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 Sur la possibilité de contrôle à distance de tous les cerveaux humains par l'induction électromagnétique d'algorithmes fondamentaux

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xerox

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MessageSujet: Sur la possibilité de contrôle à distance de tous les cerveaux humains par l'induction électromagnétique d'algorithmes fondamentaux   Sur la possibilité de contrôle à distance de tous les cerveaux humains par l'induction électromagnétique d'algorithmes fondamentaux I_icon_minitimeDim 3 Mar 2019 - 14:25

A propos des récents développements militaires dans le cadre de la « guerre de l’information » et des programmes d’armes « non-létales » j n est plus travailé depuis 10 ans attaque etherique plus harcelement electronique et social sur notre famille une lomgue pose désolé je suis ceule il sont legions est controlé par HAARP plus les attaque sur les compteures EDF attaque EMF VLF CES A PEUT PRES LA MEME CHOSE car avec uje cibie on peut emetre des champs de protections autour de ca maison 73 hertz des adaptateure UHFVHF en VLF comme haarp peuve etre fabriqué ok aller la suite .

Systèmes d’arm es à énerg ie dirig ée antiperson nel , armes et techniques de « contrôle mental » armes « psycho électroniques », psychotechnologies :
• quel déve lopement, quelles ca pacités, que ls usages, • quelle information, que lle régulation aucune ces simple ! l armé elle meme elctrostimulé est foutue personne veux detruire ces antennes HAARP personne ne veux abandoné sont internet et sont confort electrique d onc vous et moi somme mort a petit feux tranquilement la population de debride homosexualité pedophilie arrive dans les esprit adulte et enfant tranquilement ci vous ete meduim les message auditif sublimineaux dans les rue et ville ne vous echape pas et ci vous parlé au morts il sont tres inqué eu aussi car les deux monde commence a en faire 1 notre dimention et en train de ce fracturé aller on comance desolé .

Table des matières

Table des matières
Table des matières...................................................................................................................2 1. Introduction.........................................................................................................................3 2. Les recherches militaires pionnières sur les techniques de « contrôle mental » au début de la guerre froide...................................................................................................................5 3. De la « stimulation électrique du cerveau » à l’utilisation des rayonnements électromagnétiques (EMR) : l’exploration militaire de l’affectation du système nerveux à distance..................................................................................................................................12 4. La course à l’armement « psychoélectronique » et la négation des recherches scientifiques sur les EMR par les Etats-Unis........................................................................17 5. Les capacités « révolutionnaires » des armes électromagnétiques antipersonnelles décrites par les documents militaires américains dans les années 1980...............................18 6. L’URSS, les Etats-Unis et l’utilisation des armes EMR antipersonnelles pendant la guerre froide : une facette méconnue de la course aux armements.......................................22 7. L’effondrement de l’URSS et la révélation de son arsenal d’armes « psychoélectroniques »........................................................................................................24 8. Après la fin de la guerre froide, les Etats-Unis mettent à profit les technologies russes..26 9. La Révolution dans les Affaires Militaires (RMA) américaine et les psychotechnologies : la clef pour mener les « conflits de faible intensité » ?.........................................................28 10. Des recherches sur le « contrôle mental » aux programmes d’armes « non-létales » ...42 11. Des scientifiques soulignent les dangers de l’utilisation militaire des avancées dans le domaine des neurosciences et des psychotechnologies........................................................46 12. Dans quelle mesure les armes et systèmes d’armes psychoélectroniques ont déjà été utilisés ?.................................................................................................................................48 13. Les recherches sur le « contrôle mental » et les expérimentations militaires sur sujets non consentants : de l’histoire ancienne ?.............................................................................51 14. La législation sur les armes à énergie dirigée antipersonnelles : trente ans de débat et toujours rien..........................................................................................................................57

1. I ntroduction Dès la fin des années 1970, des négociations internationales s’étaient entamées sur la prohibition, considérée comme une « question u rgente », du développement des « no uvelles classe s et systèmes d’arme s de destr uction massive » fondée sur l’utilisation du rayonnement électromagnétique, acoustique, et à particule pour affecter à distance l’organisme et les fonctions cérébrales de l’être humain1. A la même époque, John Alexander, stratège américain devenu plus tard le chef de file des programmes américains d’armes « no n-létales », consacrait un article au « no uvea u ch amp de batail le mental » dans lequel il écrivait sur ce type d’armement : « quicon que fait la premièr e per cée majeu re dan s ce domaine au ra un e avan ce quantique su r so n ad ver saire, un av antage simi laire à la posse ssion exclu sive de l’arme nucléair e »2. C’était il y a vingt-cinq ans. Depuis, un certain nombre de puissances militaires, Etats-Unis en tête, ont accompli des développements fulgurants dans ce domaine, pour se doter de capacités opérationnelles que certains stratèges considèrent comme la clef de la victoire dans les « confli ts de faible in ten sité ». En même temps, la législation semble avoir été repoussée aux calendes grecques, et l’opinion publique reste très sélectivement informée dans ce domaine. Certains potentiels d’armes « non létales » utilisant le rayonnement électromagnétique et acoustique pour affecter l’organisme et les fonctions cérébrales des êtres humains ont été présentés au public dans les années 1990 comme des dernières trouvailles. Mais comme le révèlent d’autres documents, la plupart des armes « déclassifiées » étaient opérationnelles dès les années 1970 ou 1980. Celles-ci ne représentent que la partie émergée d’une course à l’armement bien gardée dont les premiers pas remontent aux années 1950. Plus peut-être que dans tout autre domaine, le développement de cette nouvelle génération d’armes est resté étroitement couvert par le secret défense. Aux Etats-Unis, la révélation des programmes d’expérimentations secrets des années 1950 sur le « contr ôle mental », qui avait impliqué l’expérimentation d’un ensemble de techniques de modification du comportement sur des centaines de citoyens américains, avait provoqué un tollé sur l’opinion dans les années 1970. Les développements ultérieurs dans ce domaine, recentrés sur l’utilisation militaire des effets biologiques des rayonnements électromagnétiques (dont l’URSS avait expérimenté les capacités sur l’ambassade de Moscou dès 1953) ont été soigneusement dissimulés à l’opinion, aussi bien aux Etats-Unis qu’en URSS et dans d’autres pays développés. Pour cela, les autorités américaines sont allé jusqu’à démentir publiquement, jusqu’à la fin de la guerre froide, l’existence même des effets athermiques du rayonnement électromagnétique, tout en mobilisant de larges efforts dans le développement d’armement fondé sur ces effets. L’armement dont il est question ici a été désigné dans la littérature militaire sous les termes génériques de technologies de « contr ôle mental » ( m ind c ontrol ) et de « modi fication du compo rtement » ( be havio r chan ge ), « armes psyc hoélect ronique s » ( ps ych otronic wea pons ), « psy chotec hnologies » ( psy chotec hnolog y ) ; et la littérature plus récente parle aussi de « contr ôle du pro ces sus biologiqu e » ( biological pro cess control ). Cela englobe toutes les armes et systèmes d’armes visant à affecter à distance l’organisme et le cerveau humain afin de
1 « Nég ociatio ns sur la q ue stion de la pro hibitio n de no uvelles cl asses et syst èmes d’armes d e d estruc tion massiv e », Commission des Nations-Unies sur le Désarmement, document CD/35, , V.L. Issraelyan, Représentant de l’URSS à la Commission des Nations-Unies sur le Désarmement, 10 juillet 1979. 2 Lt. Col. John B. Alexander, T he New Me ntal Ba ttlefiel d , Military Review, U.S. Army Command and General Staff College décembre 1980.

modifier les perceptions, les émotions, les fonctions vitales, la conscience et/ou le comportement d’individus ou groupes de personnes déterminés. Elles utilisent en particulier le rayonnement électromagnétique à fréquence extrêmement basse (ELF) et à ultra haute fréquence (UHB), le rayonnement acoustique infrasonore et ultrasonore, les faisceaux de particules, ainsi que d’autres types d’énergie dirigée. Ces systèmes d’armes sont aujourd’hui développés en  tant que composante antipersonnelle de la « gu er re de l’ information » ; dans ce cadre, l’organisme humain lui-même est alors considéré comme un système d’information dont les données peuvent être accédées, endommagées, détruites, ou manipulées. Cette génération d’armes nourrit également une partie importante des programmes d’« a rmes non- lé tales », et certains stratèges considèrent qu’ils révolutionnent la conduite de la guerre dans le domaine assez général des « co nf lits de faib le s in ten si té ». Cet armement mérite-t-il d’être considéré comme une « nouvelle génération d’armes de destruction massive » ? Les propriétés uniques des systèmes d’armes les plus avancés résident dans la combinaison entre : 1. une capacité d’usage à distance et sélectif sur des individus ou groupes d’individus, ou encore sur des zones ou régions définies ; 2. une large variété d’effets, potentiellement réversibles, allant de la dégradation temporaire des capacités physiques et psychologiques jusqu’à la manipulation des perceptions dans le but d’influencer le comportement de cibles définies ; 3. Enfin et surtout, l’absence d’impact perceptible (l’énergie dirigée étant invisible et silencieuse), qui leur confère ce que la littérature militaire mentionne sous le terme de « dé niabil ité » (deniability), c’est-à-dire la capacité d’affecter des cibles sans signe extérieur ni preuve d’agression, ni indication sur sa source. Ces propriétés confèrent à ces systèmes d’armes hautement avancés un champ d’application d’autant plus étendu que leurs capacités restent très largement méconnues. Bien que plusieurs projets de loi aient fait précisément mention à ces armes en Europe, en Russie, et même aux Etats-Unis, chaque référence à disparu dans les lois finalement adoptées – à la maigre exception de la Russie, où le problème semble se poser avec une acuité particulière. Les parlementaires de l’Union Européenne ont commencé à s’inquiéter de l’utilisation potentielle du projet américain HAARP pour la manipulation de l’environnement à des fins militaires, mais sa possible utilisation à des fins de manipulation psychologique (établies par des personnalités scientifiques pionnières dans le domaine des effets biologiques des EMR comme Patrick Flanagan) semble encore plus difficile à admettre ; la possibilité même que des systèmes puissent être développées aujourd’hui pour manipuler les esprits semble dépasser l’entendement. Nous essayons ici, à partir d’une synthèse des informations disponibles, de retracer l’histoire des recherches, développements et utilisations militaires en matière de « modification du comportement », d’évaluer le niveau atteint aujourd’hui par les armes et systèmes d’armes de ce type et les menaces politiques et éthiques potentielles qu’ils représentent, tout en rappelant le débat sur leur prohibition plus que jamais urgente.

modifier les perceptions, les émotions, les fonctions vitales, la conscience et/ou le comportement d’individus ou groupes de personnes déterminés. Elles utilisent en particulier le rayonnement électromagnétique à fréquence extrêmement basse (ELF) et à ultra haute fréquence (UHB), le rayonnement acoustique infrasonore et ultrasonore, les faisceaux de particules, ainsi que d’autres types d’énergie dirigée. Ces systèmes d’armes sont aujourd’hui développés en  tant que composante antipersonnelle de la « gu er re de l’ information » ; dans ce cadre, l’organisme humain lui-même est alors considéré comme un système d’information dont les données peuvent être accédées, endommagées, détruites, ou manipulées. Cette génération d’armes nourrit également une partie importante des programmes d’« a rmes non- lé tales », et certains stratèges considèrent qu’ils révolutionnent la conduite de la guerre dans le domaine assez général des « co nf lits de faib le s in ten si té ». Cet armement mérite-t-il d’être considéré comme une « nouvelle génération d’armes de destruction massive » ? Les propriétés uniques des systèmes d’armes les plus avancés résident dans la combinaison entre : 1. une capacité d’usage à distance et sélectif sur des individus ou groupes d’individus, ou encore sur des zones ou régions définies ; 2. une large variété d’effets, potentiellement réversibles, allant de la dégradation temporaire des capacités physiques et psychologiques jusqu’à la manipulation des perceptions dans le but d’influencer le comportement de cibles définies ; 3. Enfin et surtout, l’absence d’impact perceptible (l’énergie dirigée étant invisible et silencieuse), qui leur confère ce que la littérature militaire mentionne sous le terme de « dé niabil ité » (deniability), c’est-à-dire la capacité d’affecter des cibles sans signe extérieur ni preuve d’agression, ni indication sur sa source. Ces propriétés confèrent à ces systèmes d’armes hautement avancés un champ d’application d’autant plus étendu que leurs capacités restent très largement méconnues. Bien que plusieurs projets de loi aient fait précisément mention à ces armes en Europe, en Russie, et même aux Etats-Unis, chaque référence à disparu dans les lois finalement adoptées – à la maigre exception de la Russie, où le problème semble se poser avec une acuité particulière. Les parlementaires de l’Union Européenne ont commencé à s’inquiéter de l’utilisation potentielle du projet américain HAARP pour la manipulation de l’environnement à des fins militaires, mais sa possible utilisation à des fins de manipulation psychologique (établies par des personnalités scientifiques pionnières dans le domaine des effets biologiques des EMR comme Patrick Flanagan) semble encore plus difficile à admettre ; la possibilité même que des systèmes puissent être développées aujourd’hui pour manipuler les esprits semble dépasser l’entendement. Nous essayons ici, à partir d’une synthèse des informations disponibles, de retracer l’histoire des recherches, développements et utilisations militaires en matière de « modification du comportement », d’évaluer le niveau atteint aujourd’hui par les armes et systèmes d’armes de ce type et les menaces politiques et éthiques potentielles qu’ils représentent, tout en rappelant le débat sur leur prohibition plus que jamais urgente.
suite procaine article avec mise a jour de 10 ans 2019


