"Il est déjà trop tard" : l'espèce humaine devrait s'éteindre ce siècle


Et s'il n'y avait plus rien à faire pour sauver l'humanité ? S'il était déjà trop tard ? The Australian rapporte une interview bien pessimiste du célèbre scientifique australien Frank Fenner. Pour lui, nous avons déjà scellé le destin de l'Humanité : dans moins de 100 ans, les sociétés humaines ne seront plus...

Dans une interview accordée au quotidien national The Australian, et publiée le 16 Juin 2010, Frank Fenner , professeur émérite de microbiologie à l'Université nationale australienne, prédit la disparition de l'Humanité dans les 100 prochaines années.

Ce mauvais augure pourrait prêter à sourire, mais le scientifique de 95 ans a une carrière impressionnante : Membre de l'Académie des sciences australienne et de la Royal Society, son travail a été récompensé par de nombreux prix et il est l'auteur de centaines de textes scientifiques. Il a notamment été impliqué dans la disparition du virus responsable de la variole et dans la lutte contre la surpopulation de lapins en Australie via l'introduction volontaire du virus de la myxomatose dans les années 50.

Officiellement en retraite depuis des dizaines d'années, ce scientifique renommé poursuit toujours ses travaux de recherche et ses écrits, en se déplaçant quotidiennement à l'institut de médecine John Curtin de l'Université nationale australienne, dont il fut directeur de 1967 à 1973.

Sa compréhension approfondie de l'évolution des espèces n'a jamais entamé sa fascination pour l'observation sur le terrain. Du niveau moléculaire aux planètes, Frank Fenner s'intéresse à tous les écosystèmes. Il a commencé à publier ses premières études environnementales au début des années 70 lorsque l'impact des sociétés humaines sur notre planète devenait problématique.

De quoi inspirer confiance, ou au moins de l'intérêt pour ses déclarations.

"Nous allons disparaître. Quoique nous fassions maintenant, il est trop tard"


Cette affirmation de Frank Fenner a de quoi inquiéter, d'autant plus qu'il ne s'agit pas d'une vision sur des millions d'années mais d'une prédiction pour le siècle en cours !

Pour Frank Fenner et d'autres scientifiques reconnus comme Paul Crutzen, prix Nobel de chimie, la Terre est entrée dans une nouvelle époque géologique, l'Anthropocène, depuis 1800 avec la révolution industrielle et l'exploitation massive des combustibles fossiles. Cette nouvelle époque géologique succéderait à l'Holocène débuté il y a dix mille ans. Bien que non officielle sur l'échelle des temps géologiques, l'Anthropocène a été admis dans la terminologie scientifique et correspond au moment où les Hommes ont pu rivaliser avec les forces de la nature dans la capacité à modifier l'écosystème de la Terre.

En effet, nos activités réchauffent le climat planétaire d'une ampleur aussi importante que les grands cycles naturels et nous entamons la sixième extinction massive de la biodiversité, avec une vitesse sans doute plus rapide encore que celle qui a conduit, il y a 65 millions d'années, à l'extinction des dinosaures suite à la chute d'un astéroïde, comme le souligne Eric Lambin, membre de l'Académie des sciences des Etats-Unis

L'explosion démographique en cause : "il y a déjà trop de monde"


A l'origine de ces déséquilibres planétaires qui menacent la survie même de l'Humanité, Frank Fenner incrimine l'explosion démographique et la "consommation effrénée".

Selon l'ONU, le nombre d'humains a dépassé les 7 milliards en 2011. Vu l'inertie de nos sociétés et décideurs politiques sur l'urgence et l'importance des mesures à prendre pour diminuer les émissions de gaz à effet de serre, Fenner demeure pessimiste : "Nous allons subir le même sort que les personnes sur l'île de Pâques. Le changement climatique ne fait que commencer. Mais nous pouvons déjà voir des changements remarquables dans la météo."

"Les Aborigènes nous ont montré qu'en l'absence de science et d'émissions de dioxyde de carbone responsables du réchauffement climatique, ils pouvaient survivre pendant 40 000 à 50 000 ans. Mais notre monde ne le peut pas. L'espèce humaine est susceptible de prendre le même chemin que beaucoup d'espèces que nous avons déjà vu disparaître." déclare t-il dans son interview.

