complexes et trop nombreuses pour les aborder maintenant ; les sionistes et leurs coreligionnaires règnent sur les USA comme de vrais monarques. Vous pourriez penser que c’est une accusation somme toute gratuite.
ETE 1916 : LES ALLIES A GENOUX, L’ALLEMAGNE PROPOSE LA PAIX
Alors permettez moi de vous raconter ce qui c’est réellement passé tandis nous étions tous endormis. La première guerre mondiale survint durant l’été 1914. Il y a ici peu de gens de mon age qui se souviennent de cela. Cette guerre fut menée d’un coté par la Grande Bretagne, la France et la Russie, et de l’autre coté par l’Allemagne, l’Autriche-Hongrie et la Turquie. En l’espace de deux ans, l’Allemagne avait remportée la guerre
Non seulement l’avait remportée nominalement mais aussi réellement. Les sous marins allemands, qui furent une totale surprise pour le monde, avaient balayé tous les convois de l’Océan Atlantique. La Grande Bretagne se trouvait sans munitions pour ses soldats, avec une juste une seule semaine de ravitaillement, et après cela, c’était la famine. Au même moment l’armée française s’était mutinée. Ils avaient perdus 600 000 soldats à la fleur de l’age dans les batailles de défense de Verdun et de la Somme. L’armée russe avait déserté ; ils ne voulaient plus jouer à la guerre et avaient raccroché leur ‘jouet’ pour retourner à la maison ; d’ailleurs ils détestaient leur Tsar. Quant à l’armée italienne, elle s’était littéralement décomposée. Durant exactement la même période, pas un seul coup de feu n’avait encore été tiré en territoire allemand, pas un seul soldat ennemi n’avait encore franchi la frontière allemande.
Pourtant, l’Allemagne proposait un accord de paix. Ils offraient à l’Angleterre une paix négociée appelée par les juristes un ’’STATUS QUO ANTE BASIS ’’ signifiant, « cessons le combat et retournons aux conditions d’avant la guerre.»
L’ANGLETERRE ENVISAGE LA PAIX, INTERVENTION SIONISTE POUR IMPLIQUER LES USA
Durant l’été 1916, l’Angleterre considérait sérieusement cette proposition. Ils n’avaient d’ailleurs pas le choix. C’était soit accepter cette offre de paix noblement proposée par les allemands, soit aller vers une défaite certaine.
Tandis que cela ce discutait, les sionistes de l’Europe de l’Est rencontrèrent le British War Cabinet. Je vais être bref, car ceci est une longue histoire ; mais je détiens tous les documents prouvant mes déclarations. Ils dirent : « Ecoutez nous, vous pouvez encore remporter cette guerre….ne baissez pas les bras…vous n’êtes pas obligé d’accepter la proposition de paix faite par l’Allemagne. Vous pourriez gagner cette guerre si l’Amérique venait à vos cotés en tant qu’alliée. » Les USA étaient alors hors du conflit. Nous étions jeunes, nous étions innocents, nous étions puissants. Ils dirent à l’Angleterre : « Nous vous garantissons d’embarquer les USA contre l’Allemagne dans cette guerre, si vous nous promettiez la Palestine après la victoire ».
En d’autres termes ils firent ce pacte : « Nous nous chargeons de ramener les USA en tant qu’allié ; le prix à payer sera la Palestine, après bien sûr, la défaite de l’Allemagne, Autriche-Hongrie, et Turquie. » L’Angleterre avait autant de légitimité de promettre la Palestine à quiconque, qu’aurait les USA de promettre le Japon à l’Irlande pour quelque raison que ce soit. Il est absolument absurde que la Grande Bretagne, qui d’ailleurs n’a jamais eu aucun lien en quoi que ce soit ou même un intérêt quelconque, pas plus que de droit par rapport à ce qui est connu en tant que « Palestine » ; aurait à l’offrir comme part du gâteau pour payer les sionistes en service de leurs actions à faire combattre les USA contre l’Allemagne.
OCT. 1916 : LES SIONISTES FONT ENTRER LES USA EN GUERRE – DECLARATION BALFOUR
En Octobre 1916 cette promesse fut faite malgré tout. Peu de temps après cela, je ne sais pas combien de vous s’en souviennent, les USA qui était presque totalement ’’pro Allemand’’, soudainement entrait en guerre aux cotés des britanniques.
Je répète que les USA était quasiment pro Allemand ; parce que les journaux étaient tous contrôlés par des juifs, les banquiers étaient juifs, toute l’industrie des mass média et de l’information dans ce pays était sous contrôle juif. Et il s’avère que les juifs étaient pro Allemand. Parce que beaucoup d’entre eux étaient venus d’Allemagne, et ils ne rêvaient que d’une chose, voir les allemands faire abdiquer le Tsar. De tous temps les juifs n’ont jamais aimé le Tsar de Russie et ils ne voulaient pas le voir remporter la guerre. Ces banquiers juifs allemands, comme Kuhn&Loeb, et beaucoup d’autres banques américaines, simplement refusaient de financer la France ou l’Angleterre du moindre sou. Par contre, ils versèrent des sommes colossales à l’Allemagne. Ils avaient choisi leur camp depuis le début de la guerre. Ils dirent : « tant que l’Angleterre et la France sont liés avec la Russie, ils n’encaisseront pas le moindre Dollar». Ils procurèrent à l’Allemagne des fonds monétaires pour défaire la Russie.
Donc, ces mêmes banquiers juifs réalisant la possibilité de décrocher la Palestine, se rendirent en Angleterre et firent ce pacte. A ce moment précis, tout changea, comme un feu rouge qui tournerait au vert. Quand bien même les journaux avaient été tous pro Allemand ; disant à l’opinion publique les difficultés qu’avaient l’Allemagne à combattre économiquement la Grande Bretagne et en d’autres secteurs. Soudainement les allemands devinrent mauvais, tout d’un coup ils étaient horribles, maintenant c’étaient des ‘‘Huns’’ qui se mettaient soit disant à tirer sur les ambulances de la croix rouge et découpaient les mains des enfants.
Peu de temps après cela, le président Wilson déclara la guerre à l’Allemagne. Les sionistes de Londres avaient alors envoyé un télégraphe aux USA à l’adresse du juge Brandeiss lui disant : « Occupez vous de Wilson, on a eu ce qu’on voulait de Londres. Débrouillez vous pour engager les USA dans le conflit». Voila comment les USA entrèrent dans la première guerre mondiale.
Nous n’y avions aucun intérêt, nous n’avions aucun droit d’être dans ce conflit, pas plus que d’être par exemple ce soir sur la Lune ou en tout autre lieu ailleurs que dans cette salle. Il n’y avait aucune raison pour que la première guerre mondiale soit notre guerre. On nous piégea et nous y emmena à notre insu ; on nous parachuta dans ce conflit, ou si je puis être vulgaire, on nous ’’aspira’’ dedans. Nous étions ‘‘le dindon de la farce’’, le pigeon d’une arnaque tendue par le sionisme international ; tout simplement pour qu’il puisse s’accaparer la Palestine.
Ceci est quelque chose dont le public américain n’a jamais entendu parler. Ils ne furent jamais informés de la cause de notre participation à la première guerre mondiale. Après avoir fait entrer l’Amérique dans le conflit, les sionistes s’en allèrent au British War Cabinet en Angleterre et tinrent à peu prés ce langage:«Voila que nous avons effectué notre part du marché, nous voudrions avoir quelque garantie écrite prouvant que vous honorerez à votre tour votre part du contrat et donc que vous nous céderez la Palestine ; bien entendu après votre victoire. »
A ce moment précis, personne ne pouvait dire si la guerre allait durer une année ou dix de plus. Donc ils imaginèrent une sorte de facture, un genre de récépissé qui avait la forme d’une lettre écrite en des termes vicieux la rendant mystérieuse et incompréhensible pour tout le monde. Cela a été appelé la ’’Déclaration Balfour’’. Cette fameuse déclaration Balfour dont on a écrit tellement à propos, était simplement la promesse anglaise faite aux sionistes pour l’accord que ces derniers avaient passé pour embarquer les USA dans le conflit. Cette grandiloquente déclaration Balfour dont vous entendez parler abondamment est aussi factice qu’un billet de banque du jeu de Monopoly. Pour essayer d’être plus explicite, c’est la base de toute la crise. Les USA se jetèrent tête baissée dans la première guerre mondiale et l’Allemagne fut écrasée ; bien sur, après cela vous savez ce qu’il advint. A la fin de la guerre les Allemands s’en allèrent pour signer l’armistice à Paris, à la fameuse conférence de paix de 1919 à Versailles.
Il y avait là cent dix neuf juifs représentant le sionisme international et à leur tête Bernard Baruch. J’y étais à cette fameuse conférence de paix à Versailles. Je dois donc de le savoir.
1919 – LE TRAITE DE VERSAILLES, LA TRAHISON DES SIONISTES REVELEE AUX ALLEMANDS
Que s’y était il donc passé ?
Durant cette conférence où l’Allemagne fut découpée et l’Europe divisée pour les nations prétendant y avoir un droit sur le territoire. Les sioniste aussi réclamèrent leur part du gâteau en prétendant : « Ne nous aviez vous pas promis la Palestine ? » C’est alors qu’ils produisirent leur preuve, révélant pour la première fois la déclaration Balfour devant des yeux allemands ébahis.
C’est seulement à ce moment précis que les Allemands réalisèrent le genre de piège qu’il leur avait été tendu et la vraie cause de l’entrée des USA dans ce conflit. Ils comprirent alors l’étendue du coup qu’il leur a été asséné et la cause des terribles conséquences et des réparations de guerre qu’on leur affligea. Tous leurs malheurs venaient du fait que les sionistes voulaient la Palestine et étaient prêts à tout pour l’avoir.
Ceci nous mène directement à un autre point. Quand les allemands constatèrent les faits ; bien sûr ils s’en indignèrent. Il faut signaler qu’avant cet événement, les juifs ne s’étaient jamais sentis aussi libres qu’en Allemagne. Vous aviez Mr Rathenau qui était là bas peut être cent fois plus important en industrie et finance que Bernard Baruch ici. Vous aviez Mr Balin qui possédait les deux plus grandes lignes maritimes, la North German Lloyds et la Hamburg-American. Vous aviez Mr Bleichroder qui était le banquier de la dynastie impériale des Hohenzollern. Vous aviez les Warburg à Hambourg qui étaient des grandes banques du négoce, peut être les plus importantes au monde. Sans aucun doute on peut affirmer que les juifs se portaient comme un charme en Allemagne.
COMMENT AURIONS NOUS REAGI – LES ALLEMANDS TRAHIS PAR CEUX QU’ILS AVAIENT ACCUEILLIS
Les Allemands ne pouvaient pas digérer ce qu’il leur avait été fait et prirent cet accord secret comme une parfaite trahison. Cette trahison pourrait être comparée à une hypothétique situation ; imaginons que les USA soient en guerre contre la Russie. Et nous gagnons. Mais nous proposons à la Russie de tout laisser tomber et lui offrons une paix sur un plateau d’argent qu’elle ne pourrait refuser. Mais soudainement, la Chine populaire surgit dans la guerre aux cotés de la Russie. Et cette intervention chinoise provoque notre défaite. Une défaite cuisante, avec de lourdes réparations de guerre qu’aucune imagination humaine ne pourrait accepter. Imaginez qu’après cette défaite, on découvre que les chinois de notre propre pays, nos propre concitoyens en qui nous avions toute confiance et que nous avions cru loyaux à notre cause, non seulement nous avaient vendus à la Russie, mais par-dessus le marché étaient responsables de l’intervention chinoise contre nous. Que ressentirions nous aux USA à l’égard des chinois ? Je ne pense pas qu’aucun d’entre eux n’aurait le courage de se montrer en public. Il n’y aurait pas assez de réverbère pour les y accrocher. Imaginez notre réaction. Voila ce que ressentirent les Allemands pour les juifs ; eux qui ont été si généreux avec les juifs depuis 1905, date qui vit la première révolution communiste en Russie tourner au désastre quand les juifs ont du fuir de Russie pour trouver refuge en Allemagne où ils trouvèrent l’hospitalité et furent traités avec clémence. Et voila qu’ils vendent l’Allemagne dans une combine pour aucune autre raison que s’accaparer la Palestine en tant que soi disant ‘‘foyer juif’’.
Nahum Sokolow, ainsi que tous les grands noms et grandes figures que vous entendez s’exprimer au sujet du sionisme aujourd’hui [NDLR: en 1961], ont en 1919, 1920, 1921, 1922 et 1923 écrit en inondant la presse de déclarations concernant le fait que la réaction allemande contre les juifs était due au fait qu’ils réalisèrent que leur défaite cuisante fut causée par l’initiative sioniste de l’entrée américaine dans la guerre.
Les juifs eux même le reconnaissaient.
LES VERITABLES RAISONS DE LA PREMIERE GUERRE CONTRE L’ALLEMAGNE
Et n’allez pas croire qu’en 1919, les allemands découvrirent soudainement qu’un verre de sang juif avait meilleur goût qu’un Coca Cola ou qu’une bière munichoise. En aucun cas il ne s’agissait d’un sentiment religieux. Tout était politique et économique. C’était tout, sauf religieux !
Personne ne se souciait en Allemagne si un juif rentrant chez lui irait réciter le « Shema Ysroel » ou bien le « Notre père ». Personne ne s’en souciait en Allemagne pas plus qu’en Amérique. Le sentiment qui s’était développé après la guerre en Allemagne se résumait en une seule et simple chose, les Allemands rendaient les juifs totalement responsables pour leur défaite cuisante.
La première guerre mondiale avait été déclenchée contre l’Allemagne sans aucune raison !
Elle n’était coupable d’absolument aucune faute ; sauf à être excellente. Ils bâtirent une grande marine, ils établirent un commerce mondial. Vous devez vous rappeler que l’Allemagne au temps de la révolution française consistait en plus de trois cents petites villes-etats, principautés, duchés, et ainsi de suite. Trois cents petites entités politiques éparpillées. Et entre le temps de Napoléon et Bismarck, ils s’étaient consolidés en un seul Etat ; ceci en l’espace de cinquante ans. Ils devinrent une des plus grandes puissances mondiales ; leur marine rivalisait avec la Grande Bretagne, ils commerçaient tout autour du monde ; étant en mesure de surclasser n’importe qui et avec une plus grande qualité dans la production. Que c’est t-il donc réellement passé ? Il eut une conspiration entre la Grande Bretagne, la France et la Russie, pour liquider l’Allemagne. Il n’y a pas un historien au monde qui pourrait trouver une raison expliquant pourquoi ces trois pays décidèrent subitement de rayer l’Allemagne de la carte politique.
LE POIDS DE LA TRAHISON ET LE DANGER COMMUNISTE EN ALLEMAGNE JUSQU’EN 1933
Donc, quand après l’armistice, l’Allemagne réalisa que les juifs étaient bel et bien responsables de sa défaite, évidement ils ne purent digérer ce coup de couteau dans le dos. Cela va de soit qu’ils eurent cette trahison accrochée en travers de la gorge ; comme tout sentiment résultant d’une trahison est difficilement explicable et tout aussi contrôlable.