Dernière édition par xerox le Sam 9 Mar 2019 - 0:44, édité 1 fois
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MessageSujet: COLLECTIF CONTRE LES ABUS DUS AUX PSYCHO-TECHNOLOGIES TECHNOLOGIES DE CONTROLE POLITIQUE   Sur la possibilité de contrôle à distance de tous les cerveaux humains par l'induction électromagnétique d'algorithmes fondamentaux I_icon_minitimeDim 3 Mar 2019 - 14:36

VERS UNE SOCIETE PSYCHO-CIVILISEE?
" Nous avons besoin d'un programme de psychochirurgie pour le contrôle politique de notre société. Le but est le contrôle physique de l'esprit. Chacun qui dévie de la norme donnée peut être chirurgicalement mutilé. L'individu peut penser que la réalité la plus importante est sa propre existence, mais c'est seulement son point de vue personnel. Même si cette attitude libérale est très séduisante, ceci manque de perspective historique. L'homme n'a pas le droit de développer sa propre façon de penser. Nous devons contrôler le cerveau électriquement. Un jour les armées et les généraux seront contrôlés par stimulation électrique du cerveau. " C'étaient les remarques du Pr. Jose Delgado, physiologiste à l’Université de Yale, telles qu’elles ont été transcrites le 24 février 1974 dans l'édition du “Procès Verbal des séances du Congrès américain”, numéro 26, vol. 118.
LES ARMES NON LETALES PSYCHO-TECHNOLOGIQUES OU ARMES A ENERGIE DIRIGEE
Malgré ou grâce à de telles déclarations les recherches du Pr. Delgado (né à Ronda, Malaga en Espagne le 8 août 1915) ont été financées par l’US Air Force. Quand en 1977, les révélations de la Commission d’enquête du gouvernement concernant les recherches de la CIA sur les techniques de modification du comportement dans le cadre du projet Mkultra ont déclenché un scandale, ce type de discours s’est fait plus rare. Sous couvert de préserver la sécurité nationale, la CIA expérimentait sur des personnes en Amérique et à l’étranger sans leur consentement avec différentes substances et méthodes de pressions psychologiques (comme l'effacement de la mémoire, la résistance hypnotique à la torture, les sérums de vérité, la suggestion post-hypnotique, induire rapidement l’hypnose, la stimulation électronique du cerveau, les irradiations non ionisantes, induire par micro-ondes des „voix“ qui semblent naître à l'intérieur du crâne, et une foule d’autres technologies encore plus inquiétantes). La CIA a assuré que ce programme avait pris fin mais d’autres toujours secrets et classifiés ont pris le relais et les progrès scientifiques ont permis le développement d’armes psycho-technologiques qui peuvent être utilisées à distance.
DECLARATIONS D'INTENTION ET NOUVELLES TECHNOLOGIES
Depuis plusieurs années on assiste au développement d’armes non létales toujours plus sophistiquées dont certaines ont déjà été utilisées dans le cadre de conflits armés (guerre du Golfe entre autres). Elles font aussi leur apparition dans des opérations civiles de maintien de l’ordre pour le contrôle des foules. En effet les armes non létales sont à usage dual ce qui signifie qu’elles peuvent être utilisées contre des civils, car leurs caractéristiques correspondent aussi bien aux objectifs des forces armées qu’à ceux des forces de l’ordre. Luc Mampaey, attaché de recherche au GRIP (Groupe de Recherche et d'Information sur la Paix et la sécurité) fait remarquer que de nombreux observateurs estiment qu’elles risquent donc de contribuer à un renforcement de l’arsenal répressif y compris dans nos fragiles démocraties, et de conduire à une militarisation croissante des opérations de police, adoptant des tactiques et un armement de plus en plus sophistiqué. Toujours d’après Luc Mampaey les armes non létales peuvent devenir un redoutable instrument pour maintenir la domination des puissants et il cite un officiel de l’OTAN : „ dans un intéressant et équilibré rapport d’octobre 1997, Luc Lyell, rapporteur de la Commission des Sciences et des Technologies de l’Assemblée de l’Atlantique Nord, exposait quelques unes des possibilités d’utilisations des armes non létales. On peut y lire que „de telles utilisations d’armes non létales permettraient de mener des opérations non guerrières qui seraient politiquement plus acceptables, ce qui explique l’intérêt que présentent ces armes“. (Les rapports européens ont montré que ces armes présentent des risques réels pour la santé et viennent en règle générale s'ajouter aux armes conventionnelles.) Actuellement on trouve encore des déclarations d’intention dans certains documents militaires qui inquiètent les chercheurs et le Parlement européen mais le secret défense empêche les débats entre intervenants aux formations et horizons divers sur l’état actuel des recherches et l’utilisation de ces technologies
http://www.freeflights.net/carl1/haarp.html Dans un article sur le système radar américain HAARP qui pourrait éventuellement servir à manipuler les émotions et le comportement, le journaliste A. Gossens cite un extrait d’une revue militaire : „Ce type de technologie ne rebute absolument pas les stratèges du Pentagone, loin s'en faut. Pour preuve, on peut lire dans une revue à circulation interne (The revolution in military affairs - Stategic Studies Institute-US Army War College) qui n'est pas censée tomber entre des mains civiles la conception suivante: "Nos valeurs changent et la technologie s'ouvre sur de nouveaux horizons. Il y a peu, pendant la guerre froide, les opérations psychologiques et l'armement psychologique étaient encore primitifs. Alors que nous entrons de plain-pied dans l'ère de l'électronique et de la bioélectronique, il devient nécessaire de réévaluer les barrières morales et éthiques que nous avons posées en interdisant (toute technologie) pouvant manipuler l'esprit de nos ennemis tant à l'intérieur du pays qu'à un niveau international... Dès que cela sera possible, nous encouragerons des entreprises privées ou semi-privées à développer une technologie appropriée... Nous pouvons agir de même avec les nouveaux types d'armements comme les armes biologiques incapacitantes et les armes psycho- technologiques avancées..." [Fin de citation]
LES EFFETS DES ARMES NON LETALES
La panoplie des armes non létales, qui sont d'ailleurs capables de provoquer la mort, comprend différentes catégories de technologies qui permettent aussi bien d’entraver les mouvements, d’envoyer une décharge électrique dissuasive que de rendre malade ou d’influencer le comportement. En effet ces armes peuvent provoquer des réactions psychologiques et physiques.
Un rapport de l’U.S. Air Force de 1998 décrit l'arsenal d’articles „antipersonnels“ disponibles. = "Infrasons / VLF" ou son à très basses fréquences "qui désorientent et effrayent" "gênant le fonctionnement des organes, en entraînant nausées et spasmes du système digestif;"
• "Inhibiteurs neuraux : frappent les personnes d'incapacité, paralysant les connexions synaptiques;" • "hallucinogènes" ou "narcotiques qui désorientent, rendent confus et frappent d’incapacité;" • "calmants" ou "sédatifs transmis par les poumons ou la peau;" • "Bêtabloquants" ou "fléchettes tranquillisantes et balles anesthésiques;" • "Fusils électroniques" ou "pistolets qui assoment" "et affaiblissent le système nerveux central;" • "Impulsions micro-ondes puissantes (HPM = High Power Microwave)" qui "induisent confusion, stupeur et coma chez les personnes et les animaux;" • "projectiles non-pénétrants" ou "systèmes qui écrasent, déforment, délitent, dont des grenades à fléchettes; • "balles en cire, bois, et plastique" dont "les effets varient selon la forme, les matériaux, et la vitesse;" • "lasers à faible énergie" y compris des "fusils laser; "ET • "munitions optiques" ou "grenades éblouissantes."
Extrait de "Armement non létal : un travail de structuration pour une intégration future", USAF, 98
Selon un rapport européen les pays producteurs d’armes non létales les plus cités sont la Chine, les Etats-Unis, la France, la Grande-Bretagne et la Russie.
NY Times, 12 septembre 1971, Section E p. 9 "Bien que les méthodes soient encore grossières et pas toujours prévisibles, il ne fait aucun doute que dans les années à venir nous allons voir se développer une panoplie effrayante de techniques sophistiquées pour amener les êtres humains à agir conformément à la volonté du psycho-technologue" (sic).
Si les possibilités des armes non létales sont énumérées assez sommairement dans l'extrait du document de l'US Air Force précédent, le texte du Comité consultatif scientifique de 1996 qui propose une analyse prévisionnelle des stratégies et des capacités de l’USAF dans 50 ans s’étend en revanche plus longuement sur le contrôle du comportement humain que ces avancées scientifiques en cours de développement vont permettre. D’autres documents, dont ceux cités sur cette page confirment pourtant que ces technologies ont déjà été utilisées sur le terrain mais sont encore protégées par le secret défense :
Extrait du texte : United States Air Force Scientific Advisory Board, Ancillary Volume p. 89-90 „New World Vistas, 1996“ http://www.dcn.davis.ca.us/~welsh/factsht.htm#Vistas Avant la moitié du 21ième siècle, il y aura une explosion des connaissances dans le domaine des neurosciences. Nous aurons une compréhension claire de la façon dont le cerveau humain fonctionne, de la façon dont il contrôle vraiment les différentes fonctions du corps, et comment celles-ci peuvent être manipulées (à la fois négativement et positivement). On peut envisager le développement de sources d'énergie électromagnétique, dont le signal peut être pulsé, mis en forme et dirigé, qui pourront être couplés avec le corps humain de façon à empêcher les mouvements musculaires volontaires, à contrôler les émotions (et donc les actions), à dormir, à transmettre des suggestions, à interférer avec la mémoire à court et à long terme, à produire l'acquisition d'expériences, ou à effacer des expériences acquises. Ceci ouvre la porte au développement de nouvelles capacités qui pourront être utilisées dans le cadre de conflits armés, dans des situations de prise d'otages par des terroristes, et pour la formation.
D’après Marc Filterman, expert en électronique de défense, un des meilleurs spécialistes de ces questions et auteur „des armes de l’ombre“ : „Des armes pour influencer insidieusement le comportement des individus sont disponibles sur le marché. Il ne fait aucun doute que certaines ont déjà été utilisées. La firme Rafaêl en Israël par exemple dispose d’un département spécialisé sur les armes EMP/HPM qui fabrique ces nouvelles technologies. [...] C’est lors du cinquième congrès de l’European Bioelectromagnetics Association en janvier 1992 à Bruxelles, que H.E. Girard a dévoilé l’existence de la directive 138 de Georges Bush du 03/04/84 autorisant l’utilisation d’ondes électromagnétiques comme arme sur des citoyens américains mais aussi étrangers. Cette conférence traitait des „Effets des radiations hyperfréquences sur les systèmes neuromusculaires, et les développements récents dans les technologies du contrôle politique“. On peut affirmer que l’on sait maintenant saturer l’activité cérébrale des troupes au sol par des signaux électroniques. [...] En conclusion de ce chapitre il ajoute : „Des armes favorisant l’autosuggestion des individus sont disponibles aujourd’hui et leur descriptif a été réalisé dans des cercles très fermés. Le danger, c’est leur utilisation possible dans des démocraties, afin de faire des populations des troupeaux passifs. Ces moyens peuvent être utilisés pour leur faire adopter à leur insu, un mode de pensée unique. Quelques associations et cabinets d’avocats américains se préoccupent déjà de ces risques d’un nouveau genre, dont certains faits révélés semblent cautionner des utilisations individuelles, ou ciblées, voire de masse.“ [fin de citation]
LA LEGISLATION A PRIS DU RETARD SUR LES AVANCEES TECHNOLOGIQUES
Pour le droit français ces technologies n’existent pas et le vide juridique actuel permet tous les abus. La logique de certains professionnels de la sécurité est décrite dans un article sur le Taser une arme défensive qui envoie une décharge électrique à 6 m et qui fait partie des armes non létales : „Pour les fonctionnaires d’autorité, et les professionnels de la sécurité, le Taser semble la réponse la plus appropriée en situation de légitime défense, évitant ainsi l’usage de l’arme à feu et tous les problèmes juridiques qui en découlent. Pour le moment, ce matériel n’entre dans aucune catégorie de la législation. Il ne s’agit donc pas d’une arme.“ [fin de citation]
Au niveau européen, les politiques ont maintenant pris en compte ce phénomène comme le prouve les rapports d’experts publiés par le „Comité d’évaluation des options scientifiques et technologiques“ (STOA) et le rapport analytique ci-dessous qui a donné lieu à la résolution du Parlement européen R4 0005 sur „l’environnement, la sécurité et la politique étrangère“ le 28 janvier 1999 :
http://www2.europarl.eu.int/omk/OM- Europarl?L=FR&PROG=REPORT&PUBREF=-//EP//TEXT+REPORT+A4- 1999-0005+0+DOC+SGML+V0//FR&LEVEL=4&SAME_LEVEL=1"> 12. demande en particulier que soit établi un accord international visant à interdire au niveau global tout projet de recherche et de développement, tant militaire que civil, qui cherche à appliquer la connaissance des processus du fonctionnement du cerveau humain dans les domaines chimique, électrique, des ondes sonores ou autres au développement d'armes, ce qui pourrait ouvrir la porte à toute forme de manipulation de l'homme; un tel accord devrait également interdire toute possibilité d'utilisation réelle ou potentielle de tels systèmes;
Les chercheurs qui ont participé à ces recherches, tel Steve Wright de la Fondation Oméga, auteur de l’étude à l’origine du rapport européen qui a entraîné le vote de la résolution ci-dessus par les députés, lancent des avertissements dans la presse sur les risques et les dangers de ces technologies. La Fédération des Scientifiques américains cité par M. Wright dans son article pour le Monde Diplomatique fait partie de ces scientifiques qui suivent l’actualité technologique afin d’essayer d’orienter le débat sur les conséquences et les questions d’éthique auxquels peu de gens pensent à plus forte raison s’ils se trouvent devant le fait accompli.
http://www.monde-diplomatique.fr/1999/12/WRIGHT/12829 Au-delà des possibles violations du serment d’Hippocrate, M. Steven Aftergood, directeur de la Fédération des scientifiques américains, souligne le caractère extrêmement intrusif de ces armes : „Elles ne s’attaquent pas seulement au corps d’une personne. Elles sont destinées à désorienter ou à déstabiliser son mental.“ De tels engins peuvent interférer avec les régulateurs biologiques de température du corps humain; les armes à fréquence radio, par exemple, agissent sur les connexions nerveuses du corps ou du cerveau; les systèmes laser induisent, à distance, des chocs électriques „tétanisants“ ou „paralysants“.
Seulement sans pressions de la part de l’opinion publique pour contrer certains lobbies qui ont des intérêts financiers dans le développement de ces nouvelles technologies, l'incitation du Parlement restera sans effet et la Convention visant à interdire les systèmes qui permettent de manipuler le comportement humain ne sera pas signée avant longtemps.
Références et liens ci-dessousdécembre 2002
L'opinion publique a un rôle a jouer. Ces technologies existent et sont opérationnelles, elles peuvent être utilisées en France contre d'honnêtes gens jusque dans leur domicile ou sur leur lieu de travail sans leur consentement.
L’opinion publique doit demander des explications
sur ces nouvelles technologies et leurs modalités
d’utilisation. Ces avancées constituent un risque
pour la santé publique et le libre arbitre des populations !
Faites-nous part de vos remarques
Ce texte est destiné à donner un aperçu du sujet. Pour plus de précisions n'hésitez pas à lire le texte intégral des différents articles cités ci-dessous:
Article de Luc Mampaey du GRIP (Groupe de Recherche et d'Information sur la Paix et la Sécurité)
Article de Marc Filterman (expert radar et électronique de défense) sur la résolution européenne (mentionné dans la deuxième partie du texte). Un extrait de son livre "les armes de l'ombre," éd. Carnot est également cité dans le texte.
MERCI à l'association CAHRA (2 sites): ==http://dcn.davis.ca.us/~welsh et ==http://www.raven1.net/ravsubjx.htm
et à l'association internationale pour l'interdiction des armes utilisant les radiofréquences pour la manipulation du système nerveux humain à distance: == http://www.geocities.com/CapeCanaveral/Campus/2289/webpage.htm
ainsi qu'aux nombreux membres de ces associations dans le monde entier, victimes des applications incontrôlées de ces avancées scientifiques, pour leurs recherches qui permettent de réunir toujours plus de documents et d'informations sur le sujet.
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MessageSujet: SUR LA POSSIBILITE DE CONTRÔLE A DISTANCE DE TOUS LES CERVEAUX HUMAINS PAR L’INDUCTION ELECTROMAGNETIQUE D’ALGORITHMES FONDAMENTAUX.   Sur la possibilité de contrôle à distance de tous les cerveaux humains par l'induction électromagnétique d'algorithmes fondamentaux I_icon_minitimeDim 3 Mar 2019 - 14:38