"Homo sapiens devrait disparaître, peut-être dans 100 ans", dit-il. "Un grand nombre d'autres animaux également. C'est une situation irréversible. Je pense qu'il est trop tard. J'essaie de ne pas trop le dire car il y a des gens qui essaient de faire changer les choses. Les efforts de réduction ralentissent un peu les choses, mais il y a déjà trop de monde [sur Terre]" ajoute-t-il.

L'explosion démographique et ses corollaires : la boulimie énergétique, productiviste et consumériste mènent l'humanité à sa perte. Ce constat, tabou, est pourtant de plus en plus partagé par certains scientifiques et de plus en plus évoqué, mais étouffé par les sceptiques sur le changement climatique et une partie des personnes croyantes pour qui la reproduction est une recommandation divine, souligne Frank Fenner.

Un peu d'optimisme avant le naufrage de l'Humanité ?


Stephen Boyden, collègue et ami de Fenner, pense qu'il y a un profond pessimisme chez certains écologistes, mais que d'autres sont plus optimistes : "Frank a peut-être raison, mais certains d'entre nous nourrissent encore l'espoir que la situation entraînera une prise de conscience et, par conséquent, les changements révolutionnaires nécessaires pour atteindre la durabilité écologique". Malheureusement, cette prise de conscience radicale, tant attendue depuis des années, ne se manifeste pas ou de manière marginale.

Stephen Boyden ajoute : "C'est là que Frank et moi sommes différents. Nous sommes tous deux conscients de la gravité de la situation, mais je n'accepte pas qu'il soit forcément trop tard. Bien qu'il y n'ait qu'une lueur d'espoir, cela vaut la peine de résoudre le problème. Nous avons la connaissance scientifique pour le faire, mais nous n'avons pas la volonté politique."

A ce titre, Frank Fenner a ouvert le 23 juin 2010 le symposium "Healthy Climate, Planet and People" à l'Académie australienne des sciences. Cette conférence vise justement à combler le fossé entre la science et les politiques environnementales.

En conclusion de son interview, Frank Fenner, qui a pourtant eu l'honneur d'annoncer l'éradication mondiale de la variole à l'ONU en 1980, contemple avec dépit le chaos de l'espèce humaine au bord de l'extinction de masse : "Les petits enfants des générations actuelles vont être confrontés à un monde beaucoup plus difficile..."

Notes Franck Fenner est décédé le 21 novembre 2010

http://www.notre-planete.info/actualites/actu_2447_extinction_espece_humaine.php

source ; http://www.theaustralian.com.au/higher-education/frank-fenner-sees-no-hope-for-humans/story-e6frgcjx-1225880091722

akasha ,

Citation :

Dites vous avez quoi aujourd'hui à posté se genre d'informations douteuse ? Basé sur les peurs et le grand n'importe quoi   ?

INFORMATIONS DOUTEUSE  ?

voulez vous que Je faire une liste de toutes les informations COMPLETEMENT FAUSSE au sujet ,,,, chemtrails (faux traductions , brevets edite, erreurs de conversion , faux affirmations etc etc etc ) , ovnis ( des oiseaux , timelapse photo's ) ,  RFID implanter obligatoire , camp fema , Mitterand (faux citations de m. lepen) , etc etc etc  ,,  Franchement cela discrédite tout le sérieux du travail  sur se forum...Franchement je ne suis pas contente !!! C'est dédaigneux...Et fait offence à notre intelligence

Citation :

Osiris qu'est-ce qu'il te prend depuis plusieurs jours à posté se genre d'âneries ? Tu m'explique S.T.P !

Je ne pas a vous rendre des comptes , se Mr, a une opinion , comme toute le monde et si sa opinion vous vous  considere comme d'âneries ,,,, c'est votre opinion .


PS ;

Citation :

Basé sur les peurs et le grand n'importe quoi   ?

non ,,,,,,,,

Membre de l'Académie des sciences australienne et de la Royal Society, son travail a été récompensé par de nombreux prix et il est l'auteur de centaines de textes scientifiques. Il a notamment été impliqué dans la disparition du virus responsable de la variole et dans la lutte contre la surpopulation de lapins en Australie via l'introduction volontaire du virus de la myxomatose dans les années 50.

