Notre-Dame de La Salette à Mélanie Calvat le 19 septembre 1846 :
« Rome perdra la foi et deviendra le siège de l’Antéchrist »
Surmortalité de 17 millions de personnes produite par la "vaccination" covid et autres... voir les statistiques de Denis Rancourt : https://crowdbunker.com/v/yeHA2p1e
Actions Criminelles du Vatican car ils ont incités les gens à se faire vacciner
Voir Svali ex illuminati Sacrifices d'enfants au Vatican : https://www.youtube.com/watch?v=6UWPyKcirP4 . -----------------------------------------------------------------------
La « Transverbération de sainte Thérèse d’Avila »
La transverbération (emprunté au latin transverberare « transpercer », et signifiant « traverser de part en part ») est un phénomène mystique rarement mentionné et qui relève de la tradition catholique. Ce terme désigne le transpercement spirituel du cœur par un trait - dard en or enflammé (d'amour).
(Note perso : J'ai découvert cela il y a très peu de temps et donc je partage cette connaissance insolite !!)
THÉRÈSE D’AVILA
1515-1582 (Groupe I, stigmates, miracles,
Anges, incorruptibilité)
ESPAGNE
La plus connue et surtout la plus mystérieuse des rencontres vécues par un être humain avec un Ange reste bien celle de Thérèse d’Avila, l’une des épouses mystiques du Christ. La rencontre entre l’Ange et la réformatrice de l’ordre du Carmel et première femme docteur de l’Eglise (née le 28 mars 1515 et morte le 4 octobre 1582 a été immortalisée par la sculpture du Bernin (1598-1680), baptisée la « Transverbération de sainte Thérèse », transverbération angélique racontée par la carmélite :
« Je voyais près de moi, du côté gauche, un Ange sous une forme corporelle. (…)
Il n’était pas grand, mais petit et extrêmement beau ; à son visage enflammé, il paraissait être des plus élevés parmi ceux qui semblent tout embrasés d’amour. Ce sont apparemment ceux qu’on appelle chérubins, car ils ne me disent pas leurs noms. Mais il y a dans le ciel, je le vois clairement, une si grande différence de certains Anges à d’autres, et de ceux-ci à ceux-là, que je ne saurais l’exprimer.
Je voyais donc l’Ange qui tenait dans la main un long dard en or, dont l’extrémité en fer portait, je crois, un peu de feu. Il me semblait qu’il le plongeait au travers de mon cœur et l’enfonçait jusqu’aux entrailles. En le retirant, on aurait dit que ce fer les emportait avec lui et me laissait tout entière embrasée d’un immense amour de Dieu. La douleur était si vive qu’elle me faisait pousser des gémissements dont j’ai parlé. Mais la suavité causée par ce tourment incomparable est si excessive
– 157 –
que l’âme ne peut en désirer la fin, ni se contenter de rien en dehors de Dieu. Ce n’est pas une souffrance corporelle ; elle est spirituelle. (…) C’est un échange d’amour si suave entre Dieu et l’âme, que je supplie le Seigneur de daigner dans sa bonté en favoriser ceux qui n’ajouteraient pas foi à ma parole. » Le cœur en question a été précieusement conservé et toujours exposé dans l’église des Carmélites d’Alba de Tormès.
Ce cœur, transpercé par l’Ange avec une flèche symbolisant l’amour de Dieu, possède sa propre histoire, et semble continuer à vivre indépendamment de sa propriétaire : il gonfle, devient brûlant et brise le tube en cristal qui le contient.
Après un examen approfondi du bout de chair incorruptible, le chirurgien Manuel Sanchez en fera une description détaillée : « Une ouverture ou déchirure transversale se remarque à la partie supérieure et antérieure du cœur ; elle est longue, étroite et profonde, et pénètre la substance même de l’organe, ainsi que les ventricules. La forme de cette ouverture laisse deviner qu’elle a été faite avec un art consommé, par un instrument long, dur et très aigu ; et c’est seulement à l’intérieur de cette ouverture que l’on peut reconnaître les indices de l’action du feu ou d’un commencement de combustion. (…) Tout le long de la blessure, on remarque facilement des traces de combustion. Elles sont surtout visibles sur les deux déchirures de la lèvre supérieure de la plaie, qui semblent carbonisées comme par l’application d’un charbon ardent ou d’un fer porté au rouge.
Par la suite, d’autres médecins de l’université de Salamanque noteront une perforation effectuée par le dard cité précédemment par la sainte elle-même. Les trois médecins certifieront par ailleurs sur l’honneur que la conservation de l’organe vieux de quatre cents ans ne pouvait être possible avec aucun produit chimique, ou de toute autre manière que ce soit, même naturelle.
Et le cadavre de cette femme au destin exceptionnel dont le cœur a été percé par la flèche d’un Ange a connu un destin tout aussi exceptionnel. « Le lendemain de sa mort (4 octobre 1582), raconte sœur […] de San Bartolomé, on l’enterra avec toute la solennité possible. Son corps fut mis dans un cercueil ; mais on le chargea de tant de pierres, chaux, briques que le cercueil céda sous le poids, et tout cela y pénétra. Mais il émanait un parfum si délicieux de la tombe de Teresa de Jésus que les moniales souhaitèrent […] le corps de leur Mère. »...............