SUR LA POSSIBILITE DE CONTRÔLE A DISTANCE DE TOUS LES CERVEAUX HUMAINS PAR L’INDUCTION ELECTROMAGNETIQUE D’ALGORITHMES FONDAMENTAUX.
Traduction de l’anglais : Frank Nadaud
M.A. Persinger
Laurentian University, juin 1995 paru dans : Perceptual and Motor Skills, june 1995, 80, 791- 799. ISSN 0031-5125
Résumé : La neuroscience contemporaine suggère l’existence d’algorithmes fondamentaux par lesquels toute transduction sensorielle est traduite dans le code intrinsèque spécifique au cerveau. La stimulation directe de ces codes dans les cortex temporel ou lymbique humains par l’application de signaux électromagnétiques pourrait requérir des niveaux d’énergie à la portée tant de l’activité géomagnétique que des réseaux de télécommunications contemporains. Un processus couplé avec l’étroite bande de température du cerveau permettrait d’affecter tous les cerveaux humains normaux avec un sous harmonique dont la fréquence au environs de 10 Hz ne varierait que de 0,1 Hz.
L’étude des algorithmes par lesquels tous les cerveaux humains fonctionnent peut être considérée comme un thème central de la neuroscience moderne. Bien que des différences individuelles soient attendues pour accommoder l’essentiel de la variance de toute mesure neurocomportementale spécifique, il devrait exister des configurations d’information et de structures basiques dans le cerveau. Elles seraient déterminées par le génome humain, c’est-à- dire, qu’elles seraient spécifiques aux espèces, et devraient contribuer à, ou serviraient de substrat sur lequel tous les phénomènes qui affectent les mesures neurocomportementales sont surimposées.
Une extrapolation logique à une base neurophysique de la conscience est que toutes les expériences doivent exister en tant que corrélats de séquences de matrices électromagnétiques complexes mais déterminées. Elles contrôleraient le thème de la mise en forme de la cognition et de l’affect tandis que la myriade possible d’ensembles de séries de variations aléatoire du « bruit » dans ces matrices pourraient potentiellement différencier les cerveaux individuels. L’identification de ces séquences pourrait aussi permettre l’accès direct aux processus neurocognitifs les plus complexes associés au sens du soi, la conscience humaine et l’agrégat des représentations de l’expérience (mémoire épisodique) qui définie l’individu dans son cerveau (Squire, 1987).
L’existence de standards fondamentaux entre tous les cerveaux humains par lesquels un stimulus physique similaire peut les affecter n’est pas un concept nouveau. Il est démontré quotidiennement par des changements similaires des fonctions qualitatives qui sont évoquées par les drogues psychotropes. Des catégories de structures chimiques, grossièrement classifiées
d’antidépresseurs, antipsychotiques, ou composés anxiolytiques, produisent des atténuations générales de l’humeur, des pensées extrêmement excentriques, ou une extrême vigilance. Les caractéristiques de ces changements sont très similaires sur des millions de cerveaux humains indépendamment de leur histoire culturelle ou génétique. Les expériences singulières telles que les pensées et les images spécifiques qui reflètent le processus continuel d’adaptation de chaque personne sont surimposées sur ces fonctions générales. Lorsqu’ils sont traduits dans le langage du domaine neuroélectrique, les composants uniques de la conscience individuelle devraient être à la fois incorporés et en interaction avec les schémas invariants des espèces.
Nous avons étudié les conséquences phénoménologiques de l’exposition à des champs électromagnétiques complexes dont les structures temporelles ont été déduites des profils neuroélectriques les plus récemment observés tels que les séquences potentialisatrices par décharge ou de long terme (Brown, Chapman, Kairiss, Keenan, 1988), qui peuvent être considérées comme la base prototypique d’un domaine majeur de l’activité cérébrale. Ces structures temporelles des codes potentiels pour accéder et influencer les agrégats neuronaux ont été appliqués dans les deux hémisphères (au travers des régions des lobes tempoparietaux ou dans la région du complexe hippocampaire-amygdaloide) du cerveau par des champs électromagnétiques faibles dont les intensités sont généralement inférieures à 10 milligauss (1 micro Tesla). Le but de cette recherche, suggéré par E.R. John (1967) et Sommerhoff (1974), est d’identifier les codes basiques du langage des systèmes de représentation dans le cerveau humain1.
Dans la tradition de Johannes Mueller, nous avons supposé que la transduction des stimuli par les détecteurs en potentiels gradués afférents, et la traduction subséquente en signaux digitaux des potentiels d’action (qui sont plus probablement susceptibles de se comporter fonctionnellement comme une composition de pixels dans un champs neural) peuvent être circonvenus par l’introduction directe de cette information dans le cerveau2. L’induction d’information complexe nécessiterait la simulation des structures de résonance qui seraient normalement créées temporairement par les afférents sensoriels. Le prémisse de base est que la duplication synthétique de corrélats neuroélectriques générés par les détecteurs d’un stimulus réel devrait produire des expériences identiques sans présence de ce stimulus.
Nous-nous sommes concentrés sur les portions polymodales et les plus labiles des cortex parahyppocampal (Van Hoesen, 1982) et entorhinal (Vinagradova, 1975) et du gyrus supérieur antérieur des cortex temporaux (Bancaud, Brunet-Bourgain, Chauvel, Halgren, 1994) en tant que régions dans lesquelles la circonvolution serait la plus probable. L’extraction et la traduction des