Officiellement en retraite depuis des dizaines d'années, ce scientifique renommé poursuit toujours ses travaux de recherche et ses écrits, en se déplaçant quotidiennement à l'institut de médecine John Curtin de l'Université nationale australienne, dont il fut directeur de 1967 à 1973.

Sa compréhension approfondie de l'évolution des espèces n'a jamais entamé sa fascination pour l'observation sur le terrain. Du niveau moléculaire aux planètes, Frank Fenner s'intéresse à tous les écosystèmes. Il a commencé à publier ses premières études environnementales au début des années 70 lorsque l'impact des sociétés humaines sur notre planète devenait problématique.

accepter le destin de l humanité , vous en vivré soulagé .

scorpion

Non mais faut être réaliste, l'extinction de notre espèce pourrait se faire bien avant 100 ans, selon ce qu'il se passe à Fukushima.

On est pas à l'abri non plus d'une troisième guerre mondiale nucléaire/bactériologique, du réveil de Yellowstone, d'un météorite venant s'inviter un peu violemment sur notre planète, d'un virus mortel ou de n'importe quel autre scénario d'extinction de masse.

Voilà, c'était mon message optimiste du jour.

Quoi !!!! cent ans !!! Ah !! non ; c' est trop long !!! J' ai raté la derniére catastrophe ; la j' ai préparé l' appareil photo et toutiquanti ..........tu ma sapé le moral !!!!

Bientôt le point de non retour pour le réchauffement climatique ?

Les scientifiques tirent la sonnette d’alarme : le monde serait sur le point de franchir un point de non retour et de vivre un réchauffement climatique aux effets irréversibles avec les tendances actuelles d’émissions de gaz à effet de serre.

Le monde est proche d’atteindre un point de non retour qui le fera devenir irréversiblement plus chaud, cette décennie étant cruciale pour limiter et contenir le réchauffement climatique, d’après ce qu’ont prévenu des scientifiques lundi.

Les estimations scientifiques diffèrent mais les températures du monde pourraient augmenter de 6°C d’ici 2100 si les émissions de gaz à effet de serre continuent à augmenter sans aucun contrôle, d’après un article du journal Nature.

Alors que les émissions augmentent, les scientifiques disent que le monde est sur le point d’atteindre un seuil au-delà duquel les effets sur le climat mondial seront irréversibles, tels que la fonte des calottes glaciaires polaires ou la disparition des forêts tropicales.


« C’est la décennie critique. Si nous ne faisons pas en sorte que les courbes s’inversent au cours de la décennie, nous allons dépasser les limites » a déclaré Will Steffen, directeur de l’Institut du Changement climatique pour l’Université Nationale Australienne, qui s’exprimait lors d’une conférence à Londres.

Malgré ce caractère d’urgence, un nouveau traité climatique mondial obligeant les principaux pollueurs mondiaux –tels que les Etats-Unis et la Chine- à réduire leurs émissions ne sera adopté qu’à partir de 2015, pour entrer en vigueur en 2020.

« Nous sommes à un tournant de grands changements » a déclaré Will Stephen. « Nous pouvons limiter l’augmentation des températures à deux degrés, ou dépasser le seuil au-delà duquel le système passe à un état beaucoup plus chaud ».

Pour les calottes glaciaires, de grands réfrigérateurs qui ralentissent le réchauffement de la planète, le point de non retour a probablement déjà été dépassé, d’après Will Steffen.

La calotte glaciaire Ouest Antarctique a diminué au cours des dix dernières années et la calotte glaciaire du Groenland a perdu environ 200 km3 par an depuis les années 1990.

La plupart des estimations climatiques sont d’accord pour dire que la forêt tropicale amazonienne deviendra plus sèche alors que la planète se réchauffera. La mort massive d’arbres liée à la sécheresse laisse penser que la forêt est au seuil d’un point de non retour, et qu’elle arrêtera bientôt d’absorber les émissions.