Toutefois, aucun juif n’avait été agressé et pas le moindre cheveu de juif n’avait été touché. Dans le livre du Professeur Tansill de l’université de Georgetown qui avait libre accès à tous les documents secrets du département d’Etat américain ; et citant des documents du département d’état écrits par Hugo Schoenfelt, un juif envoyé par Cardell Hull en Allemagne en 1933, afin d’enquêter sur l’existence des soi disants camps de prisonniers politiques ; qui en fin de compte les trouva en parfaite santé. Ils se portaient très bien et d’ailleurs étaient très bien traités. Ces camps étaient remplis de communistes, dont la grande majorité s’avérait être constituée de juifs. Tout simplement du fait qu’en cette période, pas seulement en Allemagne mais dans toute l’Europe, les communistes se trouvaient être composés à 98 pourcent de juifs. Evidemment il y avait aussi quelques prêtres, ecclésiastiques, chefs syndicalistes, francs-maçons et d’autres affiliations internationales.
Un petit rappel historique serait de rigueur. Entre 1918 et 1919, les communistes prirent contrôle de la Bavière durant un courte période quand même. Rosa Luxembourg avec Karl Liebknecht à la tête d’un groupe d’autres juifs, gouvernèrent trois jours. En fait, à la fin de la guerre, le Kaiser s’était enfui en Hollande, tout simplement parce qu’il craignait que les communistes s’emparent de l’Allemagne comme ils l’avaient fait en Russie et qu’il lui serait réservé le même sort que celui fait au Tsar. Il prit donc la fuite par mesure de sécurité.
Après que la menace communiste eut été balayée du sol allemand, les juifs étaient encore très actifs, essayant de recouvrer leur statut. Les allemands les combattirent en une lutte générale ; sans pour autant que ce soit physique où eurent touché un seul de leur cheveu. Ils les combattirent comme ici en Amérique, les lois prohibitionnistes avaient combattu les trafiquants d’alcool. Le combat était donc sans utilisation d’arme à feu, mais plutôt civil. Il en était de même pour le combat entre les allemands et les juifs.
Rappelons quand même, qu’en ce temps là il y avait autour de 90 millions d’allemands pour seulement 460 000 juifs, qui représentaient donc à peu prés un demi pourcent de la population allemande. N’empêche qu’il contrôlaient toute la presse et la presque totalité de l’économie. Car étant venus en Allemagne après la guerre avec beaucoup d’argent, d’autant plus que la dévaluation drastique du Mark leur permit de tout acheter pour une bouchée de pain. Les juifs essayèrent de dissimuler ce fait. Ils ne souhaitaient évidemment pas que le monde sache qu’ils avaient trahi l’Allemagne et implicitement récoltèrent sa rancoeur. En toute logique de réflexivité, des mesures appropriées et conséquentes ont été prises par les allemands contre ceux qui les avaient vendus. En d’autre terme, ils les discriminèrent, évitèrent, identiquement comme nous discriminerions, éviterions, les chinois, les catholiques ou quiconque dans ce pays qui nous auraient vendu à l’ennemi et aurait ainsi causé notre défaite.
CONFERENCE D’AMSTERDAM 1933 : LES SIONISTES EXIGENT LA SOUMISSION DE L’ALLEMAGNE
En juillet 1933, une conférence du sionisme international fut organisée à Amsterdam. Les juifs du monde entier y participèrent. Ils s’adressèrent à l’Allemagne en des termes impératifs ; à savoir qu’ils -les sionistes- les sommaient de limoger Hitler et de faire réintégrer tout les juifs dans leur fonction, eussent ils été communistes ou non. En aucun cas les sionistes ne permettraient aux allemands de les traiter de la sorte ; et en toute chose qu’il fallait considérer cet avertissement comme un ultimatum. On imagine aisément ce que fut la réponse des allemands. Mais c’est la réaction juive qui allait être des plus étonnantes.
L’ALLEMAGNE REFUSE – LES SIONISTES LANCENT UN BOYCOTT ABJECT
En 1933, quand l’Allemagne refusa de se plier aux exigences sionistes à la conférence d’Amsterdam qui se clôturera sans avoir entamé la résilience allemande. Le président de cette conférence et chef de la délégation américaine était Samuel Untermeyer, qui la quitta aussitôt pour aller aux USA et directement du bateau monta aux studios de la CBS (Columbia Broadcasting System) et donna un discours transmis sur tout le territoire américain.
Dans lequel il dit : « le sionisme international maintenant appelle à la guerre sainte contre l’Allemagne. Nous sommes maintenant engagés dans une bataille sacrée contre les allemands. Nous allons les forcer à se rendre. Nous allons exercer un boycott international contre eux qui les détruira du fait qu’ils dépendent exclusivement de leurs exportations. »
Et c’est un fait que deux tiers 2/3 des besoins alimentaire allemands doivent être importés. Cela peut être obtenu qu’avec le produit de la vente de leur exportation. Donc si l’Allemagne n’exporte pas ; 2/3 de la population allemande mourrait de faim. Il n’y a simplement pas assez de nourriture pour plus de 1/3 de la population.
Donc, cette déclaration, que j’ai devant moi, publiée le 7 Aout 1933 dans le New York Times, faite par Mr Samuel Untermeyer qui n’avait pas froid aux yeux quand il a dit: « ce boycott économique est notre moyen d’auto défense ; le président Roosevelt l’a soutenu dans le programme de l’administration de reprise nationale. » Que certain d’entre vous s’en souviennent peut être ; où quiconque ne respectait pas les lois du New Deal se verrait boycotté. Lois qui furent déclarées inconstitutionnelles par la cour suprême américaine en ce temps là.
Toutefois, les juifs de par le monde déclarèrent un boycott contre l’Allemagne qui fut tellement efficace qu’on ne pouvait plus trouver en magasin un produit portant ’’ MADE IN GERMANY’’. A ce sujet, un représentant de la Woolworth Company me rapporta qu’ils avaient du jeter des millions de Dollar en vaisselle dans la rivière ; parce que leurs magasins auraient été boycottés si quiconque avait trouvé des assiettes portant la mention ’’ MADE IN GERMANY’’. Ils auraient tout simplement subi des manifestations avec des slogans « Hitler assassin » et ainsi de suite ; identiquement à ces sit-in qui se sont déroulés dans le sud. A un magasin appartenant à R.H Macy, sous contrôle d’une famille dénommée Strauss qui aussi s’avère être juif ; une dame trouva des bas de chez Chemnitz portant le ticket ’’ MADE IN GERMANY’’ ; et bien, c’était des bas de coton qui devaient avoir été stockés là depuis plus de vingt ans. Cela faisait un bout de temps que j’observais les jambes des dames, mais il y avait belle lurette que je n’en avais vu portant des bas de coton. On vit donc les magasins Macy’s boycottés, et où des centaines de gens manifestaient avec des banderoles portant les termes « Hitlériens » ou «assassin».
Alors que jusqu’ici pas le moindre cheveu d’un quelconque juif n’avait été atteint dans toute l’Allemagne. Ils n’encouraient aucune souffrance, aucune famine, aucune agression, il n’y avait absolument rien. Naturellement les allemands s’étonnèrent ; qui étaient donc ces gens qui non seulement les soumettaient à un boycott mais en plus jetaient tous leurs salariés au chômage ; bloquant leur économie et mettant à genoux leur commerce. Ils s’en offusquèrent, c’était un total désarroi. Evidemment ils dessinèrent des swastikas (croix gammée) sur les murs des magasins juifs. Pourquoi diable un allemand irait donner son argent à un commerçant faisant partie d’un blocus international poussant l’Allemagne à la famine ; la forçant à se plier aux exigences du sionisme qui voulait lui dicter quel chancelier elle devrait choisir. C’était tout simplement ridicule.
PARIS 1938 – UN JUIF POLONAIS TUE UN DIPLOMATE ALLEMAND DE SANG FROID
Le boycott dura un certain temps ; mais en 1938, quand un jeune juif polonais fit irruption dans l’ambassade allemande à Paris pour tirer sur un diplomate allemand, le tuant de sang froid. Cet assassinat envenima les choses. Les allemands devinrent alors réellement durs avec les juifs et on vit donc en Allemagne des conflits entre juifs et allemands où des magasins juifs furent attaqués. A présent on doit faire le point ; personnellement je déteste utiliser le terme « anti-sémite » car ce terme est complètement dénué et dénudé de sens à mes yeux ; toutefois il représente quelque chose pour vous, donc je dois de l’utiliser. La seule raison expliquant le sentiment allemand à l’encontre des juifs est le fait qu’il étaient responsables pour la première guerre mondiale, ainsi que pour le boycott international. Automatiquement ils étaient responsables pour la deuxième guerre mondiale ; et parce que cela devenait apparent, il fut nécessaire que les juifs et les allemands s’engagent vers une issue menant directement à une sorte de confrontation qui inéluctablement verrait la désignation d’un seul vainqueur. Entre temps je vivais en Allemagne et je savais que les allemands avaient décidé que l’Europe resterait soit chrétienne, soit allait devenir communiste et pas une tierce option. Les allemand décidèrent qu’ils feraient leur possible pour la garder chrétienne. Ils commencèrent donc un nouveau programme de réarmement.
L’URSS, LE COMMUNISME, LES USA, LA PALESTINE…
En Novembre 1933, les américains reconnurent officiellement l’Union Soviétique qui commençait à devenir très puissante. L’Allemagne logiquement effrayée se réarma, appréhendant une éventuelle confrontation avec l’URSS ; pensant qu’elle aussi allait tomber dans le communisme. Identiquement à l’appréhension qu’aujourd’hui nous ressentons dans ce pays et qui nous fait maintenir un programme de défense de peur de devenir victime du communisme. Notre gouvernement dépense autour de $84 milliards en matière de défense.
Mais défense contre qui ?
Contre quelque 4 000 juifs de Moscou qui contrôlent la Russie et donc, dans leur logique déviationniste ont un contrôle sur plusieurs autres pays du monde. Si ce pays se dirige vers une troisième guerre mondiale, il faut savoir que personne n’en ressortira indemne ; et c’est une idée qui défie tout imagination.Je sais que la bombe nucléaire est mesurée en Mégatonne. Un Mégatonne est l’unité qui définit un Million de tonne de TNT. Nos bombes nucléaires actuelles ont des capacités de 10 Mégatonnes ou 10 Millions de tonnes de TNT; ceci quand ils ont été conçues initialement. Maintenant les bombes nucléaires ont une capacité de 200 Mégatonnes. Et Dieu seul sait quelles capacités possèdent les bombes soviétiques.
Dés lors à quoi sommes nous confrontés ? Si nous déclenchions une guerre mondiale qui risquerait de se développer en une guerre nucléaire, l’humanité n’y survivrait pas. Une telle guerre aurait elle la possibilité de voir le jour ? Cela aura lieu, car le rideau se lèvera pour le troisième acte. Le premier acte fut la première guerre mondiale ; le deuxième acte étant la deuxième guerre mondiale. Le ’’crescendo’’ va se jouer dans le troisième acte, en d’autre terme la troisième guerre mondiale. Le sionisme international et leurs coreligionnaires de par le monde sont déterminés à utiliser les USA une fois de plus afin de garder la Palestine en tant que tremplin de leur domination du monde. Cela est aussi vrai que je suis ici debout. N’étant nullement le seul à l’avoir lu ; mais nombreux ici parmi vous, ceux qui le savent aussi et cela est connu à travers le monde.
LE TRAVAIL DE SAPE SIONISTE AUPRES DU PDT WILSON, LES TAXES, LA RESERVE FEDERALE
Qu’allons nous donc faire ? La vie que vous sauveriez sera peut être celle de votre propre enfant ; votre fils est peut être sur le chemin de la guerre ce soir et vous ne le savez pas. Comme d’ailleurs vous ne saviez pas qu’en 1916 à Londres, les sionistes firent un pacte avec le British War Cabinet, afin d’envoyer vos fils combattre en Europe. Le saviez vous alors ? Personne aux USA ne le savait. Il ne vous était pas autorisé de le savoir. Qui le savait ? Le président Wilson le savait, ainsi que le colonel House. Quelques autres hauts placés étaient au courant. Est-ce que je le savais ? J’avais une idée assez précise sur ce qui ce tramait. J’étais ’’attaché’’ à Henry Morgenthau Sr, durant la campagne présidentielle de 1912 qui vit l’élection du président Woodrow Wilson. Les informations circulaient dans les bureaux. J’étais à la fois, bras droit de H.Morgenthau Sr, président du comité de finance et aussi ’’attaché’’ entre lui et Rollo Wells, le trésorier. Je fus assis dans toutes les réunions dirigées par le président Wilson siégeant en bout de table ; ainsi que tous les autres.
Et je les entendais rabattre les oreilles du président Wilson avec ce qui allait s’appeler la taxe sur le revenu, ainsi que ce qui devait devenir les Réserves Fédérales, en passant par l’endoctrinement sur le mouvement sioniste. Le juge Brandeiss et le président Wilson étaient aussi proches que les deux doigts de ma main. Le Président Wilson n’était juste qu’un incompétent quand il fallait déterminer une situation et se faisait diriger comme un enfant. C‘est de cette façon qu’ils nous embarquèrent dans la première guerre mondiale. Alors que nous étions dans un profond sommeil, ils envoyèrent nos enfants là bas pour se faire massacrer. Dans quel but ? Pour que les juifs puissent avoir la Palestine comme colonie. Ils vous ont tellement roulé dans la farine que vous ne savez plus où vous en êtes. Comme l’exemple d’un juge s’adressant au jury dirait : « Messieurs, si jamais un témoin est prouvé avoir menti, alors veuillez rejeter tout son témoignage. » Je ne sais pas de quel Etat vous venez, mais dans l’Etat de New York c’est comme cela que ça se passe. Si un témoin dit un seul mensonge ; alors tout son témoignage sera rejeté.
LES KHAZARS ET L’INVENTION DU PEUPLE JUIF
Quels sont les faits au sujet des juifs ? Je les appelle juifs juste pour vous ; car ils vous sont connus comme juifs. Mais je ne les appelle pas juifs moi même ; je m’en réfère en tant que ’’soi disant ’’ juif. Tout simplement parce que je sais qui ils sont réellement. Les juifs d’Europe de l’Est -composant 92 pourcent de l’entière population s’auto désignant ’’juif’’ sont à l’origine ’’Khazar’’. C’était une tribu belliqueuse vivant aux confins du territoire asiatique. Un peuple si hostile que même les asiatiques les chassèrent hors d’Asie vers l’Europe de l’Est. Là, ils établirent un grand royaume Khazar de plus de 1 300 000 kilomètre carré.
