a2zeiss Administrateur
Messages : 7309 Date d'inscription : 18/04/2009 Age : 40 Localisation : Dans d'autres spheres!!!
| Sujet: Le D-Day, Obama et Hitler Ven 18 Juin 2010 - 16:42 | |
| (Source: InfoGuerilla)
Kurt Nimmo Infowars 8 Juin, 2009
Obama était sur place au cimetière américain de Normandie et au Mémorial de Colleville-sur-Mer, dans le nord de la France, ainsi que le président français Nicolas Sarkozy, le Prince Charles d’angleterre, le Premier ministre britannique Gordon Brown, et le Premier ministre canadien Stephen Harper.
« Aucun homme qui a versé le sang ou perdu un frère ne peut dire que la guerre est une bonne chose », a déclaré Obama, en lisant son fidèle téléprompteur. « Mais tous savent que cette guerre était essentielle. Parceque ce à quoi nous avons fait face avec le totalitarisme nazi, n’était pas seulement une bataille d’intérêts concurrents. Il s’agissait d’une compétition entre deux visions de l’humanité. »
Il s’agissait d’une guerre essentielle, parce qu’elle a été conçue de cette façon. Les grandes entreprises associées aux banquiers internationaux Morgan-Rockefeller ont subventionné et facilité l’ascension du totalitarisme et de l’industrie nazis. « General Motors, Ford, General Electric, DuPont et la poignée d’entreprises américaines intimement impliquées dans le développement de l’Allemagne nazie ont été à l’exception de la Ford Motor Company contrôlées par les élites de Wall Street la firme JP Morgan, la Chase Bank et Rockefeller dans une moindre mesure, la banque Warburg Manhattan », écrit l’économiste, historien, et auteur Antony C. Sutton dans son livre, Wall Street and the Rise of Hitler.
Le banquier influent Sidney Warburg l’a clairement admis. Il a écrit à propos des discussions tenues avec Hitler à la demande des financiers américains, de la Banque d’Angleterre et de sociétés pétrolières. Le livre de Warburg, Hitler’s Secret Backers, révèle qu’Hitler a reçu 10 millions de dollars de la part d’Kuhn Loeb & Cie en 1929, 15 millions de dollars en 1931, et 7 millions de dollars lorsque Hitler a pris le pouvoir en 1933, selon un rapport de l’UPI publié en Septembre, 1982.
Il a été révélé au cours du procès de Nuremberg sur les crimes de guerre qu’Edsel Ford, CE Mitchell, Walter Teagle, et Paul Warburg ont été étroitement impliqués dans le financement de l’ascension d’Hitler après 1933. « Paul M. Warburg, premier directeur de la Banque de Réserve fédérale de New York et président de la Banque de Manhattan, a été directeur de Farben et en Allemagne son frère Max Warburg était également administrateur d’IG, Farben. HA Metz d’IG Farben était également administrateur de la Warburg Bank of Manhattan. Enfin, Carl Bosch de l’American IG Farben était également directeur de Ford Motor Company AG en Allemagne « , écrit Sutton. Aucun d’entre eux n’a été « jugé à Nuremberg, et d’après les documents officiels, il apparaît qu’ils n’ont même pas été interrogés sur leur connaissance du financement d’Hitler en 1933″ (financement du parti nazi et du Volkspartie pour les élections de Mars 1933 en Allemagne ).
« Il est à noter que les plus gros contributeurs – IG Farben, la branche allemande de General Electric (et sa société affiliée Osram), et Thyssen – étaient associés aux financiers de Wall Street. Ces financiers de Wall Street ont été au cœur de l’élite financière et ils ont joué un rôle important dans la politique américaine contemporaine. »
En 2004, le journal britannique The Guardian a fait mention de George Bush père, feu le sénateur Prescott Bush, et de ses liens avec Hitler et les nazis. « Tout au long des décennies de vie publique de la famille Bush, la presse américaine s’est efforcée de passer sous silence un fait historique – que par le biais de l’Union Banking Corporation (UBC), Prescott Bush, et son beau-père, George Herbert Walker, avec l’industriel allemand Fritz Thyssen, a financé Adolf Hitler avant et pendant la Seconde Guerre mondiale « , écrit Toby Rogers. W. Averell Harriman et George Herbert Walker ont continué leurs relations avec le magnat de l’industrie allemande pendant près d’un an après l’entrée en guerre des États-Unis.