Près d’1,6 milliards de tonnes de dioxyde de carbone ont été rejetées en 2005 par la forêt tropicale, et 2,2 milliards de tonnes en 2010, contrebalançant dix années d’activité de puits carbone, d’après le scientifique.

L’un des seuils les plus inquiétants et méconnus est celui du pergélisol sibérien, qui stocke du carbone gelé dans le sol, loin de l’atmosphère.

« Il y a environ 1600 milliards de tonnes de dioxyde de carbone là-dedans, soit deux fois la quantité accumulée dans l’atmosphère aujourd’hui –et les latitudes élevées au nord connaissent le changement de température le plus important de la Planète » a-t-il indiqué.

Dans le pire des scénarios, 30 à 63 milliards de tonnes de carbone par an seraient relâchées d’ici 2040, augmentant à 232 à 380 milliards de tonnes d’ici 2100. On estime que la consommation de carburants fossiles est responsable de 10 milliards d’émissions de dioxyde de carbone chaque année actuellement.

L’augmentation de CO2 dans l’atmosphère a également acidifié les océans. Au cours des 200 dernières années, l’acidification des océans a eu lieu à une vitesse sans précédent depuis au moins 60 millions d’années, d’après Carol Turley du Laboratoire Marin de Plymouth.

Cela menace le développement des récifs de corail et pourrait conduire à l’extinction de certaines espèces d’ici plusieurs décennies, ainsi qu’à une augmentation du nombre de prédateurs.

Alors que les leaders scientifiques, politiques et environnementaux sont réunis actuellement pour une conférence à Londres sur le sujet, les opinions divergent quant aux actions à prendre d’ici la fin de la décennie.

Le professeur de la London School of Economics, Anthony Giddens, pense qu’il est favorable de se concentrer sur l’industrie des carburants fossiles, pour privilégier le développement des énergies renouvelables.

source ; http://www.actualites-news-environnement.com/28154-non-retour-rechauffement-climatique.html

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Changements climatiques: un point de non-retour

Selon les groupes environnementalistes du Québec, l'état de santé de la planète a atteint un point de non-retour, et les 190 pays réunis au Qatar doivent de toute urgence intervenir pour empêcher un désastre environnemental.

«On veut que les pays s'engagent de façon sérieuse dans la réduction des gaz à effet de serre, mais aussi qu'ils fournissent des ressources financières pour que les pays en voie de développement puissent s'adapter aux impacts du changement climatique», indique Steven Guilbeault, porte-parole d'Équiterre, qui se trouve actuellement à Doha.

M. Guilbeault ajoute qu'un bilan de santé publié par l'Organisation des Nations unies (ONU) il y a quelques semaines fait état de dangers environnementaux jamais vus auparavant. «Les efforts faits présentement sont largement insuffisants pour atteindre les objectifs que les pays s'étaient fixés à Copenhague.» Un réchauffement planétaire de 2 degrés Celsius avait été alors prédit, mais plusieurs études stipulent que la Terre se dirige plutôt vers une hausse de 4 degrés. «Il s'agit donc de deux fois plus que l'objectif fixé», déplore le représentant d'Équiterre.

Pour sa part, Patrick Bonin, responsable de la campagne Climat-Énergie à Greenpeace, explique que le retrait du Canada du protocole de Kyoto, l'année dernière, a été un coup dur, mais qu'il ne s'agit que d'un exemple parmi d'autres de la mauvaise volonté du gouvernement Harper. «Le Canada est rendu insignifiant sur la scène internationale, alors qu'on avait une influence dans le passé, dit-il. On est clairement isolés, désignés comme étant problématique, comme nuisant aux négociations internationales.»

Lorsque le protocole de Kyoto a été signé, en 1997, l'objectif était de diminuer considérablement les émissions de gaz à effet de serre par rapport à 1990. Au Canada, l'effet contraire s'est produit: toujours selon une étude de l'ONU, une hausse de 17% des émissions de CO2 y a été enregistrée depuis 1990.