En ce temps là, la Russie n’existait même pas ; pas plus d’ailleurs que la plus part des pays d’Europe. Le royaume Khazar était le plus grand pays d’Europe ; si grand et si puissant que les autres monarchies voulant entreprendre une guerre s’appuyaient sur les Khazars qui pouvaient leurs louer une armée de soldats. C’est vous dire combien ils étaient puissants. Ils étaient païens et exerçaient le culte Phallique ; ce qui est immonde et répugnant et de ce fait je ne voudrais plus m’avancer sur ce sujet maintenant. Mais c’était bel et bien leur religion, ainsi qu’elle fut la religion d’autres païens et barbares en ce temps là.
Le roi des Khazars devint tellement dégoûté de la dégénérescence de son royaume qu’il se résolut à adopter une soi disant confession monothéiste. Entre la Chrétienté, l’Islam, ou ce qui est connu sous le nom de Judaïsme qui en est vérité est le ’’ Talmudisme’’. En choisissant par pur hasard le choix du roi se porta sur ce qui est communément appelé le Judaïsme qui advint la religion d’Etat. Il envoya donc des gens étudier aux écoles talmudiques de Pumbedita et Sura et fit ramener des milliers de Rabbins, ouvrit des synagogues et des écoles et son peuple devint ce qu’on appelle maintenant ’’juif’’.
Mais il n’y avait parmi eux aucun qui n’eut jamais mis le pied en terre sainte. Il n’y avait parmi ce peuple aucun dont l’ancêtre appartenait à l’histoire du vieux testament. Absolument pas un. Et il ont l’audace de s’adresser aux chrétiens et de leur demander de supporter une invasion armée en Palestine en prétendant : ’’Vous voulez aider à rapatrier le peuple élu de Dieu vers leur terre promise, leur foyer ancestral, n’est ce pas ? C’est votre devoir de chrétien. Nous vous avons donné un de nos enfants comme votre Dieu et Seigneur ; vous allez à l’église tous les Dimanches et vous vous agenouillez pour adorer un juif et nous sommes juifs’’.
Alors que ce ne sont que des païens convertis au Judaïsme ; comme les irlandais se convertirent au christianisme. Il est juste ridicule de les appeler ’’peuple de terre sainte’’ ; comme il serait tout aussi stupide d’appeler les quelques 54 millions de chinois musulmans, des ’’Arabes’’. Mahomet mourut en 632 et depuis ce temps donc, plus de 54 millions de chinois à présent ont acceptés l’Islam comme foi. Maintenant imaginez que ces plus de 54 millions de musulmans de Chine soudainement décident de s’autoproclamer ‘‘Arabe’’ ; vous diriez qu’ils sont lunatiques. Quiconque penserait que ces 54 millions de chinois sont arabes, ne pourrait être que simplement dérangé. Parce que tout simplement ils n’ont fait qu’adopter la foi qui prend origine à la Mecque en Arabie. Tout comme l’avaient fait les irlandais quand ils devinrent chrétiens ; personne ne les avait jetés à l’océan ou bien avait importé une nouvelle espèce d’habitant. Ils ne devinrent en aucune façon un peuple différent. Mais seulement le même peuple ayant accepté le christianisme comme confession.
Ces Khazars donc, ces païens, ces asiatiques, ces turcos finnois étaient une race à la base mongoloïde qui fut chassés d’Asie vers l’Europe de l’Est. Après que leur monarque épousa la confession judaïque, ils n’avaient plus de décision en la matière et durent se soumettre à la même foi. Comme en Espagne, si le roi était catholique alors tout le monde devait l’être ; sinon il fallait quitter le territoire espagnol. Voila comment les Khazars devinrent ce qu’on appelle aujourd’hui ’’juif ’’. Maintenant imaginez combien cela est ridicule pour les grandes nations chrétiennes du monde d’affirmer : « Nous nous engageons à utiliser notre pouvoir et notre prestige afin de rapatrier le peuple élu de Dieu vers leur terre promise, leur ancestral foyer. »
LE CONTROLE DE LA PRESSE, DES MEDIAS, DU CLERGE, DE L’ETAT…
Peut-il y avoir un plus grand mensonge que celui là ? Tout simplement parce que contrôlant les journaux, les magazines, la radio, la télévision, l’imprimerie du livre, et surtout parce qu’ils dictent le prêche du clergé ainsi que le discours politique, qui d’ailleurs ont le même langage. Ce n’est donc pas étonnant que l’on croie ce genre de mensonge. Pareillement vous croiriez que le blanc est noir si vous l’entendiez assez souvent ; vous ne pourriez plus appeler noir, le noir ; vous accepteriez d’appeler le noir, blanc. Et personne ne pourrait vous le reprocher. Ceci est un des plus grands mensonges que l’histoire ait jamais connu. C’est la base de la misère qui dévore le monde.
LE JOUR DU GRAND PARDON
Savez vous ce que font les juifs le jour du « grand pardon » que vous croyez si sacré pour eux. Je fus un des leur. Ce ne sont en aucun cas des ragots que l’on m’aurait rapportés ; je ne suis pas venu ici afin de raconter des histoires, ou bien pour propager une rumeur ; je suis ici dans un seul but de vous exposer des faits. Quand le jour du grand pardon arrive ; vous entrez dans une synagogue, puis vous vous tenez debout pour la toute première prière qu’on récite. C’est la seule prière faite dans une position debout ; et vous répétez trois fois une courte prière appelée ’’Kol Nidre’’.
Dans cette prière vous liez un pacte avec Dieu tout puissant ; où, quelque soit le serment, l’agrément, ou bien l’accord qui se ferait dans les douze mois à venir, il se verrait être nul, sans effet, caduc, et ne sera en aucune condition honoré. Le serment n’a pas lieu d’être respecté ; l’accord ne sera pas suivi ; la parole donnée ne sera en aucune mesure tenue. Tout engagement n’aura ni effet ni force. Par ailleurs le Talmud stipule que, quelque soit la parole d’honneur donnée, ou bien l’accord entreprit, on doit de se rappeler le ’’Kol Nidre’’ ; prière récitée le jour du grand pardon. Ainsi, automatiquement celui qui la récite se verra totalement absout de toute conséquence et sera de ce fait déchargé de toute obligation de respecter sa parole. Donc, comment voulez vous dépendre de leur loyauté ; apparemment comme y dépendirent le peuple allemand en 1916. Nous récolterions les mêmes fruits empoisonnés, nous souffririons des mêmes vicissitudes que souffrirent les allemands, et pour les mêmes raisons.
Dernière édition par akasha le Lun 17 Mar 2014 - 14:49, édité 1 fois
Aegis
Messages : 3107 Date d'inscription : 27/08/2012 Age : 40
Sujet: Re: Le judaïsme et l’invention du racisme culturel Dim 9 Mar 2014 - 13:54
Ce texte est intéressant, mais il est aussi dangereux, car il légitime tout le discours qui a servi à appuyer les bases du nazisme.
Ensuite, il comporte quelques erreurs : - quand la Russie se retire de la guerre, c'est suite à la Révolution bolchevique et qui aboutit à ce que l'Allemagne puisse retirer de ce front toutes ses troupes, pour pouvoir les placer du côté du front ouest (et donc le front français). Le Tsar était en effet plus que favorable à la guerre, et c'est ce qui a, entre autre, aboutit à ce qu'il se fasse tuer lui et sa famille. - l'entrée en guerre des USA se fait également en raison d'une erreur stratégique de l'Allemagne, justement avec ses U-bot qui ont eu la mauvaise idée de couler la marine marchande américaine (qui ravitaillait l'Angleterre). - un autre point qui n'est pas abordé également est le fait que les USA finançaient la guerre des deux côtés belligérants (c'est d'ailleurs ce qui a permis aux USA de devenir la première puissance économique mondiale, avant, c'était l'Angleterre). - la question de la Palestine est abordée sous le mauvais angle.
Je m'explique : - à la fin de la guerre, et la défaite de l'Empire Ottoman, celui-ci se voit dépossédé de ses colonies. - le territoire de la Palestine est séparé en deux par les puissances victorieuses : la France et l'Angleterre. - La France hérite du sud qui s'appellera désormais Palestine, - L'Angleterre hérite du nord qui s'appellera désormais Israël. En d'autres termes : c'est la concrétisation du vieux rêve des croisades, récupérer la terre sainte.
Ensuite, concernant les causes de la première guerre mondiale : - la France n'a JAMAIS digéré la perte de l'Alsace et de la Lorraine en 1871, - l'affaire Dreyfus a marqué les esprits pour deux raisons. Dreyfus était juif et accusé d'avoir transmis à l'Allemagne des documents stratégiques, - l'empire d'Autriche Hongrie connaît des tensions nationalistes (en Serbie), - L'empire Russe et l'Empire Allemand ont des revendications territoriales (les Balkans), - l'empire Ottoman et Russe ont des revendications territoriales (la Crimée d'ailleurs).
akasha
Messages : 6833 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Le judaïsme et l’invention du racisme culturel Dim 9 Mar 2014 - 14:26
C'est normal qu'il soit intimement lié le sionisme et le nazisme. Vu qu'il ont eux besoin du nazisme pour instauré Israël et toute l'idéologie sioniste. Ensuite les usa était favorable au nazisme à tel point qu'il le finanssa abondamment. Mais vu que le sionisme était bien plus important et était la finalité. Il eut besoin d'un prétexte pour entrer dans une guerre dont ils on bien tardé à entrer dedans...Et se fut se fameux navire, dont une taupe de l'espionnage allemand le déclara transporter de l'armements. la réaction ne se fit point attendre car il faut coulé, la suite et ben...
Pour l'instauration d’Israël, c'est pas ça le problème, c'est les prétextes utilisé par les anglais qui parle de terre promise des 12 tributs d’Israël. Ors ils n'en sont pour aucun originaire, car ils sont tous d'origine Khazars et Ashkénaze qui se sont convertit sur le tard au judaïsme, vers le neuvième siècle. Sous l'impulsion de leur rois de l'époque Bak Bulan. Donc les juifs d'Europe de l'est, les Ashkénazes, n'ont donc rien avoir avec d'Israël et donc rien à revendiquer en Palestine ! Les réfugiés khazars, s'ils sont bien venus en Europe orientale, se serait mêlés à la diaspora des juifs expulsés de Franceet de Flandres et jusqu'en Allemagne même. ceci par les premières croisades. Ce serait donc la jonction des Khazars aux fugitifs venant de l'Ouest ainsi qu'aux populations locales déjà organisées en communautés qui serait à l'origine des ashkénazes...Donc il est raisonnable de penser que tout se plan de colonisation d’Israël à été fomenté de longue date et en secret !
Aegis
Messages : 3107 Date d'inscription : 27/08/2012 Age : 40
Sujet: Re: Le judaïsme et l’invention du racisme culturel Dim 9 Mar 2014 - 14:54
A la base les USA avaient des intérêts économiques dans les deux partis belligérants (ils finançaient la guerre des deux côtés, position plutôt pratique pour s'enrichir), mais comme l'Allemagne s'en est pris à sa flotte commerciale, ils sont fini par rejoindre le camp franco-anglais en difficulté.
Ensuite, pour te donner une image par rapport à Israel, l'Europe a connu le même phénomène quand elle a cherché à "libérer le tombeau du Christ", ou encore, la querelle entre l'Allemagne et la France sur la question de l'Alsace et de la Lorraine. Il y a simplement que pour un même territoire, plusieurs peuples peuvent le revendiquer au nom de telle ou telle cause.
Techniquement parlant, l'on doit tous les problèmes d'Israel et de la Palestine (même territoire à la base en fait) à l'Empire Romain ou plutôt, à la rébellion des juifs sous l'Empire qui a abouti à la diaspora. Que le souvenir de la terre promise et la volonté d'y retourner fasse partie de la culture juive, cela n'a rien de surprenant, tu trouves le même mécanisme avec l'Anschluss, par exemple, la construction des royaumes européens, la querelle entre la Chine et le Tibet, parmi les causes de l'invasion japonaise durant la seconde guerre mondiale tu trouves entre autre également le désir de mettre un terme à la menace chinoise (qui a revendiqué longtemps la domination du Japon).
Ce qui est décrit dans le sionisme ressemble pour beaucoup à une constante des peuples, et explique bon nombre de guerres au final.
La question qui, je suppose, se pose à toi, est-ce bien celle-ci : quelle est la légitimité du peuple juif en Israel ?
florent0121
Messages : 100 Date d'inscription : 21/02/2014 Age : 37
Sujet: Re: Le judaïsme et l’invention du racisme culturel Dim 9 Mar 2014 - 16:06
Aegis, tu compares la bataille entre la France et l'Allemagne pour l'Alsace et la Lorraine et la situation entre La Palestine et le peuple juif ou plutot une minorité sioniste ayant annexé pour ne pas dire spolié le territoire Palestinien... ça n'a strictement rien à voir, il ne s'agit pas dans ce cas d'un territoire qui serait disputé entre deux pays mais d'une spoliation pur et simple du territoire d'un pays par une minorité juive sioniste apatride.
Aegis
Messages : 3107 Date d'inscription : 27/08/2012 Age : 40
Sujet: Re: Le judaïsme et l’invention du racisme culturel Dim 9 Mar 2014 - 16:37
Il y a un célèbre libre de géographie "le tour de France par deux enfants" qui illustre le plus parfaitement ce que j'affirme.
florent0121
Messages : 100 Date d'inscription : 21/02/2014 Age : 37
Sujet: Re: Le judaïsme et l’invention du racisme culturel Dim 9 Mar 2014 - 16:44
florent0121 a écrit:
Aegis, tu compares la bataille entre la France et l'Allemagne pour l'Alsace et la Lorraine et la situation entre La Palestine et le peuple juif ou plutot une minorité sioniste ayant annexé pour ne pas dire spolié le territoire Palestinien... ça n'a strictement rien à voir, il ne s'agit pas dans ce cas d'un territoire qui serait disputé entre deux pays mais d'une spoliation pur et simple du territoire d'un pays par une minorité juive sioniste apatride.
De plus, tu parles de peuple alors qu'il n'en fait pas question de peuple, de la volonté de celui ou ceux ci, mais d'élites dirigeantes, de manipulation des masses, de corruption et de trafic d'influence, dans le cas de la spoliation du territoire palestinien, il s'agit d'élites sionistes.
Aegis
Messages : 3107 Date d'inscription : 27/08/2012 Age : 40
Sujet: Re: Le judaïsme et l’invention du racisme culturel Dim 9 Mar 2014 - 17:08
En quoi cela diffère-t-il de l'Alsace et de la Lorraine ?
