L’extinction des dinosaures - enfin des explications cohérentes !
Posté par Roger Robert le 11 décembre 2010
Je désirais laisser la découverte de ces explications à ceux qui, en achevant la lecture des “Sciences revisitées”, comprennent la portée de toutes ces remises en cause et sont persuadés que notre vision actuelle de la science est fausse. Mais bousculer ces acquis “irréfutables” n'est pas chose facile et mettre en doute la parole sacrée de nos physiciens est une atteinte à cette conviction spirituelle qu'ils ont réussi à nous inculquer. Bref, pour intéresser un plus grand nombre de personnes, je vous explique pourquoi les dinosaures ont disparu si soudainement.
Il est sûr que si vous n'avez pas encore lu mon livre ou d'autres articles de ce blog, vous risquez d'utiliser votre connaissance pour juger et critiquer mes propos. Mais avant de laisser un commentaire, que vous risqueriez de regretter par la suite, comportez-vous comme un scientifique devrait le faire à savoir en analysant l'étendue de mes réflexions et des conclusions qui en émanent.
L'expansion terrestre n'est pas une théorie, mais bien le phénomène qui se présente sur TOUS les corps célestes. Qu'ils rayonnent, tel notre Soleil, et font partie des corps stellaires, ou qu'ils ne rayonnent plus comme notre planète, tous les objets célestes ont en leur cœur un noyau astral qui engendre un champ de pesanteur et en se désagrégeant ce noyau produit de la matière. C'est cette production de matière qui est à l'origine de l'expansion de tous ces astres.
A l'époque des premiers dinosaures, notre planète possédait un rayon deux fois plus faible qu'actuellement. En refroidissant, une coquille solide s'était formée. Je parle bien de coquille et non pas de croûte terrestre car comme autour d'un œuf, elle recourait entièrement le globe.
Comme je le démontre dans le livre, le champ de pesanteur était plus intense, les choses lourdes étaient encore plus lourdes. Or, comme l'ont constaté, à juste titre, certains scientifiques les os creux de ces animaux étaient critiques, car ils n'étaient pas en mesure de supporter leur propre poids. La résistance mécanique de ces os pose un problème que nous résolvons en sous-estimant la valeur de leur poids effectif. Avec un champ de pesanteur plus intense, vous comprenez bien que ce constat devient encore plus critique, il devient supercritique.
En fait, ce n'est pas la résistance de leurs os qui est supercritique mais l'atmosphère de l'époque. En effet, dans certaines conditions de pression et température, un gaz franchit ce point supercritique et sa densité conserve une valeur comparable à celle qu'il présente à l'état liquide. Du fait de cette pesanteur élevée, l'atmosphère de l'époque était dans cet état supercritique.
Pour se déplacer dans ce milieu, les animaux d'antan devaient être lourds pour conserver les pieds sur Terre et parfaitement profilés. D'où cette démesure dans les tailles de leur cou et de leur queue. Dans ce milieu, la poussée d'Archimède était pratiquement comparable à celle que nous percevons lorsque nous somme partiellement immergés dans de l'eau douce. La résistance de leurs os était donc en mesure de supporter ces poids effectifs moindres. L'envol des ptérodactyles ou autres créatures gigantesques se comprend enfin.
Malgré la coquille, la production de matière pouvait s'écouler par des volcans, mais ces épanchements n'étant plus suffisant, la coquille s'est fissurée ouvrant de larges zones. La première phase d'expansion était en marche. Les poussières ainsi projetées flottaient dans ce milieu beaucoup plus longtemps avant de se décanter. Une première extinction d'animaux s'en est suivie.
En périodes géologiques, une multitude de phases d'expansion se sont produites avec des variations du diamètre du globe plus ou moins intense. Cette augmentation du volume correspondait à une augmentation du volume de l'atmosphère de l'époque donc à une détente. La détente d'un gaz engendre un refroidissement d'où l'explication de toutes ces phases de glaciation. En effet, toutes les molécules d'eau à l'état de vapeur précipitaient sous forme de neige, allant jusqu'à transformer notre planète en une grosse boule de neige.
Une des dernières grandes phases d'expansion a modifié l'état de l'atmosphère, sa densité s'est amoindrie rendant la poussée d'Archimède trop faible pour que les derniers dinosaures aient la chance de supporter leur carcasse dans un tel environnement. Seuls les amphibiens ont réussi à trouver le milieu approprié. Il nous est donc impossible de recréer un “Jurassic Park” car nous n'avons plus les conditions qui régnaient alors. Dommage !
Les cicatrices des différentes phases d'expansion sont encore parfaitement visibles au fond des océans. Elles témoignent de phases plus ou moins intenses avec des variations du volume du globe plus ou moins rapides. Les morceaux de la coquille primordiale restent à la surface, s'éloignent les uns des autres et forment nos continents. La tectonique des plaques continentales devient, au même titre que toutes celles que je critique, une théorie absurde qui n'explique rien.
Cette réflexion, autour des phénomènes qui se sont déroulés dans le passé de notre planète Terre, ne pouvait pas intervenir dans la tête d'une autre personne car on nous impose une réflexion à sens unique sur des bases totalement fausses mais qu'il ne faut surtout pas critiquer car nous désirons rester dans cette forme d'ignorance et imaginer un Univers issu d'un Big machin chose ou autre délire hollywoodien de mondes parallèles.
Honte à ces pensées humaines !
Roger Robert
http://rogerrobert.unblog.fr/2010/12/11/lextinction-des-dinosaures-enfin-des-explications-coherentes/