Un triste constat, rappelle Steven Guilbeault, lorsqu'on compare le pays au Royaume-Uni, qui a réduit ses émissions de 23% pendant la même période. «La première période d'engagement du protocole de Kyoto prend fin le 31 décembre 2012. Il doit absolument être suivi d'une entente constructive pour la période 2013-2020, sans quoi les conséquences seraient désastreuses.»

source ; http://www.lapresse.ca/environnement/201212/03/01-4600381-changements-climatiques-un-point-de-non-retour.php

voulez vous en savoir plus ,,,,, (starship troopers )

http://www.actu-environnement.com/ae/news/rapport-opecst-courteau-pollutions-mediterranee-2030-12869.php4


http://www.scientificamerican.com/article/is-earth-nearing-environmental-tipping-point/

http://www.esrl.noaa.gov/research/events/seas/Feb2009/MacDonaldSEAS2009.pdf

http://www.taipeitimes.com/News/editorials/archives/2012/09/03/2003541826




source ; http://newscenter.berkeley.edu/2012/06/06/scientists-uncover-evidence-of-impending-tipping-point-for-earth/

ne vous trompez pas !!! nous sommes déjà dans les prémisses , et je ne pense pas un instant que terre mere ou autre fin , entendras 100 ans pour nous faire payé le prix fort ,je vous le garantie .
le changement c est maintenant , merde quand même !!!!!!!!!

scorpion

akasha a écrit:

Dites vous avez quoi aujourd'hui à posté se genre d'informations douteuse ? Basé sur les peurs et le grand n'importe quoi   ?

Franchement cela discrédite tout le sérieux du travail d'argumentations et d'informations que nous postons sur se forum...Franchement je ne suis pas contente !!! C'est dédaigneux...Et fait offence à notre intelligence   

Osiris qu'est-ce qu'il te prend depuis plusieurs jours à posté se genre d'âneries ? Tu m'explique S.T.P !   

Son message est sérieux au contraire, et ce scientifique Australien a tiré la sonnette d'alarme depuis un petit moment déjà, ce n'est pas du tout un hoax.
Ce qui est factice c'est de ne pas vouloir voir l'état du monde comme il est et de continuer à croire et à imaginer que tout va s'arranger et que la situation n'est pas si grave sans regarder ce qui se passe réellement. On le sait, ce n'est pas pour faire peur ni pour manipuler, c'est un conflit inutile, nous valons ce que nous valons, et nous n'avons plus beaucoup de temps, d'ailleurs, en vérité, il n'y a pas de survivants à la mort sur la planète terre. Disparaître en tant que race est ordinaire, c'est arrivé souvent dans l'histoire de l'univers, on doit s'ouvrir à Dieu et confier sa vie à Dieu, pourquoi ignorer ce qui se prépare ? Pour être conscient et conscient réellement...

Citation :

pourquoi ignorer ce qui se prépare ? Pour être conscient et conscient réellement...

Il y a toujours des observateurs, dans toutes les circonstances et même les plus dramatiques.

Ola,

D'un point de vue biblique ...c'est inévitable et voulu par "Dieu " lui même. Le pére céleste créateur mettant fin à cette humanité pervertie pour la remplacer par une autre plus conforme à sa volonté.
Why not ?
Cette fin du monde n' a rien du scénario impossible, loin s'en faut. Il me semble d'ailleurs que tout nous y conduit, prophéties "multiculturelles"y compris.
Dés lors il s'agit de bien considérer ces temps que nous avons à vivre pour en tirer le meilleur !
Savoir qu'il n'y en a plus pour longtemps, que tout ce qui est entrepris est voué à la destruction, que bientôt nous allons entrer dans un violent carnage, que notre mort est là, tout prés ... demande en contre partie , pour ne pas sombrer moralement dans une grande dépression, une adhésion à des valeurs, des croyances qui vont substituer à l'être mortel et corrompu que nous connaissons, un être nouveau, un nouvel Adam ...
Why not ?