Ne s'agit-il pas de la guerre de Louis-Napoléon Bonaparte contre Wilhem Ier ?
akasha
Messages : 6833 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Le judaïsme et l’invention du racisme culturel Dim 9 Mar 2014 - 17:21
En effet j'ai du mal à me faire un parallèle entre l'affrontement de 1870 des forces de Napoléon III qui voulu imposer son régime comme modèle pour toute l'Europe. Et Bismarck qui voulu réunifier tout les anciens territoire prussiens ? quand on sais de plus que Mac-Mahon le maréchal abandonna à Sedan tout son régiments pour prendre la fuite ! Tiens il fit bataille en Crimée aussi à Sébastopol... Adolphe Thièr (président de l’exécutif). pour le récompensé le désigna comme chef des lignards pour écrasé la commune de Paris. Connu des historiens comme "la semaine sanglante" il fit tué plus de 30.... personnes en déporta des millier ! il devint président de la république...donc voila, rien avoir avec se qu'il nous préoccupe sur se fil. orné et moi savons à quel point il y a correlation entre juifs sionistes et le nazisme (se qu'on appelle communément à l'heure actuelle, 4em Reich..). nous avons encore l'exemple avec se qu'il se passe en Ukraine, où un gouvernement placé non démocratiquement de nazis, mis en place par des manoeuvres étasunienne et de l'UE. Avec en toile de font l'aide d'anciens du Mossad...Je vous propose se très bon texte de l'ami Mutien
Le Sionisme et le Troisième Reich
Comme je vous disais dans un article précédent, 2013 est l’année des révélations.
Fini les manipulations et les mensonges des médias, politiciens et autres vendus.
Le peuple veut les vérités !
N’oubliez jamais : Nous sommes responsables de nos actes et aussi de la mémoire collective.
Au début de 1935, un bateau rempli de passagers, à destination de Haïfa en Palestine, quitta le port allemand de Bremerhaven. Sa poupe portait son nom en lettres hébraïques : «Tel-Aviv», alors qu’un drapeau à croix gammée flottait en haut du mât. Et bien que le bateau était une propriété sioniste, son capitaine était un membre du Parti National-socialiste. De nombreuses années plus tard, un ancien passager du bateau appela cette association de symboles «une absurdité métaphysique». Absurde ou pas, il s’agit d’une facette d’un chapitre peu connu de l’histoire : la collaboration de grande ampleur entre le sionisme et le Troisième Reich hitlérien.
Objectifs communs
Pendant des années, des gens de nombreux pays se sont interrogés sur la «question juive» : c’est-à-dire, quel était le rôle exact des juifs dans les sociétés non-juives ? Pendant les années 30, les juifs sionistes et les Allemands nationaux-socialistes ont partagé des vues similaires sur la manière de résoudre cette embarrassante question. Ils étaient d’accord sur le fait que les juifs et les Allemands étaient deux nationalités différentes, et que les juifs n’appartenaient pas à l’Allemagne. Les juifs vivant dans le Reich n’étaient donc pas considérés comme des «Allemands de confession juive», mais plutôt comme des membres d’une communauté nationale distincte. Le sionisme (nationalisme juif) impliquait aussi l’obligation pour les juifs sionistes de s’établir en Palestine, la «patrie juive». Ils auraient difficilement pu se considérer eux-mêmes comme des sionistes sincères et réclamer simultanément l’égalité des droits en Allemagne ou dans n’importe quel autre pays «étranger».
Theodor Herzl
Theodor Herzl (1860-1904), le fondateur du sionisme moderne, soutenait que l’antisémitisme n’était pas une aberration, mais une réaction naturelle et parfaitement compréhensible des non-juifs aux comportements et aux attitudes des étrangers juifs. La seule solution pour les juifs, disait-il, est de reconnaître la réalité et de vivre dans un état séparé. «La question juive existe partout où les juifs vivent en nombre important», écrivait-il dans son ouvrage le plus connu, L’Etat juif. «Là où elle n’existe pas, elle est provoquée par l’arrivée des juifs … Je crois que je comprends l’antisémitisme, qui est un phénomène très complexe.
J’observe ce phénomène en tant que juif, sans haine ni crainte.» La question juive, soutenait-il, n’est ni sociale ni religieuse. «C’est une question nationale.
Pour la résoudre, nous devons avant tout en faire une question internationale …». Quelle que soit leur nationalité, insistait Herzl, les juifs ne constituent pas simplement une communauté religieuse, mais une nation, un peuple, un «Volk». Le sionisme, écrivait Herzl, proposait au monde «une solution finale de la question juive».
Six mois après l’arrivée de Hitler au pouvoir, la Fédération sioniste d’Allemagne (de loin le groupe sioniste le plus important dans le pays) soumit au nouveau gouvernement un mémorandum détaillé qui faisait le point sur les relations germano-juives et proposait formellement l’appui sioniste pour «résoudre» l’épineuse «question juive». La première étape, suggérait-il, devait être une franche reconnaissance des différences nationales fondamentales :
Le sionisme n’a pas d’illusions sur la difficulté de la condition juive, qui consiste avant tout en un modèle d’occupation anormale, et dans l’erreur d’une posture intellectuelle et morale, non-enracinée dans une tradition nationale. Le sionisme a reconnu depuis des décennies qu’en conséquence de la tendance assimilationniste, des symptômes de détérioration apparaîtraient forcément …
Le sionisme pense que la renaissance de la vie nationale d’un peuple qui est à présent en train de se produire en Allemagne, par le réveil de son identité chrétienne et nationale, doit aussi survenir dans le groupe national juif. Pour le peuple juif aussi, l’origine nationale, la religion, le destin commun et le sens de son unicité, doivent être d’une importance décisive pour la suite de son existence. Cela signifie que l’égoïsme individualiste de l’ère libérale doit être dépassé et remplacé par le sens de la communauté et de la responsabilité collective …
Nous croyons que c’est précisément la Nouvelle Allemagne [nationale socialiste] qui peut, par une résolution audacieuse dans le traitement de la question juive, faire un pas décisif en vue de la résolution d’un problème, qui en vérité, devra être traité avec la plupart des peuples européens …
Notre reconnaissance de la nationalité juive réclame une relation claire et sincère avec le peuple allemand et ses réalités nationale et raciale.
Précisément parce que nous ne souhaitons pas falsifier ces fondements, parce que nous aussi sommes contre les mariages mixtes et pour le maintien de la pureté du groupe juif, et rejetons tout empiétement dans le domaine culturel, nous pouvons — ayant été élevés dans la langue et la culture allemandes — trouver intérêt aux travaux et valeurs de la culture allemande, avec admiration et sympathie …
Pour ses objectifs pratiques, le sionisme espère être capable d’obtenir la collaboration même d’un gouvernement fondamentalement hostile aux juifs, parce que pour résoudre la question juive les sentiments ne comptent pas, mais seul un réel problème dont la solution intéresse tous les peuples et actuellement, particulièrement le peuple allemand …
La propagande pour le boycott — tel qu’il est actuellement pratiqué contre l’Allemagne sous de nombreuses formes — est par essence parce que le sionisme ne désire pas l’affrontement mais [désire] convaincre et construire …
Nous ne sommes pas aveugles au fait que la question juive existe et continuera à exister. De cette situation anormale, des désavantages sévères résultent pour les juifs, mais aussi des conditions à peine tolérables pour d’autres peuples.
Le journal de la Fédération, la Jüdische Rundschau («Revue juive»), proclama le même message: «Le sionisme reconnaît l’existence d’un problème juif et désire une solution constructive et à long terme. Dans ce but, le sionisme souhaite obtenir l’assistance de tous les peuples, qu’ils soient pro- ou anti-juifs, parce que de son point de vue, nous avons affaire ici à un problème concret plutôt que sentimental, dont la solution intéresse tous les peuples.» Un jeune rabbin de Berlin, Joachim Prinz, qui s’installa plus tard aux Etats-Unis et devint le leader du Congrès juif Américain, écrivit en 1934 dans son livre, Wir Juden («Nous, juifs»), que la révolution nationale-socialiste en Allemagne signifiait «la Judaïté pour les juifs». Il expliqua : «Aucun subterfuge ne peut nous sauver à présent. A la place de l’assimilation, nous désirons un nouveau concept : reconnaissance de la nation juive et de la race juive.»
Collaboration active
Sur la base de leurs idéologies similaires pour l’ethnicité et la nationalité, les Nationaux-socialistes et les sionistes travaillèrent ensemble pour ce que chaque partie pensait être son propre intérêt national. En conséquence, le gouvernement de Hitler appuya vigoureusement le sionisme et l’émigration
juive en Palestine de 1933 à 1940-41, lorsque la Deuxième Guerre Mondiale empêcha une collaboration poussée.
Même lorsque le Troisième Reich se ferma davantage, de nombreux juifs allemands, probablement une majorité, continuèrent à se considérer, souvent avec une grande fierté, comme des Allemands avant tout. Peu furent enthousiasmés par la perspective de se déraciner pour commencer une nouvelle vie dans la lointaine Palestine. Cependant, de plus en plus de juifs allemands se convertirent au sionisme pendant cette période. Jusqu’à la fin de 1938, le mouvement sioniste s’épanouit en Allemagne sous Hitler. La diffusion du bimensuel de la Fédération sioniste Jüdische Rundschau augmenta énormément.
De nombreux livres sionistes furent publiés. «L’activité sioniste était en plein essor» en Allemagne pendant ces années, note l’Encyclopaedia Judaïca. Une convention sioniste se tint à Berlin en 1936, reflétant «dans sa composition la vie vigoureuse du parti des sionistes allemands».
La SS fut particulièrement enthousiaste dans son appui au sionisme. Une circulaire interne SS de juin 1934 recommandait un appui actif et de grande ampleur au sionisme, de la part du gouvernement et du Parti, comme la meilleure manière d’encourager l’émigration des juifs d’Allemagne en Palestine. Cela nécessitait une plus forte prise de conscience des juifs. Les écoles juives, les associations sportives juives, les associations culturelles juives — bref, tout ce qui pourrait encourager cette nouvelle perception et prise de conscience — devaient être encouragé, recommandait la circulaire.
L’officier SS Leopold von Mildenstein et le représentant de la Fédération sioniste Kurt Tuchler partirent ensemble en Palestine pour six mois, afin d’évaluer le développement du sionisme dans ce territoire. Se basant sur ses observations de première main, Von Mildenstein écrivit une série de douze articles illustrés dans l’important quotidien berlinois Der Angriff [le journal lancé par Goebbels en 1927, NDT], qui furent publiés à la fin de 1934 sous le titre « Un Nazi voyage en Palestine».
Les articles exprimaient une grande admiration pour l’esprit pionnier et les réalisations des colons juifs. Le développement du sionisme, écrivait Von Mildenstein, avait produit une nouvelle sorte de juif. Il faisait l’éloge du sionisme comme étant un grand bienfait pour le peuple juif et pour le monde entier. Un foyer national juif en Palestine, écrivait-il dans son dernier article, «montre la voie pour guérir une blessure vieille de plusieurs siècles sur le corps du monde : la question juive». Der Angriff fit frapper une médaille, avec une svastika sur une face et une étoile de David sur l’autre, pour commémorer la visite conjointe SS-sioniste.
Quelques mois après la parution des articles, Von Mildenstein fut promu à la tête de la Direction des Affaires juives du Service de Sécurité SS (SD), avec l’objectif de soutenir plus efficacement l’émigration et le développement sionistes.
Le journal officiel SS, Das Schwarze Korps, proclama son appui au sionisme dans une page éditoriale en mai 1935 : «Le temps pourrait ne plus être très éloigné, où la Palestine pourra à nouveau recevoir ses fils égarés pendant plus d’un millier d’années. Nos meilleurs voeux, joints la bienveillance officielle, les accompagnent.» Quatre mois plus tard, un article similaire parut dans le journal SS :
La reconnaissance du judaïsme comme une communauté raciale basée sur le sang et non sur la religion conduit le gouvernement allemand à garantir sans réserves la séparation raciale de cette communauté. Le gouvernement se trouve en parfait accord avec le grand mouvement spirituel à l’intérieur du judaïsme, nommé sionisme, avec sa reconnaissance de la solidarité juive dans le monde et dans son rejet de toute notion assimilationniste. Sur cette base, l’Allemagne prend des mesures qui joueront sûrement un rôle significatif dans le futur, pour la prise en main du problème juif dans le monde. Une des plus importantes compagnies maritimes allemandes ouvrit une ligne directe entre Hambourg et Haïfa en Palestine, en octobre 1933, fournissant «de la nourriture strictement kasher sur ses bateaux, sous la supervision du Rabbinat de Hambourg.»
Avec l’appui officiel, les sionistes travaillèrent infatigablement à «rééduquer» les juifs d’Allemagne. Comme l’écrivit l’écrivain américain Francis Nicosia dans son étude en 1985, Le Troisième Reich et la question de Palestine :
«Les sionistes furent encouragés à délivrer leur message à la communauté juive, à collecter de l’argent, à montrer des films sur la Palestine, et d’une manière générale à éduquer les juifs allemands à propos de la Palestine. Il y eut une pression considérable pour enseigner aux juifs en Allemagne à cesser de s’identifier aux Allemands et à éveiller en eux une nouvelle identité nationale juive.»
Dans une interview après la guerre, l’ancien dirigeant de la Fédération sioniste d’Allemagne, le Dr Hans Friedenthal, résuma le situation : «La Gestapo fit tout pour encourager l’immigration pendant cette période, particulièrement vers la Palestine. Nous reçûmes souvent son aide lorsque nous demandions quelque chose à d’autres autorités, concernant des préparatifs pour l’immigration.»
Au Congrès du Parti National-socialiste en septembre 1935, le Reichstag adopta les lois dites «de Nuremberg», qui interdisaient les mariages et les relations sexuelles entre juifs et Allemands, et de fait, proclamaient que les juifs étaient une minorité nationale étrangère. Quelques jours plus tard l’éditorial du journal sioniste Jüdische Rundschau faisait bon accueil aux nouvelles mesures :
L’Allemagne … rejoint les demandes du Congrès sioniste Mondial lorsqu’elle déclare que les juifs vivant à présent en Allemagne sont une minorité nationale.
Maintenant que les juifs ont été classés comme une minorité nationale il est à nouveau possible d’établir des relations normales entre la nation allemande et le judaïsme. Les nouvelles lois donnent à la minorité juive en Allemagne sa propre vie culturelle, sa propre vie nationale. Dans le futur elle sera capable d’ouvrir ses propres écoles, son propre théâtre, et ses propres associations sportives. En résumé, elle peut créer son propre avenir dans tous les aspects de la vie nationale …
L’Allemagne a donné à la minorité juive l’opportunité de vivre pour elle même, et lui offre la protection de l’Etat pour cette vie séparée de la minorité juive : le processus de croissance du judaïsme à l’intérieur d’une nation sera de ce fait encouragé et une contribution sera apportée à l’établissement de relations plus supportables entre les deux nations.