1 NdT : Jean-Louis Krivine (le cousin d’Alain), a montré que ces codes sont très proches du lambda calcul, c’est-à- dire une partie de la logique mathématique qui permet de construire l’informatique sur une base théorique. Son travail consiste à traduire en lambda calcul les démonstrations de théorèmes fondamentaux des mathématiques afin d’en déduire l’opération équivalente en informatique. Krivine pense que les mathématiques sont en somme une forme de décodage des programmes de notre cerveau. CF. Science et Vie N° xxx.
2 NdT : En clair, on peut introduire de l’information dans le cerveau directement par des champs électromagnétiques.
signaux neuraux des différents entrées sensorielles en codes communs surviennent dans ces régions avant qu’elles soient consciemment perçues (Edelman, 1989). La présence des codes centraux fut montrée par E.R. John (1967, pp. 348-349) qui rapporta un transfert immédiat du contrôle opérant à la réponse d’un stimulus auditif vibrant en un stimulus visuel vibrant si sa forme temporelle était identique au stimulus (acoustique) précédent.
Nous (Fleming, Persinger, Koren, 1994) avons rapporté que l’exposition du cerveau entier de rats à un champ magnétique jaillissant [burst-firing] de 5 µT durant une seconde, toutes les 4 secondes évoquait une réponse analgésique qui était similaire à celle induite par l’application de stimulations tactiles plus nocives d’une seconde toutes les 4 secondes directement sur les coussinets. La stimulation électrique directe des structures de membres qui simule l’application épisodique, systémique d’agents muscariniques (cholinergique) peut évoquer une réaction électrique (Cain, 1989). Plus récemment, l’induction directe de séquences électriques chaotiques dans la région labile CA1 de l’hippocampe a montré soit un accroissement, soit une atténuation des décharges paroxysmiques (Schiff, Jerger, Duong, Chang, Spano, Ditto, 1994).
Ces résultats indiquent fortement que l’imitation de la structure temporelle de la transmission sensorielle directement dans le cerveau par des stimuli non biogéniques peut invoquer des changements qui sont juste aussi efficaces que la transduction classique (et requièrent probablement moins d’énergie). Comme il a été affirmé plus récemment et succinctement par E.R John (1990), le fonctionnement fondamental de l’activité électrique du cerveau suggère qu’une forme d’encodage de la fréquence3 pourrait jouer un rôle significatif dans les transactions informationnelles à l’intérieur et entre les structures du cerveau. La conscience serait associée avec une configuration électromagnétique générée par un agrégat neural aux caractéristiques statistiques invariantes qui sont indépendantes des cellules contribuant à chaque caractéristique (John, 1990, p. 53).
Les effets de l’application de champs magnétiques variables dans le temps sur l’activité du cerveau ont été considérés comme minimaux ou dans l’intervalle des limites biologiques normales à moins que l’intensité du champs excède les niveaux naturels endogènes ou exogènes (ambiants) de plusieurs ordres de grandeur4. Jusqu’à très récemment, presque toutes les études desquelles cette conclusion a été déduite impliquaient des stimuli hautement redondants tels que des champs de 60 Hz ou les pulsations répétitives. Une illustration simple présente le problème : une seule minute d’exposition d’un réseau de neurones à une onde sinusoïdale de 60 Hz expose ce réseau à 3600 présentations (60 sec. X 60 cycles/sec.) de la même information redondante. Même des estimations générales de l’accoutumance (Persinger, 1979) telle que l’équation H = IRT_/Rt (IRT=temps inter-réponse ; Rt = durée de réponse) indiquent que l’accoutumance au

3 Cette hypothèse est exactement celle des chercheurs de biophysique russes dès les années 60.
4 NdT : Endogène : induit, produit à l’intérieur du système ; exogène : produit à l’extérieur du système (ici le cerveau) ; ordres de grandeurs : nombre de multiplications par 10 d’un nombre donnés (logarithme décimal : 10=1 ; 100=2 ; 1000=3 etc…).
stimulus devrait être survenue bien avant son arrêt après 1 min. Bien que les fréquences d’excitation intermittente (100 à 200 Hz) des neurones de l’hippocampe, par exemple, excèdent cette forme, elles ne sont pas temporellement symétriques et exhibent une variabilité des intervalles inter-stimulus qui contiendrait une information différente et devraient atténuer l’accoutumance.
La dépendance apparente des réponses de l’organisme à l’intensité du champ électromagnétique appliqué, la « courbe de réponse dépendante de l’intensité », pourrait simplement être un artéfact de l’absence d’information biologiquement pertinente dans la forme de l’onde. Si la structure temporelle du champs électromagnétique appliqué contenait des informations pertinentes et détaillées (Richards, Persinger, Koren, 1993), alors l’intensité du champ nécessaire pour induire une réponse pourrait être de plusieurs ordres de grandeur en dessous des valeurs qui ont été précédemment trouvées induire des changements. Par exemple, Sandyk (1992) et Jacobson (1994) ont trouvé que les champs magnétiques complexes avec des durées de pulsation inter- stimulus variables pourraient invoquer des changements sans précédent dans les niveaux de mélatonine même pour des intensités de l’ordre du nano-T5.
Le contre argument classique selon lequel des champs magnétiques « très forts » doivent être présents pour « excéder ou compenser le bruit électromagnétique associé aux énergies thermiques intrinsèques (Boltzmann) » est basé sur des équations et des calculs des indices quantitatifs d’agrégats d’activité moléculaire et pas sur les formes de leur interaction.
Il y a d’autres possibilités, Par exemple, Weaver et Astumian (1990) ont montré mathématiquement que la détection de champs très faibles (microV/cm)6 peut survenir si la réponse est exhibée dans une étroite bande de fréquences7 ; la détection est une fonction des fluctuations thermiques induites dans le potentiel de la membrane8 et de l’incrément maximal de changement de ce potentiel de la membrane qui est évoqué par le champ magnétique. Le modèle de résonance cyclotron ionique qui fut initié par la recherche de Blackman, Bename, Rabinowitz, House, et Joines (1985) et confirmé par Lerchl, Reiter, Howes, Honoka et Stkkan (1991) indique que, lorsqu’un champ magnétique alternatif à une fréquence de distance (résonance) est surimposé sur un champ magnétique stationnaire, le mouvement des ions calcium et autres peut être facilité avec de très petites énergies. Plus de 25 ans auparavant, Ludwig (1968) développa un

5 NdT : Nano-Tesla : milliardième de Tesla. Noter que ce résultat est au cœur des controverses actuelles sur les effets des GSM qui émettent des micro-ondes pulsées et modulées complexes.
6 NdT : A titre de comparaison, le champ électrique naturel de l’atmosphère est de 100 V/m soit un Volt/cm, l’auteur parle donc de champs 1 million de fois plus faibles que le champs électrique atmosphérique.
7 NdT : Ce qui signifie que le cerveau est capable de réagir a des champs 1 million de fois plus faibles que le champ atmosphérique, à condition que ce champs ait une certaine fréquence.
8 C’est-à-dire à la surface de la cellule.
argument mathématique séduisant (mais néanmoins ignoré) qui décrivait l’absorption d’ions atmosphériques dans le cerveau.
Au dessus de ces niveaux mimimaux, le contenu en information de la structure de l’onde devient essentiel. L’analogie la plus simple serait la réponse d’un réseau de neurones complexe tel que celui de l’être humain à l’énergie sonique. Si seulement un ton de 1000 Hz (onde sinusoïdale) était présenté, l’intensité requise pour évoquer une réponse pourrait bien excéder 90 db ; dans ce cas la réponse serait un évitement manifeste et grossier. Cependant, si la structure du champ sonique était modifiée pour exhiber la forme complexe qui serait équivalente à de l’information biologiquement pertinente telle que « aidez-moi, je meurs », des champs plus faibles de plusieurs ordres de grandeur (par ex. 30 db) pourraient être suffisants. Ce stimulus unique, bref mais riche en information évoquerait une réponse qui pourrait concerner tous les domaines cognitifs majeurs. Si l’information dans la structure du champ magnétique appliqué est une source majeure de sont effet neurocomportemental, alors les réponses « dépendantes de l’intensité » comme le support pour les hypothèses expérimentales d’interaction biomagnétique pourraient être aussi bien des épiphénomènes que des artéfacts. De telles amplifications des forces de champs électromagnétiques pourraient aussi accroître l’intensité des sous-harmoniques, rides et anomalies temporelles extrêmement subtiles et presque toujours ignorés qui sont surimposées sur ou dans la fréquence primaire. Ces anomalies subtiles seraient dues aux artefacts présents dans les différents circuits électroniques et les composants dont les similarités sont basées sur la fidélité du point limite (fréquence primaire) en dépit des géométries différentes employées pour produire ce point limite.
Si l’information plutôt que l’intensité est importante pour l’interaction avec le réseau de neurones (Jahn et Dunne, 1987), alors ces formes « de fond » non spécifiées peuvent être la source tant des effets expérimentaux que des échecs de réplications entre laboratoires. Un exemple concret de ce problème existe dans la supputation d’association entre l’exposition à des champs électromagnétiques (60 Hz) et certaines formes de cancer. L’existence de ces effets transitoires, souvent surimposés sur la fréquence fondamentale de 60 Hz, est encore le facteur le moins considéré dans la tentative de spécifier les caractéristiques des champs qui induisent des mitoses aberrantes (Wilson, Stevens, Anderson, 1990).
Dans les cinq dernières années, plusieurs chercheurs ont rapporté que des effets directs et significatifs sur des structures neurologiques spécifiques peuvent être induits par des champs magnétiques extrêmement faibles dont les intensités sont de l’ordre de l’activité géomagnétique. Sandyk (1992) a discerné des changements significatifs chez des sujets vulnérables tels que des patients diagnostiqués pour leurs désordres neurobiologiques consécutifs à des expositions de courtes durées à des champs magnétiques dont les forces se situent entre le pT et le nT mais dont les applications spatiales sont multifocales (???) et conçues pour introduire des configurations très hétérogènes dans une région très localisée du cerveau. Les composantes efficaces du champ (qui sont supposées être des formes temporelles discrètes dues à la modulation de la fréquence et de l’intensité des champs électromagnétiques) ne sont pas toujours évidentes ; cependant, les niveaux de puissance pour ces amplitudes sont similaires à celles associées avec les signaux (générés globalement par les systèmes radio et de communication) dans lesquels la plupart des êtres humains sont constamment exposés.
Le processus le plus parcimonieux par lequel tous les cerveaux humains pourraient être affectés nécessiterait (1) l’immersion dans le même milieu d’approximativement tous les 6 milliards de cerveaux de l’espèce humaine ou (2) une interaction coercitive parce qu’il y une bande de vulnérabilité très étroite dans chaque cerveau. Pour la première option, le champs stationnaire ou la composante « permanente » du champs magnétique terrestre répond au critère. La possibilité que des masses de personnes susceptibles pourraient être influencées durant des conditions critiques de variations extrêmement faibles (moins de 1 %) de l’amplitude stationnaire (50 000 nT, soit 50 µT) du champs magnétique terrestre tel que durant des orages géomagnétiques (50 à 500 nT) a été discutée ailleurs (Persinger, 1983). Des preuves expérimentales récentes ont montré un seuil de l’activité géomagnétique d’à peu près 20 nT à 30 nT pour l’observation d’expériences vestibulaires chez des êtres humains et la facilitation de crises limbiques chez des rongeurs est cohérent avec cette hypothèse.
Le potentiel pour la création d’un processus agrégé doté de propriétés de type gestalt qui reflète les caractéristiques moyennes des cerveaux maintenus dans ce champ générateur de l’agrégat a aussi été développé (Persinger et Mafreniere, 1977) et a été appelé « geopsyché ». Ce phénomène serait analogue aux caractéristiques vectorielles d’un champ électromagnétique qui est induit par le courant en déplacement dans les milliards d’éléments tels que les câbles contenus dans un volume relativement faible comparativement à la source. De tels gestalts, tout comme les champs en général, affectent aussi les éléments qui contribuent à la matrice (Freeman, 1990).
La seconde option nécessiterait l’accès à une limite très étroite des propriétés physiques dans lesquelles tous les cerveaux sont maintenus pour générer la conscience et l’expérience de soi. Ce facteur serait principalement porté par la variable température du cerveau. Bien que la relation entre température absolue et longueur d’onde est généralement claire [un exemple qui peut être décrit par la loi de Wien et qui est bien documenté en astrophysique (Wyatt, 1965)], ses implications pour l’accès à l’activité du cerveau n’ont pas été explorées. Les processus neurocognitifs fragiles qui maintiennent la conscience et le sens de soi existent entre 308°K et 312°K (35°C et 39°C). La longueur d’onde fondamentale associée avec cette émission est d’à peu près 10 µm ce qui est bien dans la longueur d’onde de l’infrarouge lointain.
Cependant, la rapport de cet intervalle divisé par la température absolue de l’activité normale du cerveau qui maintiennent les processus neurocognitifs est de seulement 0,013 ou 1,3 %. S’il y avait une structure sous-harmonique dans les champs magnétiques naturels et techniquement générés qui reflétaient aussi ce ratio, alors tous les cerveaux qui seraient opérants dans la bande de température pourraient être affectés par l’harmonique. Par exemple, si 11,3 Hz était une de ces fréquences électromagnétiques sous-harmoniques, des variations de seulement 1,3 % signifient ici 11,3 Hz +/- 0,13 Hz, seraient théoriquement suffisantes pour affecter le fonctionnement de tous les cerveaux normaux. Si cette « fréquence porteuse principale » contenait de l’information biologiquement pertinente en étant modulée de manière à transporter cette information, alors les intensités efficaces pourraient bien être l’intervalle du rayonnement de fond cosmique (de l’ordre de quelques microwatts/cm_) et pourraient être cachées en tant que composants chaotiques dans le bruit électromagnétique associé à la production d’énergie et son utilisation.
Une des utilisations prophylactiques directes des effets de ces champs pourrait nécessiter des altérations de la température du noyau (cerveau) tels qu’une hypothermie profonde mais réversible. Cependant, cette condition désorganiserait le processus biochimique sur lequel repose l’activité neuronale et donc la conscience. Les traitements qui précipitent les altérations de l’activité neurale, similaires à ceux qui sont associés à l’hypothermie grossière, seraient moins désorganisants. Des candidats spécifiques qui affectent les systèmes à récepteurs multiples tels que la clozépine (Clorazil) et l’acépromazine pourraient être des interventions pharmacologiques possibles.
Les caractéristiques de l’algorithme pour les individus euthermiques sont probablement notables (une fois isolés) mais devraient être maintenant cachés dans l’activité synchrone qui est (1) modifiée et filtrée par les agrégats de neurones et (2) modulée par les inputs sensoriels et ses oscillations intrinsèques (Kepler, Marder, Abbott, 1990) avant qu’ils soient sommairement mesurés par des électrodes. Puisque l’algorithme fondamental devrait être essentiellement un paramètre stable de la température du corps, la plupart des montages d’électrodes (y compris monopolaires hors cerveau ; par ex. oreilles) annuleraient ou atténueraient cet index. Effectivement, l’algorithme serait exprimé d’une manière similaire aux descripteurs pour d’autres phénomènes agrégés comme une constante physique ou un ensemble limité de telles constantes. Cette suggestion est commensurable avec l’observation selon laquelle les réseaux neuronaux sous-jacents qui coordonnent les millions de neurones manifestent les propriétés (mathématiques) d’un attracteur étrange avec un nombre très limité de degrés de liberté (Lopes, Da Silva, Kamphuis, Van Neerven, Pijn, 1990).
La preuve physico-chimique d’un processus fondamental, mû par une limite étroite de la température biologique s’est accumulée. Des variations électromagnétiques oscillatoires fixes ont été montrées in vitro pour les enzymes du chemin glycocitique (Higgins, Frenkel, Hulme, Lucas, Rangazas, 1973) dont l’étroite bande de sensibilité à la température (autour de 37°C) est bien connue. Bien que ces oscillations sont souvent mesurées comme périodes (cycles de 2,5 min), Rueg (1973) reporta une dépendance à la température claire de ces oscillations dans une bande de 1 à 20 Hz entre 20°C et 35°C dans des muscles d’invertébrés.
La source cérébrale la plus probable qui pourrait servir de modulateur primaire de ces oscillations biochimiques devrait impliquer des structures dans le thalamus (Steriade et Deschenes, 1984). Des agrégats neuronaux avec des oscillations d’une surprenante stabilité (0,1 Hz près) sont trouvés dans cette structure et dépendent principalement des neurones qui requièrent de l’acide gamma amino butyrique ou GABA (von Krosigk, Bal, McCormick, 1993). Cet acide aminé inhibitoire est spécialement dérivé de la dégradation normale, sensible à la température du glucose par le GABA (Delorey et Oslen, 1994).
Durant les deux dernières décades (Persinger, Ludwig, Ossenkopp, 1973) a émergé un potentiel qui était improbable mais qui est maintenant marginalement réalisable. Ce potentiel est la capacité technique d’influencer directement la majorité des approximativement six milliards de cerveaux de l’espèce humaine sans la médiation des modalités sensorielles classiques en générant l’information neurale dans le milieu physique où tous les membres de l’espèce sont immergés. De l’émergence historique de telles possibilités, de la poudre à canon jusqu’à la fission atomique, ont
résulté des changements majeurs de l’évolution sociale, qui survinrent de manière extraordinairement rapide après leur application. La réduction du risque d’application inappropriée de ces technologies requière une discussion ouverte et continue dans la communauté scientifique et le domaine public sur le réalisme de leur faisabilité et leurs implications.
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MessageSujet: Re: Sur la possibilité de contrôle à distance de tous les cerveaux humains par l'induction électromagnétique d'algorithmes fondamentaux   Sur la possibilité de contrôle à distance de tous les cerveaux humains par l'induction électromagnétique d'algorithmes fondamentaux I_icon_minitimeDim 3 Mar 2019 - 15:25