C'est clair et sans contestation que là ce situe la différence entre les Hô, ceux qui sont croyant en une vie après la mort et les autres, qui n' y voient qu'une plongée vers le néant.
Quant ces temps seront là devant notre porte je pense que la différence entre les uns et les autres sera beaucoup plus visible et entrainera des actions différentes, aux antipodes l'une de l'autre

Passionnant la vie ? Encore bien plus que ça ...  
Bien à vous

 

Alfalfa a écrit:

Ola,

D'un point de vue biblique ...c'est inévitable et voulu par "Dieu " lui même. Le pére céleste créateur mettant fin à cette humanité pervertie pour la remplacer par une autre plus conforme à sa volonté.
Why not ?
Cette fin du monde n' a rien du scénario impossible, loin s'en faut. Il me semble d'ailleurs que tout nous y conduit, prophéties "multiculturelles"y compris.
Dés lors il s'agit de bien considérer ces temps que nous avons à vivre pour en tirer le meilleur !
Savoir qu'il n'y en a plus pour longtemps, que tout ce qui est entrepris est voué à la destruction, que bientôt nous allons entrer dans un violent carnage, que notre mort est là, tout prés ... demande en contre partie , pour ne pas sombrer moralement dans une grande dépression, une adhésion à des valeurs, des croyances qui vont substituer à l'être mortel et corrompu que nous connaissons, un être nouveau, un nouvel Adam  ...
Why not ?

C'est clair et sans contestation que là ce situe la différence entre les Hô, ceux qui sont croyant en une vie après la mort et les autres, qui n' y voient qu'une plongée vers le néant.
Quant ces temps seront là devant notre porte je pense que la différence entre les uns et les autres sera beaucoup plus visible et entrainera des actions différentes, aux antipodes l'une de l'autre

Passionnant la vie ? Encore bien plus que ça ...  
Bien à vous

Oui c'est passionnant parce qu'actuellement, on apprend énormément, et l'être humain est fondamentalement curieux, et nous avons tous profondément enfouie une vérité qui tend à vouloir briser nos limites psychiques et culturelles, nos traintrains, nos peurs... Oui c'est une période extraordinaire de l'histoire humaine que cette fin de cycle, c'est une ouverture vers le meilleur de nous ! Cet inconcevable Être qui jaillit de nos coeurs et de nos âmes est donné comme façon nouvelle et profonde d'exister. Les découvertes, les apprentissages nouveaux, les révélations, les mutations, tout un univers à découvrir, tout un travail empli de joie et d'humour, tout cela Dieu nous l'offre en fin de cycle ! C'est un avantage unique, à nous de ne pas louper le coche !  

Alan Weisman, l'auteur de best-seller 'Le Monde Sans Nous', dit la population entre dans la direction fausse pour nous permettre d'accomplir la durabilité écologique. Combien de gens la planète peut-elle soutenir ?

Dans "Le Monde Sans Nous", Alan Weisman a pris des lecteurs pour une galopade par la forêt primordiale brumeuse en Pologne et a fait des éclaboussures dans les eaux claires du gin pour regarder une les récifs de corail les plus lointains et intacts dans l'Océan Pacifique. En plus du marquage de quelques-uns des derniers endroits immaculés restants du monde, le best-seller s'est livré à une expérience de pensée : Si les êtres humains ont été subitement essuyés du visage de Terre, comment vite la nature dégénérerait-elle des villes avec la végétation, reconquerrait la terre et démontrerait sa résilience remarquable ? Pour les amants de nature, cet avenir fantasque a offert l'espoir et les images irrésistibles de Terre revenant à un endroit sauvage et heureux.

Maintenant, six ans plus tard, Weisman a produit une suite de sortes qui ajoute des humains en arrière dans l'équation. Et l'endroit ne semble pas si heureux.

Dans le "Compte à rebours : Notre Dernier, Meilleur Espoir pour d'un Avenir sur la Terre ? ", Weisman explique que la population entre dans la direction fausse — en ajoutant encore 1 million de personnes à la planète chaque les jours 41/2 — si nous voulons accomplir une apparence de durabilité écologique. C'est non seulement la croissance projetée de ce siècle à 11 milliards qui le dérange. Weisman est inquiété de comment 7 milliards d'entre nous tendent ici déjà des limites naturelles, de l'accumulation de gaz piégeant la chaleur dans l'atmosphère au déclin d'eau douce disponible.

