Des Astrobiologistes ont découvert des régions de notre galaxie qui aurait le plus grand potentiel pour produire des molécules organiques très complexes , le point de départ pour le développement de la vie. Nous avons entendu, avant le «suivi de l'eau» dans la recherche de la vie, il peut être «suivi par le méthanol» ...

Les scientifiques impliqués, du Rensselaer Polytechnic Institute à Troy, New York, ont commencé une recherche pour le méthanol, un ingrédient clé dans la synthèse de molécules organiques. Selon Douglas Whittet, chercheur principal de l'étude, «la formation du méthanol est la voie chimique majeur à des molécules organiques complexes dans l'espace interstellaire». L'idée est de chercher des domaines où il y a une riche production de méthanol productible. Dans les gros nuages ​​de poussière et de gaz qui donnent naissance à de nouvelles étoiles, il y a plus simple des molécules organiques comme le monoxyde de carbone. Dans de bonnes conditions, le monoxyde de carbone sur les surfaces des grains de poussière peuvent interagir avec l'hydrogène, également constaté dans les nuages, pour créer le méthanol. Le méthanol peut alors devenir un tremplin pour créer les molécules organiques plus complexes, les types nécessaires à la vie elle-même. Mais combien de méthanol est là, et où?

Il semble être le plus abondant autour d'un petit nombre d'étoiles nouvellement formées, où il fait jusqu'à 30 pour cent de la matière autour de ces étoiles. Dans d'autres domaines toutefois, il est en quantités beaucoup plus faibles, ou pas du tout. Dans les nuages ​​de poussière et de gaz froid qui finira par produire de nouvelles étoiles, il a été conclu à l'existence dans la gamme 1 à 2 pour cent. Ainsi, il semble y avoir des "points doux", où les conditions sont favorables pour que les réactions en chaîne se produise, selon la vitesse des molécules nécessaires et peuvent atteindre les grains de poussière.

Il peut signifier la différence entre une «impasse» pour le développement supplémentaire ou une "Soupe organique." Tel que décrit par Whittet: «Si les molécules de monoxyde de carbone s'accumulent trop rapidement sur les surfaces des grains de poussière, ils ne reçoivent pas les possibilité de réagir et former des molécules plus complexes. Au lieu de cela, les molécules seront enterrer dans les glaces et ajouter jusqu'à beaucoup de poids morts. Si l'accumulation est trop lent, les possibilités de réaction sont aussi beaucoup plus faible. "

Ainsi, certains lieux peuvent être beaucoup plus susceptibles d'avoir les conditions nécessaires pour le développement de la vie que d'autres. Que dire de notre propre système solaire? Comment se comparent-ils? En étudiant les quantités de méthanol dans les comètes, des reliques depuis le début du système solaire, les scientifiques ont conclu que l'abondance du méthanol à l'époque était de qualité moyenne. Pas un manque de la substance, mais pas un "bonne équilibre". Pourtant, nous sommes ici ... ou, comme Whittet a dit, "Cela signifie que notre système solaire n'a pas été particulièrement chanceux et n'ont pas les grandes quantités de méthanol que nous voyons autour de quelques autres étoiles dans la galaxie. Mais, il était évidemment assez pour nous d'être ici. "

Le document, intitulé «contraintes observationnelles sur la production de méthanol dans les glaces interstellaires et protoplanétaire», sera publié dans les 20 novembre édition de The Astrophysical Journal et est une collaboration entre le Rensselaer, NASA Ames Research Center, le SETI Institute et l'Université Ohio State.


http://www.astronomy.com/en/News-Observing/News/2011/11/Astrobiologists%20discover%20sweet%20spots%20for%20the%20formation%20of%20complex%20organic%20molecules%20in%20the%20galaxy.aspx