Même pas besoin d'électronique, de positronique et autres oniques... On nous contrôle depuis longtemps, cependant vous le découvrez maintenant.

Le contrôle mental est activé quotidiennement par l'intermédiaire des tv, des ordis, des téléphones etc... par les médias, les magazines qui informent sur tout et sur rien mais qui nous remplissent le cerveau jusqu'à plus soif. Par l'éducation nationale qui dirige la manière de penser, et qui donne à croire que tout ce que nous racontent tous les élites de tous bord est parole d'évangile et qu'ils détiendraient toutes les vérités.


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Sur la possibilité de contrôle à distance de tous les cerveaux humains par l'induction électromagnétique d'algorithmes fondamentaux Empty
MessageSujet: Quand la psychotronique remplace les armes   Sur la possibilité de contrôle à distance de tous les cerveaux humains par l'induction électromagnétique d'algorithmes fondamentaux I_icon_minitimeDim 3 Mar 2019 - 15:30

Dans la première partie de cet article, nous avons commencé un tour d’horizon des innovations en matière de contrôle de l’esprit, à la lumière de leurs enjeux politiques et militaires. Micro-ondes, neuro-imagerie, champs électromagnétiques, champs de radiations de fréquences radio…, poursuivons cette exploration fascinante et inquiétante au cœur des psychotechnologies.

L’armée a toujours suivi de près les avancées technologiques en matière de contrôle mental, et particulièrement celles basées sur les manipulations auditives. En 1971, un nouveau sys- tème a été conçu pour permettre aux combattants de communiquer entre eux par un émetteur radio dont la caractéristique était d’assour- dir et de désorienter l’ennemi : « Il s’agit d’un dispositif induisant des perturbations auditives et psychologiques, ainsi qu’une surdité partielle, chez un ennemi en phase de combat. Le principe : un rayon directionnel élevé est émis à partir d’un ensemble de transducteurs distincts, puis modulé par un signal sonore, codé ou verbal. Le dis- positif peut prendre différentes formes ; il peut inclure des radiants mobiles montés sur un véhicule et orientés pour converger sur une cible déterminée, des véhicules positionnés séparément, et utilisant un modulateur fréquentiel commun, ou des moyens pour moduler le rayon acoustique sur une fréquence fixe. Au cours d’un combat, les forces amies sont équipées d’un générateur de référence permettant une démodulation auditive du signal projeté qui génère un signal pulsé intelligible, tandis que le personnel ennemi est partiellement assourdi et incapable de percevoir les données véhiculées par le si- gnal en question, pulsé et modulé. »29 On l’aura compris, les forces équipées de ce système disposent d’un moyen de télécommunication dont les forces adverses sont privées, et par lequel elles sont même handicapées. En 1974, on a observé qu’en utilisant des micro-ondes, un signal était transformé (transmis) par le récepteur en un signal acoustique. Le signal est « entendu » à l’intérieur ou juste en arrière de la tête : « L’emplacement apparent du “son” se déplace de la tête de l’obser- vateur vers l’absorbeur. En d’autres termes, l’absorbeur fonctionne comme un transformateur en signal acoustique de l’énergie des mi- cro-ondes. À notre connaissance, cette observation n’avait pas encore été décrite dans les publications spécialisées. Le phénomène peut être utilisé pour faire “entendre” des signaux micro-ondes pulsés. »30 En 1989, un nouveau bond technologique a été franchi avec la combinaison du signal modulé et d’une micro-onde porteuse. Cette méthode permet une transmission du son beaucoup plus efficace : « Le son est induit chez une personne en irradiant sa tête par des micro-ondes comprises entre 100 et 10 000 mégahertz, modulées selon une structure ondulatoire particulière. Il s’agit de rafales de fréquences modulées. Chaque rafale est constituée de dix à vingt pulsations également espacées et densément regroupées. La durée de chaque rafale varie entre 500 nanosecondes et 100 microsecondes. La durée de chaque pulsation varie entre 10 nanosecondes et 1 microseconde. Les rafales sont modulées en fréquence par le signal audio, de façon à créer l’impression d’un son entendu par la personne irradiée. »31

Deux autres brevets en lien avec cette innovation ont été dépo- sés la même année. Le premier concernait les appareils d’aide auditive pour les mammifères : « L’invention est basée sur la perception des sons vécue dans le cerveau lorsque celui-ci est soumis à certains signaux de radiations en micro-ondes. »32 La seconde invention confirmait les observations antérieu- res : « Le son est induit dans la tête d’une personne en l’irra- diant à l’aide de micro-ondes comprises entre 100 et 10 000 mégahertz, modulées selon une structure ondulatoire parti- culière. Cette dernière consiste en rafales dont les fréquences sont modulées. Chaque rafale est constituée de dix à vingt pulsations également espacées, densément regroupées. » En 1992, était déposé un « système de communication silencieux dans lequel des porteurs non auditifs, dans des plages fréquentielles très basses ou très élevées ou dans le spectre adjacent aux fréquences ultrasoniques, sont modu- lés en fréquence ou en amplitude, avec les informations désirées et propagées sous forme acoustique ou vibratoire, pour induction dans le cerveau, à l’aide de haut-parleurs, de casques ou de transducteurs piézo-électriques. »34 In-