« Les intérêts nazis dans la Silesian-American Corporation, longtemps gérée par Prescott Bush et son beau-père George Herbert Walker, ont été saisis dans le cadre du « Trading with the Enemy Act », le 17 novembre, 1942″, écrit Webster Griffin Tarpley dans « George Bush: The Unauthorized Biography ». Ces actions ainsi que d’autres mesures prises par le gouvernement des États-Unis en temps de guerre ont été, malheureusement, trop peu nombreuses et sont arrivées trop tard. La famille du président Bush avait déjà joué un rôle central dans le financement et l’armement d’Adolf Hitler pour sa prise de pouvoir en Allemagne, en finançant et gérant le développement des industries de guerre nazies pour la conquête de l’Europe et la guerre contre les États-Unis; et dans le développement des théories génocidaires nazies et propagande raciste, avec leur résultats bien connus. »
En d’autres termes, sans le soutien financier de Bush, des banquiers de Wall Street, et des sociétés multinationales, Hitler serait resté un obscur ancien Gefreiter (soldat de seconde classe) dans l’armée allemande et un leader exubérant du parti national-socialiste des travailleurs allemands qui serait tombé dans l’oubli, comme cela est arrivé à tant d’autres partis dans les années tumultueuses de la République de Weimar. Sans d’Hitler et ses bankster et soutiens industriels, 160.000 soldats n’auraient pas atterri sur les plages de Normandie, et 10.000 soldats américains, britanniques et canadiens ne seraient pas morts.
Bush, Ford, General Electric, IBM, et les banquiers de Wall Street sont responsables de la mort de plus de 70 millions de personnes au cours de la Seconde Guerre mondiale, y compris environ 12 millions de morts causés par la famine due à la guerre en Chine, en Indonésie, en Indochine française et en Inde.
Le discours d’Obama à Colleville-sur-Mer est significatif, car il insiste sur le sacrifice et les « meilleurs d’entre nous [qui] ont été en mesure de ravaler quelque peu leurs craintes », même si ces craintes ont été cyniquement et lâchement fabriquées par une clique de banquiers internationaux déterminée à réaliser « l’ordre par le chaos » (pour reprendre la célèbre formule maçonnique), les massacres de masses, et une misère incommensurable.
Dans les mois à venir, nous pouvons nous attendre à « faire face aux difficultés et luttes de notre temps » et il nous sera dit que nous avons besoin de « perpétuer cette héritage de service et de sacrifice « , comme Obama l’a souligné dans son discours.
Obama aura aussi un discours tout préparé pour ces sacrifices. Il semble que la plupart d’entre nous – conditionnés par un flot sans fin de discours tout faits et d’histoire falsifiée – sommes prêts à accepter notre sort, sans gémir, mais surtout avec indifférence ou, au mieux, une stupide tendance à suivre le mouvement afin d’éviter toute anicroche.
Source: infowars |
|
bison-assis
Messages : 52 Date d'inscription : 16/06/2010
| Sujet: Re: Le D-Day, Obama et Hitler Ven 18 Juin 2010 - 17:05 | |
| C'est peut-être à ça que doit ressembler un prix nobel de la paix de nos jours , triste époque . |
|
adzo
Messages : 264 Date d'inscription : 29/09/2009
| Sujet: Re: Le D-Day, Obama et Hitler Ven 18 Juin 2010 - 20:05 | |
| La photo est très nettement un photomontage, on a substitué la tête du type à coté de hitler par une autre. ça saute aux yeux qu'il n'y a pas le même grain de photo et que la direction de l'éclairage est contradictoire C'était qui alors ?
A noter sinon que les soutiens européens n'ont pas non plus été des moindres, voir les livres et conférences de l'historienne Annie Lacroix-riz. |
|
Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Le D-Day, Obama et Hitler | |
| |
|