"Nos nombres ont atteint un point où nous avons redéfini essentiellement le concept de péché original", écrit Weisman. "À partir de l'instant nous sommes nés, même les plus humbles parmi nous constitue les problèmes montants du monde ayant besoin de la nourriture, le bois à brûler et un toit, pour les démarreurs. Littéralement et au sens figuré, nous tous expirons CO2 et poussons d'autres espèces sur le bord."

Le thème du livre se concentre surtout sur la question écologique, combien de gens la Terre peut-elle soutenir sans fait de chavirer ? Ce n'est pas une nouvelle poursuite, évidemment. Les savants datant à Tertullian, au 2ème siècle Carthage, ont écrit d'une population regorgeant étant "pesant" au monde.

Weisman commence à définir une "population optimale" pour une Terre durable, celle qui équilibre les nombres humains totaux avec combien de chaque personne consomme. Autant que par habitant la consommation est inquiétée, il propose un style de vie européen comme quelque chose qui serait largement acceptable, mais pas quelque chose d'aussi intensif de l'énergie que vivant aux États-Unis ou aussi difficile que vivant dans la plupart de l'Afrique et de l'Asie.

Il ne spécifie pas une population prévue optimale, bien qu'il esquisse des calculs d'environ 20 ans par le biologiste de Stanford Paul Ehrlich et les collègues qui définissent le numéro à environ 2 milliards. Au lieu de cela Weisman soutient que nous devrions monter dans un sentier de réduire nos nombres ou subir le destin de la profusion de cerfs sur le Plateau Kaibab d'Arizona au nord du Grand Canyon qui est mort de faim à mort au cours des années 1920.

"Comme les cerfs Kaibab, chaque espèce dans l'histoire de biologie qui dépasse sa base de ressource subit un accident démographique — un accident quelquefois fatal pour les espèces entières", Weisman écrit." … Inévitablement – et, nous devons espérer, sans cruauté et nonviolemment — que les moyens renversant progressivement nos nombres. L'alternative laisse la nature – la nouvelle nature que nous avons créée involontairement dans notre propre image – le font pour nous." Une telle discussion lèvera certainement des protestations, du droit comme une autre fausse alarme dans la tradition de Thomas Robert Malthus et de la gauche pour se concentrer sur les grades en pleine expansion des pauvres au Sud global plutôt que réduire la consommation au Nord riche.

Un journaliste de l'environnement sérieux, Weisman appuie soigneusement ses assertions. Il a fait une révision de littérature massive, les scores interviewés d'experts et par son propre compte ont voyagé à 20 pays. Il va en Chine jeter un coup d'œil critique à la politique d'un enfant du régime totalitaire et en Iran pour louer un programme éclairé lancé par ayatollah Khomeini qui a apporté une énorme goutte volontaire dans les natalités en instruisant des femmes et en fournissant l'accès libre à la contraception moderne.

Weisman embauche la position du Vatican envers la contraception, les espars avec les ecclésiastiques islamiques sur les messages déconcertants et critique la pro-croissance mantra des économistes qui ignorent des limites sur les ressources minérales et voient une population grandissante comme un wellspring de nouveaux clients et de travail bon marché.

À part un voyage au Japon pour montrer comment la prospérité peut être trouvée dans une nation avec la population rétrécissante, son tour mondial illustre les conséquences mornes de croissance rapide. Il visite un bidonville dans Mumbai. Il dépasse avec un fossoyeur au Pakistan, l'homme de nettoyage s'occupant d'un pays éclatant avec la population et les tensions explosives. Il interviewe un chef du village blanc et avec barbiche dans la nation africaine Ouest du Niger, qui se vante de 17 enfants survivants et de femmes multiples — son dernier pris "quand elle avait douze ans, quand elle était fraîche."

Il est admirable que Weisman, dont le livre remontant précédent a vendu plus d'un million de copies dans 30 langues, s'attaquerait à un sujet c'est un tel downer. Bien qu'écrit pour le lecteur général, 431 pages qui mélangent le récit de voyage avec les interviews d'experts et l'assemblage de faits pour soutenir son analyse peuvent être un coup violent dur par moments — sans le paiement d'un avenir brillant dans un monde sans nous.