convénient pratique : pour fonctionner, le système devait être en contact direct ou très proche de la personne. Chacun de ces brevets constitue un pas de plus vers la mise au point d’une nouvelle génération d’armes et l’ensemble de ce secteur est du plus haut intérêt pour les milieux du renseigne- ment. Des chercheurs comme le psychologue Alan Frey et le biologiste Joseph Sharp ont participé à ce genre d’expériences auditives. Sharp a rapporté avoir entendu et compris des mots, les vibrations de la voix de l’orateur étant transmises en mode analogique, sous forme de micro-ondes pulsées. Commentant ces études, le Dr Robert Becker, deux fois no- miné pour le prix Nobel de la Paix, a fait observer qu’un tel système pouvait, de toute évidence, être utilisé pour entraîner la folie d’un sujet-cible, en lui faisant « entendre des voix », ou pour transmettre des instructions indétectables à un assassin potentiel. »35 Enfin, en 1996, a été mis au point un « système de commu- nication sans fil, indétectable par les méthodes de fréquences radio, pour convertir des signaux audio – y compris ceux de la voix humaine – en signaux électroniques de fréquences ul- trasoniques, en transmettant le signal ultrasonique par le biais d’ondes de pression acoustique, par un environnement porteur, constitué notamment de gaz, de liquides, ou de solides, et en reconvertissant ces ondes de pression acoustique de façon à restituer le message audio d’origine. »36 Restait à déposer un brevet qui ne soit pas retenu par le gou- vernement et confisqué par l’armée… Lorsque cette innovation a été saisie, ses inventeurs se sont vus proposer l’alternative suivante : soit travailler pour le gouvernement, soit interrompre leurs recherches et ne plus parler de leur invention, suite à un décret de défense nationale. Ceux qui refusaient de coopérer risquait effectivement de voir leurs travaux stoppés.
Fusionner biologie et technologies de l’information
D’importants progrès sont réalisés depuis quelques années pour tenter de connecter la biologie et les technologies de l’information. En 1990, on a appris que des scientifiques avaient réussi « pour la première fois à établir une colonie de cellules du cerveau humain qui se divise et se multiplie en laboratoire, une avan- cée aux implications importantes pour la compréhension et le traitement de divers troubles neurologiques, de l’épilepsie à la maladie d’Alzheimer. »37 Selon un reportage du Wall Street Journal de février 1994 : « Les chercheurs ont affirmé avoir fait leur premier pas pour créer des micro-puces électroniques utilisant les cellules vivantes du cerveau. Ils ont précisé avoir appris comment placer des cellules embryonnaires de cerveau à des endroits choisis, sur des puces en silicone ou en verre, de façon à orienter leur développement dans le sens désiré. »38 On peut imaginer que les cellules du cerveau tout comme l’équipement informatique puissent un jour être produits en laboratoires afin d’obtenir la première génération d’ordinateurs « biologiquement augmentés ».
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Les apports de la neuro-imagerie
Dans le cadre de la lutte contre le trafic de stupéfiants, le gou- vernement américain a lancé l’Initiative de technologie d’ima- gerie du cerveau. « Cette démarche établit des centres régionaux de neuro-imagerie pour le NIDA (Institut national d’abus des stupéfiants) et constitue une entreprise de coopération intermi- nistérielle visant à développer de nouveaux outils scientifiques pour comprendre les mécanismes de l’accoutumance et de la dépendance et évaluer de nouveaux traitements pharmacologi- ques. »39 Sous couvert d’explorer les mécanismes de la dépen- dance, la neuro-imagerie fournissait une cartographie précise du cerveau en fonctionnement. En 1995, a été breveté un système de captage et de décodage des signaux du cerveau comprenant un transducteur pour stimuler un sujet et des transducteurs (d’électroencéphalogramme) pour enregistrer ses ondes cérébrales. Ce système comprend également un ordinateur pour contrôler et syn- chroniser les stimulus présentés au sujet tout en enregistrant ses signaux cérébraux. Il interprète ces signaux en utilisant un modèle pour la pen- sée conceptuelle, perceptuelle et émotionnelle, à corréler avec les signaux EEG de ses pensées, ou bien les compare aux signaux normaux d’un cerveau issu d’une population normale afin de diagnostiquer et de localiser l’origine du dysfonctionnement cérébral41. Autrement dit, ce système lit vos pensées en comparant votre activité cérébrale à celle d’autres personnes.
Lire directement dans le cerveau
En 1996, est survenu un développement orwel- lien… : « … Pour déterminer à distance l’état émotionnel d’une personne, on génère et trans- met sans fil en direction d’un sujet un champ d’énergie ondulatoire de fréquence et d’inten- sité prédéterminées. L’énergie ondulatoire émise par le sujet est détectée et automatiquement analysée pour tirer des informations sur son état émotionnel. Les paramètres physiologiques ou physiques de pression artérielle, de pouls, de diamètre des pupilles, de rythme respiratoire et de niveaux de transpiration sont mesurés et comparés avec les valeurs de référence afin d’évaluer les réponses d’un interviewé et éven- tuellement ses intentions criminelles. »42 Cette technologie peut percer n’importe quel mur comportemental érigé par un individu, attein- dre directement son cerveau et en lire le contenu. Induire un comportement plutôt que de lire simplement l’état émotionnel d’une personne, tel est l’objectif des expériences dirigées par le professeur Michael Persinger, neurologue à l’université Laurentienne de Sudbury, dans l’Ontario : « Dans le cadre d’études scientifiques sur les enlèvements extraterres- tres en laboratoire (…), on utilise un casque de motard (voir°

ci-contre) muni sur les côtés de solénoïdes qui diffusent des champs magnétiques à travers la tête du sujet43. Cette expérience a fait l’objet d’un reportage diffusé dans une émission ca- nadienne, « Undercur- rents », en février 1999 ». Le Dr Persinger a tra- vaillé pendant plus de vingt ans sur une théorie qui relie non seulement les ovnis aux tremblements de terre, mais aussi aux champs électromagnétiques puissants et propose une explication de certaines croyances paranormales en termes d’activité cérébrale inhabituelle. Il a notamment découvert que le fait de stimuler les lobes temporaux peut produire toutes sortes d’expériences mystiques, de sensations de sortie du corps et autres phé- nomènes dits paranormaux. »44 D’après lui, ces expériences paranormales sont produi- tes par une activité spécifique du cerveau et ne sont donc pas réellement vécues. Le Dr Persinger est également connu pour ses recherches sur les effets des ELF (ondes de fréquences ultra-basses) sur la mémoire et le fonctionnement du cerveau. »45 En 1991, a été brevetée une méthode vi- sant à modifier les ondes cérébrales à une fréquence désirée46. Selon cette technique, des signaux de différentes fréquences sont simultanément transmis au cerveau du sujet à l’intérieur duquel ils interfèrent les uns avec les autres pour donner une onde modulée par les ondes cérébrales du sujet. La forme ondulatoire d’interférence, qui est représentative de l’activité cérébrale, est retransmise par le cerveau à un récepteur où elle est démodulée et amplifiée. Le ré- sultat ainsi démodulé est alors affiché de façon à être visualisé, puis dirigé vers un ordinateur pour d’autres traitements et analyses. La forme ondulatoire démodulée peut aussi être utilisée pour produire un signal de compensation retransmis vers le cerveau pour y produire un changement déterminé de son activité électrique. »47 En termes plus simples, l’activité du cerveau est cartographiée afin de lire l’état émotionnel, les capacités conceptuelles ou les sché- mas intellectuels d’un individu. Un second signal peut être généré et renvoyé au cerveau pour couvrir le signal naturel, ce qui entraîne un basculement des structu- res énergétiques du cerveau. C’est l’ « entraînement du cerveau » qui provoque le changement de conscience. Comme on l’a vu plus haut, ce genre de technologies ouvre

d’intéressantes perspectives… dépendantes des intentions de la personne aux commandes. En janvier 1998, la revue Nature citait le neurologue de l’Ins- titut Pasteur Jean-Pierre Changeux, président du comité na- tional bioéthique français : « La neuroscience pose également des risques potentiels, dit-il [Changeux], expliquant que des progrès en imagerie cérébrale permettent l’invasion de la vie privée (…). Cela deviendra courant et pourra être utilisé à distance, prédit-il. Cela ouvrira la voie à des abus comme le contrôle du comportement et le lavage de cerveau48. Des neurologues ont obtenu des vidéos de ce que voit un chat en utilisant des électrodes implantés dans le cerveau de l’ani- mal. « En comprenant comment le cerveau code l’informa- tion, on pourra remplacer certaines parties du système nerveux par un appareil artificiel », ont-ils expliqué49.
Trouver la bonne « station » radio du cerveau
L’utilisation de la cartographie du mental offre d’autres possibi- lités. Des recherches sur le contrôle du comportement humain et animal ont été effectuées par le Dr José Delgado de l’Univer- sité de Yale, l’une des princi- pales institutions de recherche des États-Unis. Au cours de ces travaux, il a été prouvé que « des mouvements, des sensations, des émotions, des désirs, des idées, et une variété de phénomènes psychologiques peuvent être in- duits, inhibés, ou modifiés par la stimulation électrique de zones spécifiques du cerveau. »50 En 1985, le Dr Delgado en était arrivé à créer ces effets en n’uti- lisant qu’un signal radio envoyé à distance au cerveau, avec des concentrations d’énergie de moins de 1/50e de ce que la Terre pro- duit naturellement. Cette découverte implique que la fréquence, la forme ondulatoire et le taux de pulsation (la modulation) sont les facteurs plus importants que la quantité d’énergie utilisée. Cela paraît logique, étant donné que le corps humain n’exige pas de grande concentration de puissance électromagnétique pour régu- ler son fonctionnement habituel. Le tout était de trouver les mé- canismes de « tuning », la bonne longueur d’onde, dans le but de localiser la bonne « station de réception » à l’intérieur du cerveau. En 1993, après l’ouverture de la Russie sur le monde extérieur, des informations sur les recherches menées dans ce pays en matière de psycho-correction ont été portées à la connaissance du public. Y avait-il réellement menace pour la sécurité aux États-Unis dans le cas où des ordres inaudibles étaient utilisés pour modifier le comportement ? »51. En fait, les Américains découvraient un secret gardé depuis longtemps par le gouvernement : l’esprit et le corps humains peuvent être contrôlés à distance, sans qu’il y ait la moindre trace. L’une des sommités dans ce domaine, le Dr Igor Smirnov,
commence alors à dévoiler ses découvertes. Les experts en guerre psychologique de tous bords continuent à rêver de pouvoir un jour contrôler la psyché de l’ennemi. Et dans un labo minuscule, semblable à un donjon, situé dans les sous-sols de l’Institut répondant au nom sinistre d’Institut de psycho-correction de Moscou, Smirnov et d’autres psychiatres russes travaillent déjà avec des schizophrènes, des toxicomanes et des patients atteints de cancer. »52 Les résultats de cette recherche ont été examinés et démontrés aux membres des services de renseignement des États-Unis, et exposés par le Dr Smirnov dans une interview figurant dans le documentaire télévisé canadien déjà cité Un- dercurrents. C’est un sujet intéressant, comme on peut le voir dans cet extrait d’un article de 1999. « Les fantasmes sont des processus de pensée impliquant des monologues intérieurs et des séquences imagina- tives qui peuvent motiver des personnes en bonne santé à avoir des comportements constructifs ; en revanche, ils peuvent inspirer à des individus déséquilibrés des comportements destructeurs ou dangereux. L’une des conclusions de ces recherches, c’était que le fantasme joue un rôle prépondérant chez les criminels auteurs d’actes violents. Les chercheurs se sont rendu compte que ces criminels repassaient leurs fantasmes en rêve éveillé, puis s’entraînaient à en pratiquer cer- taines séquences, avant de passer à l’acte et de commettre leurs crimes. Les agents du FBI ont constaté que dès l’enfance, les criminels violents manifestent souvent des signes précurseurs. Il peut s’agir de fantasmes vio- lents, mais aussi d’obsessions, de fascination pour des chansons aux paroles violentes par exem- ple, de problème de drogue ou d’alcool. Quand de tels signes apparaissent, il faut les signaler à une équipe sécialisée dans la gestion des menaces, de façon à neutraliser le danger, soit par des séances de thérapie, si une réhabilitation est encore possible, soit par le licenciement de l’employé concerné. Un acte de violence au travail ou à l’école est généralement précédé de signes qui sont autant d’avertissements. »53 La capacité à déterminer une « prédisposition » pour un compor- tement donné ne signifie pas pour autant que le sujet « choisira » de passer à l’acte. Chacun d’entre nous peut se souvenir de certai- nes périodes de notre vie où nos propres pensées ont pu être dan- gereuses, immorales ou inacceptables sur d’autres plans, tombant en-deça des normes sociales ou culturelles en vigueur. Cependant, nous savons maintenir ces pensées à l’intérieur de la sphère privée de notre propre psychisme. La tendance générale actuelle dans le domaine des technologies de contrôle mental ferait de nos pensées les plus intimes, alors que nous nous débattons face aux tentations et aux choix quoti- diens, l’objet d’une surveillance et d’un contrôle rapproché de la

part du gouvernement, ou de nos employeurs. Qui définira les règles de psycho-correction ? Qui décidera de ce qui est éthique ou pas dans ce domaine ? Une stimulation extérieure du cerveau par des moyens électro- magnétiques peut l’entraîner, ou le faire rentrer en phase avec un générateur de signaux extérieurs55. Les ondes cérébrales prédominantes peuvent être conduites ou poussées vers de nouveaux schémas fréquentiels par une stimulation externe. En d’autres termes, le conducteur de signaux externe ou le générateur d’impulsions, couvrant les fréquences habituelles et provoquant des modifications de ces ondes, entraînant à leur tour des transformations d’ordre chimique à l’intérieur du cer- veau, qui enfin influencent les productions de pensées, d’émo- tions ou d’état physique. La manière dont vous serez conduits, déterminera l’endroit où vous arriverez. La manipulation du cerveau, bénéfique ou nuisible à l’individu recevant l’impact, dépendra du niveau de connaissance ou des intentions de la personne contrôlant la technologie. En combinaison avec des formes ondu- latoires spécifiques, les diverses fréquen- ces déclenchent des réactions chimiques précises dans le cerveau. La libération de neurotransmetteurs provoque des réactions spécifiques ayant pour con- séquence des sentiments de peur, de désir, de dépression, d’amour, etc. Ces dernières, et la gamme entière des réponses émotionnelles et intellectuelles, sont provoquées par des combinaisons très particulières de ces substances chimiques cérébrales qui sont libérées par des impulsions électriques de fréquences détermi- nées. « Des mélanges précis de ces « jus » cérébraux peuvent produire des états mentaux extraordinairement précis, com-
me la peur du noir, ou un état de concentration intense. »56 La recherche dans ce domaine progresse à un rythme fulgurant, et de nouvelles découvertes sont publiées régulièrement. La connaissance de ces fréquences donnera lieu à d’importants progrès en matière de santé humaine. Les radiations radiofré- quentielles, qui agissent comme un vecteur de fréquences extrê- mement basses (ELF), peuvent être utilisées pour véhiculer les ondes du cerveau à distance.
Favoriser la détente et le sommeil
Le contrôle du corps et de l’esprit au moyen de diverses fréquen- ces d’énergie électromagnétique, parmi lesquelles signaux radio, pulsations lumineuses, sonores, ELF ou micro-ondes, a donné lieu à plusieurs innovations. Des effets et des utilisations positives pour la santé sont recherchées dans le secteur privé, partout dans le monde. En 1973, il est question d’un « appareil pour le traitement des trou- bles neuropsychiques et somatiques, dans lequel la lumière, les sons, les champs électromagnétiques VHF et les sources de chaleur sont appliqués simultanément par une unité centrale au système nerveux central du patient, à un taux de répétition prédéterminé. Les sources de radiations lumineuses et sonores sont réglées de telle manière qu’ils exercent une influence adéquate et monotone sur les analyseurs visuels et auditifs du patient. »57 Le cerveau suit la source extérieure de stimulation, ce qui entraîne des modifica- tions immédiates et directes. Une invention simple, brevetée en 1977 « … fournit un système qui améliore l’application mentionnée ci-dessus pour favoriser