Georg Kareski, dirigeant de l’Organisation d’Etat sioniste «Révisionniste» et de la Ligue Culturelle juive, et ancien dirigeant de la communauté juive de Berlin, déclara dans une interview dans le quotidien berlinois Der Angriff à la fin de 1935 :
Depuis de nombreuses années j’ai considéré la séparation complète des affaires culturelles des deux peuples comme une condition préalable pour vivre ensemble sans conflit … J’ai recommandé depuis longtemps une telle séparation, montrant qu’elle est fondée sur le respect pour la nationalité étrangère. Les lois de Nuremberg … me paraissent, mis à part leurs aspects légaux, se conformer entièrement à ce désir d’une vie séparée, basée sur le respect mutuel. … Cette interruption du processus de dissolution dans de nombreuses communautés juives, qui avait été encouragé par les mariages mixtes, est par conséquent, d’un point de vue juif, entièrement bienvenue.
Stephen Wise
Les dirigeants sionistes dans d’autres pays firent écho à ces vues. Stephen S. Wise, président du Congrès juif Américain et du Congrès juif Mondial, déclara lors d’un rassemblement à New York en juin 1938 : «Je ne suis pas un citoyen américain de religion juive, je suis un juif … Hitler avait raison pour une chose : il appelle le peuple juif une race, et nous sommes une race.»
Le spécialiste des Affaires juives du Ministère de l’Intérieur, le Dr Bernhard Lösener, exprima son soutien au sionisme dans un article qui parut dans une édition de novembre 1935 du bulletin officiel de l’Administration du Reich :
Si les juifs avaient déjà leur propre état dans lequel la majorité d’entre eux était installée, alors la question juive pourrait être considérée comme complètement résolue aujourd’hui, et aussi pour les juifs eux-mêmes. La plus faible opposition aux idées contenues dans les lois de Nuremberg s’est rencontrée chez les sionistes, parce qu’ils ont immédiatement réalisé que ces lois représentent la seule solution correcte pour le peuple juif lui-même. Car chaque nation doit avoir son propre état comme expression extérieure de son propre esprit national.
En coopération avec les autorités allemandes, les groupes sionistes organisèrent un réseau de quelques quarante camps et centres agricoles à travers l’Allemagne, où de futurs colons furent entraînés pour leurs nouvelles vies en Palestine. Bien que les lois de Nuremberg interdisaient aux juifs d’utiliser le drapeau allemand, les juifs se virent garantir le droit d’utiliser la bannière nationale juive, bleue et blanche. Le drapeau qui serait un jour adopté par l’Etat d’Israël flotta sur les camps et les centres sionistes dans l’Allemagne d’Hitler.
Le service de sécurité de Himmler coopéra avec la Haganah, l’organisation militaire sioniste secrète en Palestine. L’agence SS rétribua financièrement le représentant de la Haganah, Feivel Polkes, pour ses informations sur la situation en Palestine et pour son aide dans l’organisation de l’immigration juive vers ce pays. [Feivel Polkes eut même une entrevue avec l'officier SS Adolf Eichmann, à Berlin le 26 février 1937, NDT.] Cependant, la Haganah était tenue informée des plans allemands par un espion qu’elle réussit à implanter dans le Quartier Général de la SS à Berlin. La collaboration Haganah-SS inclut même la livraison secrète d’armes allemandes aux colons juifs pour la lutte contre les Arabes de Palestine.
Après le déchaînement de violence et de destruction de la «Nuit de Cristal» en novembre 1938, [selon certains historiens, ce pogrom fut délibérément ordonné par Goebbels, jaloux du contrôle SS sur la politique d'émigration juive, NDT], la SS aida rapidement l’organisation sioniste à se remettre sur ses pieds et continuer son travail en Allemagne, quoique à présent sous un contrôle plus strict.
Restrictions officielles
L’appui allemand au sionisme n’était pas illimité. Les dirigeants du Gouvernement et du Parti étaient très conscients de la campagne continue menée par les puissantes communautés juives aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne et dans d’autres pays, pour mobiliser «leurs» gouvernements et leurs concitoyens contre l’Allemagne. Aussi longtemps que le judaïsme mondial resterait implacablement hostile à l’Allemagne national-socialiste, et aussi longtemps que la grande majorité des juifs dans le monde montrerait peu d’enthousiasme pour se réinstaller dans la «Terre promise» sioniste, un Etat juif souverain en Palestine ne «résoudrait» pas réellement la question juive internationale. Au contraire, résonnaient les dirigeants allemands, cela renforcerait immensément cette dangereuse campagne antiallemande. En conséquence, l’appui allemand au sionisme fut limité à un soutien pour un foyer juif en Palestine, sous contrôle britannique, pas pour un Etat juif souverain.
Un Etat juif en Palestine, déclara le Ministre [allemand] des Affaires Etrangères à des diplomates en juin 1937, ne serait pas dans l’intérêt de l’Allemagne parce qu’il ne serait pas capable d’absorber tous les juifs du monde, mais servirait seulement comme une base de puissance supplémentaire pour le judaïsme international, à peu près de la même manière que Moscou servait comme base pour le Communisme International. Reflétant un certain changement dans la ligne officielle, la presse allemande en 1937 exprima une bien plus grande sympathie pour la résistance arabe palestinienne aux ambitions sionistes, à un moment où la tension et le conflit entre les juifs et les Arabes en Palestine étaient croissants.
Une circulaire du Ministère des Affaires Etrangères du 22 juin 1937 avertissait qu’en dépit de l’appui à la colonisation juive en Palestine, «ce serait néanmoins une erreur de supposer que l’Allemagne soutenait la formation d’une structure d’état en Palestine sous quelque forme de contrôle juif. Au vu de l’agitation anti-allemande du judaïsme international, l’Allemagne ne peut pas approuver [l'idée] que la formation d’un Etat juif en Palestine aiderait le développement pacifique des nations du monde» (…) «La proclamation d’un Etat juif ou d’une Palestine administrée par les juifs», avertissait un mémorandum interne de la section des Affaires juives de la SS, «créerait pour l’Allemagne un nouvel ennemi, qui aurait une profonde influence sur les développements [politiques] au Proche-Orient». Une autre agence SS prédit qu’un Etat juif «travaillerait à apporter une protection spéciale aux minorités juives dans tous les pays, donnant par conséquent une protection légale à l’activité parasite du judaïsme mondial». En janvier 1939, le nouveau ministre des Affaires Etrangères de Hitler, Joachim von Ribbentropp, avertit de même dans une autre circulaire que «l’Allemagne devait considérer la formation d’un Etat juif comme dangereuse», parce que «cela apporterait un accroissement international à la puissance du judaïsme mondial».
Hitler lui-même revit personnellement toute cette question au début de 1938, et en dépit de son vieux scepticisme à propos des ambitions sionistes et de sa crainte que sa politique puisse contribuer à la formation d’un Etat juif, il décida de soutenir l’émigration juive en Palestine encore plus vigoureusement. La perspective de débarrasser l’Allemagne de ses juifs, conclut-il, pesait plus lourd que les dangers possibles.
Cependant, le gouvernement britannique imposa des restrictions encore plus drastiques à l’immigration juive en Palestine en 1937, 1938 et 1939. En réponse, le service de sécurité SS conclut une alliance secrète avec l’agence clandestine sioniste Mossad le-Aliya Bet pour introduire illégalement les juifs en Palestine. En résultat de cette collaboration intensive, plusieurs convois de bateaux réussirent à atteindre la Palestine malgré les bateaux de guerre britanniques. L’émigration juive, à la fois légale et illégale, [partant] d’Allemagne (incluant l’Autriche à partir de 1938) vers la Palestine, s’accrut dramatiquement en 1938 et 1939. Un autre départ de 10 000 juifs était programmé pour octobre 1939, mais le déclenchement de la guerre mit fin à cet effort. Malgré tout, les autorités allemandes continuèrent à soutenir l’émigration indirecte des juifs vers la Palestine en 1940 et 1941. Même aussi tard qu’en mars 1942, au moins un camp d’entraînement sioniste «kibboutz», officiellement autorisé pour les émigrants potentiels, continua à fonctionner dans l’Allemagne de Hitler.
L’Accord de Transfert
La pièce centrale de la coopération germano-sioniste pendant l’époque hitlérienne fut l’Accord de Transfert, un pacte qui permit à des dizaines de milliers de juifs allemands d’émigrer en Palestine avec leur fortune. L’Accord, également connu sous le nom de Haavara (mot hébreu pour «transfert»), fut conclu en août 1933 après des pourparlers entre des officiels allemands et Chaïm Arlosoroff, Secrétaire Politique de l’Agence juive, centre palestinien de l’Organisation sioniste Internationale.
Par cet arrangement inhabituel, chaque juif en partance pour la Palestine déposait de l’argent sur un compte spécial en Allemagne. L’argent était utilisé pour acheter du matériel agricole de fabrication allemande, des matériaux de construction, des pompes, des engrais, etc, qui étaient exportés en Palestine et vendus par la compagnie juive du Haavara à Tel-Aviv. L’argent des ventes était donné à l’émigrant juif à son arrivée en Palestine, avec un montant correspondant à son dépôt en Allemagne. Les marchandises allemandes se déversèrent sur la Palestine par l’intermédiaire du Haavara, qui fut complété peu de temps après par un accord de troc, par lequel des oranges de Palestine furent échangées contre du bois de construction, des automobiles, des machines agricoles, et d’autres marchandises allemandes. Ainsi l’Accord servit le projet sioniste d’amener des colons juifs et des capitaux en Palestine, tout en servant simultanément le but allemand de libérer le pays [allemand] d’un groupe étranger indésirable.
Les délégués du Congrès sioniste de Prague en 1933 débattirent vigoureusement des mérites de l’Accord. Certains craignaient que le pacte ne sape le boycott économique international des juifs contre l’Allemagne. Mais les officiels sionistes rassurèrent le Congrès. Sam Cohen, une figure-clé de l’Accord du Haavara, assura que l’Accord n’était pas économiquement avantageux pour l’Allemagne. Arthur Ruppin, un spécialiste de l’émigration de l’Organisation sioniste, qui avait aidé à négocier le pacte, souligna que «l’Accord de Transfert n’interférait en aucune manière avec le mouvement de boycott, car aucune nouvelle devise n’entrerait en Allemagne en résultat de l’Accord …». Le Congrès sioniste de 1935, qui eut lieu en Suisse, approuva massivement le pacte. En 1936, l’Agence juive (le gouvernement clandestin» sioniste en Palestine) prit le contrôle direct du Haavara, qui resta en vigueur jusqu’à ce que la Deuxième Guerre Mondiale oblige à l’abandonner.
Certains officiels allemands s’opposèrent à l’arrangement. Le Consul Général d’Allemagne à Jérusalem, Hans Döhle, par exemple, critiqua sévèrement l’Accord en plusieurs occasions pendant l’année 1937. Il souligna que cela coûtait à l’Allemagne les échanges extérieurs que les produits exportés en Palestine par le moyen du pacte, pourraient rapporter s’ils étaient vendus ailleurs. Le monopole du Haavara sur la vente de marchandises allemandes en Palestine par l’intermédiaire de l’Agence juive mécontentait naturellement les hommes d’affaires allemands, ainsi que les Arabes. L’appui officiel allemand au sionisme pouvait conduire à perdre des marchés dans le monde arabe. Le gouvernement britannique était aussi mécontent de l’arrangement. Un bulletin interne du Ministère allemand des Affaires Etrangères en juin 1937 faisait allusion aux «sacrifices des échanges extérieurs» qui résultaient du Haavara.
Un mémorandum interne de décembre 1937 du Ministère allemand de l’Intérieur revoyait l’impact de l’Accord de Transfert : «Il n’y a pas de doute que l’arrangement du Haavara a contribué très significativement au développement très rapide de la Palestine depuis 1933. L’Accord n’a pas seulement fourni la plus grande source d’argent (depuis l’Allemagne !), mais aussi le groupe d’immigrants le plus intelligent, et finalement il a apporté au pays les machines et les produits industriels essentiels pour son développement ». Le principal avantage du pacte, disait le mémorandum, était l’émigration de groupes importants de juifs en Palestine, l’objectif le plus désirable du point de vue de l’Allemagne. Mais le rapport notait aussi les importants inconvénients soulignés par le Consul Döhle et par d’autres. Le Ministre de l’Intérieur, continuait le texte, avait conclu que les désavantages de l’Accord dépassaient à présent les avantages, et que par conséquent, il fallait y mettre fin.
Un seul homme pouvait résoudre la controverse. Hitler revit personnellement cette politique en juillet et septembre 1937, et à nouveau en janvier 1938, et à chaque fois décida de maintenir l’arrangement du Haavara.
L’objectif de libérer l’Allemagne de la présence des juifs, conclut-il, justifiait les inconvénients.
Le Ministère de l’Economie du Reich aida à organiser une autre compagnie de transfert, l’Agence d’Investissement et de Commerce International, ou Intria, par laquelle les juifs des pays étrangers pouvaient aider les juifs allemands à émigrer en Palestine. Presque 900 000 dollars furent finalement transférés aux juifs allemands en Palestine par l’intermédiaire de l’Intria. D’autres pays européens, impatients d’encourager l’émigration juive, conclurent des accords avec les sionistes, sur le modèle du Haavara. En 1937 la Pologne autorisa [la création de] la compagnie de transfert Halifin (mot hébreu pour «échange»). A la fin de l’été 1939, la Tchécoslovaquie, la Roumanie, la Hongrie et l’Italie avaient signé des arrangements similaires. Le déclenchement de la guerre en septembre 1939, empêcha cependant la mise en oeuvre à grande échelle de ces accords.
Les réalisations du Haavara
Entre 1933 et 1941, quelques 60 000 juifs allemands émigrèrent en Palestine avec l’aide du Haavara et d’autres arrangements germano-sionistes, c’est-à-dire à peu près 10% de la population juive de l’Allemagne de 1933. (Ces juifs allemands formaient environ 15% de la population juive de Palestine en 1939.) Certains émigrants du Haavara transférèrent des fortunes personnelles considérables de l’Allemagne vers la Palestine. Comme l’a noté l’historien juif Edwin Black : «Beaucoup de ces gens, spécialement à la fin des années 30, purent transférer de véritables répliques de leurs maisons et de leurs usines, c’est-à-dire refaire leur vie presque à l’identique».
Le montant total de l’argent transféré d’Allemagne en Palestine par le Haavara entre août 1933 et la fin de 1939 fut de 8,1 millions de livres, soit 139,57 millions de marks allemands (ou l’équivalent de plus de 40 millions de dollars).
Ce montant incluait 33,9 millions de marks allemands (13,8 millions de dollars) fournis par la Reichsbank en application de l’Accord.
L’historien Edwin Black a estimé que 70 millions de dollars supplémentaires ont pu être transférés en Palestine par des accords commerciaux corollaires avec l’Allemagne, et des transactions bancaires
internationales. Les fonds allemands eurent un impact majeur sur un pays aussi sous-développé que l’était la Palestine dans les années 30, remarque-t-il.
Plusieurs entreprises industrielles majeures furent créées avec les capitaux venant d’Allemagne, incluant les entreprises de canalisations «Mekoroth» et de textile «Lodzia». L’afflux des produits et des capitaux du Haavara, conclut Edwin Black, «produisit une explosion économique en Palestine juive» et fut «un facteur indispensable dans la création de l’Etat d’Israël».