Il ne tombe pas dans le piège séduisant d'auteurs contrarian qui déclarent que la croissance démographique rapide du monde subitement, magiquement se corrigera ou embrassera la foi aveugle que l'ingéniosité humaine triomphe de l'adversité. Au lieu de cela il écoute les experts, tels que les chefs des deux stations de recherche agricoles prééminentes du monde au Mexique et aux Philippines, en lui disant de façon indépendante qu'ils ne savent pas comment nous pouvons produire peut-être assez de nourriture dans l'avenir pour tenir le rythme de nos nombres en augmentation.

De cette manière, Weisman nous rappelle que quand les experts sont inquiétés, nous devrions faire l'attention.

http://articles.latimes.com/2013/sep/20/entertainment/la-ca-jc-alan-weisman-countdown-20130922

akasha

Citation :

Vu que Osiris (le membre) ne comprend pas le français qu'on lui ait demander de s'exprimer en bon français ou de posté des texte lisible et compréhensible.    Et vu que je trouve se livre intéressant pour adhérer complètement à se genre de démarche. je vous postes l'équivalent, mais en bon français cette fois...Donc pour le coup je vous souhaites une bonne lecture

Spoiler:

akasha ,

Citation :

Je répondrai que tu es HS et que tu ne manque pas d'air, je signale ton poste à A2zeiss direct....

= ...... " MAMAN ,,, !! "

sinon ,,,,

Citation :

hummm , pas de reponse a ma question ,,,,

qu'est qu'on peut deduire ?

Je faisait reference au question que jai posait a estelle dont Jai citait avant ,,,,

akasha ,

Spoiler:

"Le monde sans nous", ça me rappelle un reportage que je viens de voir sur.... Tchernobyl !
La grande victoire de la nature et du monde animal : eux sans nous, la nature qui se régénère et absorbe la pollution, les animaux qui ont survécu qui se reproduisent librement, les chevaux libres la crinières au vent, les troupeaux livrés à eux-mêmes qui ont retrouvé la vie sauvage, les hordes de chiens et de loups, les oiseaux qui ont réinvesti le lieux et les cours d'eau, incroyable !
Le destructeur, le vrai, c'est bien l'homme !

Dans 40 jours Babylone sera détruite
Cette fois
-
ci je me mouille. Pour la première fois, je vais vous faire part d’une très grosse
présomption, calculée et argumentée. Ce n’est pas une prophétie, mais une prévision, une
possibilité, un scénario.
A forc
e de to
urner autour, ai
-
je enfin compris
le scénario divin
? Je ne sais pas, l’avenir nous
le dira. Je sais juste, comme l’archange Gabriel l’a dit à Daniel
: «
Sache que le secret de tes
prophéties ne sera pas découvert avant le temps fixé par Dieu
» et q
ue «
les paroles que tu as
entendues sont scellées jusqu’au temps marqué.
»
Si nous sommes bien arrivés aux temps de la fin alors, oui, les présomptions que vous allez
découvrir se comprennent et se justifient.
Après, on pourra toujours débattre de telle o
u telle date
; ce n’est pas à mes yeux le plus
important
; mes interprétations sont humaines et faillibles. Même si elles s’expliquent, je n’ai
jamais eu la prétention d’avoir tout compris et tout deviné. Sinon, je parlerai de prophéties. Ce
n’est pas le c
as
; vous découvrirez ici le résultat des analyses d’un eschatologue catholique.
A ce sujet, comme j’ai déjà été critiqué pour avoir complété mes recherches par des
documents ou des événements liés à l’adversaire (Satan), je précise que cette fois
-
ci, je
vais
m’appuyer exclusivement sur la Sainte Ecriture, Ancien et Nouveau Testament
.
Je n’utiliserai en complément que quelques grandes apparitions mariales incontestables, pour
compléter, éclairer ou justifier le propos.
Compte tenu de la gravité du sujet e
t de l’aspect un peu solennel d’une telle recherche, il est
nécessaire, avant de rentrer dans le vif du sujet, d’effectuer quelques mises aux points, qu’il
faut impérativement lire au préalable
:
-
Un avant
-
propos
-
Un préam
bule
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Une introd
uction

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