un sommeil naturel. Cette application produit plusieurs formes d’ondes, de sorte qu’un son analgésique pourra ressembler aux sons apaisants de la nature, par exemple celui des vagues, de la pluie ou du vent. »58 Ces types d’appareils sont disponibles partout et sont destinés à aider les gens à se détendre, puis à s’endormir. En 1980, un autre brevet a été déposé : « … Une méthode et un appareil produisant un signal, un son dont l’objet est d’induire un effet hypnotique ou anesthésique chez l’être humain. Cette invention a également ses applications pour la maîtrise des foules ou l’entraînement aux changements d’états de conscience (« biofeedback »). Elle peut égale- ment être utilisée pour créer des effets musicaux spéciaux. »59 Cet appareil permet de maîtriser les individus comme seules le peuvent l’hypnothéra- pie ou certaines drogues. Quelques années plus tard, une autre technique fut conçue pour créer ce genre d’effets, une fois de plus en utilisant des énergies très subtiles : « Des ondes de forme cérébrales, associées aux états de relaxation et de méditation, sont indui- tes, sans effets secondaires délétères, chimiques ou neurologiques. »60 Divers systèmes ont été perfectionnés, et leurs brevets déposés, dans le but de contrôler l’activité cérébrale61 à 68. Ces inventions ont généré toute une série de progrès majeurs des techniques visant à contrôler un individu, son état émotionnel, ses niveaux de concentration ou de douleur. En 1990, les résultats d’une étude indiquaient clairement que « des types spécifiques d’expériences subjec- tives peuvent être facilités lorsque des champs magnétiques de fréquences extrêmement basses, de moins d’un miligauss sont générés à travers le cerveau, au niveau des lobes temporaux. Des sensations vestibulaires (vibrations, flottement), des impressions de dépersonnalisation (sentiments de détachement, sentiment d’une présence), et des rêves éveillés (images vivaces de son enfance) apparaissaient plus fréquemment parmi les grou- pes exposés sur le terrain, que parmi le groupe de contrôle, non réellement exposé. »69
Armes new age
Une invention datant de 1996 s’inscrivant dans la mouvance « new age » propose d’utiliser des cristaux de quartz pour sou- lager le stress, en provoquant un ralentissement de l’activité cérébrale. « Le stress physiologique d’un sujet humain est traité en générant un champ électromagnétique faible autour d’un cristal de quartz. Ce dernier est stimulé par l’application de pulsations électriques, de durées variant entre 0,1 et 50 micro- secondes, à un rythme de répétition entre 0,5 k et 10 k (500 et 10 000) pulsations par seconde, à un conducteur situé à côté du cristal de quartz, créant ainsi un champ magnétique faible. Une personne est placée à l’intérieur de ce champ le temps nécessaire
pour obtenir une réduction de son niveau de stress. »70 L’entraînement de la conscience est aussi un thème fondamen- tal des sectes, des organisations religieuses et d’autres groupes adeptes du new age. La science a maintenant une plus grande compréhension de la manière dont fonctionnent le mental et le cerveau, de telle sorte que ce qui autrefois prenait des an- nées ou même parfois des décennies à réaliser, peut dorénavant être maîtrisé en à peine quelques semaines, quelques jours ou même quelques minutes. Par exemple, en 1996, on a mis au point une méthode et un appareil destiné à atteindre des états correspondant aux ondes cérébrales alpha et thêta, et produire des états émotionnels positifs chez l’humain71. Trois ans plus tôt, un brevet avait été déposé concernant un système pouvant engendrer les états de conscience souhaités : « … au cours de la formation d’un individu, pour qu’il réplique de tels états de conscience sans autre stimulation audio ; et durant le transfert de tels états d’un être humain à un autre, par l’imposition de l’électroencéphalogramme d’une personne, surimposé à des signaux stéréophoni- ques désirés, par l’induction d’un phénomène de pulsations bi-auditives. »72 S’agit-il d’une trans- mission de pensées ?
Les transferts de mémoire
Il est intéressant de remarquer que cela va dans le même sens que les recherches militaires : réussir à appliquer des signaux modifiés par ordinateurs qui s’intégreraient à la mémoire ordinaire d’un sujet. Les possibilités d’abus sont évidentes, autant que celles de progrès personnels. Imaginez une formation par transfert direct de connaissan- ces au cerveau humain plutôt que par les métho- des d’apprentissage traditionnelles. Un aspect à considérer sérieusement en ce qui concerne ces systèmes de transfert de mémoire est le fait qu’ils contournent les filtres intellectuels habituels : l’information est déposée à l’intérieur du cerveau, comme étant factuelle, sans aucune remise en question préalable, sans aucune précau- tion. Que se passe-t-il si la nouvelle information est contraire à celle préalablement existante ? Serait-il possible d’injecter des données cachées, dans le but d’influencer mal- honnêtement les personnes, dans des domaines comme celui des croyances religieuses, des convictions politiques ou de la consommation de biens et de services divers ? Les champs d’application possibles sont immenses et les questions éthiques et morales afférentes tout autant. Nous ne pouvons éviter le débat plus longtemps. En fait, ce der- nier a pris beaucoup de retard sur les progrès de la recherche scientifique. Entre temps, il existe quelques mesures simples et accessibles qui permettent d’améliorer nos propres capacités d’appren- tissage, ou celles de nos enfants. Par exemple, « des chercheurs du Centre de neurobiologie de l’apprentissage et de la mémoire de l’université de Californie, à Irvine, ont établi que dix minutes d’écoute d’une sonate de piano de Mozart augmentait le QI mesurable des étudiants jusqu’à neuf points supplémentaires. »73 Une technique de développement per- sonnel particulièrement douce…
Électromagnétisme et conflits militaires
Un article de 1984, titré : « Le spectre électromagnétique des conflits de faible intensité », en dit long sur l’intérêt que les mi- litaires portent aux recherches en électromagnétisme (REM) : « Les résultats de nombreuses études publiées au cours des dernières années indiquent que des effets biologiques spécifiques peuvent être obtenus en contrôlant les divers paramètres du champ électromagnétique (EM). Un certain nombre des facteurs EM les plus importants, pouvant être manipulés, sont : la fréquence, la forme ondulatoire, le rythme de démarrage d’une pulsation, sa durée, son amplitude, son taux de répétition, sa modulation secondaire, ainsi que son degré de symétrie ou d’asymétrie. Un grand nombre des effets cliniques de ces radiations électromagnétiques ont été observés pour la première fois en appliquant le courant électrique directement sur la peau. Plus tard, les mêmes effets furent obtenus par l’application de champs ambiants. « Comme pour la plupart des entreprises humaines, ces appli- cations de radiations électromagnétiques sont potentiellement des armes à double tranchant. Ils peuvent générer des bienfaits importants, mais en même temps peuvent être exploités et
utilisés de manière contrôlée pour des applications militaires ou clandestines. Cet article se concentre sur les utilisations po- tentielles des radiations électromagnétiques lors de conflits fu- turs mineurs : « Applications militaires potentielles des REM. L’exploitation de cette technologie à des fins militaires n’en est qu’à ses balbutiements et n’a que récemment été reconnue par les États-Unis comme une option réaliste. Une étude réa- lisée en 1982 par l’Air Force sur la biotechnologie arrivait à la conclusion suivante : “Les données actuellement disponibles permettent de projeter que des champs de radiation de fré- quences radio (RFR) spécifiquement générés peuvent repré- senter des menaces militaires puissantes et révolutionnaires. La thérapie par électrochocs indique la capacité des courants élec- triques induits à interrompre complètement le fonctionnement du mental pendant de courts laps de temps, afin d’obtenir une cognition sur des périodes plus longues et de restructurer les réactions émotionnelles sur des intervalles prolongés. L’expérience avec la thérapie par électrochocs, les expériences avec la RFR et notre compréhension grandissante du cerveau en tant qu’organe à médiation électrique suggèrent qu’il est très probable que les champs électromagnétiques émis peuvent être perturbateurs de comportements intentionnels et peuvent être capables de diriger et/ou de remettre en question de tels com- portements. D’autre part, le passage d’environ 100 milliampè- res à travers le myocarde peut entraîner un arrêt cardiaque et la mort, indiquant une fois de plus un effet d’arme aussi rapide que la lumière. Un système de RFR effectuant des balayages ra- pides pourrait fournir une capacité efficace d’induction d’états d’hébétude ou de mort sur des zones étendues. L’efficacité de tels systèmes sera fonction de la forme des ondes, de l’intensité des champs, de la largeur des pulsations, de leur fréquence de répétition et de la fréquence de l’onde porteuse. Le système en question peut être mis au point en utilisant des études sur les tissus et les animaux en général, combinées aux recherches sur les effets des mécanismes et des formes ondulatoires. En utilisant des RFR de niveau relativement bas, il est pos- sible de sensibiliser d’importants groupes de combattants à des quantités extrêmement dispersées d’agents biologiques ou chimiques, vis-à-vis desquels la population non-irradiée resterait immunisée. Les applications potentielles des champs électromagnétiques

