Que comprendre dans ce tintamare d'infos sur la pandémie, on nous a appris que le virus est trés contagieux, on s'est méfié des quelques touristes revenant du Mexique, et voilà que notre voisine l'Angleterre est atteinte aussi depuis quelques temps, dix fois plus de cas que chez nous, pourtant TGV et Ferries continuent a traverser la Manche jour et nuit, le virus apprécirait-il moins la France? Ou peut-être n'a t-on a pas les mêmes statistiques, ou la même notion de mort probable, à moins que ce ne soit les critères de toux et de fièvre qui diffèrent. Ce serait à mourir de rire, si la situation n'était pas aussi dramatique. Dramatique non par le virus, mais par toutes les intentions de l'intelligence manipulatrice qui se cache derrière ce scénario. Dans son dernier numéro(44), la revue TOP SECRET p60 avance une hypothèse interessante: un virus fabriqué en laboratoire est mis en circulation, les gouvernements insistent pour la vaccination mais restent tolérants pour les réfractaires, quelques mois plus tard, le virus mute (on nous a habitué a cette idée que le virus pouvait muter), ce nouveau virus fabriqué en laboratoire aussi, est plus virulent, et l'hécatombe commence, même pour les vaccinnés (qui ont étés affaiblis avec le vaccin). La bonne vieille méthode réapparait alors, on désigne comme boucs émissaires ceux qui ont refusés le vaccin et leurs prophètes. Sans eux le virus aurait pu être éradiqué, avant d'avoir eu le temps de muter et ceux atteint dans leur famille auraient toujours leurs proches en vie. Les gouvernements regrettent d'avoir été laxistes, on prépare donc un nouveau vaccin, mais cette fois-ci, on prend soin d'y associer un moyen de contrôle pour s'assurer que personne n'y échappe. Dans ce domaine, le génie ne manque pas, on prend donc soin de noter le nom et les coordonnées du vaccinné sur l'étiquette, à coté du numéro de vaccin, afin de garder une traçabilité et pour plus de sécurité, on introduit aussi une petite nouveauté nanotechnologique dans le vaccin, une nouveauté qui fait bip au passage de certains portails. Il suffit ensuite d'équiper dans les lieux publics ces points de contrôle (gares, aéroports, administrations, et même magasins pour ceux qui veulent protéger leur personnel de ces pestiférés). Quelques temps plus tard, après la pandémie, alors qu'on se demandera si la détection de ces puces est encore utile, et puisqu'on s'y sera habitué, nouveau coup de génie, on lui trouvera des appliquations que tout le monde trouvera bien utiles. Puisqu'on a associé un nom au n° de puce, pourquoi ne pas y rajouter le n° compte en banque, puis le suivi médical, puis le curriculum vitae, puis le casier judiciaire, puis l'historique de votre vie, puis la liste de vos géniteurs, puis...