L’Accord du Haavara contribua grandement au développement juif en Palestine, et ainsi, indirectement, à la fondation de l’Etat d’Israël. Un bulletin de janvier 1939 du Ministère allemand des Affaires Etrangères rapportait, avec quelque inquiétude, que «le transfert de propriétés juives en-dehors d’Allemagne [par l'Accord du Haavara] contribuait d’une manière non négligeable à la construction d’un Etat juif en Palestine».
D’anciens officiels de la compagnie du Haavara en Palestine confirmèrent ces vues dans une étude détaillée de l’Accord de Transfert, publiée en 1972 :
«L’activité économique rendue possible par l’afflux de capitaux allemands et les transferts du Haavara aux secteurs privé et public, furent de la plus grande importance pour le développement du pays. De nombreuses industries nouvelles et d’entreprises commerciales s’établirent en Palestine juive, et de nombreuses entreprises qui sont extrêmement importantes, encore aujourd’hui, pour l’économie de l’Etat d’Israël, doivent leur existence au Haavara». Le Dr Ludwig Pinner, un représentant du Haavara à Tel-Aviv pendant les années 30, commenta plus tard que les immigrants exceptionnellement compétents du Haavara «contribuèrent de manière décisive» au développement économique, social, culturel et éducatif de la communauté juive de Palestine.
L’Accord de Transfert fut l’exemple le plus extrême de la coopération entre l’Allemagne de Hitler et le sionisme international. Par cet accord, le Troisième Reich de Hitler fit plus que tout autre gouvernement pendant les années 30 pour soutenir le développement juif en Palestine.
Les sionistes proposent une alliance militaire avec Hitler
Au début de janvier 1941, une petite mais importante organisation sioniste soumit une proposition formelle aux diplomates allemands à Beyrouth, en vue d’une alliance politico- militaire avec l’Allemagne en guerre. La proposition fut faite par le groupe clandestin extrémiste «Combattants pour la Liberté d’Israël», plus connu sous le nom de Lekhi ou Groupe Stern. Son leader, Abraham Stern, avait récemment rompu avec le groupe nationaliste radical «Organisation Militaire Nationale» (Irgoun Zvai Leumi) à propos de l’attitude à tenir envers la Grande-Bretagne, qui avait efficacement interdit la poursuite de la colonisation juive en Palestine. Stern considérait la Grande-Bretagne comme l’ennemi principal du sionisme.
Cette proposition sioniste proposition «pour la solution de la question juive en Europe et la participation active du NMO [Lekhi] à la guerre aux cotés de l’Allemagne» mérite d’être citée plus en détails :
Dans leurs discours et déclarations, les principaux dirigeants de l’Allemagne national-socialiste ont souvent souligné qu’un Ordre Nouveau en Europe requiert comme préalable une solution radicale de la question juive par l’évacuation («l’Europe libérée des juifs»).
L’évacuation des masses juives d’Europe est une condition préalable pour résoudre la question juive. Cependant, la seule manière de la réaliser totalement est l’installation de ces masses dans la patrie d’origine du peuple juif, la
Palestine, et par l’établissement d’un Etat juif dans ses limites historiques.
Le but de l’activité politique, et des années de combat du Mouvement pour la Liberté d’Israël, l’Organisation Militaire Nationale en Palestine (Irgoun Zvai Leumi), est de résoudre le problème juif de cette manière et ainsi de libérer complètement le peuple juif pour toujours.
Le NMO, qui connaît bien la bonne volonté du gouvernement du Reich allemand, et ses représentants, dans le cadre des activités sionistes en Allemagne et du programme sioniste d’émigration, est d’avis que :
1. Des intérêts communs peuvent exister entre un Ordre Nouveau européen basé sur le concept allemand et les véritables aspirations nationales du peuple juif, telles qu’incarnées par le NMO.
2. La coopération est possible entre la Nouvelle Allemagne et une Judaïté («Hebräertum») nationale-populaire rénovée.
3. L’établissement de l’Etat juif historique sur une base nationale et totalitaire, et lié par traité au Reich allemand, serait dans l’intérêt du maintien et du renforcement futur de la position et de la puissance de l’Allemagne au
Proche-Orient.
Sur la base de ces considérations, et à la condition que le gouvernement du Reich allemand reconnaisse les aspirations nationales du Mouvement pour la Liberté d’Israël, mentionnées ci-dessus, le NMO en Palestine propose de prendre part activement à la guerre aux côtés de l’Allemagne.
Cette proposition du NMO pourrait inclure une activité militaire, politique, et de renseignement à l’intérieur de la Palestine, et après certaines mesures organisationnelles, également en-dehors. En parallèle, les hommes juifs d’Europe seraient entraînés militairement et organisés dans des unités militaires sous la direction et le commandement du NMO. Ils prendraient part à des opérations de combat dans le but de conquérir la Palestine, si un tel front devait s’ouvrir.
La participation indirecte du Mouvement pour la Liberté d’Israël à l’Ordre Nouveau en Europe, déjà dans la phase préparatoire, combinée avec une solution radicalement positive du problème juif européen, sur la base des aspirations nationales, mentionnées ci-dessus, du peuple juif, renforcerait grandement le fondement moral de l’Ordre Nouveau aux yeux de toute l’humanité.
La coopération du Mouvement pour la Liberté d’Israël serait aussi en Accord avec un récent discours du Chancelier du Reich allemand, dans lequel Hitler assurait qu’il utiliserait toute combinaison et coalition pour isoler et vaincre l’Angleterre.
Il n’existe pas de traces d’une réponse allemande. Une acceptation était très improbable de toute manière, parce qu’à ce moment la politique allemande était résolument pro-arabe. Il est remarquable que le Groupe Stern chercha à conclure un pacte avec le Troisième Reich à une époque où des bruits selon lesquels Hitler préparait l’extermination des juifs, étaient déjà largement en circulation.
Apparemment, soit Abraham Stern ne crut pas à ces bruits, soit il voulait collaborer avec l’ennemi mortel de son peuple pour aider à la formation d’un Etat juif.
Yitzhak Shamir
Un membre important du Lekhi à l’époque où le Groupe fit cette proposition était Yitzhak Shamir, qui plus tard devint Ministre des Affaires Etrangères d’Israël, et ensuite pendant les années 80 et jusqu’en juin 1992, Premier Ministre.
En tant que chef des opérations du Lekhi, après la mort de Stern en 1942 [tué par l'Armée britannique, NDT], Shamir organisa de nombreuses actions terroristes, incluant l’assassinat du Ministre britannique du Moyen-Orient, Lord Moyne, en novembre 1944, et le meurtre du médiateur suédois des Nations Unies, le comte Bernadotte, en septembre 1948.
Des années plus tard, lorsque Shamir fut interrogé sur la proposition [faite aux Allemands] de 1941, il confirma qu’il était au courant de la proposition d’alliance faite par son organisation, avec l’Allemagne en guerre.
Conclusion
En dépit de l’hostilité fondamentale entre le régime de Hitler et le judaïsme international, pendant plusieurs années les intérêts des sionistes juifs et des Nationaux-socialistes allemands coïncidèrent. En collaborant avec les sionistes en vue d’une solution humaine et mutuellement désirable à un problème complexe, le Troisième Reich consentait à sacrifier des échanges extérieurs, à détériorer ses relations avec la Grande-Bretagne, et à mécontenter les Arabes. En effet, durant les années 30 aucune nation ne fit plus que l’Allemagne de Hitler en faveur des objectifs lointains des sionistes juifs !
Encore une partie de l’histoire qui bien entendu n’est pas dans les livres scolaires, ni même diffusée dans les merdias… Pourquoi ?
Personnellement j’ai ma petite idée… et si vous désirez la suite, ce sera très prochainement avec mon livre « J’accuse Z »
Source; Chez Mutien
akasha
Messages : 6833 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Le judaïsme et l’invention du racisme culturel Lun 10 Mar 2014 - 10:49
Bonjour tout le monde
après vous avoir proposé ses deux articles que vous devez vraiment lire si vous voulez une bonne compréhension du sionisme, de sa création et de ses liens indubitable avec d'autres idéologies non moins recommandable et surtout dont presque tous ignore....Et pour cause !
Je vais donc cette foi-si, vous faire part de mon avis et ma propre vision sur se sujet, qui est issus de mes propres lectures et visionnage de reportages.
Avant de commencer je tiens à prévenir que par essence et selon ma vision du mode qui se veux unitaire et sans distinction entre les races, que je ne puis être antisémite. La programmation mentale est telle, Qu'il devient de plus en plus difficile de traiter de certains sujets sans susciter le tollé de certains. Beaucoup ne pense plus par eux même et en générale en arrive à accuser les autres de leurs propres dérives.
Aaah l'histoire et ses dogmes intouchables...Et il y en a un plus que d'autres, l' HOLOCAUSTE. Qui d'ailleurs est protéger par une loi (sic), la loi Fabius/Gayssot...Oui celui-là même qui fut fortement impliqué dans l'affaire du sang contaminé...Fabius est donc un meurtrier ! De plus qu'on m'explique pourquoi faire une loi pour se génocide plus que d'autres...Quand on sais que certains sont purement et simplement oublier ou inconnu. Comme le massacre des Chrétiens Ukrainiens par les juifs communistes connu sous le nom de holdomor...C'est 7.000.000 de morts...il faux savoir que derrière se génocide se sont des juifs marxistes sionistes. Et se n'est pas moi qui l'affirme, mais un juif de confession qui entend dénoncer toutes ses magouilles.
Donc venons-en à se qu'on appelle le révisionnisme dont souvent l'amalgame est fait avec négationnisme. Le révisionnisme est un terme qui vient de l'affaire Dreyfus, quand sont procès fut révisé. Depuis lors les amalgames autant médiatique que populaire ont été faite. Cependant pour moi, tout historiens qui se respecte se doit être révisionniste. Quand on sais la manipulation et tout les mensonges qui couvre nos livres d'histoires, dont certains fait sont érigé en véritable dogme. Il est un devoir de les lever ! Et celui qui nous occupe ici, tout particulièrement. Mais les masses sont tellement endoctriné sur se sujet, que directement on est le mal incarné quand on veux remettre en question certains fait..
Quand on sais déjà comment l'état d’Israël fut bâtit sur des mensonges. Que ceux qui l'on instauré et ceux qui y ont créé les colonie ne sont pas d'origine sémite, mais Ashkénaze. C'est déjà quelques chose...
Prenons tout d'abord par le début, la montée en puissance d'Hitler.
Quelles en ont été les causes principale de la montée en puissance d'Hitler ? Du déclenchement de la guerre a été UNE CRISE FINANCIERE ! et plus précisément la faillite de la banque Kreditanstalt en Autriche détenue par les Rothschild.... Cette faillite a engendrée la faillite d'autres banques en Allemagne, Dont tout les épargnants ont perdus leur argent. La faute a été du coup rejetée sur le cartel bancaire Juif et Hitler a pu grâce a ça obtenir les pleins pouvoir (Ca vous rappel pas ce qui se passe actuellement !?).
Passons maintenant sur les chiffres, ou comment on les gonfle pour exagérer les faits;
Les chiffres réels du nombre de Juifs en Europe dans les années 40 divulgués dans des documents déclassifiés officiels du FBI reprenant les mémos du Dr Heller, président de la "Zionist Organization of America";
Donc je me pose la question, et je vous la pose, pourquoi avoir menti ?
Ici personne ne remetra en cause les crimes abominable commis par Hitler and CO pendant la seconde guerre mondiale... Donc pourquoi avoir menti sur le nombre et pourquoi mettre en avant les Juifs dans ces horreurs ? Hey bien tout simplement pour préparer l'Etat d’Israël, les illuminatis avaient besoin de créer un traumatisme mondial. Genre comme pour envahir l'Irak ils avaient besoin du 11 septembre. Il a fallut amplifier la chose et passer de massacre important, a génocide, puis crime contre l'humanité (mot inventé au procès de Nuremberg qui n'existait pas avant. Comme si avant il n'y avait jamais eu de crime contre l'humanité !). 40 millions d'indiens exterminés lors de la colonisation des Amériques !! Alors si là se n'est pas un crime contre l'humanité ! Refiler aux enfants des couvertures remplit de Tifus… C'est quoi ça ?C'est dégueulasse ! Envoyer du sang contaminé au HIV en Afrique alors qu'il (Laurent Fabius) le savait, si c'est pas dégueulasse ! Et bien en fait non... car pour eux il y a 2 sortes de crimes, le crime "politico-pratique" (la shoa pour la conquête des terres saintes), et le crime "utile" (diminution de la population mondiale)...
Une autre manipulation qu'il auront mis en place est d'établir une honte nationale des pays ayants participait à la déportation.
En vérité je pense qu'aucun peuple ne devrait porter la responsabilité des Élites de leur nation... Pendant la guerre beaucoup d'allemands on cachés des Juifs, il y avait des résistants et des merdeux dans toutes les nations, y compris dans la communauté Juive elle même. C'est d'une telle évidence ce que je vous dis la que je me demande bien comment certains on pu l'oublier....Donc toutes les nations et toutes les communautés ont des héros et aussi du sang sur les mains. Regardez bien; "La déportation des Juifs par l'UGIF" (ancêtre du CRIF), livre de Mauris RAJSFUS.
Cette "honte nationale" a donc permis de lever d'énormes quantités de fonds pour dédommager les victimes de la Shoa (les seules victimes a avoir été dédommagée du reste on se demande la encore pourquoi…), ma question, a t on demandé a Rothschild, Ford ou Boeing (financiers d'Hitler). De dédommager les victimes ? A t on demandé à l'UGIF de dédommager les victimes ?
Autre manipulation, empirer les faits pour empirer le traumatisme
A noter ces 2 citations de Theodor Herzl, fondateur du Sionisme :
"La persécution ne détruira pas le peuple Juif mais accomplira le contraire : il renforcera l'identité Juive". Lire; http://effondrements.wordpress.com/2012/06/26/il-ny-a-pas-de-pires-antisemites-que-les-sionistes/
"j’ai eu une idée formidable, attirer des antisémites honnêtes et les inciter à détruire les propriétés juives" Source; journal 1 d’Herzl page 68
En vérité les faits n'avaient nullement besoin d’être Gonflé. ils étaient déjà assez atroces comme ça non ? (comme dans toute guerre d'ailleurs). Tout le monde a entendu parlé de Robert Faurisson n'est-ce pas ? Un historien que Dieudonné avait fait monter sur scène lors d'un de ses spectacles et qui est considéré par tout l’establishment médiatique comme le diable en personne. Il est dit de cet homme que c'est un négationniste, ce qui est totalement faux puisque le négationnisme n'est pas légal en France il est puni par de la prison ferme et donc s'il l'était il serait en prison ! Meme sur wikipedia vous pouvez voir qu'ils le classe comme négationniste... Ce qui nous prouve a quel point wikipedia est un tissus d'âneries.. Enfin, bref… Bon comme la majorité des gens la première fois que j'ai entendu parler de Faurisson j'eus une réaction mitigé à son encontre. Puis j'ai surmonté ma programmation mentale Pour découvrir ses écrits et me faire ma propre opinion. Et j'ai découvert un autre aspect de l'histoire...Et je pense que toute personne sensée doté d'un cerveau et faisant l'effort de regarder qui est cet homme et ce qu'il dit (et ne dit pas), comprendra a quel point lui même a été pris pour un con et a quel point on nous a menti, sur certains aspects de la deuxième guerre mondiale...