artificiels sont vastes et peuvent être mises en œuvre dans de nombreuses situations militaires ou quasi-militaires. Certaines de ces utilisations incluent le traitement de groupes terroristes, la maîtrise des foules, la maîtrise des infractions sécuritaires sur les installations militaires, et les techniques anti- personnelles de la guerre tactique. (…) Un dernier domaine dans lequel les radiations électromagnétiques peuvent s’avérer d’une certaine valeur est l’accroissement des capacités des indi- vidus à avoir des comportements anormaux”. »74 Un article tout à fait typique des années 80. La stimulation de phénomènes anormaux était un autre point intéressant révélé dans l’article de l’Air Force. Qu’est-ce que cela pouvait bien signifier ? Dans un communiqué de presse de novembre 1995, l’intérêt de la CIA fut révélé lorsqu’il fut annoncé que « depuis vingt ans, les États-Unis ont secrètement utilisé des médiums pour tenter d’aider di- verses agences de lutte anti-drogue à essayer de localiser Moammar Kadhafi, et pour trouver du plutonium en Corée du Nord, comme le confirment la CIA et d’autres sources. Les opérations d’espionnage ESP – dont le nom de code était ‘Stargate’ (« Portail des étoiles ») – étaient peu fia- bles, mais trois médiums ont continué à travailler à partir de Fort Meade, au moins jusqu’en juillet, d’après ce qu’ont affirmé des chercheurs évaluant le programme pour la CIA… »75 Il est également intéressant de noter que ce rapport coïncidait avec la révélation pu- blique effectuée par le personnel militaire de ce projet. L’histoire fut révélée dans le livre de David Morehouse Psychic Warrior [Guerrier psychique].77 Citons également le colonel John Alexan- der qui travaille sur la région de Los Alamos, qui fut à l’origine de ce domaine de recherches : « il existe des systèmes d’armement qui agissent sur le pouvoir du mental et dont les capacités létales ont déjà été démontrées. (…) L’arme psycho- tronique serait silencieuse, difficile à détecter et ne requerrait qu’un humain pour la mettre en marche. »
Une sorte de balle acoustique
Selon un article sur les armes non-létales : « Une arme RF, que l’on developpe actuellement, est le modulateur de haute puissance et de très basse fréquence (VLF). Fonctionnant dans le spectre situé entre 20 et 35 kHz, la fréquence est émise de- puis une parabole de 1 à 2 mètres de diamètre, jusqu’à former une sorte de balle acoustique. C’est une arme particulièrement pratique parce que son niveau de puissance est facilement ajus- table. À son niveau le plus bas, la balle acoustique provoque un état d’inconfort physique – ce qui est suffisant pour dissuader la plupart des menaces de se rapprocher. Une augmentation progressive de la puissance provoque des effets de nausée, de
vomissement et de douleurs abdominales. Les réglages les plus élevés peuvent littéralement provoquer une explosion interne des os d’un individu. Dirigé vers la tête, vers les os résonateurs du crâne, le dispositif peut faire entendre des « voix » au sujet. L’armée russe a effectué des recherches plus approfondies sur ce dispositif que l’armée américaine. En effet, « …les Russes ont en fait proposé l’utilisation de telles armes au FBI au cours de la confrontation avec les Davi- diens, pour leur faire croire que « Dieu » leur parlait. Inquiet de l’imprévisibilité de ce que ces voix auraient pu vraiment « dire » aux adeptes, le FBI a refusé. Une autre arme RF qui était prête à l’emploi en 1978, fut développée sous la couverture de l’Opération PIQUE. Mis au point par la CIA, le plan était de faire rebondir des signaux radio de grande puissance contre l’ionosphère, de manière à affecter les fonctions mentales des personnes des zones choisies, incluant notamment les installations nucléaires d’Europe de l’Est. » (78) L’utilisation de l’ionosphère dans les expériences de la CIA n’est pas sans nous rappeler les possibili- tés actuelles de systèmes tels que HAARP, mis au point 15 ans plus tard. Ce qui ressort clairement, c’est que ces systèmes ont été développés et dissimulés aux yeux du grand public. Cette pratique se poursuit actuellement.
Paralyser les machines
« Le prochain domaine d’armes non létales est celui visant principale- ment les engins mécaniques. (…) Ces dispositifs peuvent entraîner l’arrêt de ces machines, ou les rendre vulnérables à d’autres attaques, cette fois-ci plus meurtrières. D’autre part, les humains sont devenus très dépendants des machines, se retrouvant souvent complètement paralysés si celles-ci ne marchent plus. Il est donc logique que la ques- tion soit abordée ici. L’arsenal principal anti-machinerie inclut des armes à base de micro-ondes, de pulsations élec- tromagnétiques non-nucléaires, et du rayon laser. « Le Commandement des Opérations Spéciales des USA possède dans son arsenal une arme à micro-ondes portable. Une telle arme a des capacités très variées, puisqu’elle peut aussi bien interrompre les communications ennemies, que surchauffer les organes internes des opérateurs. Bien sûr, dès qu’une telle arme vise le personnel ennemi, elle quitte la catégorie des armes non-létales. Développée au Laboratoire National de Los Alamos, cette arme génère son signal de manière un peu semblable aux armes RF décrites ci-dessus, dans le sens où elle dirige son énergie en une pulsation de grande intensité, détruisant ainsi les transistors et autres

équipements électriques… Sur une échelle encore plus petite, une arme EMP portable pourrait être transportée par des troupes au sol pour détruire les composantes électriques d’un véhicule blindé ou d’un tank. Cette capacité est en train d’être développée par des forces de police, avec l’émission d’une pulsation capable d’arrêter une voiture presque instantané- ment. »79 Ces systèmes présentent autant de promesses que de risques, à me- sure que ce nouveau siècle s’ouvre à nous. Comment le public réa- gira-t-il à ces systèmes ? Nous sug- gérons que ces réactions entraîne- ront des changements importants dans les utilisations et les dévelop- pements futurs de ces technolo- gies. D’autre part, nous estimons que des systèmes de contrôle et de surveillance pourraient être déve- loppés, permettant de détecter ces technologies, afin d’en empêcher un emploi abusif.
Victimes de manipulation mentale ou « wavies »
Parfois appelés (en anglais, NdT.) wavies (‘vagueux’) ou bea- mers (‘rayonneux’), ces individus ne sont pas généralement pris très au sérieux lorsqu’ils affirment avoir été victimes d’essais d’armes de manipulation mentale. En fait : « Des chercheurs de l’Université de Floride du Sud ont publié une étude montrant que les peurs liées à l’Internet sont en train de remplacer la CIA et les ondes radio, parmi les sour- ces d’illusions fantasmatiques fréquentes chez les patients psychiatriques. Dans chaque cas d’illusion liée à l’Internet documenté par ces chercheurs, le patient n’avait en fait que peu d’expérience avec les ordinateurs. »80 Le problème c’est qu’il est difficile voire impossible de dis- cerner les véritables victimes des victimes imaginaires. Les tentatives pour déterminer la réalité de ces plaintes sont souvent la cible de plaisanteries et de peurs. Par exemple, l’université d’Albany a « mis fin aux recherches d’un profes- seur de psychologie qui enquêtait sur l’univers de « X-files » de la surveillance gouvernementale et de la manipulation mentale. À l’occasion de divers congrès, dans des articles et par ses recherches poursuivies pendant plus de deux semes- tres, le professeur Kathryn Kelley a exploré les affirmations de ceux qui disent qu’ils ont subi des implantations chirurgi- cales d’appareils de communication dans le but de lire leurs pensées. »81 Depuis la publication de notre premier ouvrage, Les anges ne jouent pas de cette HAARP : Progrès en technologie Tesla,82

nous avons reçu des témoignages de centaines de personnes faisant de telles affirmations. Nous ne pouvons pas distinguer ce qui serait la conséquence de vérita- bles expérimentations, de ce qui n’existe que dans l’esprit de ces personnes. Nous pensons qu’il faut prendre ces affirmations au sérieux, et que les gens devraient avoir quelque part où aller pour savoir la vérité, ou pour recevoir les traitements médicaux qu’ils méritent de recevoir par ailleurs. L’histoire des États-Unis est rem- plie d’exemples de gens exploités par des scientifiques travaillant sous le couvert de l’obscurité gé- nérée par des « budgets noirs ». Est-ce que ces rapports ont un fondement factuel ? Selon nous, c’est effectivement le cas pour certains d’entre eux. La manipu- lation mentale par le gouverne- ment, pour imposer sa volonté aux gens est parfaitement résumée sur le mur du Mémorial en l’honneur de Franklin D. Roosevelt, portant l’inscription suivante : « Ceux (qui) cherchent à établir des systèmes de gouvernement fondés sur une discipline excessive appliquée à l’ensemble des êtres humains par une poignée de dirigeants isolés… appellent cela ‘ordre nouveau’. Ce n’est pas de l’or- dre, et ça n’a rien de nouveau. »83 ■


Ce texte est extrait de Earth Rising II : The Betrayal of Science, Society and the Soul écrit par le docteur en médecine Nick Begich et James Roderick en 2003. Nick Begich est directeur du Lay Institute of Technologies, une association à but non lucratif située au Texas (les résumés et les références de ses recherches peuvent être consultées sur le site Internet de l’association http://www.layinstitute.org). Il est également éditeur et copropriétaire des éditions Earthpulse Press ba- sées en Alaska. Il a coécrit avec Jeanne Manning Les Anges ne jouent pas de cette HAARP (voir NEXUS n° 28). Avec James Roderick, il a également rédigé Earth Rising – The Revolution : Toward a Thousand Years of Peace. Son nouveau livre sur le contrôle de l’esprit doit paraître dans quelques mois... Il a également été orateur lors des conférences de NEXUS à Amster- dam et à Brisbane et a contribué à NEXUS en écrivant des articles, son premier étant une dénonciation de l’installation du programme HAARP en Alaska. Le Dr Begich est marié à Shelah Begich-Slade et a cinq enfants. Il vit au nord d’Anchorage dans la communauté de Eagle River en Alaska (États-Unis). On peut le contacter par l’intermédiaire de son site Internet http://www.earthpulse.com.





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MessageSujet: Re: Sur la possibilité de contrôle à distance de tous les cerveaux humains par l'induction électromagnétique d'algorithmes fondamentaux   Sur la possibilité de contrôle à distance de tous les cerveaux humains par l'induction électromagnétique d'algorithmes fondamentaux I_icon_minitimeDim 3 Mar 2019 - 15:32

Es-tu xérox victime de harcèlement électronique ? Je ne comprends pas si c'est toi ou si tu postes un article sur le sujet.

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MessageSujet: Re: Sur la possibilité de contrôle à distance de tous les cerveaux humains par l'induction électromagnétique d'algorithmes fondamentaux   Sur la possibilité de contrôle à distance de tous les cerveaux humains par l'induction électromagnétique d'algorithmes fondamentaux I_icon_minitimeDim 3 Mar 2019 - 15:34

safran_ a écrit:
Es-tu xérox victime de harcèlement électronique ? Je ne comprends pas si c'est toi ou si tu postes un article sur le sujet.

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OUI CES EXACTE DEPUIT QUE JE ME CONNECTE SUR DES FORUMS ANTI CONSPIRATION
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MessageSujet: Re: Sur la possibilité de contrôle à distance de tous les cerveaux humains par l'induction électromagnétique d'algorithmes fondamentaux   Sur la possibilité de contrôle à distance de tous les cerveaux humains par l'induction électromagnétique d'algorithmes fondamentaux I_icon_minitimeDim 3 Mar 2019 - 16:31

Nous en avons été victimes ma fille et moi quand je me suis rendue compte il y a plusieurs années qu'il pouvait y avoir quelque chose ayant un rôle dans certaines des manifestations paranormales se déroulant dans la vallée où j'habitais et serait lié à un projet top-secret. Des gens sont impliqués dans ce genre de "programmes" dans ce secteur, là-bas.

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MessageSujet: Re: Sur la possibilité de contrôle à distance de tous les cerveaux humains par l'induction électromagnétique d'algorithmes fondamentaux   Sur la possibilité de contrôle à distance de tous les cerveaux humains par l'induction électromagnétique d'algorithmes fondamentaux I_icon_minitimeDim 3 Mar 2019 - 16:33

safran_ a écrit:
Nous en avons été victimes ma fille et moi quand je me suis rendue compte il y a plusieurs années qu'il pouvait y avoir quelque chose ayant un rôle dans certaines des manifestations paranormales se déroulant dans la vallée où j'habitais et serait lié à un projet top-secret. Des gens sont impliqués dans ce genre de "programmes" dans ce secteur, là-bas.

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OUI NOUS SOMME DEDANT COMMENT AVEZ VOUS RESUSSI A SORTIR DE CE MAUVAIS PAS SVP CE SERAI TRES COOL DE FAIRE PARTAGER LA POLICE C EN FOU LES SERVICES DE L ARME IDEM
MERCI A VOUS
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MessageSujet: Re: Sur la possibilité de contrôle à distance de tous les cerveaux humains par l'induction électromagnétique d'algorithmes fondamentaux   Sur la possibilité de contrôle à distance de tous les cerveaux humains par l'induction électromagnétique d'algorithmes fondamentaux I_icon_minitimeLun 4 Mar 2019 - 14:48

Sujet fusionné !

Pas de titre sujet en majuscule STP.
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Féminin Lion Cheval
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MessageSujet: Re: Sur la possibilité de contrôle à distance de tous les cerveaux humains par l'induction électromagnétique d'algorithmes fondamentaux   Sur la possibilité de contrôle à distance de tous les cerveaux humains par l'induction électromagnétique d'algorithmes fondamentaux I_icon_minitimeMar 5 Mar 2019 - 11:37

xerox a écrit:


OUI NOUS SOMME DEDANT COMMENT AVEZ VOUS RESUSSI A SORTIR DE CE MAUVAIS PAS SVP CE SERAI TRES COOL DE FAIRE PARTAGER LA POLICE C EN FOU LES SERVICES DE L ARME IDEM
MERCI A VOUS

En fait nous n'avons rien fait sinon de refuser clairement que quelque chose puisse nous atteindre. Peut-être que ceux qui ce sont manifestés durant toutes ces années nous ont également protégé.

De toute manière si on m'a instruite sur certaines choses il est évident que ce on ne laisserait personne nous nuire autant que faire se peut.

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