Si vous voulez vous forger votre propre opinion, regardez la vidéo suivante et dites moi si je me goure.
"Un Homme" raconte l'histoire d'une vie de recherches sur la deuxième guerre mondiale et en particulier les Chambres a Gaz par Robert Faurisson.
En tout cas Orné et moi avons lu et regardé énormément de choses écrites ou dites par Faurisson, et je ne l'ai JAMAIS vu remettre en cause les massacres sur les Juifs ou les camps de concentration. Je défie quiconque de me prouver le contraire, peut-être que je me goure... mais je ne pense pas..Alors j'en demandrai la preuve, en tout cas moi je ne l'ai jamais trouvé. En fait j'ai trouvé tout le contraire !
Un autre film exceptionnel, d'un courage incroyable, l'interview de Roger Dommergue (Juif lui même)...Passez direct à la 9em min, vous allez voir;
Et voir aussi sur le financement de l'Etat d’Israël
Montons encore d'un cran ! Voyez le financement de l'Etat d’Israël en 1933 par Hitler Himself ! Cela s'appelait le "Contrat de Transfert". Encore une personne au courage exceptionnel qui a mené l’enquête et écrit ce livre est Juif....
Je me permet un petit rappel historique des faits (officiels quand on s'en donne les moyens de chercher !) Henry Ford (le fabricant de voitures américain) était un grand admirateur d'Hitler et un de ses principaux financiers, Boing (société américaine d'aviation) a quand à lui aussi fourni pendant la guerre un important appuis logistique a Hitler pour déplacer ses usines d'armement en Afrique. Quand à la banque Rothschild (Juif) elle a financée Hitler pendant la guerre et il a été après la guerre le principal financier de l'Etat d'Israel...
Voyons les raisons ensemble à présent;
Maintenant je vais vous expliquer l'envers du décors, ce que vous ne verrez jamais marqué dans aucun livre d'Histoire…
Tout d'abord il faut comprendre que l'Histoire est écrite par les vainqueurs et que dans toute guerre beaucoup d'informations sont classifiées "secret défense" puisque ces guerres sont menées par les plus grands menteurs de la planète; Des armées et des gouvernements.. Et bien sûr les Illuminatis qui sont derrière eux a tirer les ficelles.
Voila pourquoi il est primordial de laisser les historiens enquêter car avec le temps, des documents militaires sont déclassifiés, les langues se délies, la paix aidant les vaincus apportent leur version qui vient s'ajouter a celle des vainqueurs…
D'ailleurs quand on a un Grand secret a dissimuler (et beaucoup d'argent et de pouvoir). La seule solution pour dissimuler la vérité d’apparaître un jour est de légiférer un loi qui empêcherait toute remise en cause de la version officielle. Cette loi contre la vérité s'appel la loi Gayssot....
En effet, on peut se poser la question; Pourquoi interdire toute enquête par les historiens sur une période de l'Histoire si l'on a pas peur de la vérité ?
Que ce soit dans un camps comme dans l'autre, personne n'a intérêt a ce que ces vérités éclatent au grand jour...Car au final tout le monde a les mains sales ! Quand nous remontons a la source des 2 camps nous nous apercevons que retrouvons les même ! Les banques qui financent les 2 camps et les multinationales en charge de la reconstruction des dégâts causés par la guerre.
Les véritables raisons de la loi Gayssot est d’empêcher les gens de savoir qu'une des princi nouspales raisons de cette guerre était d’organiser et légitimer la création d'un Etat Illuminati (Israël). Munie d'une armée privée Illiminati (Le Mossad), le tout en partie payé par les contribuables européens des 2 camps. ACTION, REACTION, SOLUTION....
La deuxième raison était la dépopulation mondiale, priorité absolue des Illuminatis comme vous pouvez le voir sur les pierres du Georgia Guidestones.
Voyons ça de plus près;
Vous pouvez facilement observer que sur ces pierres figurent les Dix commandements des Illuminatis gravés sur les deux faces de 4 pierres érigées verticalement. Ils sont écrits en 8 langues différentes : l'anglais, le russe, l'hébreu, l'arabe, l'hindi, le chinois (mandarin), l'espagnol (castillan) et le swahili....
-Maintenez l'humanité en dessous de 500 000 000 individus en perpétuel équilibre avec la nature. -Guidez la reproduction intelligemment en améliorant la forme physique et la diversité. -Unissez l'humanité avec une nouvelle langue mondiale. -Traitez de la passion, de la foi, de la tradition et de toutes les autres choses avec modération. -Protégez les personnes et les nations avec des lois et des tribunaux équitables. -Laissez toutes les nations gérer leurs problèmes internes, et réglez les problèmes extra-nationaux devant un tribunal mondial. -Évitez les lois et les fonctionnaires inutiles. -Équilibrez les droits personnels et les devoirs sociaux. -Faites primer la vérité, la beauté, l'amour en recherchant l'harmonie avec l'infini. -Ne soyez pas un cancer sur la terre. Laissez de la place à la nature.
Donc du coup "la cause Juive" était donc le moyen le plus efficace pour créer cet Etat et cette armée Illuminati. Pour ceux qui ont encore un doute regardez cet article : http://stopmensonges.com/la-cour-supreme-disrael-siege-du-futur-nouveau-gouvernement-mondial-enfin-dans-leurs-reves/ L'histoire a été déformée et figée dans le marbre (loi Fabius/Gayssot), les mensonges ont été orchestrés dès la plus jeune enfance dans les manuels scolaires, créant une manipulation et un conditionnement insidieux ! Car les Illuminatis, propriétaires de tous les principaux médias nous ont bassinés pendant plus de 60 ans avec leurs émissions "mémorielles".
La bonté des humains a été utilisée pour couvrir leurs traces en faisant appel a nos sentiments, en provocant la peur, l'indignation face a l'horreur.
Même les meilleurs se seront fait bernés, manipulés et contrôlés.
N'oubliez jamais cette citation; ACTION, RÉACTION, SOLUTION
Pour terminer, j'ai envie de vous dire ceci;
L'Etat d'Israel n'a pas été créé pour les juifs (le peuple), mais bien pour des raisons économiques et militaires (les oligarchies et lobbys), pour les Élites mondiales qui eux sont à l'opposé de vos croyances religieuses.... Votre souffrance a été orchestrée par ceux là mêmes qui se sont fait passés pour les grands sauveurs de la cause Juive.... C'est la haine anti-juive qui a été et est toujours... Une nécessité pour le plan Illuminatis comme l'a clairement dit Theodor Herzl. Et cela aura permis la création de l'Etat d’Israël sur les terres palestiniennes et cet Etat permet d'installer la peur qui est LE MOYEN DE CONTROL (action réaction solution) et qui permet la continuité du financement militaro industriel.... A la tête des Illuminatis (mais pas que !) on retrouve Rothschild et Goldman Sachs… qui se font passer pour des Juifs mais qui n'ont jamais cru en Dieu et donc ne peuvent pas se revendiquer de confession juive, d'ailleurs ces gens ont perdu toute leur Humanité, comment pourriez vous les assimiler a vous ?!
Ceci étant dit, et je vous rassure, parmi les élites Illuminatis Vous trouverez aussi bien des Jésuites (chrétiens), des musulmans (Les Freres Musulmans, le Qatar et l'Arabie Saoudite), des chinois (la famille impériale), des rois et reines d'Europe et des Gaulois… Bref il y a de tout. Donc un moment il faut arrêtez de croire que vous êtes les seules visés acceptez que parmi votre communauté comme dans d'autres il y a un grand ménage a faire, arrêtez aussi de croire ce que les Sioniste cabalistes et talmudistes vous disent ! Bref refusez de servir ces maîtres du Nouvel Ordre Mondial ! Votre peur et votre sentiment d'appartenance communautaire ont été utilisés contre vous pour vous séparer et vous isoler afin faire de vous des faire valoir. Nous devons être unis pour combattre le mal absolu que représente ces Elite Illuminatis....
Se sera tous ensemble que nous pourions gagner cette bataille ! Contre le vrais mal incarné par se faux dieu, et ses entités méphitiques qui contrôle ses oligarchies et sociétés secrètes incarné par les illuminatis ! Ses élites qui veulent surtout pas que nous apprenions enfin la vérité...Cette vérité libératrice qui nous rapprocherait et nous apporterais une paix durable à l'humanité.
Alors je vous le demande, à vous Juifs, Musulmans, Chrétiens, Athés, Bouddhistes… que nous n'avons pas besoin d'un Etat car nous avons la Terre et elle survient a nos besoins ! Nous avons TOUS assez souffert et nous allons nous surpasser et aussi nous passer de la permission de ces élites et de ces gouvernements pour bâtir un monde nouveau, tourné vers le futur, l'amour, la spiritualité, la découverte de la véritable origine de l'humanité, et la découverte de l'espace ainsi que de nos frères extra terrestres.
Dernière édition par akasha le Lun 17 Mar 2014 - 15:45, édité 1 fois
akasha
Messages : 6833 Date d'inscription : 12/05/2013 Age : 39
Sujet: Re: Le judaïsme et l’invention du racisme culturel Mar 11 Mar 2014 - 9:51
Edit;Je viens de trouver un petit article agrémenté de vidéos, assez intéressant. de quoi compléter mon paragraphe sur l'aide apporté par Hitler imself à le création de l'états d’Israël !Voyons ensemble si vous le voulez bien, et n'hésitez pas à lire ma thèse
Accord Haavara: Hitler à aidé à fonder Israël avec les sionistes en 1933
Après avoir vu le rôle des jésuites et leur pape noir qui tire les ficelles(voir mes deux postes sur cette page), voyons un peu la liaison tabou entre le gouvernement sioniste d’Israël et le parti NAZI d'Hitler. Une liaison qui semble contre nature et pourtant...non seulement, les NAZIS ont ouvertement collaboré avec les sionistes mais il ont encouragé la migration de nombreux juifs allemands avec leurs biens vers la Palestine pendant plusieurs années (comme on le sait, les juifs non-sionistes ne connaîtront pas le même sort).
Cet accord a été scellé par ce qu'on appelle l'accord Haavara (ou "accord de transfert") signé le 25 Août 1933, soit à peine quelques mois après l'ascension d'Hitler au pouvoir. Comment ne pas voir que l'un et l'autre des partis savaient précisément ce qui allait advenir par la suite? La photo d'illustration représente Médaille commémorative de la visite de Goebbels en Palestine.
Pour approfondir le sujet, voici la seule et unique interview d'Edwin Black, écrivain juif américain auteur du livre "the Transfer Agreement" (synthèse du livre). Un homme à la recherche de ses origines qui a su aller au delà de ses à priori pour découvrir la vérité.
Pour les anglophones, voir également, les chapitres évoquant cette période dans le livre coup de poing "Vatican Assassins" (à partir de 488). Un livre qui remet notre histoire en perspective.
Publier par Fawkes News
Anonyme
Messages : 56 Date d'inscription : 28/11/2013 Age : 34
Sujet: Re: Le judaïsme et l’invention du racisme culturel Mar 11 Mar 2014 - 11:54
Nouvel Ordre Mondial et Nazisme
"Son origine expliquée par Eustace Mullins, journaliste, essayiste et auteur du livre "Les secrets de la réserve fédérale". La vérité implacable ou les faits n'ayant nullement besoin d'être protégée par des cerbères ou par des lois, pourquoi avoir peur de ceux qui la remettent en cause, pourquoi les diaboliser et les ostraciser ? Toutefois le simple bon sens, l'intuition, les faits passés et actuels, les évidences, de même que les nombreux recoupements qui sont maintenant possibles de faire suffisent pour remettre en cause les dogmes, les théories et les versions officielles, et ce, depuis des siècles jusqu'à aujourd'hui. Eustace Mullins évoque à un moment dans son interview très intéressante les Illuminati. Cette désignation d'Illuminati reste cependant nouvelle et ne daterait que de l'ère internet. De nombreux spécialistes la découvrirent. Ce qui pourrait indiquer que cette appellation ne sert qu'à préserver et à décharger des critiques une société secrète en difficulté en transférant les charges négatives adressées à son encontre vers une autre cible. D'ailleurs, si le mot Illuminati a été tapé de manière frénétique quelque temps sur les moteurs de recherche, plus personne ne s'y intéresse. La vérité étant que les véritables Illuminés ne peuvent être en aucun cas des puissances financières, guerrières et dominatrices. Mais l'inversion est une stratégie. Le but étant d'éloigner et de faire détester tout ce qui pourrait briser le voile de l'obscurantisme. Tout comme rien ne prouve à ce jour le côté diabolique des monarques européens et de leurs familles. Cependant leur infiltration oui."
"L'oligarchie et le sionisme" à écouter
orné
Messages : 5072 Date d'inscription : 11/06/2012 Age : 51 Localisation : UNIFIÉS CORPS, ÂME, MENTAL. LA TRINITÉ PARFAITE QUI REGARDE DANS LA MÊME DIRECTION, NE SE COMBAT PLUS MAIS RESTE SOLIDAIRE
Sujet: Re: Le judaïsme et l’invention du racisme culturel Jeu 13 Mar 2014 - 8:47
Voici un reportage pour compléter la thèse de akasha (sourire)
Vingt ans après l'adoption de la loi Gayssot, de nombreux historiens, philosophes, hommes politiques de tous bords, dénoncent les dérives qu'elle a engendrées. La « mère de toutes les lois mémorielles », votée en 1990, pénalise la contestation de l'existence des crimes contre l'humanité, tels que définis par le Tribunal de Nuremberg. Présentée à l'époque comme un rempart contre l'antisémitisme, son bilan est pourtant aujourd'hui désastreux : atteintes aux libertés, concurrence génocidaire, surenchère victimaire, renouveaux identitaires et racistes, gigantesques détournements financiers. Au plan international, le verrou idéologique institutionnalisé par la loi Gayssot participe également à justifier les guerres coloniales de ces dernières années et à couvrir la politique d'Israël d'une caution inoxydable.
Un film documentaire de Béatrice Pignède
L'Oligarchie et le Sionisme - Israel [DOCUMENTAIRE COMPLET ENTIER]
DIFFAMATION - L'endoctrinement des Juifs et l'arnaque de l'Antisémitisme [REPORTAGE COMPLET ENTIER]
Voici des excellents reportages pour ceux et celles qui aurait encore un peu de mal à définir le sionisme. D'ailleurs le sujet est là pour ça. lisez-le en entier (sourire)
Le « Nouvel Ordre Mondial » est-il un projet récent comme nous le relatent les médias mainstreams, ou s'inspire-t-il de visées beaucoup plus anciennes ? Quels sont notamment ses liens avec le sionisme et les restaurationistes chrétiens dès le XVIIème siècle, qui expliquent pour beaucoup l'osmose actuelle entre Israël et les Etats-Unis ?
Ce film s'attache à retracer le projet de cette oligarchie mondialiste qui a confisqué la démocratie et la souveraineté des peuples au profit d'une caste, en posant la question de ses origines et de ses réseaux -lobbies- mais en s'attachant surtout à en montrer les failles. C’est par un jeu de provocations et de contre-provocations à répétition que l’oligarchie financière veut noyer le monde dans le chaos, le sang et la guerre. Cela aidera à détourner l’attention de la faillite gravissime de leur système et à museler toute remise en cause qui changerait la donne.
Loin d'une vision fataliste et omnipotente de ces banksters, ce documentaire montre leur échec non seulement moral mais idéologique et stratégique, ouvrant des pistes vers un équilibre mondial plus juste et déjà en construction.
Aegis
Messages : 3107 Date d'inscription : 27/08/2012 Age : 40
Sujet: Re: Le judaïsme et l’invention du racisme culturel Jeu 13 Mar 2014 - 14:50
Est-ce que tu veux bien résumer en peu de mots ce qu'est le racisme culturel ?
orné
Messages : 5072 Date d'inscription : 11/06/2012 Age : 51 Localisation : UNIFIÉS CORPS, ÂME, MENTAL. LA TRINITÉ PARFAITE QUI REGARDE DANS LA MÊME DIRECTION, NE SE COMBAT PLUS MAIS RESTE SOLIDAIRE
Sujet: Re: Le judaïsme et l’invention du racisme culturel Ven 14 Mar 2014 - 8:10
Oui volontiers, bien que se ne sois pas évident vu que c'est expliquer sur plusieurs textes assez long, qui eut même sont issus du livre de André Gaillard :
Cela explique qu'il y a au fait deux forme de racisme l'un étant exclusivement un étant universelle, et génétique inhérent à la nature humaine, quand à l'autre d'apport culturel est issus essentiellement des sphères du judaïsme. démontrant que les juifs sont les héritiers direct de cette forme de racisme ainsi que les non juifs. Qui au contact de cette culture peuvent en être soit les victimes ou les acteurs..
Je peux pas faire plus court (sourire). Si tu désire que je développe sur tels ou tels points, n'hésite pas.
Sinon moi aussi j'ai une question, que penses-tu de la filiation (qui est une filiation d'intérêt) entre le nazisme et le sionisme tel qu'il a été développé dans la thèse de akasha ?
orné
Messages : 5072 Date d'inscription : 11/06/2012 Age : 51 Localisation : UNIFIÉS CORPS, ÂME, MENTAL. LA TRINITÉ PARFAITE QUI REGARDE DANS LA MÊME DIRECTION, NE SE COMBAT PLUS MAIS RESTE SOLIDAIRE
Sujet: Re: Le judaïsme et l’invention du racisme culturel Dim 4 Mai 2014 - 5:53
Bonjour, A l'heure où on nous rabâche les oreilles sans cesse avec l'antisémitisme cette forme de racisme totalement instrumentalisé. il est opportun de rappeler d'où viens historiquement le racisme. pour se faire le texte (et sa suite qui y est proposé) de l'intitulé du sujet, est un bon moyens de le comprendre. en attendant, voici quelques rappel pratiques pour ne pas se laissé berné et conditionné à son tour par cette propagande agressive auquel nous assistons en se moment. D'autres textes suivront. (ma secrétaire akasha s'en chargera (rires))
Les Sionistes approuvent l’Antisémitisme
Publié par Henrymakow le novembre 4, 2012 dans Articles, Sionisme
L’antisémitisme se référerait à un préjugé racial contre les Juifs. Maintenant la «haine» est un mot de code pour autre chose : l’opposition au Sionisme, un programme politique que même beaucoup de Juifs trouvent répugnant.
En assimilant l’opposition au sionisme à de la «haine», le judaïsme a donné la permission à chacun d’être antisémite.
En Russie Soviétique, l’antisémitisme était considéré comme «contre-révolutionnaire» et sévèrement punis. De même, l’antisémitisme est aujourd’hui un crime politique dans l’Occident parce qu’il va à l’encontre du Nouvel Ordre Mondial Sioniste.
Par exemple, une journaliste de Winnipeg, Leslie Hughes, a été forcée d’abandonner sa candidature en tant que libérale dans l’élection de 2008 pour avoir fait une remarque sur la prescience israélienne lors de l’attaque du 11/09 dans un article de 2003. Elle citait un journal israélien. Elle donnait des cours sur la tolérance et n’avait pas de sentiments d’hostilité contre les Juifs. Son crime était politique. Elle apprit la nouvelle alors qu’elle était en pleine prospection dans sa circonscription.
Elle a déposé une plainte contre le Congrès Juif Canadien et le Parti Libéral.
Mon écriture met en garde les Juifs, ils sont utilisés pour faire progresser le plan des banquiers centraux pour la dictature du gouvernement mondial. Je tiens à souligner que chaque nation, religion et organisation importante, sont également utilisées.
Néanmoins, le Congrès Juif Canadien m’accuse de «haine contre les Juifs» et veut supprimer mes écrits. L’absurdité d’accuser d’antisémitisme le fils de survivants de l’holocauste souligne la véritable nature «contre-révolutionnaire» de mon crime.
VOUS ÊTES UN ANTISÉMITE SI…
Le révérend Ted Pike extrapole à partir de la «Loi sur l’examen global de lutte contre l’antisémitisme» de 2004 aux États-Unis pour définir le type d’activité politique qui est criminalisée. («Les véritables motifs derrière le Département Global de l’Antisémitisme»)
1. Toute affirmation «que la communauté juive contrôle le gouvernement, les médias, les entreprises internationales et le monde financier» est antisémite.
2. «De forts sentiments anti-israélien» font de vous un antisémite.
3. Les «critiques virulentes» des dirigeants israéliens, passés ou présents, sont antisémites.
4. La critique de la religion juive, de ses dirigeants religieux ou de ses écrits (en particulier le Talmud et la Kabbale) est antisémite.
5. Le fait de critiquer le Gouvernement et le Congrès américain comme étant sous l’influence indue de la communauté Juive-Sioniste (y compris l’AIPAC) est antisémite.
6. La critique de la communauté Juive-Sioniste pour leur promotion de la mondialisation (le "Nouvel Ordre Mondial") est antisémite.
7. Blâmer les dirigeants juifs et leurs partisans pour avoir incité à la crucifixion romaine du Christ est antisémite.
8. La diminution du nombre des "six millions" de victimes de l’Holocauste est antisémite.
9. Appeler Israël un état «raciste» est antisémite.
10. Affirmer qu’un «complot Sioniste» existe est antisémite.
11. Prétendre que les Juifs et leurs dirigeants ont créé la Révolution Bolchévique en Russie est antisémite.
12. Proférer des «déclarations désobligeantes sur les personnes juives» est antisémite.
13. Nier le droit de la plupart des Juifs athées de réoccuper la Palestine est antisémite.
14. Alléguer que le Mossad était derrière l’attaque du 11/09 est antisémite.
Essentiellement, si vous croyez en la vérité et la justice, vous êtes un antisémite. Si vous croyez en la liberté d’expression, au libre examen et dans le processus démocratique, vous êtes un antisémite. Si vous vous opposez à la tyrannie, la corruption et l’assassinat, vous êtes un antisémite.
Si vous n’êtes pas un antisémite, vous êtes au mieux mal informé, et au pire un vendu.
En fin de compte, le Nouvel Ordre Mondial transformera 90% de la population mondiale et au moins 50% des juifs en antisémites. Est-ce le véritable ordre du jour? De détourner le blâme loin des banksters centraux et de leurs séides francs-maçons non-juifs?
LA SYNAGOGUE DE SATAN
L’ouvrage d’Andrew Hitchcock «La Synagogue de Satan» est une chronologie convaincante du rôle juif dans la conspiration satanique des banquiers centraux, c’est à dire Le Nouvel Ordre Mondial. Avec mon propre livre Illuminati, il fournit une excellente introduction au sujet.
Le seul inconvénient c’est qu’Hitchcock ne fournit pas toutes les références. Par exemple, il cite la liste ci-dessus trouvée sur internet sans faire mention du révérend Pike. Néanmoins, les sources d’Hitchcock peuvent être vérifiées en ligne.
J’ai été impressionné par la quantité de nouvelles informations et la profondeur de vue que j’y ai trouvé. Hitchcock explique comment la «nationalisation» de la Banque d’Angleterre de 1946 fut un tour de passe-passe. Il fournit de nouvelles informations sur l’art de la création monétaire. Il explique avec lucidité l’importance des lois Noahides.
Vous lisez ce livre avec une fureur croissante en voyant le degré de cruauté, de criminalité et de chutzpah de certains juifs. Ces Juifs ne sont pas le peuple élu de Dieu, mais de Satan, une question qui devrait être une préoccupation pour les autres Juifs qui se sont rendus coupables la plupart du temps de naïveté, de complaisance, de conformisme, de lâcheté et d’opportunisme. La même chose peut être dite des Américains et des Canadiens qui soutiennent les crimes de guerre en Afghanistan par leurs impôts.
Hitchcock cite Werner Sombart déclarant qu’à partir de 1820, il n’y eut plus «qu’un seul pouvoir en Europe, celui de Rothschild.» Il déclare que le capitalisme moderne et l’américanisme ne sont rien d’autre que «l’esprit juif distillé.»
CONCLUSION
Les Sionistes étiquètent tout le monde comme antisémite parce que l’antisémitisme est leur gagne-pain.
Les Juifs nourrissent la fausse idée naïve que le Sionisme est là pour les protéger de l’antisémitisme. En fait, le Sionisme est là pour créer l’antisémitisme, afin de forcer les Juifs à mener à bien l’agenda des Illuminatis, c’est à dire le gouvernement mondial des banquiers centraux. L’objectif du Sionisme est de faire des Juifs des parias, afin de mieux les utiliser.
Le Sionisme est la principale source de l’antisémitisme dans le monde d’aujourd’hui mettant en péril tous les Juifs qu’ils prétendent représenter. Imaginez si les Illuminati décidaient de faire des Juifs leurs boucs émissaires. Imaginez si un jour ils révélaient le rôle du Mossad dans le 11/09. Imaginez si la vérité se répandait : «les Juifs ont provoqué le 11/09.» Nous pourrions avoir des pogroms en Amérique. Pourtant, de nombreux Juifs, qui n’avaient rien à voir avec le 11/09, en soutenant obstinément Israël, en souffriront.
Israël est le fief privé des Rothschild ; leur armée privée, leurs services secrets et leur arsenal nucléaire. Tous ces éléments sont utilisés pour faire avancer l’ordre du jour Rothschild d’un gouvernement mondial. A l’avenir, les Juifs Sionistes et leurs partisans auront beaucoup «d’explications à fournir.»
_____________________________________
Dernière édition par orné le Mer 8 Oct 2014 - 17:25, édité 1 fois
orné
Messages : 5072 Date d'inscription : 11/06/2012 Age : 51 Localisation : UNIFIÉS CORPS, ÂME, MENTAL. LA TRINITÉ PARFAITE QUI REGARDE DANS LA MÊME DIRECTION, NE SE COMBAT PLUS MAIS RESTE SOLIDAIRE
Sujet: Re: Le judaïsme et l’invention du racisme culturel Mer 9 Juil 2014 - 9:09
Bonjour, Voici que quoi étayer se très bon article faisant office d'intitulé de sujet (avec sa suite en page un). Qui je rappel est à lire pour qui aimerait comprendre leur schéma de pensée envers le "non juif". Cela explique aussi d'où est originaire la racine même du racisme. Après avoir bien compris cette mécanisme, on est à même de vraiment comprendre se qu'il se passe par-exemple en France et surtout en Israël qui de bien entendu leur comportement envers les palestiniens est condamnable. Mais peut-être certains d'entre-vous ne le savent pas, se comporte de la même manière envers les autres ethnie. Les soudanais et les éthiopiens en majorité. Cela nous permet aussi de par cette lecture, de comprendre toute leur mécanique de défense, et celle de toujours se poser en victime, afin de légitimer toute leur action. Voici donc divers vidéos exposant cet état de fait par des témoignages, ou d'une analyse de leur second livre le plus important après la torah, le talmud...
Interview de Carole Chaouat, présidente du B’nai B’rith
L’Ordre indépendant du B’nai B’rith (בני ברית, de l’hébreu : « Les fils de l’Alliance ») est la plus vieille organisation juive toujours en activité dans le monde. Calquée sur les organisations maçonniques, elle a été fondée à New York, le 13 octobre 1843, par douze personnes, dont Henry Jones et deux frères, juifs émigrés d’Allemagne, qui avaient appartenu à la Société des Frères (Brüder Bund) qui joua un certain rôle dans l’élaboration de la Première Internationale.
mon enfant frequente un(e) non juif(ve) par le Rav Dynovisz.flv
Question réponse : quelle attitude adopter si mon enfant fréquente un(e) non juif(ve) voire Dieu préserve s'y lie par un mariage mixte par le Rav Dynovisz
Qu'est ce que le talmud ?
Compilation d'extraits du Talmud dignes des heures les plus sombres de l'univers intersidéral^^
____________________________________
Dernière édition par orné le Mer 8 Oct 2014 - 17:28, édité 3 fois
orné
Messages : 5072 Date d'inscription : 11/06/2012 Age : 51 Localisation : UNIFIÉS CORPS, ÂME, MENTAL. LA TRINITÉ PARFAITE QUI REGARDE DANS LA MÊME DIRECTION, NE SE COMBAT PLUS MAIS RESTE SOLIDAIRE
Sujet: Re: Le judaïsme et l’invention du racisme culturel Dim 21 Sep 2014 - 6:48
Des Etudiants israéliens payés pour faire de la propagande sioniste sur internet
Une vidéo/traduction de stazzou
Depuis longtemps on sait que la CIA embauche des gens pour écrire des commentaires sur Youtube et autres, pour faire des fausses pages facebook etc… Depuis longtemps on sait que Wikipedia est infesté de propagande et de découpes sionistes qui ajoutent, modifient, déguisent la réalité comme ils savent si bien faire.
Maintenant une info sort comme quoi les étudiants israéliens peuvent se voir financer leurs études s'ils acceptent de faire ça pour le compte du chef terroriste Netanyahoo.
En fait, cette info ressemble à un os qu'on donne à ronger à un chien. Un peu comme le cas Edward Snowden qui, au final, n'a fait que rendre publique des choses que n'importe qui peut savoir, pour peu qu'il se donne la peine de lire autre chose que Rothschild magazine ou d'écouter autre chose que Rothschild radio.
_________________________________
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: Le judaïsme et l’invention du racisme culturel